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Estelle, l'amie de ma mère – Chapitre 2

Estelle, l'amie de ma mère - Chapitre 2



Les jours qui suivirent ce déjeuner, je ne pouvais m’empêcher de repenser à cet instant magique, presque irréel avec Estelle. Pourtant, je n’osais pas la rappeler, qu’est-ce que je pouvais bien lui dire ? Après quelques jours, je me décidais tout de mémé à l’appeler, l’envie de la revoir se faisait trop forte. Il fallait absolument que je sente à nouveau sa peau sous mes doigts, ses lèvres contre les miennes, ses pieds si parfaits glisser sur moi, et par-dessus tout, je mourrais d’envie de pouvoir enfin goûter ce minou brillant de mouille que j’avais pu voir… En entendant la tonalité d’attente, je pouvais sentir mon cur battre la chamade, j’avais rarement senti un stress si intense.

— Allô ?

— Oui euh… Bonjour Estelle, c’est Julien.

— Oh Julien, ça me fait plaisir, comment vas-tu ?

— Je vais bien merci, et toi ?

— Pas mal de boulot en ce moment, mais ça va. Je commençais m’inquiéter, j’avais peur que tu ne me rappelles pas.

— Je suis désolé, c’est juste que je ne savais pas vraiment quoi dire après ce qu’il s’est passé.

— Tu n’as rien de particulier à dire, le fait que tu m’appelles en dit suffisamment. Enfin à condition que tu aies envie de me revoir ?

— Bien sûr que j’ai envie de te revoir Estelle, j’en meurs d’envie.

— Parfait, dans ce cas, je te propose de venir à la maison vendredi soir, Eric, est en déplacement cette semaine, il ne revient que lundi, on aura tout le weekend pour nous.

— C’est parfait, j’ai hâte d’y être.

— Hmm moi aussi julien, moi aussi. Je te laisse je dois retourner travailler, je t’envoie mon adresse par SMS. Je t’embrasse, à vendredi.

— À vendredi, Estelle.

Mon cur battait toujours aussi vite et tambourinait dans ma poitrine. J’allais pouvoir retrouver Estelle, MON Estelle, enfin… Pour le weekend au moins. Les jours qui me séparaient de vendredi, et donc d’Estelle, n’en finirent pas de s’éterniser. Mais quand enfin vendredi arriva je sentis comme un soulagement. J’arrivais enfin chez Estelle, après une semaine interminable. Je sonnais, impatient de retrouver ma belle rousse. La porte s’ouvrit et la je fus pris d’un choc, elle était tellement belle, ses longs cheveux bouclés retombaient sur ses épaules nues cachant les fines bretelles qui retenaient une robe blanche au-dessus du genou qui épousait parfaitement ses formes. Et bien sûr, une paire de sandales à talons, blanche également, avec une fine lanière enroulée autour de ses chevilles délicates. Ses pieds étaient magnifiques, ses orteils vernis de rouge vif, assorti aux ongles de ses mains. Je restai bouche bée devant elle, tellement belle et désirable.

— Eh bien, on dirait que ma tenue fait son petit effet.

— Désolé, je ne voulais pas te fixer comme ça, mais… WOW, tu es vraiment sublime.

— Merci, viens entre.

Je passais près d’elle et je sentis son parfum, toujours aussi enivrant. Elle referma la porte puis se tourna vers moi pour m’embrasser. Ses lèvres se posèrent tendrement sur les miennes, en passant ses bras autour de mon cou. Ne m’y attendant pas, je fus un peu pris au dépourvu, mais je passai également mes bras autour d’elle, et répondit à son baiser. Nos lèvres s’ouvrirent pour laisse nos langues se retrouver. Je pouvais déjà sentir mon sexe se réveiller dans mon jean, et, son bassin collé au mien, Estelle ne pouvait pas l’ignorer. Elle s’écarta doucement, séparant nos lèvres.

— Je vois que tu es déjà bien en forme, mais viens, on va boire un verre d’abord, on a tout notre temps.

Je la suivis dans le salon, et je vis une bouteille de vin et deux verres sur la table.

— Installe-toi, je me disais qu’on pourrait discuter un peu avant.

— Oui bien sûr avec plaisir.

On s’installa dans le canapé, et en s’asseyant, la robe d’Estelle remonta un peu sur ses cuisses. Et encore un peu plus quand elle croisa les jambes. On commença à boire tranquillement nos verres, mon regard se posait sans arrêt sur ses pieds et ses jambes.

— Tu les aimes vraiment hein ? Mes jambes.

— Oui, j’adore Estelle, j’ai toujours fantasmé sur les jambes et les pieds des femmes. En particulier chez les femmes plus âgées.

— Et tu as déjà eu des aventures avec des femmes de mon âge ? En disant ça elle commença à jouer avec son pied, à le tendre, le faire bouger doucement.

— Non jamais, tu es la première Estelle.

— Hmm ça me plait, j’espère être à la hauteur de ton fantasme alors.

— Oh mais je te rassure, tu as déjà largement dépassé tout ce que je pouvais imaginer.

— Petit flatteur. Au fait, je te vois loucher dessus depuis tout à l’heure, ils te plaisent mes talons hauts ?

— Oui beaucoup ils sont très jolis, très sexy

— Ça me fait plaisir, je les ai achetés exprès pour aujourd’hui.

