Jeune homme étudiant de 25 ans, j’effectuais un stage dans une grande entreprise sur Paris. Je tiens à préciser que jusque là je n’avais jamais eu d’expériences gays ou hard, mais que j’y pensais souvent en me masturbant ou en me godant, et celà m’exitait beaucoup. Un jour que j’allais au toilettes et que je me mettais devant l’urinoire, j’ai surpris sans trop le vouloir un homme d’age mûr en train de faire semblant de pisser, et qui prenait du plaisir à se branler. L’homme remarqua vite que je le matais.
— Hey, je vois que ça te laisse pas indifférent de me voir me branler la bite, t’as la queue qui commence à se raidir.
— Excusez-moi, dis je complètement honteux.
— Non t’inquiète pas ça me fait plaisir. Vu que tu as l’air d’aimer ma bite, ça te direr de la sucer.
— On risque de nous voir, me surpris je à dire.
— T’as qu’à rentrer dans les chiottes pour handicapés, y’a toute la place dont on aura besoin.
Pour me motiver un peu, l’homme dans la cinquantaine s’approcha et pris ma queue dans sa main. Très vite je me mis à bander dur, et accepta sa proposition.
A peine on s’enferma à clef, qu’il mis ses mains sur mes épaules pour me faire comprendre que je devais me mettre à genou. Voyant cette belle bite devant moi, comme par réflexe, je l’a pris en bouche et me mit à la sucer de plus en plus goulument.
— Hmm tu suces comme une vraie chiennasse toi. Dis moi sale pute, ça te dirait que je t’encule ?
— Je suis pas sûr, je n’ai jamais…
Je n’eu même pas le temps de finir ma phrase qu’il m’aida à me relever et baissa mon pantalon ainsi que mon boxer en quelques secondes.
— Regarde moi cette trique et ce cul, tu n’attends que ça.
L’homme me mit à quatre pattes, cracha dans sa main un gros molard, qu’il foura dans mon cul pour me lubrifier. Il poussa ensuite son gland contre mon anus, forçant rapidement l’entrée. J’étais super exité, j’avais l’impression de vivre un rêve.
— Ca te plait de te faire ramoner par un vieux pervers comme moi, hein salope ?
— Je suis ta pute, défonce moi, répondis je sur le coup de l’émotion.
L’homme dû sentir que sa queue touchait de la matière et me dit.
— J’en connais hein qui va me nettoyer la bite, allé vaz-y tu vas te régaler j’en suis sûr.
Le vieil homme sorti sa bite de mon cul qui resta un moment bien dilaté, puis se positionna devant moi qui était toujours en levrette. Sa bite était plein de ma merde, et bien que réticent au début, je pris mon pied à lui nettoyer la bite comme il fallait. L’homme sur-exité par cette scène lâcha son foutre dans ma bouche, un sperme bien chaud et plutôt abondant, différent de mon sperme que j’avalais souvent. J’avala le plus possible de son sperme, et alors que j’allais retirer sa queue de ma bouche, il me dit que c’était pas fini.
— J’ai encore envie de quelque chose ma cochonne, attends encore un peu, je sens que ça vient.
En effet, peu de temps après je sentis un autre liquide chaud et très fluide qui dégoulinait sur ma langue puis ma gorge. Le vieux pervers se soulager dans ma bouche, il me pissait dedans comme si j’étais un urinoire. Ne pouvant pas tout avaler tellement il y en avait trop, une bonne partie de sa pisse sortait de ma bouche.
— Ne gache pas ça ! Attend je vais remplir ton cul de ma pisse puisque je n’ai pas giglé dedans.
Bien qu’il ne bandait plus trop, il parvint à fourrer sa bite dans mon cul en m’écartant l’anus avec ses mains, puis il finit de se vider.
— Toi, t’es vraie salope, je t’adore. Tu restes ici longtemps ?
— J’ai encore trois de stage à faire.
— Je sens qu’on va être amener à sa revoir alors.