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Un black au pays du soleil levant – Chapitre 1

Un black au pays du soleil levant - Chapitre 1



Ceci est mon tout premier récit sur ce site. L’histoire est réelle à 100%, sauf que j’ai changé les prénoms et c’est raconté de manière plus érotique pour en faire une belle histoire.

Juillet 2014, je me prépare pour mon tout premier voyage pour l’Asie et plus précisément, la capitale du Japon. Je suis un jeune Africain, fin vingtaine mais je fais plus jeune, très curieux de nature, sociable, sportif, ouvert, tolérant, j’aime l’aventure et j’adore voyager. Je rêvais de visiter ce pays depuis des années, je voulais voyager avec mes amis, mais au dernier moment, ils m’ont laissé tomber, donc j’ai décidé d’y aller seul.

Me voilà donc à Tokyo, j’ai été pour un mois et 6 jours. Il faisait très chaud, environ 30°C, mais dans une ville comme Tokyo, j’avais l’impression qu’il en faisait 50. Dès mon arrivé, je remarquais le changement entre ma ville en Belgique et Tokyo : il y avait du monde partout !

J’avais réservé une maison en compagnie de deux autres touristes, un Indien et un Thaïlandais, dans un hébergement japonais. Chaque jour, le staff organisait des événements où nous étions libre d’y participer ou pas : il y avait des jours où nous allions simplement boire des verres, mais d’autres où nous participions à des grands défilés, festivals, parc d’attraction et bien plus.

Dans le staff travaillait une jeune demoiselle, une Japonaise, que je vais nommé Tomoko, début trentaine et qui parlait très bien l’anglais, dans ce pays où être bilingue, c’est rare. Chaque soir, avec mes colocataires, nous passions un peu de temps avec elle et d’autres personnes du staff avant de retourner dans nos maisons ou appartement. Tomoko était la personne que jappréciais le plus au Japon, elle était toujours positive, partante pour faire des activités même en dehors du programme et à l’écoute des touristes.

Après une semaine et quelques jours, Tomoko nous proposa de participer à un événement de bénévolat dans la banlieue de Tokyo. Mes colocs et moi étions d’accord, puis cela allait nous faire du bien de sortir un peu de Shinjuku (centre ville de Tokyo).

Je suis une personne qui dort facilement dans la voiture, lorsque je ne suis pas derrière le volant et cela faisait rire mes amis, mais moi ça m’arrangeait, car le trajet était de 40 minutes.

Nous voilà donc arrivé, avec un retard de plus d’heure, mais nous ne faisions pas partie de l’organisation, donc cela ne posait pas vraiment de problème. On nous a demandé de faire deux groupes, afin d’aider ceux qui travaillaient sur place. Tomoko me prit dans son groupe, tandis que le Thaïlandais et l’Indien, rejoignaient l’autre groupe. Tomoko me présentait à une de ses amies, Kagami, avec qui le courant est vite passé, car elle avait plus ou moins le même profil que Tomoko, sauf qu’elle avait 40 ans. J’ai eu le temps de discuter, sympathiser, rigoler et travailler avec elle pendant 4 heures. Elle maîtrisait assez bien l’anglais pour une Japonaise (beaucoup ne le maîtrise pas). Jespérais vraiment la revoir, car elle était belle, si positive, c’était une personne avec qui on pouvait parler de tout et de rien sans jugement et elle avait de l’humour.

2 jours plus tard, le staff organisait une sortie dans la nature. Avant de partir, je vis Tomoko en compagnie de Kagami. Au fond de moi, j’étais très content. Et en la fixant, j’ai senti la même chose de son coté. Ce jour, nous avions passé toute la journée à l’extérieur et ma relation avec Kagami ne faisait que s’améliorer. Nous avions atteint le niveau de « pote ». Parfois j’oubliais qu’elle avait 12 ans de plus que moi, tellement elle était belle, tellement elle ne faisait pas son âge.

Au retour, à peine entrer dans le mini bus, comme dans mes habitudes, je me suis endormi sur le chemin, ce qui fit rire les autres et aussi Kagami.

