CHAPITRE V – AMIS SERVIABLES
La souillure des godes de mon voisin est effacée de mon corps. Je suis dans ma sortie de bain, allongée sur le canapé à regarder la télé.
1 heure après, Jacques débarque. Bien sûr il n’est pas seul.
Il y a avec lui Rémy, Laurent, Sylvain un autre copain et un mec que je ne connais pas. Un mec hyper canon.
Automatiquement je rougis. Rémy et Laurent connaissent mon secret et je suis à peu près sûre que Sylvain et l’autre mec sont au courant.
Jacques me dit :
— Allez on va au resto !
Comme je suis encore en sortie de bain je dis :
— D’accord, je vais m’habiller !
Je suis hyper énervé car s’il y a bien une chose que ne veux pas faire c’est d’aller au resto avec Laurent et Rémy. Je sens qu’il va y avoir plus de sous entendu toute la soirée et je n’aime pas ça !
Alors, rien que pour faire chier Jacques, je mets une jupe hyper courte et flottante et le chemisier aux boutons arrachés que j’avais lorsque Laurent est venu manger.
Comme ça, on voit presque mon minou et mes seins quasiment en totalité.
Je sors fièrement de la chambre en disant :
— C’est bon on peut y aller !
Jacques fais la gueule et dis :
— Tu ne vas pas sortir comme ça !
Moi, avec assurance :
— Pourquoi !
Et en m’adressant à nos copains :
— Ca vous dérange les garçons ?
Ils sont très gênés mais à l’unisson ils répondent que non !
Nous partons donc.
Je monte dans la voiture de Jacques et les 4 autres garçons prennent celle du mec canon que je ne connais pas.
Je demande à Jacques :
— Qui c’est le mec que je ne connais pas ?
Jacques :
— Oh un copain à Sylvain ! Je l’aime pas, il se la pète trop !
Moi :
— Ben c’est normal ! Avec son physique !
Jacques ne réponds pas mais je sens un énervement terrible chez lui.
Je préfère ne pas en rajouter et nous arrivons au resto sans dire un mot de plus.
Jacques a réservé une table en terrasse. C’est le genre de resto que je n’aime pas. Les tables sont alignées les unes contre les autres, si bien que l’on a des inconnus presque collé a nous. C’est très désagréable car je considère que lorsque l’on vient au restaurant c’est pour être dans l’intimité sinon autant rester chez soi. Je m’assois et aussitôt, le mec canon s’assoit à ma gauche.
Sylvain se met à ma droite et Rémy, Laurent et Jacques se mettent en face de moi. Jacques est le plus excentré si bien que je n’ai pas trop la possibilité de converser avec lui et ça m’énerve.
A noter que Laurent s’est mis en face de moi, espérant sans doute que je lui montre mes seins ce soir encore. Il peut toujours courir.
Nous passons notre commande. 2 minutes après l’apéritif arrive. Le serveur a les yeux planté dans mon décolleté. Je me sens très gêné. Je crois que j’ai fais une connerie en m’habillant comme ça.
Alors que je n’ai même pas fini mon whisky, Johnny (le mec canon) commande une nouvelle tournée. Moi qui ne supporte pas trop l’alcool dit :
— Pas pour moi merci !
Laurent dit :
— Allez ne fais pas ta mijaurée ! Profites-en pour une fois !
J’accepte donc.
Déjà que le premier whisky avait commencé à me faire tourner la tête, le second, bien sûr ne fait qu’empirer les choses. Je ne suis pas vraiment bourrée mais je suis gai. Je n’arrête pas de rire des blagues des 5 mecs.
Je remarque alors que Laurent écarquille les yeux en regardant dans mon décolleté. Il me fait un geste des 2 mains pour me demander de serrer les pans. Je comprends alors que les pans du chemisier se sont séparés et que je suis en train d’exhiber mes seins.
Promptement, je resserre les pans. Je rougis car je m’aperçois qu’il n’y a pas que Laurent qui s’est aperçu de l’incident.
A la table collée à la notre il y a un homme d’une cinquantaine d’année qui me regarde fixement. Il n’a personne en face de lui, sans doute un représentant de commerce.
Son regard me glace, et l’effet de l’alcool s’atténue sans vraiment disparaître.
L’homme a détourné les yeux et plonge son regard dans un journal.
Les hors d’ouvres arrivent.
Nous mangeons de bon cour. Je suis contente car la soirée se passe bien et qu’il n’y a aucune allusion sur mes vices de la part de Laurent et Rémy.
L’effet de l’alcool s’accentue au fur et à mesure que je bois du vin, je me sens bien et ris comme une idiote.
Les garçons aussi sont un peu ivres, surtout Jacques qui ne tient pas du tout l’alcool.
Laurent, avec une voix vaseuse me demande :
— Comment tu fais pour avoir des seins qui se tiennent si bien alors que tu ne mets pas de soutien-gorge.
Moi je rougis comme une pivoine, malgré l’alcool, je me rends encore compte de ce qu’il ce dit :
— Oh mais j’en mets en général !
C’est alors que Jacques à moitié bourré dit à haute voix :
— Menteuse ! T’en as même pas un seul à te mettre !
Je dois être écarlate tellement j’ai honte.
— Et en plus elle porte jamais de culotte !
Là, je ne sais plus ou me mettre. Jacques me fait péter la honte de ma vie devant nos copains.
Sylvain qui comprend mal ce que veut dire Jacques, dit :
— Alors tu ne portes que des strings ?
Jacques a haute voix avant même que j’ouvre la bouche :
— Même pas ! Elle est toujours à poil sous ses jupes et ses pantalons !
Il est tellement saoul qu’il ne se rend pas compte du mal qu’il me fait. Maintenant tout le monde connaît mon petit secret, tous nos amis savent que je n’ai rien sous ma jupe.
