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Buridan – Chapitre 1

Buridan - Chapitre 1



J’ai mis de lordre dans mes archives. J’ai trouvé, caché sous le dernier dossier celui de Buridan. Soit disant un âne hésitant. Ouaip. Je connais surtout sa patronne, une fille grecque pas mal du tout. Sous prétexte de nourrir son bourricot, elle le promenait dans les champs près des bois. Elle sarrêtait souvent, entrait dans une clairière, se mettait nue (ce qui n’était pas difficile avec la tunique brodée en bas). Elle dansait les bras levés vers le ciel. Ses seins tressautaient en cadence. Elle attendait simplement que son copain officiel vienne la voir. Elle aimait le  Grand-général-commandant-en-chef-Jambe-de-Bouc » , le chef satyre de lendroit.

Elle l’avait connu un soir, pas hasard en revenant d’une boum que des copains avaient organisée. Elle était encore sous le choc de la musique de l’époque (sirtaki première époque, avec un orchestie de bouzoukis basses, les plus sonores, pas encore électrique = EDF était loin d’exister), et des pré-caresses d’un nouveau venu dans le village (danse joues contre joues).

Donc troublée, elle était prête à écouter les premiers bobards.

Ce genre de personnage n’avaient aucun scrupules à entreprendre lourdement une jeune femme, même vierge (ce n’était pas le cas de notre héroïne qui avait été dépucelée par….. Hors de propo, on s’en fout). Donc il s’était mis juste devant la douce jeune fille qui la tête en l’air ne pensait sûrement pas à lui. Pensez à sa surprise de voir un mi homme, mi bouc, mi lion, devant elle. (je sais il est impossible de faire tenir 3 demis dans un animal fabuleux, c’est justement parce qu’il est fabuleux…incapable du bulbe). Donc, comme vous étonnée, espantée, elle regarde l’être vivant devant elle. Elle remarque que la nature la bien doté de ce qu’il faut pour la reproduction (un belle queue).

C’est bien une manie féminine de regarder toujours, dans mes récits hautement historique, la bite qui vient en face. Elle ne changeront jamais ses filles, curieuses de tout et de rien. Là, il y avait, la fille curieuse voulait satisfaire sa curiosité : une telle bite, aussi belle, aussi appétissante, en plus avec des couilles parfaites, aussi désirable ne pouvait absolument pas exister et pourtant elle en avait une devant les yeux.

C’est là que la curiosité l’emporte. Il lui faut vérifier par une autre sens que la vue, la réalité. Le toucher va bien alors, elle porte la main dessus. Elle sens le frisson particulier de ce genre de bête, enfin de satyre. Un homme regarde la main qui le tripote, un satyre en fait autant.

Il regarde avec reconnaissance la main qui cherche à faire elle tour de la bite. La femme instruite des plaisirs quelle peut donner en profite. Elle masturbe la queue. Lui, il approuve en bon que plus tard, bien plus tard, satyre, que voulez vous qu’il fit ? Hein ? Comme tout homme, il bande. Fière de son exploit, elle continue, elle sait que la bite va lui donner un bon liquide chaud.

« Hola, mortelle, ne me branle pas, donne moi ton machin, plus tot. »

«  Quel machin, j’en ai plusieurs, un devant un derrière un autre … »

« Quand tu baise tu donne quoi, manante (déjà les gros mots).

«  Je donne ma chatte »

«  Quoi, un minet, j’ai horreur des minets, je préfère les chiens. »

Et voilà, à l’époque l’éternel question : chien ou chat. La question est réglé quand le satyre entraîne sa nouvelle connaissance dans la forêt, là où elle revient.

Sous les feuilles vertes pastels, sous les ramages des oiseaux, sous l’ombre propice des grands arbres complices, sur la douce mousse verte, ils se laissent aller à des pulsions normale de nos jours, moins de leur temps. En un mot comme en cent : ils baisent. Comble du raffinement, c’est elle qui est sur lui, c’est elle qui baise, qui prend toute la queue dans son con. Il faut croire qu’elle souffre beaucoup, elle n’arrête pas de gémir. Ça doit lui faire très mal puisquelle se retourne pour l’avoir derrière. Après on veut nous faire croire que se sont nous les hommes qui insistons pour sodomiser les filles. Mensonge éhontés (moi, par exemple c’est ma femme qui m’a dem..) Passons,

Celle qui nous intéresse , seule se met la bite dans le cul. Elle doit en souffrir toujours à entendre ses gémissements.

Plus tard elle demandait à son père de la marier à Satyre. Effrayé il refuse, c’est pour ça  que plus tard, bien plus tard, vieille fille elle est toujours dans les bois avec son amant.

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