— Pour tout te dire, je meurs d’envie de venir caresser et embrasser tes pieds depuis que je suis arrivé.

— Et bien, je dois t’avouer que c’est justement l’effet que je recherchais en achetant ces talons-là

Elle fit glisser sa main de ses orteils jusqu’en haut de sa cuisse, lentement en tendant la jambe devant elle. Elle dégageait un érotisme fou. Ne tenant plus, je vins m’agenouiller devant elle en saisissant délicatement sa jambe. Je déposai des baisers sur sa cheville puis je fis glisser ma langue sur son pied. Je me délectai de cette uvre d’art qu’était son pied, si délicat, sensuel. Je fis passer ma langue sur ses orteils et là je commençai à entendre la respiration d’Estelle s’accélérer. Je détachai la lanière autour de sa cheville pour libérer son pied, afin de pouvoir vraiment m’occuper de lui. Je le caressai, l’embrassai, faisant glisser ma langue sur la plante, de son talon à ses orteils. Ma langue parcourrait sa peau douce, s’insinuant entre ses orteils. Mon érection n’avait jamais été aussi forte. Les gémissements d’Estelle se faisaient plus forts et plus rapprochés et je vis sa main descendre entre ses cuisses, ce qui me permit de constater qu’elle n’avait pas pris la peine de mettre de dessous.

Elle commença à caresser son minou, glissant ses doigts le long de sa fente ouverte. Je délaissai son pied gauche pour venir m’occuper du droit, le libérant également de sa prison de cuir blanche. Je lui fis subir le même traitement qu’à l’autre, en le léchant doucement. Je sentis le pied libre d’Estelle venir frotter contre la bosse de mon jean, comme si elle essayait de la saisir avec ses orteils. Elle caressait toujours sa chatte qui devenait de plus en plus mouillée.

— J’ai trop envie de te goûter Estelle.

— Hmm oui, viens, lèche-moi, dévore-moi.

Je laissai donc ses pieds, pour venir m’occuper de son minou trempé. Je commençai par faire glisser ma langue le long de sa fente, récupérant son jus d’amour. Hmm qu’elle était délicieuse. Je donnai des coups de langue sur son mont de vénus, ce qui lui arracha des gémissements de plus en plus fort. Elle avait ses pieds dans mon dos, m’attirant contre elle, et ses mains sur ma tête, comme pour me garder à tout prix contre son sexe. Je libérai son clitoris, l’aspirai dans ma bouche, en le pinçant doucement entre mes lèvres.

— Ohhhh oui, oui, continue ohh oui, ohh c’est bon Julien.

Encouragé par les gémissements de mon amante, j’enfonçai un doigt, puis un second en elle, en m’occupant toujours de son petit bouton. Je fis tourner mon majeur et mon index dans son vagin, pendant que mon pouce caressai sa fente, comme si je pinçais son minou entre mes doigts. En donnant un coup de langue sur son clitoris, je sentis son vagin se contracter sur mes doigts. Elle poussa un cri, qui raisonna dans le salon, et inonda mon visage de son jus. Je libérai son clitoris, et retirai doucement mes doigts. Elle prit mon visage entre ses mains et m’attira contre elle pour m’embrasser, partageant ainsi sa mouille. Nos langues se trouvèrent tout de suite, se mirent à tourner ensemble, alors qu’Estelle commençait à déboutonner mon jean.

— Viens, je veux te sentir en moi.

Mon jean, ainsi que mon boxer se retrouvèrent très vite au sol, suivi de la robe d’Estelle, et de ma chemise. Tous les deux nus, l’un contre l’autre, à s’embrasser, mon sexe tendu frottant contre sa chatte. Estelle me fit basculer sur le côté et vint se placer sur moi. Elle se laissa tomber et s’empala sur moi.

— Hmmm ohhhh oui, tu me remplis bien.

— Ohh Estelle c’est tellement bon.

Elle donna la cadence en bougeant sur mon sexe, m’offrant ses seins à dévorer. Je les embrassai, jouant avec ses tétons durcis. Je laissai mes mains parcourir son corps, glisser sur sa peau douce. Elle allait de plus en plus vite en gémissant. Puis, au bout de plusieurs minutes, elle s’écarta et s’appuya contre le canapé m’invitant à venir la prendre en levrette. Je me plaçai derrière elle et m’enfonçai d’un seul coup, bien planté au fond de son vagin. Après plusieurs minutes de ce traitement, je sentis la jouissance arriver.

— Ohh Estelle, hmmm je vais jouir.

— Oui, oui vide-toi en moi, je veux te sentir exploser dans mon ventre.

Je me vidai donc en elle, en continuant d’aller et venir. Ma jouissance déclencha la sienne et elle poussa à nouveau un cri de plaisir. Estelle vint se lover contre moi dans le canapé, toujours nus. Je profitais encore de son corps si magnifique.

Pendant le Week-end on remit ça de nombreuses fois, vivant presque nus, ou alors juste en talons hauts pour Estelle…

Voilà j’espère vous aurez apprécié cette histoire. J’ai essayé de retranscrire le mieux possible cette expérience qui reste à jamais gravée dans ma mémoire. Si j’ai le temps et aussi l’inspiration, j’essaierais d’écrire des suites fantasmées avec Estelle.

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