Ce soir, Kagami nous invita dans un petit restaurant pas très loin de notre hébergement. Nous étions 5 : Tomoko, Kagami, le Thaïlandais, l’Indien et moi. La soirée se passa à merveille, mais je ressenti la fatigue de mes colocataires, après avoir passé plus de 10 heures à l’extérieur.

Je regardais sur ma montre et il était déjà 22h 30, nous avons passé précisément 13h 30 dehors. L’Indien était le premier à se lever, il s’excusa, nous souhaita un par un une bonne nuit et s’en allât. Je voyais au visage de Kagami une déception, est-ce qu’il lui plaisait ? C’est ce que je me suis demandé au début.

Environ 30 minutes plus tard, c’était au tour du Thaïlandais.

— Mesdames et Eli*, dit-il en regardant sa montre, je passe une excellente soirée en votre compagnie, mais je sens que je vais m’endormir à n’importe quel moment. Je vais rejoindre X (l’Indien, dont j’ai oublié le nom).

— Déjà ? demanda Kagami un peu triste.

— Oui, je suis vraiment claqué. Mais on peut se capter demain si vous voulez.

— Oui, on peut le faire, si vous avez rien programmé, dit Kagami un peu plus rassurante.

Nous continuâmes la soirée ailleurs, après que Kagami ait payée l’addition. Contrairement aux autres et sûrement dû à ma sieste, je tenais debout. Je ne ressentais aucune fatigue.

Et voilà que Tomoko regarda sa montre pour nous dire ensuite qu’elle allait partir.

— Toi aussi, dit Kagami.

— Il est minuit passé Kagami. Demain je dois me lever à 8 heures. Toi tu es en congé.

— Oui, c’est vrai, j’aurai tellement envie de rester un peu plus et profiter un maximum. Bon ben, je te raccompagne, ensuite je raccompagne Eli.

— Ok.

Nous avons donc marché pendant 10 minutes avant d’arriver devant la porte de Tomoko. Elle remerciait son amie pour cette fabuleuse soirée et nous fîmes pareil. Kagami me regarda et entama une discussion.

— Alors, toi aussi tu vas rentrer chez toi ?

— Ben honnêtement, je ne suis pas fatigué. Si tu es partante pour rester encore un peu plus, moi ça me va.

Je lisais dans son expression faciale une joie et elle me dit :

— Vu que je suis en voiture, on pourra faire un tour à Akihabara (autre quartier très animé de Tokyo).

— Je ne connais pas ce quartier, mais on m’en a souvent parlé. Je te suis.

Elle me prit par le bras et nous voilà en direction de ce quartier. Et comme dans mon habitude, je me suis endormi. Une vingtaine de minute plus tard, elle me réveille. Il était minuit 45 et j ’étais avec une femme japonaise dans un quartier aussi lumineux qu’un sapin de noël en plein décembre à Manhattan. Les gens nous regardaient bizarrement dans les rues, surtout à cette heure. Ils devaient sûrement se dire qu’est-ce qu’un jeune Noir fait avec une Japonaise aussi tard. Au fond de moi, je m’en foutais un peu, j’étais là pour passer du bon temps.

Nous sommes rentrés dans une ruelle avec pas mal de sexshop. Timide, Kagami faisait semblant de ne pas les voir. Elle préféra regarder le ciel, les bâtiments ou encore toutes choses qui n’avaient rien avoir avec ces magasins. Je me suis soudainement arrêté, j’ai été tenté et je l’ai poussé avec moi vers l’un de ces magasins. Juste devant l’entrée, elle s’arrêta et me dit :

— Tu es sûr que tu veux entrer à l’intérieur.

— Euh, oui. C’est la première fois que je viens dans ce quartier et j’ai envie de visiter tous ce qui attise ma curiosité, dis-je avec un sourire.

Elle rigola timidement, regarda discrètement autour d’elle et me dit :

— Je te suis, à condition que tu ne me juges pas et que tu n’en parles pas à Tomoko.

— Ok.