Je ne peux m’empêcher de regarder autour de moi. Nos amis ont l’air gêné plutôt qu’autre chose et semblent compatir.
Mais, en regardant autour de moi, je croise le regard du mec d’une cinquantaine d’année et qui est juste à côté de REMY. Il me regarde fixement. Son regard est si intense que je suis obligée de détourner les yeux pour l’éviter. Il ne me regarde pas d’un air vicieux, non, mais avec un regard indéfinissable, je ne sais pas ce que c’est homme pense de tout cela.
Laurent se tourne vers Jacques et dit :
— Tu pourrais parler moins fort ! Tu vois pas que tu gênes Katia !
Jacques se rend compte de sa bourde et me fait un sourire tendre. Je le foudroie du regard pour bien lui montrer ma colère.
Johnny me sert un autre verre de vin. Je regarde vers l’homme, il a replongé ses yeux dans son journal, tout va bien. Mes amis savent que je ne porte pas de culotte, et alors ! Il y en a 2 sur les 3 qui m’ont déjà fait l’amour, et je n’ai pas de honte à avoir devant eux. Pour Sylvain, aucun problème, c’est vraiment un ami intime et il ne pensera pas à mal.
Le seul qui puisse avoir une mauvaise impression de moi, c’est Johnny, le mec canon.
Mais l’incident semble clos. La conversation se dirige à nouveau vers des plaisanteries plus ou moins lourdes, mais qui me font beaucoup rire car le vin me fait délirer.
Au bout de quelques minutes, je sens une main sur ma cuisse gauche. Elle appartient à Johnny. Le cochon m’entreprend. Sans doute croit il que je suis bourrée et que je vais me laisser faire. Il se trompe. Je repousse sa main promptement.
Je rigole moins sur le coup, je suis un peu choquée par le comportement de ce garçon que je ne connais pas, aussi beau soit-il.
Quelques secondes s’écoulent, et la main se repose à nouveau sur ma cuisse. Encore une fois je la repousse. Il est vraiment gonflé de faire ça en la présence de Jacques. Quoique l’autre est tellement bourrée que Johnny pourrait me faire jouir avec ses doigts qu’il ne s’en apercevrait même pas. Et ça, Johnny l’a compris.
Je ne peux même pas pousser un cri, ou lui mettre la gifle qu’il mérite, car j’ai horreur de me donner en spectacle. Alors je me contente de repousser la main une nouvelle fois, car elle s’est reposée sur ma cuisse pour la 3ème fois.
1 minute s’écoule. Je suis rassurée, Johnny a compris qu’il ne fallait pas insister. Pourtant, quand j’y pense, si j’étais chez moi seule avec lui, je ferais l’amour avec lui bien volontiers, comme je l’ai fais avec Rémy et Fabien. Ca aurait été terrible si il avait été là ce jour là, j’aurais eu 3 beaux mecs rien que pour moi, et je leur aurais fais l’amour à tous les 3.
J’entends alors une voix susurrer à mon oreille :
— C’est vrai alors que tu ne portes rien sous ta jupe ! J’adore ça !
Je sursaute car cette voix, c’est celle de Johnny. Ce coquin alors que j’étais plongée dans mes pensées en à profiter pour une fois de plus mettre sa main sur ma cuisse. Mais le pire de tout, c’est que cette main je la sens sur mon pubis.
Je serre les jambes aussitôt pour ne pas lui permettre d’aller plus loin et repousse une 4ème fois sa main.
Ce que je vois alors me rend folle de honte. L’homme au journal a sa tête sous la table. Il se relève avec sa serviette à la main. As t-il vu la main de Johnny sur mon minou. As t-il vu que je ne portais rien sous ma jupe.
Je ne sais pas. Je suis pourtant rassurée car il n’essai pas de croiser mon regard cette fois. Non c’est sûr, il n’a rien vu, il a juste ramassé sa serviette.
Johnny alimente la conversation pour attirer l’attention vers lui et en profiter pour remettre sa main sur ma cuisse, au plus haut de ma cuisse.
Je le repousse timidement mais la main revient aussitôt. Il faudrait que je crie, que je prévienne Jacques que Johnny est en train de me toucher. Mais encore une fois, je suis trop timide pour attirer l’attention et faire un scandale.
J’ai les cuisses bien serrées l’une contre l’autre pour empêcher les doigts de Johnny de me toucher.
Il caresse ma cuisse très haut. Si j’avais les jambes juste un peu ouverte, il caresserait mon minou ce salaud.
Encore une fois, je me dis que si j’avais été seule avec lui je l’aurais laissé faire. S’il avait été avec Rémy et Fabien hier, je lui aurais fait l’amour comme une dingue. Il est tellement beau que je me serais donné à lui sans rechigner et avec beaucoup de plaisir. Mais là, nous sommes dehors et je ne peux quand même pas faire l’amour dehors, je ne peux pas faire ça devant tout le monde, je ne peux pas faire ça dans un lieu public. Je ne pourrais faire jamais faire un truc pareil. C’est alors qu’une image revient à mon esprit. Mon arabe. Mon arabe qui m’a violé dans l’impasse.
C’était bon, merveilleux, je repense à cette pipe que j’aurais voulu lui faire. Je repense aux godes que j’ai imaginé être des sexes d’arabes cet après-midi.
Je mouille, mon minou est en feu. Je sors de mes pensés et je m’aperçois qu’une chose incroyable vient de se produire. Johnny à sa main collé à mon minou et son index a ouvert mes grandes lèvres et glissent entre elles. Je m’aperçois que j’ai ouvert mes jambes bien involontairement et que Johnny est en train de me donner un plaisir. Il fait ce dont j’avais secrètement envie qu’il fasse dès qu’il a posé sa main sur ma cuisse la première fois, il me masturbe. Et quand je dis que c’est dès qu’il a posé sa main la première fois sur ma cuisse, je mens. J’ai eu envie qu’il fasse ça dès qu’il s’est assis à côté de moi.
