Petits jeux dans les bois (partie 2)
Autant vous dire que la semaine fut longue Le dimanche matin je pars donc excité en me demandant ce que me réserve ma petite joggeuse et enfin au loin, je la vois, elle court et sa brassière rose fluo illumine les sous-bois. Aujourd’hui c’est à mon tour de disparaître dès que je trouve un endroit approprié. Je m’écarte légèrement du chemin et je baisse le devant de mon short pour faire semblant d’uriner. Mon sexe est tendu comme jamais. Je trouve l’attente longue. Enfin, j’entends craquer les feuilles mortes sous les pas de ma petite joggeuse, je perçois sa respiration, son souffle chaud est dans mon cou. La peau de mon dos frissonne quand elle appuie ses deux seins contre moi. Elle n’a plus sa brassière ni son chasuble. Je ferme les yeux et les petits mouvements de gauche à droite qu’elle fait me font sentir ses tétons et me donnent des frissons tout le long du corps. Son bras passe sous le mien et lorsqu’elle entoure ses mains autour de mon pénis, il y a un liquide visqueux et chaud.
Elle a tout prévu pour me combler, c’est de la vaseline réchauffée au creux de sa main. Lorsqu’elle commence ses mouvements de va-et-vient, je suis aux anges, ses mouvements sont doux et appliqués. En même temps qu’elle monte et descend le de mon sexe elle effectue une rotation avec son poignet. Et lorsqu’elle arrive à l’extrémité de mon membre tendu, avec son index elle y dépose une caresse, c’est divin. Son autre main se pose sur mes fesses, les malaxes et elle me fait basculer le bassin en avant. Tout doucement, son corps glisse le long du mien. Ses tétons s’accrochent à mon short puis elle me contourne et se retrouve à genou face à moi sa langue vient se substituer à l’index, et c’est au tour de ses lèvres pulpeuses de venir remplacer sa main magique. Elle descend délicatement le long de mon sexe puis remonte en le suçant et elle finit par un coup de langue sur l’extrémité qui est de plus en plus sensible. Mes mains s’occupent maintenant de ses seins. Je lui pince délicatement les tétons avant de tenir ses seins lourds et fermes à la fois.
Ma douce suceuse accélère le rythme et je sens monter en moi le point de non-retour, elle le devine, se redresse et ma bite plonge dans sa poitrine j’ouvre les yeux je vois ses yeux noisette en amande me regarder prendre mon pied et plus bas ma bite apparaitre et disparaitre au plus profond de ses nichons. Cette vue m’excite au plus haut point et maintenant c’est moi qui augmente le rythme en ondulant le bassin. Le premier jet est si puissant qu’il percute le menton et lui retombe sur les lèvres. Je jouis si fort que tout mon corps est pris de soubresauts. Elle se redresse et en voyant apparaitre ses tétons je ne peux m’empêcher de les téter et de les pétrir délicatement, j’étale ma semence sur ses seins, j’adore. Je lui dis à l’oreille que je vais la faire jouir avec mes doigts pour ne pas qu’elle connaisse la même frustration que moi la dernière fois.
Ma tête est plongée dans sa poitrine, mon majeur est dans sa chatte, je suis légèrement penché en arrière. Ma brunette commence à gémir. Je sens un petit filet de sperme coulé le long de ma bite quand tout à coup une bouche la happe jusqu’aux couilles. Nous nous écartons stupéfaits et je vois la quinquagénaire de la semaine dernière accrochée à ma bite comme un poisson à son hameçon. La bouche pleine elle me dit :
— « Il fallait que j’y goutte votre séance m’a mise en transe.
— « En tout cas fait ton affaire et laisse le me finir !!! » fit ma joggeuse qui ne semblait pas plus perturbée que sa par cette bouffeuse de bite.
Je me replonge dans cette divine poitrine pendant que mes doigts experts titillent ma partenaire. « Mon gros poisson » quant à lui semble apprécier mon hameçon et ne se débat pas, bien au contraire. Dans un tout autre style, elle m’avale le membre et me branlait en même temps c’est plus qu’agréable et j’ai du mal à me concentrer.
— « Continue comme ça mon petit chou, je me présente Ariane pour te faire jouir » me susurre main de velours.
— Va y jouit fort sur mes doigts, je suis Aloneman pour ton plaisir.
Sa cyprine coule à flots, j’introduis un second doigt dans sa fente et enfonce mes doigts en effectuant des rotations. Elle écarte les jambes pour que je puisse la pénétrer le plus loin possible, la tête en arrière elle regarde la cime des arbres et jouit. Ma quinquagénaire m’aspire le membre et me caresse maintenant les couilles avec une sa main gauche pendant qu’avec sa main droite elle se doigte la chatte. Son aspiration est telle que j’ai l’impression que mon gland gonfle comme un ballon de baudruche. Sentant que je vais venir je lui tiens la tête pour qu’elle avale tout mon foutre. Je sens le premier jet atteindre le fond de sa gorge et elle continue à m’aspirer !!! Cest énorme !!! Elle avale toute ma semence jusqu’à la dernière goutte et je récupère ma bite propre comme si elle sortait de la toilette.
Elle se relève, me remercie pour mon jus puis s’en va. Ariane redescend peu à peu. Je lui récupère sa brassière et j’en profite pour lui toucher une dernière fois les seins en la lui remettant puis son chasuble. Elle m’embrasse et me dit : « J’aimerai bien qu’on soit plus tranquille la semaine prochaine. Tu n’auras qu’à suivre le fil ». Elle m’embrasse une dernière fois et reprend sa course comme si de rien n’était
Je m’engage sur mon petit chemin, je vois Ariane au loin puis file sur la droite. Quand j’arrive là où elle a disparu ; personne. Je baisse les yeux et je vois un fil rose fluo s’enfoncer les bois. Le fil d’Ariane à suivre.