Nous avions passé environ 40 minutes, de sexshop en sexhop, magazines érotiques, objets sexuels, discussions sur le sexe, à rigoler, à partager nos histoires et avis sur le sexe, tout cela m’avait excité à un point où je commençais à me faire des films et me voyais bien m’amuser avec Kagami. Je regardais sur ma montre, il était 2h 20 et je demanda à Kagami de me déposer.

Nous voilà donc garé à proximité de ma maison d’hébergement. Nous avions eu une brève discussion et je demanda le suivant :

— Tu es fatiguée ?

— Non, pas du tout, répondit-elle directement. Et toi ?

— Je dois te dire que je commence à ressentir la fatigue. Je peux encore tenir debout, mais plus a lextérieur. Si tu veux, tu me suis, on se fait un film, un jeu ou on discute, histoire de passer le temps et ensuite tu rentres chez toi.

— Je dirai que c’est une bonne idée pour clôturer la soirée, disait-elle en inclinant légèrement la tête.

Nous descendions en même temps de la voiture. Arrivé devant la porte d’entrée, j’ouvrais ce dernier de manière à faire le moins de bruit possible. Je lui demandais d’aller dans ma chambre le temps de nous faire une bonne tasse de thé et que je lui rejoindrai par la suite.

J’arrive dans ma chambre, elle était assise sur mon lit et visionnait mes photos sur mon ordinateur. Elle admirait les différents paysages des mes voyages à travers le monde. Je lui donna sa tasse et mis la mienne juste à côté d’elle, que je consomma aussi tôt. Ensuite, je pris une douche, me changea et je me sentais de nouveau frais! J’avais mis un simple short et un t-shirt. Je rejoins donc Kagami dans mon lit, je sentais bon, j’avais la peau douce, et jentrai avec cette fraîcheur sous ma couette. Pendant qu’elle me posait des questions sur chacune de mes photos, elle entra petit à petit sous la couette, tout en continuant notre discussion. Nous sommes arrivés à un point où nous étions collé, l’ordinateur était posé sur elle, j’étais allongé sur le coté, tandis qu’elle était allongé sur le dos. Je ne savais quoi faire, je me demandais si je devais tenter quelque chose ou laisser faire la situation. Pendant ce temps, elle continuait naïvement à regarder mes photos et de me poser des questions. Un moment elle effleura mon sexe avec sa main gauche, un silence régna pendant un bref instant, que je recouvris en lui posant des questions, puis elle refit le même geste quelques secondes plus tard. Je me rapprochais de sa joue gauche pendant qu’elle continuait de parler et je lui fis une bise, lui caressa l’épaule, ensuite le ventre. Je sentis un ventre plein plat, un ventre d’une sportif. Elle sourit et continua de parler comme si de rien n’était, pendant ce temps, mes bisous allaient de sa joue, à sa mâchoire pour ensuite atterrir sur son cou. Elle commençait à respirer de plus en plus vite, poussa un soupire de soulagement. Pendant qu’elle continuait de parler, elle caressait ma main, mon avant bras et fit un retour vers ma main. Je continuais mes bisous et lui pris par le menton pour rapprocher ses lèvres des miennes.

Me voilà enfin dans une position que je cherchais depuis quelques heures. Je déposais délicatement mon ordinateur pour nous faire plus de place. Je lui caressais le visage, la nuque, le dos pendant que mes lèvres et les siennes firent un. Il y avait des moments où elle jouait avec mes lèvres comme si c’était un pénis, dû à la différence de taille. Elle caressa mon torse et mon ventre et dit :

— Tu es sportif.

— Oui, je fais régulièrement du sport.

— J’aime beaucoup ton, ce n’est pas volumineux, c’est bien équilibré, c’est parfait !

Elle remonta mon t-shirt et lécha mon téton gauche. Ce qui me fit un peu rire, car c’était la première fois que l’on me le fit cela.

— Pourquoi tu ris, me demanda Kagami.

— C’est une sensation étrange, lui dis-je.