Le pire c’est qu’il continue de parler avec les autres comme si rien ne se passait. Je manque échapper un gémissement, car 2 doigts viennent de pénétrer dans mon minou et le pouce écrase mon bouton d’amour. Il est en train de me rendre dingue, Johnny. Je me mords les lèvres en fermant les yeux pour ne pas gémir. Le plaisir devient plus supportable, mais toujours aussi fort, alors j’ouvre les yeux. Encore une fois je regarde à ma droite et à ma gauche et c’est là que je vois l’homme de cinquante ans qui est en train de me regarder fixement.
Je sais à ce moment là qu’il a compris que je prenais mon pied avec mon voisin de gauche. Il a deviné que j’étais en train de me faire toucher et que j’y prenais un plaisir fou.
Je rougis encore plus, repousse la main de Johnny, me lève brusquement en disant :
— Excusez moi les garçons je vais aux toilettes !
Oui, j’ai besoin de me rafraîchir le visage. Je descends vers les toilettes en titubant à cause de l’alcool et du plaisir que je viens d’avoir.
Je ne suis pas vraiment dans mon état normal. C’est maintenant que je suis debout que je m’aperçois que j’ai trop bu.
Je pousse la porte des toilettes. Il n’a personne. Je vais aux lavabos, me regarde dans la glace. J’ai la mine défaite. Je prends de l’eau dans mes mains, en me courbant pour mettre la tête au dessus du lavabo et éviter de mettre de l’eau par terre.
J’arrose et arrose encore mon visage, jusqu’à ce que.
Jusqu’à ce que je sente 2 mains fermes sur mes fesses.
Je ne fais rien pour repousser ces mains. Je suis trop ivre pour ça, et surtout trop excitée par Johnny pour lui refuser mon corps.
Les mains caressent et masse tendrement mais fermement mes fesses. Elles remontent lentement sur mes hanches. Elles sont désormais à la base de mon chemisier. Je sens le seul bouton de celui-ci se dégrafer, les pans se séparent, s’écartent, je suis seins nus, je fais me faire prendre par Johnny. mon rêve depuis que je l’ai vu.
Les mains abandonnent mon corps. J’entends un zip glisser. Je vais être prise, la braguette de Johnny vient de descendre.
Je sens le gland du sexe à Johnny se colle à ma vulve, je me cambre, j’écarte les jambes, je m’offre.
Les mains de Johnny se posent sur mes seins, et tout en les pétrissant lentement mais toujours fermement, il enfonce son sexe en moi.
Il se met alors à aller et venir en moi tout en pétrissant mes seins, m’arrachant un gémissement chaque fois qu’il touche le fond de mon ventre.
Je garde les yeux fermés, bien incapable de les ouvrir tellement le plaisir m’envahit. Je sens le sexe aller et venir en moi lentement. Les coups de reins de Johnny se font plus rapides, plus violents. Je gémis de plus en plus fort. Des frissons de plaisir m’envahissent. Je transpire, soupire, mouille. J’ondule des reins pour mieux profiter du plaisir que m’offre Johnny. Le fait d’onduler des hanches me rend encore plus folle de plaisir. Je gémis de plus en plus fort. Je pousse des petits bien que je me morde les lèvres pour éviter d’ameuter la galerie. Mais je ne peux pas me retenir :
— Oh ouiiii ! Encoooooooore ! Oui Oui Oui c’est boooooooon ! Baiiiiiiiiise moi fooort !
C’est au moment ou je vais jouir, car Johnny fais trop bien l’amour pour que ça ne dure plus longtemps, Johnny sort de mon ventre.
Je soupire mais ne suis pas inquiète car je sais qu’il ne s’arrêtera pas là.
Il me prend par les reins et me fais faire demi tour. Ses mains se mettent sur mes reins. Je me sens décollée du sol, puis mes fesses se posent sur la faïence froide du lavabo.
J’ouvre alors yeux, et ce que je vois me fais ouvrir les cuisses au maximum pour offrir ma chatte.
Ce que je vois ce n’est pas Johnny, c’est. l’homme de cinquante ans. L’homme de cinquante, chemise ouverte, les poils de son torse grisonnant.
Plutôt que de le repousser, je mets ses mains autour de son cou et l’attire contre moi. Je colle ma bouche à la sienne pour lui faire comprendre que j’ai une envie dingue de lui. Je gémis en l’embrassant, son sexe se colle une nouvelle fois à ma vulve. J’écarte mes cuisses au maximum, et je me donne. Les seins contre sa poitrine, embrassant son cou comme une dingue, je le laisse aller et venir en moi en poussant des cris de plus en plus stridents. J’oublie tout. J’oublie que je suis dans des toilettes et que quelqu’un peut entrer à tout instant, j’oublie Jacques et ses amis qui doivent se demander ce que je fais. Je n’ai que cet homme dans ma tête, cet homme et son membre qui va et vient en moi d’une manière extrêmement jouissive.
Mon corps frissonne, mes cris se font plus puissants et plus rapides. J’halète de plaisir. Je vais jouir, ce vieil homme va me faire jouir et j’aime ça.
L’homme le sent car il me dit d’une voix langoureuse et sans cesser d’aller et venir en moi :
— Je veux jouir avec toi !
Ces mots, cette phrase aussi courte soit elle déclenche en moi des frissons merveilleux, et quand je sens sa sèvre brûlante inonder mon ventre, je pousse un long cri et me cambre au maximum tellement ma jouissante est forte.
