Nous étions le 21 décembre 20XX. Une journée forte en émotion pour moi car j’avais durant la nuit baisé pour la première fois de ma vie avec un membre de ma famille, ma tendre tante Jeannine, et m’étais fait véritablement pomper la queue par Camille, une transsexuelle belle comme Venus. Malheureusement l’incroyable jeu qu’avait développé mon cousin Nicolas avec ses amis avaient dû prendre fin subitement cet après-midi à cause de Jeannine qui rentrait plus tôt du bureau (c’était le vendredi, jour du début des vacances de Noël, son boss avait été indulgent avec ses employés) et devait préparer la maison et le repas pour accueillir ses amies qui venaient diner ce soir.
En rentrant, elle ne trouva que moi dans le salon. Son regard s’éclaircit en me voyant, comme si le soleil venait de sortir d’un énorme nuage gris. Je voyais que ses yeux me demandaient si la maison était vide. D’un coup de tête, je lui signifiai que Nicolas était à l’étage. Alors elle lâcha son sac et vînt se coller à moi pour m’embrasser fougueusement avec sa langue brulante. Une vraie furie, elle me plaqua contre le mur tant son corps imposant, lancé à toute vitesse, me percuta fortement. C’était très agréable de se sentir aussi désiré.
— Vite mon bébé, on n’a pas beaucoup de temps !
— Tu es folle, pas ici, pas maintenant !
— J’en peux plus d’attendre, j’ai pensé à toi toute la journée ! Et elle attrapa ma main pour la fourrer sous sa jupe : elle était déjà trempée
— Dans la cuisine alors…
C’était effectivement la pièce la plus éloignée des escaliers, au cas où Nicolas viendrait demander quelque chose à sa mamounette.
A peine arrivés dans la cuisine qu’elle me colla contre le plan de travail, s’agenouilla pour baisser ma braguette, mon jean et mon boxer, et avaler ma bite encore relativement molle. Une vraie furie. Véridique. J’étais subjugué par sa folie sexuelle. Elle ferma ses lèvres sur mon gland et poussa un long gémissement dans la bouche, puis enchaina directement par des longs va-et-vient tout en massant mes couilles. Encore une fois, je vais être honnête : elle ne me suça pas plus de deux minutes. Elle était experte. Et de vous à moi, la fellation ne la soulageait aucunement, ce qu’elle recherchait, c’était mon sperme, c’était sentir mon corps se crisper et ma queue exploser dans sa bouche. Elle ne redescendait et ne redevenait calme et apaisée que lorsqu’elle avait fini d’avaler mon sperme et de nettoyer ma bite… Ce qu’elle fit. Et de la manière la plus professionnelle qu’il soit. Elle remonta alors mon boxer et mon jean, remonta ma braguette et reboutonna mon pantalon tout en m’embrassant tendrement et en me remerciant pour tout. C’était Jeannine. L’autre Jeannine. La cochonne. Elle m’expliqua le plan de ce soir, que malheureusement je n’y étais pas convié car c’était des amies de longue date et qu’elles auraient vite fait de comprendre que quelque chose de louche se passait entre elle et moi, elle en était persuadée. Et il était hors de question que ses amies intimes mettent le doigt sur cette relation interdite. Elle me demanda donc le plus gentiment du monde de rester à l’étage, venir dire bonjour avec Nico et Jenna, et de remonter, de regarder un film, de jouer, peu importe, mais de ne pas descendre. Je lui jurai qu’il en serait ainsi. Elle m’embrassa une dernière fois, j’y sentis toute son affection pour moi,… étais-je amoureux ?
Je décidai donc de voir avec Nicolas s’il voulait voir un film. Il ne pouvait pas, il participait à un tournoi en ligne qui durerait une bonne partie de la nuit, mais me dit que ça ne le dérangeait pas si j’étais à côté de lui pour le regarder et le coacher. Ce que je fis pendant une petite heure, avant que Jenny ne rentre. Comme j’étais content.
— Tu es rentrée plus tôt que prévu ! lui dis-je en lui retournant sa bise pour me saluer
— Ouaaaaais, répondit-elle en trainant sur la fin du mot, visiblement fatiguée de sa journée. Tu fais quoi toi ?
— Rien, je m’emmerde un peu. Tu as encore un peu de force pour te poser et mater un film ou discuter ?
— Ouais carrément. Plutôt chill, j’ai de la weed si tu veux.
— Grave. On se pose dans ta chambre ?
— Ouais, suis-moi.
La soirée fût bien moins mouvementée que prévu, mais Jenny semblait apaisée. Sa tête posée sur mon ventre, nous passâmes quelques heures à discuter doucement, lentement, tout en fumant. Du fait de notre état et de cette nouvelle relation de confiance qui était née entre nous ces derniers jours, Jenny décide de me faire une confidence.
