Clara fait une nouvelle pose, boit, mange des gâteaux à apéro, reprend son souffle. Elle reprend
— Bien sur ce qui devait arriver arriva, le couple est revenu, ils ont regardé, lui s’est mis entre mes jambes et m’a prise sans ménagement. Elle s’est mise à califourchon sur mon visage et je l’ai léchée, c’est à ce moment-là que j’ai joui. Tout le reste des vacances s’est passé ainsi, tout le monde m’utilisait comme bon lui semble. Tu veux que je te dise Claudie. Oui, je suis une vide couille, oui, j’aime sucer des bites et lécher des chattes, oui j’aime être enculée. Oui, je suis une chienne en rut et j’adore cela
— Depuis notre vie a changé, continue Kevin et en mieux. Raconte quand tu as été faire les courses hier.
Clara a un grand sourire, fait un bisou à Kevin
— Hier, je suis allée faire les courses dans le centre commercial. Kevin n’est pas venu, il devait avoir une vidéo de cul à regarder, je suppose. Il adore regarder ce genre de vidéos. J’avais mis une robe très décolletée et qui m’arrive à mi-cuisse. J’ai mis un foulard ainsi les tatouages sont cachés. Je trainais dans la galerie marchande quand j’ai vu cinq jeunes qui mataient les filles. Ils avaient la vingtaine et étaient bien foutus. Quand je suis passée devant eux, j’ai vu qu’ils me regardaient avec insistance. Alors, j’ai fait semblant de regarder une vitrine, j’ai enlevé mon foulard et je suis repassée devant eux en marchand doucement sans les regarder. J’ai entendu des rires, et un gars qui disait aux autres, tu as vu ce qui est marqué, suce-bite. A ces mots, je me suis retournée en leur adressant mon plus beau sourire. Bien sûr, ils ont pris cela comme une invitation et m’ont suivie. Dans la galerie marchande, il y a un couloir ou personne ne passe, c’est là que je me suis dirigée.
Clara fait une pause, nous regarde pour voir si on est attentif, regarde Kevin, lui fait un grand sourire et reprend son récit
-Ils étaient là tous les cinq, alors je me suis mise à genoux, j’ai ouvert la braguette du premier , j’ai sorti son sexe et j’ai commencé à la sucer. Il y en a un qui faisait le guet pendant que je m’occupais des autres. J’ai sucé les cinq bites et je suis certaine qu’il y avait des puceaux parmi eux. Une fois que j’ai sucé le dernier, je me suis relevée, avalée le sperme, remis mon foulard, je leur ai dit au revoir et je suis partie. Je me suis dirigée vers la grande surface et là, le mec de la sécurité, un grand black, m’a ordonnée de le suivre. Il m’a emmenée au PC de sécurité. Son chef, un mec de 60 ans, gros, dégarni, puant la sueur, me montra les écrans et m’expliqua que la galerie marchande est pleine de caméra. Sur un écran, Je reconnais le couloir et je compris qu’il m’avait vue. Il me demanda si j’étais mariée, je lui répondis par l’affirmative. Il sourit et dit qu’il allait être obligé de prévenir mon mari si je ne le suçais pas. Je l’ai regardé et j’ai éclaté de rire. Je lui ai dit que bien sûr j’allais le sucer mais en plus, je voulais être prise par le black en même temps et surtout, que cela soit filmé et envoyé à mon mari. Sur ses paroles, j’ai enlevé mon string, je me suis penchée, jambes écartées et bien droites, j’ai ouvert le pantalon du vieux, sorti le sexe et j’ai commençé à le sucer. Il puait vraiment, il ne devait pas savoir ce que c’était que de se laver. J’ai senti deux mains sur mes fesses et un sexe contre ma fente. La queue a commencé à s’enfoncer difficilement en moi tellement elle était grosse. Une fois bien rentrée, il a commencé à me pilonner. Le gros a éjaculé très vite et le noir continuait. Non seulement, il avait une grosse queue mais en plus, il était endurant. C’était trop bon. J’ai pris un pied d’enfer. Le gros a envoyé le film à Kévin. Je suis partie en leur laissant mon string comme trophée.
Clara nous regarde, sirote son porto, elle sourit. Elle est heureuse.
-Quand j’ai reçu la vidéo, dit Kevin, je lai ouverte. J’ai vu ma femme et j’ai bandé immédiatement. Je lui ai envoyée un sms en lui disant de rentrer le plus rapidement possible pour que je la baise.
— Maintenant, j’ai envie de leur dire merci à ce couple de m’avoir fait découvrir qui j’étais. Un grand merci et, franchement, des fois, la nuit, je repense à ce week-end et cela m’excite et je me branle comme la chienne en rut que je suis. Bon, il faut que nous allions voir mes parents, j’ai un petit truc à leur dire et je suis sûre que ma mère va adorer, dit Clara en souriant. Je suis certaine qu’elle va être un peu jalouse. Les chiens ne font pas des chats comme on dit. Je tiens de ma mère. Elle s’est faîte tout le village homme et femme confondus. J’ai eu des bonnes à l’école grâce à elle. Elle s’est tapée l’institutrice. Au collège, pour mon inscription, elle avait une jupe ultra courte et un décolleté très plongeant, le principal l’a appelé dans son bureau. Chaque trimestre, elle allait voir le principal. Je vous laisse imaginer ce qu’elle y faisait. Vous voyez de qui je tiens, je m’amuse. J’adore faire l’amour mais ce que j’ai découvert avec ce couple, c’est que j’adore par-dessus tout, c’est de ne rien contrôler, que cela me soit imposé. Rien que d’y penser, cela me fait mouiller.
Clara et Kevin se lèvent. Elle vient nous dire au revoir. Je vois son regard, elle a le regard d’une chienne en rut. Je lui dis au revoir avec un grand sourire et lui mets une petite claque sur les fesses. Elle fait la bise à Abba qui, sans en avoir l’air, passe sa main sur la cuisse et laisse cinq belles griffures. Clara ne dit rien, sourit à Abba. Le couple s’en va.