Il est temps pour moi, après toutes ces histoires lues, de relater une de mes expériences.
Ce fut il y a quelques années, j’avais 21ans, étudiant dans une petite ville du Sud de la France. Des jours faits de cours, sport et fêtes avec les amis. Mon appart est un T1 mais assez spacieux, haut de plafond avec une mezzanine.
Un jour je reçois la visite d’une amie d’enfance, Katie. Je ne l’avais pas vu depuis plus de 5 ans. Une petite brune chevelure ondulée, d’environ 1 m 60, fine, très douce et très féminine. On était très proche, très tactile, on a bien tenté une fois de se mettre ensemble mais nous n’arrivions pas, bien meilleure était notre amitié.
Je vais à sa recherche à la gare, elle se jette à mon cou, je l’amène chez moi pour une semaine.
Nous passons 2 jours vraiment sympa, à discuter, se balader, faire des sorties.enfin les années à rattraper.
Elle avait les clefs de chez moi quand j’étais en cours ou au sport, me préparait à manger, on aurait dit une colocation momentanée.
Chapitre 1- le coup de chaud d’un mec bien
Un soir je rentre du sport, fatigué mais je me sens bien, elle est sur le canapé et discute avec 2 amis qui étaient passés. Pour m’accueillir, elle se jette sur moi, les bras autour de mon cou et les jambes autour des hanches, je remarque mes amis aussi stupéfait que moi, un sourire m’échappe.
Je n’en suis pas sûr, mais nous sommes probablement sortis boire des coups dans la soirée.
Apres avoir quittés nos acolytes de la soirée, nous rentrons prendre un dernier verre et discuter un peu, un verre de vin chacun, dans mon grand canapé rouge, nous jouons à ce jeu de séduction entre nous, sans en être vraiment un. Finalement nous allons nous coucher tel 2 anciens colocs.
Comme tous les soirs nous dormons dans le même lit de la mezzanine. Quelques câlins comme d’habitude, quelques caresses, je demande un massage, que je reçois, puis elle se blottit contre moi pour dormir.
Pas encore totalement endormi, pas vraiment réveillé, je me surpris de sentir que ma main était au contact de sa peau, sur son ventre nu, car son haut s’arrête au nombril.
Presque inconscient ma main glisse de haut en bas du ventre, elle est sur son côté gauche, comme moi, collé derrière elle
Je me suis dit à cette instant « j’irai bien palper plus haut avec la main, de tout façon elle dort », (tout homme aurait pensé ça).
Arrivant au soutien-gorge je l’entends dans un souffle « non, qu’est-ce que tu fais ? »
— Rien rien, lui dis-je en tentant l’expédition vers le bas
Ma main glisse le long de son ventre, passe sous sa culotte. Mais avant d’arriver au Graal, elle m’attrape la main. J’ai juste eu le temps de sentir un léger gonflement et quelle devait avoir un petit minou avec de petites lèvres.
« Ca va pas ? Qu’est-ce que tu fais ? » En me sortant la main du boxer.
-« Non mais laisse-moi faire » alors que mes mains sous son haut se partagent le travail, une dégrafe le soutien alors que l’autre masse le dos, pour faire croire que ce serait pour un massage.
Toujours tourné et le dos face à moi, bizarrement elle me laisse faire, elle ne doit pas être bien réveillé
Je sens que mon membre a grossit je le décolle un peu de ses fesses par pudeur.
L’heure était venu de l’excité plus, de profiter qu’elle soit dans un demi somme pour la chauffer, et aussi du fait qu’elle n’a plus de soutien-gorge.
J’approche une main et empoigne un de ses seins
(Oh non ce n’est pas possible !!!)
Le sein parfait, ni trop grand, ni trop petit, qui tient dans la main et parfaitement ferme
Je fonds à peine de commence à palper ce magnifique sein sous son t-shirt
« Arrêtes !! Tu as oublié ce que je t’avais dit ? Je suis en couple !! »
Oui c’est vrai, à ce moment-là j’avais oublié (de le mentionner dans ce texte aussi), mais après tout, après autant d’excitation, pas le moment de reculer pour une question d’éducation.
« Ça va !! Laisse toi faire, ça reste entre nous, on s’amuse un peu » je lui affirme, en me plaquant contre elle, une main sur le sein et l’autre qui s’empresse de descendre sur son clitoris.
J’ai dû rougir immédiatement, des petites lèvres parfaitement épiler aux alentours. J’aurais dit qu’elle était vierge si je ne la connaissais pas, mais ce n’était pas le cas. Ma bite dure comme de la roche frotte ses fesses à travers nos habits.
A peine mes doigts virevoltent un peu sur son clito et massent l’entrée de ses lèvres, qu’elle m’arrête.
« ARRETE !!! J’ai dit non » D’une voix assez ferme et sûr d’elle, mais assurément bien réveillé
Là j’ai compris qu’elle ne voulait vraiment pas, alors par éducation j’ai retiré mes mains.
Je ne voulais pas la forcer, seulement certains « non » sont des « oui » chez les femmes je me pose des millions de questionspourquoi m’avait-elle laissé faire si elle n’est pas d’accord ? Pourquoi dormir collé tous les soirs dans le même lit ? Elle m’a laissé me chauffer pour rien (toutes genres de questions pour lesquelles j’ai les réponses maintenant)
Elle a senti au silence que quelque chose n’allait pas, et elle en était gênée aussi.
« Ecoute Mathias, je ne peux pas, je sais que tu aurais souhaité aller plus loin, mais là en plus je suis en couple »
— Non ça va, ce n’est pas grave, je pensais que .
— En plus tu m’as excité, mon entre-jambe est mouillé
Je ne réponds pas, elle ne s’est même pas retournée pour me dire tout ça
Elle culpabilisait toujours, alors je sentis sa main caresser mon membre par-dessus le caleçon
« Si tu veux je te branle pour calmer ton envie » alors que sa main passe sous mon caleçon pour empoigner ma queue et commence à la branler de haut en bas. « oh !! Elle est grosse »
Je sens ses petits doigts sur mon membre, elle arrive à peine à cercler ma bite. Je la laisse faire quelques va et viens, car je suis très excité .Mais trop fierté, je lui dis « arrête-toi c’est bon ce n’est pas la peine »
Elle s’arrête, puis j’ajoute « ou alors tu me suces, là ok ». Nous rigolons tous les deux, avant de s’endormir
A charge de revanche pour moi.