Lorsque nous arrivâmes à la maison, Jeanine me dit alors que je coupais le moteur, « tu descends, tu enlèves tout de suite ton string et tu le nettoies avec ta langue, ensuite tu vas le laver et tu me rejoins sur la terrasse pour le mettre à sécher.
Je fis ce que Jeanine me demandait, après être descendu de la voiture, je retirais le string, me retrouvant le cul nu sous ma mini jupe et léchais les traces que jy avais déposé en jouissant, puis Jeanine mayant précédé, je rentrais dans la maison et allait le laver une fois cette tâche accomplie, je rejoignis la terrasse, Jeanine my attendait, jaccrochais les string sur la corde à linge afin quil sèche puis retournais près delle, les main dans le dos, attendant ses ordres. Ils vinrent sans attendre, « vas chercher le sac qui est dans au pied de lit et tu le ramènes à 4 pattes comme il sied à toute bonne chienne de se déplacer, jallais dans la chambre et curieux, jouvris le sac, je vis quil contenait les bracelets de cuirs que Cathy avait utilisé pour mattacher, le martinet, et quelques gods.
Cest en bandant que je ramenais le sac, les poignées coincées entre mes dents, je le déposais aux pieds de Jeanine, elle se leva pris le sac et le déposa sur un fauteuil puis se tournant vers moi elle me dit « tu colles ton torse sur la table, tu tends tes bras le plus loin possible de chaque côté et tu écartes tes jambes de manière à coller tes chevilles contre les pieds de la tables », je mexécutais, quand je fus en position, Jeanine sortit les bracelets, et mattacha les poignets et les chevilles avec, puis elle attacha la corde de manière à ce que je ne puisses plus bouger, dans cette position, ma mini jupe était remontée tellement haut sur mes reins que javais le cul exposé et le sexe tendu écrasé contre le rebord de la table, la situation narrangea pas mon érection.
Jeanine sapprocha de moi par derrière et le premier coup de martinet cingla mes fesses en travers, puis cest une dizaine de coups qui sabattirent, mon cul me cuisait, et chaque nouveau coup marrachait un gémissement, puis Jeanine dû se déplacer et un coup moins fort arriva, mais très bien dirigé, les lanières rentrèrent dans la raie de mon cul et le bout de ces dernières arriva sur mes testicules, puis un second coup, plus appuyé arriva rapidement cinglant plus fort ma raie et faisant ressentir de petites piqures à mes testicules dès que le bout des lanières les atteignaient, je gémissais un peu plus à chaque coup et Jeanine me dit « ta gueule petite salope, tu navais pas à jouir sans ma permission, et puis attends un peu, tu vas voir ça ne fait que commencer » et elle mit à nouveau 4 ou 5 coups de martinet, marrachant à chaque coups un nouveau gémissement, puis elle posa le martinet devant mes yeux et dit « je vais me changer tu ne bouges pas » ce qui était à la limite du risible vu la manière dont jétais attaché.
Jeanine me laissa exposé pendant une dizaine de minutes puis revint, elle ne portait plus quune guêpière, un porte-jarretelles, des bas et ses chaussures à talons aiguille. En passant derrière moi, me claqua fortement les fesses, marrachant un cri de douleur, « ta gueule salope, tu subis en silence », puis elle vint se placer au bout de la table, face à moi et dit « bon maintenant, jai envie de me faire une petite chatte, de glisser dedans et de la limer en allant bien au fond » puis elle pris dans le sac la culotte percée que Cathy avait utilisé avec elle, lenfila et coinça dedans un god dune quinzaine de centimètres et de petit diamètre quelle enduisit, sous mes yeux, de lubrifiant, une fois prête elle me regarda avec un ptit sourire sadique et dit « allez ma ptite salope, je vais tenfiler et te baiser jusquà ce que tu me demandes darrêter », elle fit le tour de la table, se plaça derrière moi, dans la position où jétais, elle vit mon ptit trou dilaté, « ben dis donc ma salope, cest pas possible, tu tes fais fourrer au ciné, avoues que tu a pris une bite » et elle ponctua sa phrase dune claque appuyée qui me fit gémir de douleur, puis positionnant le bout du god sur mon ptit trou, elle dit « pas besoin de prendre de faire doucement, tu es déjà bien ouverte » et dun coup de rein elle enfonça le god dans mon cul, le lubrifiant et la pénétration subit au cinéma aidant, celui-ci rentra en entier, puis Jeanine commença à me limer en disant « hum, jadore baiser ta ptite chatte, ma chérie, tu vas voir tu vas adorer toi aussi, et elle accéléra ses mouvements, je sentais le god rentrer et sortir de mon cul, me remplir, me masser les sphincters et rapidement je commençais à gémir sous ses coups de boutoirs.