L’homme n’est pas un goujat, car il pose sa bouche sur la mienne et nous nous embrassons passionnément, longuement.
Puis il caresse ma joue avec le revers de sa main et me dit gentiment :
— Il faut que tu remontes maintenant, ton ami va s’inquiéter !
Je lui souris, et après avoir déposé un dernier baiser sur sa bouche, nos corps se séparent.
Je descends du lavabo pendant que l’homme reboutonne sa chemise et remonte son pantalon.
Moi je rabats ma jupe, agrafe le bouton de mon chemisier.
L’homme me dit :
— Monte en premier ! Moi j’attendrais 5 minutes !
Je dépose un dernier sur sa bouche en disant :
— Merci !
Puis je sors des toilettes. Il s’agit maintenant de trouver une excuse pour expliquer le temps passé dans les toilettes.
Au moment où je sors de la salle du restaurant pour rejoindre la terrasse, je croise le serveur. A ma grande surprise il prend ma main et y met un mot dedans.
Je devrais le laisser tomber par terre, mais la curiosité est trop forte, je veux savoir ce qu’il y a sur ce papier.
Je m’arrête, me glisse dans un coin pour ne pas risquer d’être vue par Jacques et ses amis.
Je déplie le papier froissé et lis :
— Je finis mon service dans 2 heures !
Il est gonflé celui là. Pour qui il me prend. Il croit que parce que je suis habillée hyper sexy je vais coucher avec lui ?
Je quitte mon coin en gardant toutefois le mot froissé dans la main, puis je rejoins ma table.
Laurent :
— Putain qu’est ce que tu foutais !
Moi menteuse :
— Vous allez rire ! Je me suis endormie sur les toilettes !
Je regarde tout le monde. Ils sont tous bien éméchés surtout Jacques. Personne ne fait de commentaire sur ma réponse.
Johnny lève la main pour appeler le serveur. Moi je frémis et rougis de honte.
Le serveur arrive sereinement en me regardant avec un air supérieur. Quel connard ce mec !
Johnny dit :
— Amenez-moi l’addition, s’il vous plaît !
Durant le ? d’heure qui suit, Johnny ne s’intéresse pas à moi, il ne met plus sa main sur ma cuisse, il ne me caresse pas la chatte, mais bon, j’ai eu ma dose grâce à l’homme bien trop vieux pour moi.
Le serveur revient avec l’addition. Les garçons se battent pour payer. Le serveur me fait un clin d’oil plein de sous entendu. Je baisse la tête en rougissant.
C’est finalement Johnny qui emporte la mise et donne sa carte bancaire.
Je cherche du regard mon amant des toilettes, mais il semble parti. Dommage, j’aurais bien aimé le regarder dans les yeux pour le remercier un fois de plus.
Nous nous levons et nous dirigeons vers les voitures.
Jacques :
— Vous venez à la maison finir la soirée ?
Tout le monde approuve. Moi j’en ai pas trop envie, mais bon, je dois avouer que la présence de Johnny m’enthousiasme.
Tout le monde est un peu saoul, moi un peu moins que les autres car de faire l’amour m’a réveillée. Jacques l’est un peu plus que les autres mais bon il tient debout.
Nous montons dans les voitures, moi avec Jacques et les 4 autres acolytes dans la magnifique Mercedes à Johnny. Décidément il a tout pour plaire.
Je dis à Jacques :
— Tu peux conduire doucement chéri, tu es éméché et j’ai un peu peur !
Il me sourit gentiment et démarre. Il roule doucement et ça me convient très bien, il est vraiment adorable quand il s’y met.
Heureusement l’appartement est tout proche de chez nous, c’est à se demander pourquoi on a prit les voitures.
Nous descendons. Je laisse les garçons passer devant dans l’escalier, et pour cause, ma jupe est très courte et je ne porte rien dessous.
Mais, il y en a un qui insiste pour que je passe devant lui en faisant mine d’être galant : C’est Johnny !
Je suis extrêmement gênée. Mais, j’ai offert mon minou à ses mains une grande partie de la soirée, ce n’est pas très gênant de lui montrer mes jolies fesses nues et ma fente d’amour.
Je suis rouge de gêne et terriblement excitée. J’ondule des reins pour lui donner encore un plus beau spectacle de ma nudité, c’est vraiment, vraiment jouissif.
Pour que personne ne s’aperçoive que je suis devant lui, lorsque nous sommes sur le pallier qui donne à notre appartement, il passe furtivement devant moi, comme ça, aucune ambiguïté.
C’est là, que j’ai la confirmation qu’il m’a laissé passer devant pour mater mon intimité nue, sinon il n’aurait pas réagit comme ça. Ca m’excite encore plus, il a du bien en profiter le cochon.
Nous entrons tous dans l’appartement.
Jacques s’avachit dans un fauteuil, Rémy dans un autre, Laurent dans le 3ème. Sylvain, Johnny et moi sommes condamnés au canapé.
C’est dommage, je me serais bien assise en face Johnny pour l’admirer, pour lui lancer des regards salaces, des regards amoureux.
Nous discutons et rigolons gentiment. Johnny allume un pétard et le tend à Jacques. Je crains le pire. Ca fait des années qu’il n’a pas fumé et il va partir en vrille je le sens bien.
Il tire 2 ou 3 taffes et déjà son visage se décompose. Il devient tout blanc, ferme les yeux, se met à rire bêtement. Rémy lui prend le joint en disant :
— Eh Jacques ! T’endors pas dessus !
Johnny :
— C’est pas grave ! Y en a d’autres !
Il sort un autre pétard, l’allume, tire 2 ou 3 fois dessus puis me le passe. Bien que ça fasse relativement longtemps que je n’ai pas fumé, je sais que je tiens le coup et que j’aime ça. Je tire donc sur le joint et le passe à Sylvain.