Je sentis brusquement sa main sur mon sexe, ensuite glissa l’autre main dans mon boxer. J’avais un peu sursauté, car son geste fit brusque et ses mains froides, ce qui lui fit un peu rire. Au plus elle me caressait le sexe, au plus ce dernier gagnait en centimètre. Elle arrêta de me caresser et souleva légèrement la couette pour analyser ce qu’elle touchait.

— Elle est grosse dit ! Et si foncée.

— C’est la première fois que tu vois un pénis de cette couleur ?

— En vrai, oui, disait-elle tout en continuant de regarder l’objet qu’elle admirait et tenait.

Elle me regarda de nouveau avec ces beaux yeux noirs en amende et nous continuons à nous embrasser. Cette sensation de me faire masturber et m’embrasser m’en jaillais à un point où j’avais envie de la pénétrer sauvagement et lui entendre crier. Mais mes colocataires étaient juste à côté. Elle me caressa ensuite vers une zone qui me donnera des frissons à vie : le bas du dos. Elle le faisait si bien, ces mains étaient chaudes cette fois-ci. Elle regarda de nouveau mon pénis.

— Elle est circoncis ?

— Oui.

— Ok. Et elle me fit une pipe. Très brève, mais assez pour continuer à me chauffer.

Après avoir joué avec ces lèvres comme il le fallait, je me suis dirigé en lui faisant des bisous vers le sud de son corps. Pendant que je parcourais son corps, elle caressa ma tête tout en me regardant et respira de plus en plus vite, jusqu’à ce que jatteins son minou. Poilu, ce qui ne me dérangea pas, même si je les préfère rasé, bien rasé !

Le contact entre ma langue et son clitoris l’amena directement au 7ème ciel. Elle appuya légèrement de force sur ma tête afin que je reste dans cette partie de son corps, elle gémissait, elle chuchotait en japonais, elle moulait, elle avait bon, elle ne voulait pas que j’arrête. Je lui faisais du bien et ça me faisait aussi du bien. Mon engin était aussi dur que du béton, j’avais envie de la sauter, là maintenant, tout de suite ! J’ai décidé de l’embrasser et de frotter mon pénis contre son clito. Elle mit mon « calibre » entre ses jambes, sans passer par la pénétration, elle voulait encore s’amuser avec son clitoris et ces lèvres du sud. Elle fit des légers va et vient, c’était à mon tour de gémir légèrement.

Je n’avais plus eu de rapport depuis au moins 3 mois, j’avais l’impression d’être très sensible, tout me faisait du bien, même lorsque ces lèvres effleurait mon oreille. J’étais aux anges.

J’avais aussi peur de jouir trop vite, du fait de cette ’’grève de sexe’’ mais d’un autre coté, j’avais faim ! Faim de sexe !

A force de frotter, mon pénis fit son entrée, juste le gland. C’était si chaud, si humide, j’avais tellement bon que je n’arrivais plus à ouvrir mes yeux. Elle me serra fort contre elle et chuchota à l’oreille :

— Vas y doucement, je n’ai pas l’habitude avec des grosses bites.

— Je ferai tout ce que tu me demanderas.

Je fis de nouveau légers va et vient, dans le but de ne pas trop lui faire de mal. Elle moulait tellement, qu’après une dizaine de secondes j’étais à 80% en elle. Elle commençait à se soumettre à mes désirs. Je lui mit ensuite sur le dos, mit ses jambes sur mes épaules et fit des va et vient. Elle me fixa droit dans les yeux, je me sentais maître de la situation. A cette instant, elle était sous ma domination. Plus elle me regardait, plus ça m’excitait et plus j’accélérais. Elle gémissait, poussa des léger cris, me caresser le dos, me griffait de temps en temps les épaules et continua de me fixer. J’avais tellement bon, que jaccélérais de nouveau mes aller-et-retours et j’étais à 100% en elle. Qu’est-ce que cette Japonaise me faisait du bien. Tout d’un coup, je sentis une montée dadrénaline, j’avais envie de jouir et je m’arrêta net ! Elle ne comprit pas mon geste.

