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Carole, elle me propose de poser pour moi – Chapitre 2

Carole, elle me propose de poser pour moi - Chapitre 2



Pour rappel je suis un mec de 61 ans, et je me suis arrangé pour retrouver une minette de 18 ans que j’ai rencontrée lors d’un mariage. On s’est entendu pour que je l’accueille chez moi et faire des photos coquines d’elle, en échange d’une récompense: elle veut me sucer.

Je n’aurais jamais osé le lui demander, mais puisque c’est elle qui me le propose, et que je me suis assuré qu’elle est majeure, pourquoi refuser.

On est chez moi et on va direct au salon. On s’est déjà fait nos plans: elle me suce, on fait des photos, elle me suce à nouveau, et au revoir. C’est ce qui était prévu!

Je m’installe dans un fauteuil et elle vient s’agenouiller entre mes jambes. Elle caresse ma braguette puis essaie fébrilement de défaire mon pantalon. Ses doigts nerveux ont du mal à y parvenir et je lui donne un coup de main. Je défais ma ceinture, mon bouton, et elle n’a plus qu’à baisser mon zip, ce qu’elle fait sans hésiter. Je soulève mes reins pour l’aider à descendre mon froc aux chevilles, et me retrouve en slip. Sa main me caresse à nouveau, finit de me faire bander, et je relève encore mes reins pour qu’elle glisse mon dessous jusqu’en bas. Je suis à poil, mon sexe bien dressé, elle le prend en main et s’émerveille:

— Waouh! Cette bite que tu as! Elle est trop belle ta queue, et puis elle douce, elle est chaude!

— Tu dis ça à tous tes copains?

— Non, je te jure, tu as la plus belle, elle me donne trop envie.

— Mais sers toi, elle est là pour ça, pour toi, rien que pour toi.

Je n’ai pas de réponse, il est vrai que l’on ne parle pas la bouche pleine. Elle me suce délicieusement, ses lèvres enserrent bien mon manche, sa langue pourlèche mon gland, elle gémit, s’adresse à moi les yeux dans les yeux:

-Hum, elle est bonne ta queue, insulte moi pendant que je te suce.

— Ne me le dis pas deux fois, j’adore ça. Ils t’insultent tes copains?

— Oui, certains mais pas tous.

— Et ils te disent quoi?

— Ce que j’aime entendre, que je suis une salope, une pute, une vide-couilles.

— Tu les pompes à fond?

— Oui, bien sûr, et j’avale tout.

— Et moi tu vas aussi me sucer jusqu’au bout?

— J’espère bien, j’ai envie de ton sperme.

— Ok salope, on va bien s’amuser tous les deux. Tu as vu mes couilles comme elles sont bien grosses!

Elle les caresse, essaie de les gober, mais ma position assise n’est pas idéale; je lui propose d’aller à la chambre.

Elle se relève, je me débarrasse de mon froc et slip, et elle me suit. Je finis de me déshabiller après lui avoir donner un cintre pour enlever sa robe et la suspendre. Je suis à poil et elle en petite culotte blanche. Elle n’a pas de soutif, mais il est vrai que sa belle poitrine insolente de beauté et de tenue n’en a pas besoin. Elle s’apprête à enlever son dernier vêtement, mais je l’en dissuade:

— Non, attends, pas encore. Je n’ai besoin que de ta bouche gourmande pour le moment.

— Tu l’aimes ma bouche?

— Oui petite salope, tu suces bien. Tu embrasses aussi?

Elle me donne la meilleure réponse en se pendant à mon cou et en soudant ses lèvres à mes lèvres. On est collé l’un à l’autre et je saisis sa main gauche pour la guider entre mes cuisses. Elle prend mes choses en mains et à vite fait de les évaluer:

— Ces couilles! Ces couilles que tu as, elles sont énormes!

— C’est pour mieux t’abreuver mon enfant. Elles son archi pleines, j’espère que tu as soif.

— Salaud, tu me rends folle. Je veux sucer.

Je m’installe sur le lit, adossé sur un oreiller, et elle vient entre mes cuisses largement ouvertes et relevées pour lui offrir au mieux mon paquet. Elle se jette dessus, me gobe les couilles, les suce, les lèche, avec des gémissements de bien-être. Sa langue remonte sur ma hampe, s’attarde sur mon frein, mon gland. Elle me fait bander à mort, et au lieu de baisser les yeux comme une jeune fille honteuse de sa conduite, elle me fixe à nouveau insolemment les yeux dans les yeux, comme pour me dire "regarde la belle petite salope que je suis".