Je commence à me sentir bien, je suis à l’aise, je suis en plein bonheur, je suis cool.
Sylvain passe le joint à Laurent qui lui passe celui que Rémy vient de lui passer. Les joints se croisent, c’est un manège très excitant. Tout le monde est zen. Jacques lui est complètement à l’ouest. Il rigole tout seul comme un fou.
Sylvain me dit :
— Dis-moi Katia ! Tu n’as rien à boire d’alcoolisé !
Moi :
— Si bien sûr !
Je me lève et vais jusqu’au bar. Je me sens vraiment bien, je ne regrette pas cette soirée, elle se passe très bien.
Johnny se lève lui aussi et viens vers moi en disant bien fort :
— Je vais t’aider Katia !
Je frémis de plaisir. Je sens sa présence derrière moi, mais je sens surtout ses mains qui viennent de se poser sur mes fesses nues.
Je ne le repousse pas, je suis trop heureuse qu’il me touche à nouveau. Il masse mes fesses sans prendre ni verres ni bouteilles. C’est comme ça qu’il m’aide, en me caressant les fesses, et cette aide m’est très précieuse. Son index glisse doucement sur mes grandes lèvres. Elles s’ouvrent et je sens son doigt sur ma chair rose. Je mouille comme une petite chienne et il s’en rend compte. J’ai envie de lui. Je suis prête à toutes les folies.
Il enlève ses mains de mes fesses à mon grand regret, prend les bouteilles pendant que j’apporte les verres.
Je sens que je suis rouge comme une pivoine, mais pas rouge de gêne ni de honte, rouge de plaisir.
Je suis quand même lucide malgré le shit, et je m’applique à plier les genoux lorsque je sers nos amis.
Tout le monde est stone et rigole pour un rien. Si bien que Sylvain me demande alors que je suis en train de servir Jacques :
— Katia ? c’est vrai que tu ne portes pas de culotte ?
La question ne me gêne pas, mais je ne réponds pas, je ris bêtement.
C’est alors que Jacques fait un truc débile. Je suis en train de le servir et ce malade tire violement sur la ceinture de ma jupe. Il a tiré si fort que la jupe s’est déchirée et est désormais sur mes chaussures.
Jacques rigole en disant :
— Voilà ! tu en as la preuve !
Il se met alors à rigoler comme un dingue. Tous les autres rigolent aussi, et le pire de tout c’est que je ris aussi. Je suis cul nu devant mes amis et ça me fait rire. C’est dingue quand même le shit.
Jacques continue en tirant sur les pans de mon chemisier, arrachant ainsi le dernier bouton. Je devrais l’engueuler, le traiter de tout, mais au lieu de ça, de moi même, je retire le chemisier pour me retrouver complètement nue.
Jacques toujours en riant :
— Et elle ne porte pas de soutien-gorge non plus ! Je vous l’avais dit !
Eclats de rire général. Même moi je rigole à gorge déployée et je ne fais rien pour me rhabiller. J’ai envie d’être nue, j’ai tellement chaud, je me sens tellement bien. Tout le monde est heureux et c’est très bien comme ça. Quand j’ai fini de servir Jacques, je me retourne et me dirige vers le canapé.
Sylvain a les yeux écarquillé :
— Putain ! T’as pas de poil à la chatte ! T’es vraiment canon tu sais !
Johnny :
— C’est vrai que ça donne vraiment envie de la baiser ! pas vrai Sylvain !
Sylvain :
— Tu parles ! un canon pareil c’est un rêve !
Jacques explose de rire.
Moi je me suis assise et je tire sur un autre joint que vient de me passer Johnny. Je suis dans un état de plus en plus cool, euphorique, mais surtout d’excitation intense.
Jacques rigole toujours, il ne se rend même pas compte de la gravité de la situation. Johnny pose une main sur ma cuisse, très haut, ses doigts effleurent mon minou. Sylvain lui pose une main à la base de mon sein gauche. Je suis terriblement excitée et malgré la présence de Jacques juste en face de moi, je ne repousse ni l’un, ni l’autre. Je fais même pire, j’écarte les cuisses, pour que Johnny me touche le minou.
Il ne se le fait pas dire 2 fois. Ses doigts s’enfoncent dans ma chatte trempée. Je me mords les lèvres de plaisir.
Sylvain a désormais une main sur chacun de mes seins et les massent vulgairement.
Je pousse des petits gémissements de plaisir. Je passe mon bras droit autour du coup de Johnny et le bras gauche autour de celui de Sylvain pour offrir complètement mon corps.
Rémy se lève. Il a le pétard à la main et le porte à ma bouche. Je tire dessus en gémissant. Il le laisse longtemps dans ma bouche pour que je fume plus que de raison. L’excitation s’accroît d’une façon extraordinaire. Une fois qu’il le retire de la bouche, je lui dis d’une voix vaseuse :
— Mets ton sexe dans ma bouche Rémy ! J’ai envie de te faire une pipe !
Rémy ne se le fait pas dire 2 fois et mets son sexe dans ma bouche. Il le fait d’autant plus rapidement qu’il est déjà à poil, comme tous les autres d’ailleurs, sauf Jacques.
Je suce Rémy comme une dingue en poussant des petits cris étouffés. Johnny va de plus en plus loin dans ma chatte. Il a déjà 3 doigts dedans. J’écarte encore plus mes cuisses. Sylvain joue avec mes tétons. Je sens mes pointes s’allongées de manière extraordinaire.
J’entends la voix de Rémy dire à Jacques :
— Ca t’embêtes pas qu’on la baise tous les 4 !
Jacques explose de rire et dit :
— Mais non mais laisse-moi le joint !
