Homme,
soixante deux ans, marié.
Je m’ennuie
au lit avec ma femme, et je profite de mes déplacements professionnels pour
avoir des aventures sans lendemain.
Trouver des
femmes n’est pas chose facile, et j’ai compris depuis longtemps que pour être
sûr d’avoir un partenaire il faut se tourner vers les hommes; cinémas X,
sex-shops, hôtel, j’ai rarement été déçu.
Cette
fois-ci j’ai un déplacement programmé de quatre jours dans une grande ville, et
je m’empresse de chercher un lieu de débauche sur internet. Je frappe
"sex-shop" + la ville, et je découvre le meilleur des endroits que je
n’ai jamais vu, un lieu de rencontre entre hommes, super équipé pour des plans
soft ou hard (cabines, salons ouverts ou privés, glories-holes, accessoires
pour sm, …). Ca m’inquiète presque, mais le soft et le hard se trouvant sur
deux niveaux différents, je m’en tiendrai au premier.
J’attend
avec impatience ma virée loin de chez moi, et le jour arrive enfin. Comme à
chaque fois je pars la veille, prétextant à ma femme vouloir être en place, et
en forme, le matin du premier jour; en fait c’est pour m’accorder une soirée de
plus.
J’arrive sur
place en fin d’après midi, je dine de bonne heure, et à vingt heures je suis
dans ce sex-shop très spécial. Je paie mon entrée, dix euros, et on m’offre
deux petit sachets: un préservatif et du gel.
Je fais un
premier tour pour repérer les lieux. Il fait sombre mais on s’y fait, et puis
certains endroits sont plus éclairés que
d’autres. Il y a quatre cabines, deux libres, une occupée et fermée, la
dernière occupée et entre-ouverte: j’y vois un mec assis, de mon âge, le froc
aux chevilles, et qui se branle. Il y a de plus grandes salles, ouvertes, avec
canapés, lits, miroirs. Il y a d’autres salles qui ferment à clé pour plus
d’intimité. Partout des écrans télé qui diffusent des film gay, avec parfois la
participation de femmes. Partout aussi des poubelles et des boites de mouchoirs
papier.
Il y a très
peu de monde, et je n’ai croisé que deux hommes qui errent comme moi. Je repars
dans une cabine vide pour regarder un film. Je tombe sur un mec balaise, la
quarantaine, carrure de rugbyman, et qui pompe une jeune et magnifique
transsexuelle. C’est trop beau, ça me donne envie, il me faut une queue.
Je ressors
et vais deux cabines plus loin. La porte est entrebâillée et le mec de tout à
l’heure se branle toujours. Je sais par expérience que si je veux une aventure,
il faut la provoquer. Trop souvent les hommes se croisent dans ces lieux, sans
oser s’aborder, faire le premier pas, et ils finissent comme des cons, en
solitaire. Je n’y tiens pas, et j’entre dans pièce et m’accroupis pour le sucer.
Je me penche sur son sexe et me rends compte qu’il porte des bas, ça m’excite
encore plus. Je le prends en bouche, le pompe en caressant ses cuisses et son
cul, du moins ce que je peux. Il s’est mis du gel, mes doigts glissent entre
ses fesses; la salope, je suis sûr qu’il aime la queue lui aussi. Je veux en
avoir le cur net:
— Tu suces?
— Oui, sors
ta queue, je vais te montrer.
Je me relève
pour baisser mon pantalon et mon slip, tandis qu’il referme la porte à clé. Je
suis debout près de lui, je bande, et il se jette sur mon morceau pour
l’engloutir. Il me turlute comme un pro, me fait beaucoup de bien, et je me
recule pour me libérer. Il semble étonné:
— Tu n’aimes
pas?
— Si, au
contraire, mais je suis trop excité. Tu vas me faire jouir si tu continues.
— Mais
j’espère bien, j’ai envie de ton sperme. Viens, donne moi tout.
Il me
rapproche de lui, et reprend sa délicieuse pipe. Il me suce goulûment,
m’empêche de me retirer, avec la ferme intention de me faire éjaculer en lui.
C’est ce qui se produit, et je décharge inévitablement. Il me garde en lui,
avale tout jusqu’à la dernière goutte. Il se recule, se lèche les babines, et
je le complimente:
— Merci, on
m’a rarement aussi bien pompé. Excuse moi de n’avoir pas été plus endurant.
— Ne t’en
fais pas, c’est moi qui te remercie. J’adore le sperme, et tu m’as super bien
servi. Et toi, tu aimes?
— Oui,
j’adore, comme toi. Laisse moi faire, je vais te soulager à mon tour.