Elle m’apprit que depuis ses 18 ans, elle travaillait dans une clinique assez "alternative", et en alternance du fait de son cursus d’infirmière. Ma curiosité était piquée à vif, même si la drogue m’avait anesthésié et rendait mes réactions assez molles. Elle m’expliqua que jusqu’à la fin des années 2010 existait en bordure de ville, au milieu des bois, un cinéma pour adultes, qui se transformait le weekend en salon de strip-tease. Ce lieu n’était indiqué nulle part, ni sur la route, ni sur Google. Il fallait être un véritable fouineur obstiné pour réussir à trouver les informations requises sur quelques forums. Quoi qu’il en soit, ce club-cinéma avait fermé car le propriétaire n’avait tout simplement plus un rond. L’happy ending si l’on peut dire, c’est qu’un habitué avait repris la boutique. Médecin de profession, père de quatre enfants adoptés (sa femme étant stérile) il en profita pour rafraîchir son métier, et décida donc de créer une clinique particulière, autrement dit, une banque de sperme. Le côté original de son "uvre" était qu’il avait gardé et formé les anciennes strip-teaseuses à ces nouveaux métiers : secrétaire médicale, échantillonneuse, archiviste et j’en passe – tout ça étant un peu farfelu car sortant de la boite crânienne de notre bon médecin. Le concept allait encore plus loin, mais je ne l’appris qu’un peu plus tard, lorsque, n’en pouvant plus de ne pas connaître le secret de ce lieu, je décidai de m’y rendre. La soirée s’acheva là-dessus, sa voix m’avait bercée jusqu’à ce que je m’endorme.
Au réveil, elle n’était plus là. Il était tôt, je m’étais réveillé car je mourrais de soif. Un petit mot était déposé au pied du lit : « Tu t’es endormi comme un gros patatouf, vilain ! Je travaille aujourd’hui. Bonne journée cousin <3 »
Sur un coup de tête, je décidai de me doucher et de rechercher ce lieu sur internet. Je réussis au bout de 40 minutes de recherches sur internet. Enfin, réussir, je n’étais vraiment pas certain d’avoir trouvé le lieu exact, mais j’avais une piste. Ce jeu me plaisait et je décidai de partir pour vérifier si j’avais ou non vu juste.
Il était encore de bonne heure lorsque je garai ma voiture sur le parking de cette clinique. On était effectivement pas mal enfoncé dans la forêt, mais une belle superficie (quelques hectares) était déboisés. Le lieu était mystique, il y avait du brouillard ce matin, et le soleil, timide, produisait un halo verdacé à travers le massif végétal. J’entrai donc, une belle femme pulpeuse vint m’accueillir chaleureusement. Enfin, pulpeuse n’est peut-être pas le terme le plus juste, étant donné qu’elle était vachement siliconée. Pour les amateurs de porno, on était plus proche d’une… que d’une pulpeuse Ava Addams. Mais sa plastique était irréprochable, et au contraire, elle m’excitait beaucoup. Ses grosses lèvres injectée de botox et rendue brillantes et sexuelles grâce à un gloss rose à paillettes, me donnaient envie de lui lécher la bouche… Son soutien-gorge, en dentelle, dépassait légèrement de sa blouse – ce qui est normal étant donné le bonnet surréel de cette Barbie. Quoi qu’il en soit, elle était vraiment très sexuelle, et déjà des images apparaissaient dans ma tête de jeune mâle…
— Bonjour jeune homme, bienvenu à la banque du sperme régionale de XXXXX. En quoi puis-je vous être utile ?
J’avais vu juste ! Mais… je n’avais rien préparé, zut !
Je bafouillai quelque chose, lui disant que je souhaitais faire un don. Qu’elle était bonne ! Effectivement, il était facile de l’imaginer en lingerie en train de se contorsionner autour du pole dance.
— C’est très généreux de votre part. En général, de vous à moi, on a beaucoup de vieux schnoques et d’alcooliques dont la semence s’avère souvent inutile ! Un jeune comme vous fera du bien à notre banque. Veuillez me suivre, nous allons voir le docteur, c’est avec lui que vous allez répondre au questionnaire, un peu le même que quand vous allez donner votre sang, pour qu’on s’assure que vous être en bonne santé pour nous offrir votre semence. Voilà nous y sommes. Je vous retrouve juste après.
Je regardai cette créature de la nuit repartir vers l’accueil. Ses talons martelaient le sol, ses larges hanches rebondissaient à chaque pas, et de vous à moi, j’aurais bien couru pour lui arracher son jean et lui bouffer le cul. Mais ça, c’était du pur fantasme !