Je frémis de plaisir car je sais que je vais pouvoir jouir avec chacun de ces 4 mecs avec l’aval de Jacques.
Laurent dit à Rémy :
— Pousse toi Rémy que je l’enfile !
Il se penche vers moi. J’écarte mes cuisses au maximum. Laurent pose son gland sur ma chatte, et s’enfonce en moi m’arrachant un cri de plaisir fantastique.
Laurent dit :
— Putain elle est encore plus ouverte qu’hier soir !
Il vient de nous vendre mais je m’en fous et tout le monde s’en fout d’ailleurs. Laurent a mis les mains en appuis sur le dossier du canapé et il va et vient moi. Puis il dit :
— Non ça va pas comme ça ! Mets-toi en levrette Katia !
Je ne me le fais pas dire 2 fois. Je me lève du canapé et dit complètement vaseuse et heureuse :
— Oui mais à une seule condition ! Je veux une bite dans ma bouche en même temps.
Je me mets à quatre pattes et ouvre la bouche en grand. C’est Sylvain qui s’y colle ! Je me mets à le pomper comme une dingue lorsque je sens le manche de Laurent s’enfoncer en moi. Je ne sais pas si c’est l’effet du shit, mais Laurent me défonce littéralement. J’ai envie de le sentir encore plus en moi, aussi je me mets à onduler des reins comme une folle et je suce Sylvain à grands coups de tête. Sylvain dit :
— Oh la salope ! elle va me faire gicler !
Laurent :
— Elle remue les reins cette pute ! Oooooooooohhhhhhhhh
J’explose de plaisir. Je jouis car non seulement Laurent vient de gicler en moi, mais Sylvain vient de déverser sa sève dans ma bouche.
Ils sortent de moi, je me lève et me précipité sur Johnny. Je me colle à lui en suppliant :
— Baise-moi Johnny ! J’ai trop envie de toi !
Johnny :
— Tourne-toi et empale-toi sur ma queue :
J’obéis. Je suis de dos à lui, et face à Jacques. Je m’empale sur la queue de Johnny et me mets à monter et descendre sur la queue de Johnny en gémissant. Rémy s’approche de moi, la queue à la main en train de se branler. J’ouvre la bouche et son sexe entre dans ma bouche.
Tout en allant et venant comme une folle sur le manche à Johnny qui soit dit en passant est très gros, je m’agrippe aux fesses de Rémy et je me mets à le pomper comme une reine. A cette vitesse là ça ne peut pas durer longtemps. Au bout de 2 minutes à ce rythme je sens la sève de Johnny exploser au fond de ma chatte et simultanément Rémy gicle dans ma bouche. J’avale tout.
Tout le monde est épuisé. Tout le monde s’endors Jacques et Moi compris.
Je me réveille la première. L’effet du shit est presque passé. Je me rhabille vite fait avant que Jacques ne s’aperçoive que je sois nue, car je suis consciente que lui aussi ne sera plus sous l’effet du shit et je doute qu’il apprécie de me voir nue et ses copains aussi.
Je réveille les 4 garçons. Ils sont hagards. Je leur dis :
— Habillez vous avant que Jacques ne se réveille et partez, c’est préférable.
Ils m’approuvent tous, et 5 minutes après, ils sont partis.
Je vais me coucher en prenant bien soin de ne pas réveiller Jacques.
Bien sûr je m’endors de suite.
Quand, je me réveille, Jacques est déjà debout. Il me fait couler le café alors que je m’assois dans le canapé, la tête dans le cul. Il n’est pas très frais non plus. Il me demande :
— Putain quelle soirée ! Je ne me souviens plus de rien !
Je souffle de soulagement. Je réponds :
— On a fumé une quantité incroyable de shit et on était complètement raide !
Lui :
— J’ai fait un drôle de rêve ! J’ai rêvé que tu faisais l’amour avec les 4 ! t’imagine un peu !
Je rougis et rigole :
— Tu as beaucoup d’imagination ! A croire que tu fais une obsession sur le fait de me voir faire l’amour avec d’autres !
Jacques va dans la salle de bain pour se préparer.
Quand il sort il me dit :
— Je suis en retard mais tant pis, pour une fois !
Puis il rajoute :
— Au fait ! Je suis en déplacement pendant 3 jours ! Je suis désolé, mais je t’appellerai tous les jours !
Je suis déçue car je n’aime pas qu’il parte, il me manque trop.
Il prend sa valise, m’embrasse tendrement, puis il s’en va.
Je fouille dans mon sac à main pour attraper mon paquet de cigarettes et je tombe sur un papier froissé. Je le lis intriguée. Il y a écrit : « Je finis mon service dans 2 heures ».
Je me souviens alors ce salaud de serveur qui a mis ce papier dans ma main alors que je sortais des toilettes.
Je suis vraiment épuisée et je m’endors sur le canapé.
Quand je me réveille, il est 22h00. Je n’y crois pas. Je devais être vraiment épuisée pour dormir 12h00 d’affilée.
Je me lève du canapé et vais dans la cuisine pour me préparer un plateau repas froid avec ce que je trouve dans le frigo.
Je me réinstalle sur le canapé et regarde la télévision. Le programme est une catastrophe, d’un ennui profond.
Je ne sais pas quoi foutre ce soir. Je n’ai sommeil bien sûr vu l’heure à laquelle je me suis levée et il n’y a rien à la télé.
Puis pendant que je mange, je revois le papier froissé sur la table de salon. Je le déplie à nouveau et le relie « Je finis mon service dans 2 heures »
Pour qui il m’a pris cet enfoiré ? Pour une salope ? Il était bien sûr de lui pour me donner un mot comme ça ! Pour lui c’était évident, il allait me sauter sans problème. Je me souviens aussi de son regard satisfait lorsqu’il a amené l’addition. En tout cas je l’ai bien eu, il a du être moins fier quand il a vu que je partais avec Jacques et mes copains.