Je
m’accroupis à nouveau, et lui offre une bonne fellation comme je sais si bien
les faire. Je le suce quelques minutes, sans me lasser, j’aime trop les longues
pipes. Il finit par succomber; et se vide dans ma bouche; j’avale tout.
On échange
quelques mots, on a l’intention de rester encore, et on se propose de remettre
ça dans un moment, après avoir repris des forces.
Je ressors
de la cabine, il y reste et referme. Je refais un tour des salles, il y a
quelques clients de plus, mais pas des masses. Je m’installe devant un écran
télé, et zappe sur la télé commande pour retrouver le film de la transsexuelle.
Elle est vraiment trop belle, avec un calibre incroyable qui me donne envie. Je
repars faire un tour dans les couloirs; bingo!
Il y a un
salon ouvert, sans porte, avec un grand lit, et un mec allongé dessus. Il a la
cinquantaine, a enlevé le bas, a les jambes pendantes, écartées, et s’astique
le manche, un beau manche superbement dressé. J’entre, m’assied sur le lit, et
me penche sur lui. Je ne fais qu’une bouchée de son chibre, en gorge profonde,
et il me caresse la tête pour m’encourager à continuer. Je le suce, tout en
surveillant les passages dans le couloir. Si beaucoup d’hommes sucent en
secret, dans des pièces fermées, dans le noir, moi c’est le contraire: j’adore
que l’on me regarde, au grand jour, je suis une salope et je veux que ça se sache.
Quelques clients jettent un coup d’il, et je m’applique à me montrer, qu’ils
n’aient aucun doute sur ce que je fais. Ils s’en vont vite fait, jusqu’à ce
qu’il y en ait enfin un plus intéressé que les autres.
Il franchit
le seuil, ouvre sa braguette, sort son manche et se caresse. Je le fixe dans
les yeux, sans cesser de sucer, et lui fais signe d’approcher. C’est un vieux
lui aussi, entre cinquante et soixante,
il est devant moi, et j’abandonne la queue dont je me sers pour m’occuper de la
sienne. Je le pompe quelques secondes, puis me recule pour défaire son pantalon
et le baisser, ainsi que son dessous. Il est beau ce salaud (c’est vrai que
dans l’état où je suis, je trouve tous les mâles beaux), il a un très joli gland,
une belle colonne, et des grosses couilles pendantes. Je me rejette sur son
sexe, bouffe tout son paquet, bite et boules, caresse ses fesses, ses cuisses.
Je me recule à nouveau pour reprendre mon premier mec. Il est bien monté lui
aussi, bien couillus, et je passe de l’un à l’autre pour les satisfaire tous
les deux. Je turlute celui qui est debout et il me demande si je pompe à fonds.
Je réponds oui, il me maintient contre lui, sa queue entièrement enfoncée, et
il jouit tout ce qu’il peut, en grognant de plaisir. Il m’offre une grande
quantité de foutre directement dans la gorge, sans que je n’ai malheureusement
pas pu le savourer dans ma bouche. Il s’est soulagé, et s’en va.
Je me
repenche sur le mec allongé et qui n’a rien perdu de la scène:
— Tu l’as
fait jouir?
— Oui, et il
en avait besoin.
— Tu as
avalé?
— Oui, il ne
m’a pas laissé le choix, mais en plus j’aime bouffer du sperme.
— Et moi, tu
vas me vider les couilles?
— J’espère
bien, elles ont l’air bien pleines, ça me donne envie.
— Ok salope,
je vais te servir, mais d’abord suce moi bien. Ensuite tu auras ta récompense.
Je le suce
voracement, longuement, et finis par avoir raison de sa queue. Il me prévient
pour que je ne sois pas surpris, et je m’applique à tout prendre. Il ne me
maintient pas la tête comme l’autre salaud, me laisse faire à ma guise, et je me
régale à collectionner ses nombreuses giclées abondantes. J’ai la bouche pleine
de sa sauce et je continue à sucer sans avaler pour savourer son jus délicieux.
Je finis enfin par tout engloutir et je m’en vais.
Je suis à
nouveau devant les cabines. Je jette un coup d’il au film de la cabine vide,
c’est toujours la transsexuelle. Son gaillard de partenaire est à poil,
installé dans un siège de gynécologue, cuisses écartées, et elle l’encule
vaillamment. C’est trop bon, j’ai encore envie d’une queue.
Mon premier
mec a rouvert sa cabine, et rebande. J’y entre, me baisse pour une fellation,
mais il ne m’en laisse pas le temps:
— Tu baises?
— Oui, et je
me fais baiser. Je suis actif et passif.
— Moi aussi.
Viens, on va aller dans une autre salle.
A suivre…