Quelques jours plus tard, ma prof ne m’avait toujours pas recontacté. J’étais vraiment en manque, tout particulièrement de soumission. J’avais envie, et même besoin de me mettre à genoux devant elle afin de lui obéir et de faire tout ce dont elle avait envie. J’étais aussi devenu accro en seulement deux expériences au sexe entre hommes ! Sentir un mec rentrer sa queue au plus profond de moi et me donner autant de plaisir avait été une découverte formidable que jamais je n’aurais soupçonnée.
C’est perdu dans ces pensées que je tentais tant bien que mal de réviser mes cours un soir, tard à l’école. Après un rapide passage aux toilettes, je suis revenu dans la petite salle prévue à cet effet, toujours rêveur. C’est seulement en tirant ma chaise que je me suis aperçu que deux filles s’étaient immiscées dans le box. Et qu’il s’agissait d’Hélène et Anaïs, ces deux sublimes créatures qui avaient pris un malin plaisir à m’humilier avec ma prof.
— Alors la petite chienne, ça va ? Prête à nous servir de nouveau ?
— HAHA la dernière fois on n’a pas pu faire tout ce qu’on voulait avec toi, mais aujourd’hui on est seuls tous les trois et on compte bien abuser de toi sans aucune limite.
Non mais qu’est-ce qu’elles croyaient ? Que j’étais à la disposition de n’importe qui ?
— Vous rêvez les filles, je ne suis pas votre jouet et…
Même pas le temps de finir ma phrase que je reçus un violent coup de pied dans les côtes de la part d’Anaïs. Vu l’efficacité, je me suis dit qu’elle devait pratiquer un sport de combat. J’eus le souffle coupé et ne put m’empêcher de finir à genoux, tentant de me remettre de la violence du choc.
— Tu la fermes et t’écoutes bien ! Tu parles quand on te le dit et t’obéis bien sagement, pigé ? Sinon je recommence. En plus, Hélène a bien filmé la branlée que je viens de te mettre, et je ne suis pas sûr que tu veux que toute l’école soit au courant. Je peux très bien rajouter que j’y aie été contrainte car tu voulais abuser de nous !
C’est les larmes aux yeux que je me suis gardé de lui répondre, et pourtant j’en avais envie. Je ne voulais pas leur obéir, c’est à ma prof et uniquement à elle que je voulais être soumis. Mais à nouveau, je crois que j’étais contraint à faire ce que l’on me demandait. Passé 19h un vendredi soir, personne ne viendrait m’aider car l’école était probablement vide.
— Maintenant à poil, et vite !
Je me suis exécuté rapidement, et bien que la situation ne me plaise pas, mon corps disait le contraire et je ne réussis pas à cacher l’érection qui s’était formée.
— Mais regarde le ce pervers, il kiffe ça ! T’inquiète, tu vas être servi ! A genoux salope !
Le ton ferme et directif d’Anaïs ne laissa place à aucune hésitation. Je me suis donc mis à genoux pendant qu’elles se sont assises sur la table, se déchaussant et m’obligeant une fois de plus à nettoyer leurs pieds. Mon fétichisme ne mentait pas, j’adorais, mais les odeurs émanant de ces derniers, résultant d’une journée toute entière à marcher, bouger etc… me répugnaient un peu. Mais contraint et forcé, je me suis exécuté. J’ai commencé par ceux d’Hélène, très blancs et vernis de rouge. Ils étaient plutôt agréables à regarder, et je me suis appliqué à lui lécher la plante des pieds, puis à lui sucer les orteils un par un avec envie. Je suis ensuite passé à ceux d’Hélène, plus bronzés et vernis d’un bleu éclatant, ils étaient magnifiques. Je pris un plaisir tout particulier et non dissimilé à déguster chaque recoin de ses magnifiques petits pieds. J’aurais pu faire cela pendant des heures, mais son ton directeur se fit bientôt entendre :
— Allez, à poil maintenant. Voilà bien, allez, maintenant fais-nous bien jouir avec ta langue de petite chienne !
Toujours à quatre pattes, je les ai regardées se mettre dans la même position, entièrement nues, m’offrant chacune leurs deux trous merveilleusement beaux. Je me suis ainsi appliqué à faire ce qu’elle m’avait demandé, en léchant tous leurs trous les uns après les autres, avec un appétit féroce. Leurs gémissements m’encourageaient. Je m’appliquais tout particulièrement sur leurs culs, espérant avoir la chance de les prendre par-là peu après. Au bout de plusieurs minutes, ma langue commençait à fatiguer. Hélène finit par jouir une deuxième fois, et je dus mettre toute mon application et mes doigts dans la petite chatte d’Anaïs pour finir par lui arracher un long râle de plaisir.
— Hmm merci salope, c’était superbe. Maintenant… à nous de nous occuper de toi.
J’étais ravi, finalement ce n’était pas si terrible. Mais rapidement, un nouveau coup de pied vint me percuter sur les mêmes côtes qu’il y a quelques minutes, et je me suis à nouveau retrouvé au sol. Hélène, qui était passée derrière moi, me passa rapidement une paire de menottes au poignet. Mains dans le dos, je laisser échapper quelques larmes de douleurs. Anaïs me poussa avec son pied, et je finis par atterrir sur le dos, les mains bloquées sous moi. Elle me passa des menottes aux chevilles également et me fit lever les jambes, qu’Hélène attrapa afin de me les maintenir en l’air.
— Maintenant tu vas douiller ma grande, je vais m’occuper de ton cul comme jamais on ne s’en occupera plus après ça.
J’avais peur, vraiment. Autant j’avais pris beaucoup de plaisir à me faire enculer par Serge et le père de ma prof, autant cette fois j’appréhendais vraiment la suite.
Anaïs fila vers son sac et en sortit tout un tas de différents objets : des plugs, des godes, des boules etc… Le tout en plusieurs exemplaires, se différenciant par leur couleur et leur taille. Elle revint rapidement :
— Je vais pas te mentir, pouvoir user d’une lope comme toi à ma guise j’en rêve depuis très longtemps, alors je vais prendre mon temps comme il faut… C’est moi qui commande, mais Hélène est aussi libre de faire tout ce qui lui passera par la tête. Et crois-moi, c’est une sacrée cochonne aussi.
Je l’ignorais encore même si je commençais à comprendre… J’allais passer un long moment dans ce box, attaché, et offert aux perversions de ces deux créatures.