C’est vrai que si Jacques me l’avait amené comme il l’a fait ces derniers soirs, je lui aurais fait l’amour, car il faut reconnaître que physiquement il est pas mal du tout. Je dirais même qu’il est très beau et que son air supérieur lui donne un charme irrésistible. Il a du en faire craquer plus d’une, et j’aurais pu faire fais partie de celles là. Mais une fois de plus, uniquement si Jacques me l’avait amené.
Bon arrêtons de fantasmer. Je m’ennuie et je décide de sortir, de voir du monde.
Je sors donc vêtue d’un robe très courte et moulante avec un zip qui va de haut en bas, bien sûr, mes seins étant disproportionné par rapport à mon corps, je ne peux pas fermer le zip jusqu’en haut, loin de là.
Je n’ai plus honte depuis bien longtemps d’avoir des décolletés très plongeant puisque de toute façon je n’ai pas le choix.
Le soleil s’est couché et je marche dans la rue.
Au bout de 5 minutes, je me retrouve devant le restaurant ou j’étais la veille avec Jacques et mes copains. Le restaurant ou le vieux m’a sauté dans les chiottes, le restaurant ou le serveur m’a donné le petit mot.
Je ne sais pas si c’est la curiosité, mais je m’installe à une table après avoir longtemps hésité.
Puis je me dis que si le serveur est là il va croire que c’est pour lui. Alors je veux en avoir le cour net. Je me lève et fais mine d’aller dans les toilettes pour voir si le serveur est là. S’il est là, je m’en vais car il va croire que c’est pour lui que je suis là. Une fois à l’intérieur, je regarde de tous les côtés : Le serveur n’est pas là.
Parfait, je rejoins ma table, attendant qu’un serveur veuille bien me donner à boire.
C’est alors que je ressens comme une déception. Oui ! Je suis déçue car au fond de moi, j’aurais aimé que le serveur dragueur soit là.
— Qu’est ce que vous désirez ?
Je sors de ma torpeur. Je regarde le serveur et rougis de honte. C’est le serveur de la veille, le serveur qui m’a donné le mot. J’ai honte car à son sourire narquois et sûr de lui, il croit que je suis là pour lui.
Je bafouille :
— Heu ! Un whisky !
Je n’ai pas du tout envie de Whisky, mais c’est la première chose qui me soit venue à l’esprit.
Le serveur repart comme si de rien n’était.
Je respire. Je me pose alors la question : Est que je pars ? Est ce que je reste ?
Je décide de partir dès que j’aurais bu mon verre.
Le serveur revient avec son plateau. Il pose mon verre sur la table, et une fois de plus, il dépose un papier à côté de mon verre.
Je décide de ne pas lire le mot. Je bois mon whisky doucement. J’en ai marre de ce mec qui n’arrête pas de me donner des mots.
Pourtant je ne jette pas le mot. Il m’intrigue ce mot. J’ai une envie irrésistible de le lire. Et puis merde ! C’est pas parce que je le lis que j’accepte de coucher avec lui !
Je prends le papier, le déplie, et lis : « Je savais tu reviendrais ».
Il me tutoie en plus cet enfoiré. Remarquez je n’ai pas tout à fait 19 ans, et il doit en avoir 30.
De colère, je jette le mot à terre.
Il revient 5 minutes après et dépose un whisky sur ma table en disant :
— Cadeau de la maison !
Je n’ai même pas le temps de réagir, qu’il est déjà reparti.
Bien entendu, un autre mot est posé sur la table. Cette fois je le lis sans hésiter : « Je finis dans une heure ».
Mais il n’y a pas que ça d’écrit. Je lis la suite : « je sais que tu seras là ».
Alors là vraiment c’est ma meilleure, il se prend pour qui ce connard.
Je ne bois même pas mon verre de Whisky, je me lève, dépose mon dû sur la table et m’en vais.
Je ne sais pas si le serveur m’a vu partir, j’espère bien que si. Peut-être me prendra t-il de moins haut si jamais je devais revenir dans ce café. Je suis fière de moi, je lui ai donné une bonne leçon à ce con.
Maintenant que vais-je faire. J’arpente les rues. On ne peut pas dire qu’il y ait beaucoup d’animation dans le coin. Mise a part une boîte et le café du connard de serveur, il n’y a rien.
Rien en tout cas qui puisse occuper mon esprit. Quand je pense à l’autre qui était sûr de m’avoir, ça me fais rire. Pourtant encore une fois, si Jacques me l’avait emmené à la maison, je n’aurais pas rechigné sur son air supérieur et je lui aurais fait l’amour avec beaucoup de plaisir. Il est si beau, qu’après tout il a raison de se la péter.
C’est vrai que je n’aurais pas hésité une seule seconde à me laisser prendre, et je crois que son air fier m’aurait même beaucoup excitée. Je m’imagine en levrette, et lui en train de me prendre avec son air méprisant, son air sûr de lui. Je m’imagine gémir, crier de plaisir, lui dire qu’il me prenne plus fort encore. Ca doit être terriblement humiliant de se faire baiser par un mec comme lui. Humiliant et terriblement excitant.
Que ferait-il si j’attendais patiemment qu’il finisse son service pour partir avec lui ? Comment se conduirait-il ? Où m’emmènerait-il ?
Ma curiosité m’excite ! Sans doute a t-il fait le coup à beaucoup d’autres filles, et beaucoup on du craquer.
Il a du leur faire l’amour, il a du profiter de leur corps pour partir ensuite, comme ses hommes qui sont venus chez moi à la demande de Jacques et m’ont fait l’amour, et m’ont fait jouir. Me ferait-il jouir lui ?