Je ne crois pas intéressant de vous raconter mon entretien, et puis c’est privé après tout, le serment d’Hippocrate ne vous dit rien ?
En tout cas, me voilà validé par le médecin. Alors que je ne voulais que venir jeter qu’un il curieux, je me retrouvai là dans le couloir, à devoir attendre qu’on m’installe dans une salle glauque pour donner mon sperme.
Je patientai, mais personne n’arrivait. Qu’est-ce que c’était long.
J’aperçus alors Jenny au fond du couloir, je l’appelai en agitant bien haut la main, et elle arriva tout sourire pour me demander ce que je faisais ici.
— J’étais curieux de voir où tu viens te cacher. J’espère que ça ne te dérange pas ?
— Non non, je trouve ça même mignon de ta part de t’intéresser comme ça à moi. Mais j’espère que ce n’est pas pour aller tout balancer à Maman en rentrant !
– (à mi-voix) On était défoncé mais je n’ai pas oublié ma promesse de garder le secret.
— Bon… Je te fais confiance. Mais ne me déçois pas hein, dit-elle avec un sourire en coin. Attends-moi ici, je reviens.
Alors qu’elle retournait vers l’accueil, sa collègue siliconée revint. Jenny lui adressa deux mots alors qu’elle se retournait dans ma direction. Je les voyais sourire, puis sa collègue pouffa de rire. Jenny était radieuse. "Qu’est-ce qu’elles manigancent ?!" pensai-je. Elles s’approchèrent de moi, et la Barbie me dit:
— Monsieur, si ça ne vous dérange pas, je vais vous confier à ma collègue, j’ai un impératif, je dois y aller. Elle est nouvelle mais très compétente, elle va vous guider pendant chaque étape.
— Ok, pas de problème. Merci.
— Merci à vous, à bientôt. Jenny, on mange ensemble ce midi ?
— Oui !
— Cool, tu me raconteras alors.
Elle lui racontera quoi ? Merde je ne comprenais rien. J’avais faim en plus.
— Viens, suis-moi Chris.
Je la suivis jusqu’à une salle coquette, très agréable. Elle m’expliqua tout ce que je devais faire:
— Maintenant tu vas comprendre la spécificité de notre établissement, et promettre de garder le silence par rapport à cela. De toute façon tu as signé une clause de confidentialité qui englobe le nom et la localisation de l’établissement même. Mais promets-le-moi.
— Euh okok je te le promets.
— Bon, super. Alors c’est simple. Je vais te laisser ici, il y a plein de choses pour t’exciter. Tu peux te déshabiller ou rester comme tu es actuellement, peu importe. Prends ton temps. Une fois que tu es prêt pour ton don, tu passes dans la pièce d’à côté, par cette porte. Il y a tout le matériel pour le don, tout est expliqué par un enregistrement sonore. Je ne peux y rentrer avec toi car la salle est désinfectée pour éviter toute contamination. Est-ce que tu as des questions ?
— Non je ne crois pas.
— Alors je te retrouve de l’autre côté. A tout à l’heure.
Et elle partit. Que voulait-elle dire par "de l’autre côté"? Merde, je ne comprenais rien. "Il faut que j’arrête de fumer" pensai-je alors.
La salle était un peu surchauffée. Je décidai donc de retirer mon t-shirt et mon jean, pour me mettre à l’aise. Je verrouillai la porte, et commençai à regarder les magazines posés sur la petite table basse. Ils avaient une odeur particulière, une odeur de mec, presque de sperme. Certains anciens avaient dû se frotter dessus, ça m’excitait un peu pour tout vous dire…
Je repensai alors à Camille. Il fallait que je la rappelle rapidement. Notre petit moment dans sa voiture avait été d’une intensité impressionnante. L’instant où elle avait posé son sublime gland sur mes lèvres notamment, et qu’elle m’avait jouit dans la bouche en me caressant les joues… que j’avais avalé tout son jus chaud en la regardant dans les yeux pendant qu’elle gémissait de plaisir et de désir pour moi… avant de m’embrasser virilement… Oui, il fallait définitivement que je la rappelle !
Ces divagations m’avaient déjà bien excité… Je continuai de tourner les pages… Mais… Oh !
"Cette femme qui pose nue en suçant un gode c’est… MERDE ! C’est la femme de l’accueil ! Putain !"
Je la trouvai sur les pages suivantes aussi, se frottant ses gros seins siliconés.
"Merde, cette salope m’excite à mort."
Je commençai à me caresser. Cette belle bosse sous mon boxer. Mmh. Je tournai encore les pages.