Jeanine me lima lanus pendant une bonne dizaine de minutes, puis se retira, me laissant pantelant, je sentais mon cul dilaté qui palpitait, Jeanine refit le tour de la table et enleva son harnachement devant moi, puis elle me dit « allez racontes moi la séance au cinéma et noublies rien, de toutes manières Cathy venant demain, je saurais si tu as menti et la punition sera à la hauteur du mensonge ».
Je racontais à Jeanine comment javais sucé trois bites puis la chatte de la compagne dun des hommes présents, en oubliant bien sur de préciser à qui appartenait le sexe féminin.
Pendant que je racontais, Jeanine sétait assise en face de moi et se caressait, à la fin de lhistoire, elle avait carrément rentré deux doigts dans sa chatte et se masturbait avec frénésie, elle finit par jouir.
Jeanine se leva puis prenant dans le sac un autre olibos, elle me le montra, il était rigide et un peu plus gros que celui avec lequel elle venait de menculer, elle caressa mes lèvres avec le bout du god et me dit « ouvres la bouche et suce le, après il te fera du bien si tu es sage », je commençais par lécher le bout puis comme elle forçait un peu, jouvris la bouche en grand et refermant mes lèvres dessus, je le suçais au rythme des mouvements que Jeanine lui donnait, quand elle estima que cétait suffisant, elle le retira et me dit « celui-ci est spécial ma ptite salope, cest un vibromasseur, je vais lenfiler dans ta petite chatte et le mettre en route pendant que je vais aller prendre une douche, et faisant le tour de la table elle se plaça derrière moi, je ne voyais plus rien mais je sentis le bout du vibro quand elle lappuya sur mon ptit trou, tout en forçant un peu pour le faire passer Jeanine dit « ben regardes moi ça petite pute, tu es tellement dilaté quil rentre tout seul, effectivement je sentais le vibro minvestir et glisser dans mon anus sans aucune douleur si ce nest un léger étirement des mes sphincters, une fois au fond de moi, Jeanine mit le vibro en route, je le sentais qui vibrait délicieusement dans mon cul, Jeanine me mit une claque sur les fesses en disant « je suis sur que tu aimes, saloperie, je vais prendre ma douche et quand je reviens je vais avec le martinet pour ça », et elle me laissa seul sur la terrasse, le vibro en route me massant lanus.
Quand elle revint ½ heure plus tard, elle retira lolibos de mon cul, pris le martinet et me cingla une dizaine de fois le cul, elle me détacha et dit « viens toccuper de moi, petite salope, viens me bouffer la moule, jai envie de jouir sur ta langue », un peu ankylosé, je mis quelques minutes avant de pouvoir bouger correctement, Jeanine en profita pour sasseoir puis sallonger sur la table, elle ouvrit ses cuisses en grand et dit « bouffe-moi ma ptite pute, fais moi couler sur ta langue », cest avec grand plaisir que jobéissais à cet ordre, après avoir jouit une première fois, Jeanine me dit « bouffe-moi le cul, je veux sentir ta langue partout », je mexécutais à nouveau et tout en lui léchant le cul, je lui branlais le clito, puis je la pénétrais avec mes doigts, après avoir jouit à nouveau elle me dit « allez finis de jouer pour aujourdhui, je veux ta bite, jen ai trop envie, baise-moi, encule-moi, fais moi jouir », la petite séance mavait mis en forme, je posais mon gland sur sa fente et dun coup de reins, je la pénétrais après lavoir fait jouir en la baisant, je sortais delle, positionnais mon gland sur son anus et à nouveau, dun coup de rein, je lembrochais, Jeanine hurla de plaisir et me dit « ouiiii, prends moi fort, défonce-moi le cul, fais moi du bien avec ta bite », et après plusieurs va et viens, jexplosais au fond de son cul alors quelle hurlait sa jouissance.
Lorsque nous reprîmes nos esprits, il était lheure de reprendre le court dune journée normale, Brigitte nallait pas tarder, et moi seul savait que cette petite salope avait séché les cours, je me demandais si elle allait men parler.
Brigitte arriva alors que nous venions, après une bonne douche, de nous asseoir pour boire un verre sur la terrasse, Elle nous embrassa et nous dit quelle allait dans sa chambre pour faire ses devoirs. Je restais un peu avec Jeanine, qui navait pas remis de culotte et assise en face de moi, avait écarté les cuisses pour me le prouver, je recommençais à bander, rien que de voir sa chatte offerte, je lui dis « je vais voir ta fille, si je reste là, je vais avoir envie de toi et ça va se voir, comme Bernard ne devrait pas tarder autant éviter ça » alors que je me levais elle constata mon émoi, me sourit et caressa la bosse qui déformait à nouveau mon short en disant « humm, ça ne me déplairais pas de recommencer, mais gardons en pour demain ».