Il est tellement beau. Il porte aux sens. Il donne envie de se donner à lui.
Mais qu’est ce je raconte moi ? J’ai décidé de lui donner une leçon, de l’ignorer, et je suis en train de penser que j’ai envie de faire l’amour avec lui. Car effectivement, j’ai envie de faire l’amour avec lui. J’ai terriblement envie de me donner à lui. Qu’importe que ce soit Jacques ou non qu’il me l’ait emmené. Quelle différence ça fait ? La seule différence est que je tromperais Jacques ? Et après ? Ne l’ai pas déjà trompé avec Rémy et Fabien lorsqu’ils sont venus l’autre jour ? Ne l’ai je pas trompé avec Laurent lorsqu’il est sorti faire des courses ? Sans parler d’hier soir ou je l’ai trompé à son nez et à sa barbe par 4 hommes, et ses amis en plus ? Ne l’ai je pas trompé également avec mon voisin qui m’a donné tant de plaisir avec ses godes ? Ne l’ai pas trompé hier soir avec le cinquantenaire dans les toilettes du restaurant ? Ne l’ai je pas trompé avec mon arabe l’autre jour dans la rue, car même si au départ c’était un viol, je me suis donné corps et âme a lui et je n’arrête pas d’y penser depuis. Car ça aussi c’est trompé, d’avoir un homme dans la tête, d’avoir une envie folle de lui faire l’amour.
Je ne me suis pas vraiment éloignée du bar. Je m’aperçois que je suis terriblement excitée et que je mouille à outrance. Il aimerait ça le serveur que je mouille pour lui.
Je suis sur le trottoir en face le café. Il y a combien de temps qu’il m’a dit qu’il finissait dans une heure ? Je ne sais pas, je ne m’en rends pas compte. Je m’adosse contre le mur juste en face le café. Je le vois arriver avec un plateau pour servir une table. Il regarde aux alentours, puis sa tête s’arrête de bouger, elle est tournée vers moi. Il m’a vu, je devine même un sourire narquois sur son visage. Connard va ! Il dot croire que je l’attends.. Et je l’attends.
Oui ! J’ai décidé de l’attendre, de le suivre, j’ai décidé qu’il me ferait l’amour, j’ai décidé que je jouirais sous ses assauts. J’ai trop envie de lui, je veux lui offrir mon corps.
Il me regarde toujours. Je me sens rougir de honte. Je détourne la tête pour lui faire croire que je ne suis pas là pour lui. A son regard satisfait, il sait que malgré mes efforts pour donner le change que je suis là pour lui. Il est sûr de lui, et il a raison.
Au bout d’1/4 d’heure, je le vois sortir du café, vêtu d’un débardeur moulant. Il est encore plus beau que je ne l’imaginais. Même à distance ; je devine ses muscles saillants sous son débardeur. Il est super bien foutu. Il traverse la rue avec une veste jetée sur son épaule. Il est vraiment très classe. Le temps qu’il met pour me rejoindre me semble interminable.
Ca y est, il est enfin devant moi. Je suis rouge de honte. Son air supérieur s’est accru et c’est franchement désagréable. mais ô combien excitant.
Il ne s’arrête presque pas. Il me regarde dans les yeux et me dit :
— Suis-moi !
Et moi comme une conne de lui emboîter le pas. Ca y est, je vais me donner à lui. Ca y est, il a gagné. Il se sait, et je le sais aussi. Je ne m’échapperais pas, je lui ferais l’amour, j’en ai trop envie.
On ne marche pas longtemps. 5 minutes peut-être, je suis tellement troublée que je ne me rends compte de rien. Pendant le trajet, il ne me dit pas un mot, il ne me prend pas la main, ni le bras, il m’ignore complètement, comme si je n’existais pas. C’est terrible comme sensation.
Il entre dans un immeuble. Il me tient quand même la porte. Ce n’est pas par galanterie ! Oh non ! C’est uniquement parce qu’il veut que je monte les escaliers devant lui ! Il veut mâter mes fesses pendant que je monte ! Ce qu’il ne sait pas, c’est que je ne porte pas de culotte. Je rougis de honte, mais je ne dis rien et je grimpe les marches.
Je l’imagine les yeux sur mes fesses et mon minou, j’ai honte et je suis terriblement excitée en même temps.
J’ai une envie folle qu’il mette ses mains sur mes fesses ou qu’il fasse glisser un doigt entre mes grandes lèvres pendant que nous montons l’escalier. Mais il ne fait rien. Pas un mot, pas un geste, comme si cela était naturel.
Nous arrivons sur le pallier du dernier étage. Je m’arrête, il passe devant moi sans aucune galanterie, un vrai mufle, mais c’est comme ça que je le veux.
Il ouvre la porte de son appartement. Il entre en laissant la porte ouverte, je le suis. Je ferme la porte derrière moi.
En fait d’appartement, c’est un studio de célibataire avec des trucs qui traînent partout. Il s’en fout, il n’a pas honte, tout ce qu’il veut, c’est baiser sans aucun égard pour la fille avec qui il le fait.
La première chose qu’il fait, c’est de se mettre complètement à poil. J’en suis toute moite. Il est vraiment hyper beau, un vrai mannequin. Comment pourrais je ne pas craquer devant un tel mec, que ce soit un con ou non.
Il s’allonge sur le lit tranquillement en mettant ses mains derrière sa tête et en écartant ses jambes. Son sexe prend entre ses jambes. Il ne bande pas. On dirait qu’il me faisait une faveur en m’emmenant ici pour baiser. Et le pire, c’est qu’il a raison. Maintenant que je le vois nu, c’est encore pire. Je ne pourrais pas me passer de lui faire l’amour.
Je fais descendre alors le zip de ma robe lenteme