— Ouais, peu importe, je suis bien chaud. Cette garce m’excite trop.
Je décidai donc de passer à côté pour aller offrir mon vigoureux sperme à la société. C’aurait été gênant de jouir comme un con là, en plein milieu de cette pièce de préparation. Qu’aurai-je pu dire à Jenny, c’aurait été vraiment trop gênant. Mieux valait donc aller faire ce don et passer à autre chose. D’autant que j’avais du boulot qui m’attendait chez Jeannine. Et un coup de fil urgent à passer à Camille.
La salle était obscure. Il n’y avait que quatre petits spots au mur, éclairant le mur et le sol. Je ne distinguai pas grand-chose. Il n’y avait rien en fait, cette était vide.
"Qu’est-ce que c’est que ce bordel ?"
Mais alors que je m’approchai, je vis que le mur d’en face était percé… un trou circulaire… au niveau de la ceinture… et écrit au-dessus de ce trou "GLORYHOLE".
Oh merde ! C’est qu…
— Monsieur Christophe, nous allons passer au prélèvement. Veuillez introduire votre sexe bandé dans le trou en face de vous, afin qu’une de nos charmantes infirmières procède au prélèvement à la source. N’ayez aucune crainte et profitez simplement de notre service. Etant donné que vous êtes un client particulier, vous avez la possibilité de visualiser le travail effectué par notre infirmière en appuyant sur le bouton se trouvant à votre droite. Ce bouton lèvera le voile sur la vitre teintée qui se trouve devant vous. Vous pourrez observer sans être observé. Je vous souhaite un très bon moment Monsieur Christophe.
Voilà donc les instructions dont Jenny m’avait parlé. C’était complètement dingue !
"Qu’est-ce que c’est que cet établissement ?! Une maison close 2.0?! "
"Bon, y’a plus qu’a ! Introduisons ce sexe bandé dans le trou comme ils disent."
A peine introduit, je sentis mon gland passer entre deux lèvres très pulpeuses.
"Oh putain. Il y a une personne là derrière, accroupie, qui me suce ?!" pensai-je
Je ne tenais plus, je devais en être sûr, et appuyais sur l’interrupteur. Tel un rideau, la teinte de la fenêtre disparut, et me dévoila la personne qui s’affairait à tirer le jus de mes couilles.
C’était Jenny !
Oui, c’était Jenny qui, le t-shirt relevé, était en train de me sucer goulument en se malaxant les seins. Et quels seins ! Tout frais, tout moelleux, tout ronds, bien garnis, quelle beauté! Je commençai à jouer du bassin. J’en avais tellement rêvé. J’avais tellement fantasmé sur toi ma petite Jenny.
"Suce-moi bien à fond ! Hmmm !"
Vous l’aurez compris, j’étais en transe ! Et là j’éjaculai clairement de façon précoce !
Jenny saisit alors la base de mon sexe pour me masturber alors que j’explosai en elle. Je frappai du poing contre la paroi, tant c’était bon. Une vraie ventouse. Elle me téta jusqu’au bout. Comme c’était bon !!! Et je voyais bien qu’elle gardait tout en bouche. Jenny, comme j’aurais aimé t’embrasser à ce moment, te voir ouvrir la bouche et voir mon sperme couler sur ton menton et salir tes gros seins… que tu aurais ensuite massés…
Alors que je fantasmais, elle continua son travail. Car le sperme devait être récupéré. Je la vis alors saisir un petit tube dans lequel elle cracha mon sperme enveloppé d’une belle couche de bave à elle. Je l’observai, clandestinement. Une goutte avait coulé sur son menton, et cette vilaine petite fille la récupéra avec son index pour la récupérer dans sa bouche. Elle venait d’avaler mon sperme. Ouah !
Histoire incroyable n’est-ce pas ?
Le souci, c’est que ceci n’eut jamais lieu. Car la voix de Jenny commença à me parvenir aux oreilles, tout d’abord très éloignée, puis de plus en plus proche, jusqu’à carrément me faire mal aux tympans !
— Chris ! Chris !!! Oh, Chris !
…
J’ouvris les yeux. Je m’étais endormi à cause de la drogue. Jenny était à côté de moi, debout. Il faisait encore nuit mais elle avait allumé la lampe de chevet. Son pyjama rose était taché au niveau de la cuisse. Une tâche humide. La même que je trouvai sur mon boxer en baissant les yeux. J’avais l’esprit enfumé, le cerveau débranché.
— Chris… Je crois que tu as fait un rêve un peu trop érotique… Tu n’as pas arrêté de marmonner mon prénom… et tu m’as joui sur la cuisse…
Quelle merde putain…