Elle pompe ma queue de son mieux, de plus en plus profond, jusqu’à la prendre toute:

— Hum, hum que c’est bon petite salope! Ils ne doivent s’emmerder tes copains avec toi! Tu ne fais pas que les sucer je suppose! Ils te baisent?

— Non, je n’offre pas ma chatte.

— Alors ils t’enculent?

— Tu es fou, encore moins!

— Tu es pucelle?

— Oui.

— Dommage, je t’aurais bien prise.

— Mais tu peux si tu veux.

— Tu es sérieuse? Tu ne veux pas rester vierge pour ton premier grand amour, si tu le rencontres?

— Non, je ne veux pas faire ça avec un jeune de mon âge. Toi par contre, j’ai confiance. Tu me plais, tu es gentil, vieux, un peu cochon, mais sans doute expérimenté.

— Expérimenté en baise, ça oui, mais je n’ai jamais déflorer une femme. Ce sera ma première à moi aussi, si tu veux toujours.

— Ca veut dire que tu es d’accord, oh merci! On le fait tout de suite?

— Non, tout à l’heure ma chérie. Tu vas d’abord me pomper à fonds, et puis on se documentera le temps que je rebande.

Elle accepte et cesse de parler pour se concentrer sur sa fellation. Elle me turlutte à merveille, la gobe toute, la libère, salive à flots dessus, la branle, l’admire, avant de la reprendre de plus belle. Elle me suce pendant de longues minutes et finit par me faire jouir. Je l’ai prévenue et elle s’applique à tout prendre et tout engloutir, giclée après giclée. Elle m’a vidé et je l’invite à venir sur moi pour m’embrasser. On se bouffe la poire, puis on pense à la suite.

On consulte internet pour confirmer ce que l’on sait déjà, et elle insiste pour perdre son pucelage. Je lui propose de la masturber, la doigter, pour déchirer doucement sa membrane, mais elle refuse: elle veut que la première chose qui pénètre profondément son vagin soit ma grosse bite.

On repart à la chambre, et elle s’allonge, cuisses ouvertes, offerte. Je viens à quatre pattes entre ses jambes pour la lécher, la faire mouiller, la lubrifier avant d’introduire mon sexe dès qu’il aura rebandé. Elle gémit la petite, il faut dire que je suis un très bon bouffeur de chatte. Je lèche son bouton, le fait sortir de sa cachette, le suce, l’aspire, mais m’occupe aussi de sa fente que ma langue fouille jusqu’à sa paroi innocente. Elle est toute mouillée, je bande à mort, et il est temps de passer aux choses sérieuses.

Je viens sur elle, prend mon manche à pleine main pour frotter mon gland entre ses lèvres. Il s’enfouit peu à peu jusqu’à rencontrer une résistance. Je lui demande une dernière fois si elle veut vraiment et elle me supplie de faire d’elle une femme.

Je ne suis qu’un salaud de mâle, et une telle proposition ne peut que me séduire. Je pousse ma tête de bélier entre ses lèvres accueillantes, force le passage, déchire son hymen. Elle pousse un petit cri, et je stoppe ma progression:

— Ca va ma puce?

— Oui, c’est rien, baise moi, baise moi fort.

— Tu ne prends pas la pilule je suppose?

— Non, mais je sais que tu vas faire gaffe, et j’ai m’a bouche pour te finir.

— Hum, tu me plais trop petite putain, ne crains rien, je vais me retirer à temps. Je vais t’aimer de façon que tu n’oublies jamais ta première fois.

Je la pénètre délicatement, la lime en douceur, la ramone avec tendresse. Elle mouille à flots, gémit sans retenue, enfonce ses ongles dans ma chair à chacun de ses orgasmes de plus en plus violents. C’est la première fois que je me fais une vierge, la première fois que je respecte ma partenaire, que je l’aime gentiment, et j’en ressent un grand bien-être.

Je sens que mon plaisir ne va pas tarder, et je me retire. Ma queue est maculée de son sang et je vais à la salle d’eau pour la nettoyer avant de la lui donner à sucer. Je reviens et lui présente mon beau sucre d’orge dont je la sais friande. Elle m’embouche sans hésiter et s’active sur mon manche. C’est trop bon comme elle suce, et je jouis pour la deuxième fois. Elle dévore tout, me boit jusqu’à la dernière goutte.

Elle veut à son tour se laver à la salle d’eau, mais je l’en dissuade. Je fourre ma gueule au creux de ses cuisses et m’applique à la nettoyer, à effacer toute trace de son premier passage à l’acte. Je lape son sang , mais bien plus sa cyprine qui n’en finit plus de couler.

Elle jouit la petite, jusqu’à épuisement.

Je remonte sur son corps, on s’embrasse à bouche que veux tu:

— C’était super ma chérie, au moins pour moi! Et toi, ça a été?