— Ça va, me demanda cette belle Japonaise en chuchotant.

— Oui, ça va. Ça va tellement bien que j’ai envie de jouir.

— Déjà ?

— Ne t’inquiète, si ça arrive, on continuera.

— Tu as intérêt, dit-elle. J’ai encore beaucoup d’énergie à évacuer, dit-elle toujours en me fixant. Elle me mangeait littéralement du regard. Je n’avais jamais vécu cela.

— Crois moi, tu dormiras toute la journée demain.

Toujours les jambes sur mes épaules, je soulève Kagami et je lui colla contre le mur. Elle ne s’attendait pas du tout à ça. Je men foutais, car c’était moi le patron, alors je continuais mes va-et-vient, cette fois-ci bien plus violemment, plus sauvagement, elle gémissait sans s’arrêtait, jusqu’à en crier. Je transpirais, cela ne lui dérangeait pas du tout. Elle collait son visage contre le mien. Je mis ma main sur sa bouche et j’y allais. J’avais l’impression que son vagin me massait la bite, tellement c’était serré à l’intérieur. Je sentis ces muscles me caresser les 18cm de mon pénis. Ladrénaline fit son retour et me voilà en train de verser ma sauce en elle. J’étais égoïste à ce moment, j’aurai pu me retirer, mais j’avais juste envie de jouir en elle, car c’était bon. Trop bon ! Excessivement bon !

Elle me sentit jouir en elle, car je serrais Kagami fort contre moi, je lui mordais légèrement l’épaule gauche, laissant un suçon. Une partie de mon sperme versait vers mon pénis, sur le sol, je sortis mon pénis de son trou et déposa délicatement Kagami sur mon lit. Elle prit un miroir et analysa son vagin, pendant que moi je nettoyais ma bite. Elle me regarda en souriant et me dit :

— Tu as fait du bon boulot, dit-elle en jouant avec son vagin et mon sperme.

— Désolé de n’avoir pas tenue aussi longtemps, j’étais vraiment surexcité.

— Ne t’inquiète pas, je suis en congé. Ce qui veut dire que j’ai du temps à tuer, dit elle avec un regard de salope. Tu as un sacrée machin là, tu m’as fait jouir à deux reprises.

— Ah bon ? fis-je étonnée.

— Oui, dit-elle toujours en regardant dans ce miroir. Dis moi lorsque tu es prêt pour la deuxième partie.

— Je vais boire un verre de jus d’orange et je remonte.

Il devait être 3h 15 ou 3h 30. Me voilà à poil en direction de la cuisine, j’avais besoin de me recharger un peu. Je bus ce jus d’orange et remonta dans ma chambre. Elle était allongée, en train de m’attendre. Je regardais Kagami, je l’admirais, elle était si belle, elle avait de si beaux cheveux noirs brillant, un corps magnifique, des petits seins mignons et un regard qui donnait envie de la punir. Je suis en train de sauter une cougar japonaise. La classe !

Je ferma la porte derrière moi, mais cette fois-ci à clé.

Je rejoins Kagami en souriant et écarta ces jambes pour de nouveau jouer avec son clito tout en l’embrassant. Qu’est-ce qu’elle était chaude, elle faisait tout ce que je lui ordonnais corporellement. Son minou était aussi bien humide par elle, mais aussi à cause de mon sperme. Pendant que je m’amusais avec sa bouche et son cou, elle glissa mon engin en elle. Je poussa un léger cris de soulagement. Elle sourit et me fit un bisou. Elle me dit ensuite :

— Je suis à toi ce soir, fais ce que tu veux !

Et je lui répondit par excitation : ’’Je te baiserai jusqu’à fatiguer’’.

Nous revoilà parti pour une partie de jambe en l’air qui durera environ 40 minutes. C’était pour moi, une première avec une Japonaise, mais pas la dernière et ni la dernière avec Kagami.

Le lendemain, ou plutôt des heures plus tard, je fis tellement fatigué que je me réveilla à 15h. Mais Kagami n’ était à mes cotés.

Suite….

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