— Oui, super bien. Tu vas bander encore?

— Ca dépend de toi, tu veux encore faire l’amour?

— Oui, je veux baiser, je veux sucer, je veux ta queue partout.

— Partout! Tu la veux aussi dans le cul?

— Non, pas aujourd’hui, il faut que je réfléchisse. La prochaine fois peut-être, si tu veux que l’on se revoit.

— Mais bien sûr que je veux, tous les jours si tu veux.

Elle me dit que ce n’est pas possible en semaine, mais veux bien m’accorder tous ses samedi. On est samedi, et elle a encore du temps libre. Elle veut baiser, moi aussi, et on se fait un 69 intense pour se mettre en condition. Je trique comme un âne, sa chatte ruisselle, et je vais pouvoir redoubler son dépucelage. Je l’aime à nouveau gentiment, puis plus virilement, sauvagement, à sa demande. Je la défonce, l’embroche, la ramone, et elle en veut plus, et plus, et encore plus.

Je le matraque comme une bête, elle jouit en continu, m’implore de l’aimer, encore et encore. Je la tringle longuement puis me retire de peur de jouir.

Elle vient entre mes cuisses pour me finir avec sa bouche. Elle a récupéré son portable au passage et me le donne pour que je prenne des photos. Elle pose avec ma queue plaquée sur son visage, avec ses lèvres ou sa langue sur mon gland, et quand elle m’a fait jouir avec mon sperme sur sa langue, puis avec sa bouche vide.

Je m’étonne de ces photos et elle m’avoue un petit mensonge. Elle m’a dit qu’elle suçait de nombreux copains, mais c’est faux, elle n’a jamais sucé jusqu’à aujourd’hui, je suis le premier homme dont elle voit la bite et s’en sert. Par contre elle a une copine qui se fait tous les mecs qu’elle peut, et qui s’en vante photos à l’appui. C’est à elle que son destinées nos photos, pour lui montrer qu’elle aussi peut avoir une queue, et bien plus belle que la plupart des siennes. Je suis très intéressé par ce qu’elle me raconte:

— Elle aime les vieux ta copine?

— Je ne sais pas, mais tu penses à quoi?

— Je me dis que si ma queue lui plait tu pourrais nous organiser une rencontre!

— Salaud, il te les faut toutes. Et tu voudrais une rencontre à deux ou à trois?

— A trois! Je n’y avais pas pensé mais c’est une très bonne idée. Si vous êtes d’accord, pour moi ce sera parfait.

Tout en discutant, on s’est fait la toilette et on s’est rhabillé. Je la ramène jusque près de chez elle, on se remercie et se félicite une dernière fois, et on se donne rendez vous dans huit jours.

Le samedi suivant elle m’attend au lieu et à l’heure prévus. On va chez moi, et elle m’annonce deux excellentes nouvelles durant le trajet:

la première: elle veut bien m’offrir son petit trou, pour qu’après sa bouche et sa chatte je termine son dépucelage.

la deuxième: sa copine veut bien baiser avec moi, et elle me donne son numéro de téléphone. Elle n’a pas osé lui parler d’une rencontre à trois, et ce sera donc en tête à tête.

On passe un après-midi aussi chaud que la première fois, je déflore son illet en douceur, on baise, on se suce, on se lèche, on s’embrasse. Comme la fois d’avant je jouis trois fois, toujours dans sa bouche gourmande.

Je la ramène, et à peine de retour chez moi j’envoie un texto à sa copine . Elle me rappelle dans la soirée, et on discute en toute impudeur. Elle semble bien salope, me dit qu’elle aime tout, moi aussi, et on se donne rendez vous dans la semaine.

Le soir arrivé on se fait une baise marathon, et elle m’offre ses trois orifices à baiser et à remplir de sperme. Je bande et je jouis tant que je peux, et quand j’ai un coup de mou elle me branle, me fouille le cul, me le bouffe, pour me remettre en forme

.

Cela fait maintenant plus de trois mois que l’on se retrouve, et je suis le plus heureux:

On baise à trois le samedi, je les ai persuadées sans aucun mal, et elle n’hésitent pas à s’aimer entre filles lorsque ma queue est fatiguée et en attendant qu’elle reprenne du service.

Mais en plus de ça on s’offre deux ou trois soirée en extra par mois, en tête à tête, avec la copine de Carole, et on se fait des orgies sans qu’elle n’en sache rien. C’est lorsqu’elle a ses règles, qu’elle est hyper chaude, hyper chienne, une nympho hystérique. On baise alors comme des bêtes, on se recouvre de sang, on se lèche, on se roule des pelles. Et cerise sur le gâteau, on s’offre des bons plans pisse.

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