Salut c’est votre folle de lycra
Dans le chapitre précédent je vous racontais comment Sophie et moi avions fait connaissance avec notre voisine Marie. Nous l’avions rencontrée dans l’ascenseur, elle nous a perturbé ma femme et moi. C’est Sophie qui la première a craqué sous le charme et le pouvoir irrésistible de notre voisine, le plus bizarre c’est qu’à chaque fois, Marie me faisait des commentaires sur ma femme dans l’ascenseur, quand je descendais travailler. En fait elle s’arrangeait à remonter le soir avec ma femme et c’est ainsi qu’elle a courtisé ma belle. Le plus excitant c’est que Sophie me racontait ce qui se passait entre elles, il y avait un côté érotique et excitant qui faisait que le soir maintenant nous faisions l’amour en pensant à Marie. Cette voisine perturbait nos idées du matin au soir, elle savait ce qu’elle faisait et sa cible était ma femme. Un soir alors que je faisais la bise à ma chérie, j’ai découvert qu’elle sentait le minou, et pas le sien, elle m’a expliqué ce qui s’était passé, un récit très érotique. Un soir ma femme accusait une heure de retard qu’elle m’avait annoncé par un petit mot, mais ensuite je me suis inquiété et lui ai envoyé un SMS, là, stupéfaction elle était chez la voisine.
À vingt heures je suis parti à la recherche de l’appartement de Marie, pour voir quand j’allais récupérer ma femme. Oh surprise, c’est Sophie qui m’a accueilli à poil chez notre voisine, elle m’a invité à rester à condition que je me foute à poil sous une douce robe longue, chose que j’ai refusé et je suis redescendu. Deux heures plus tard je suis remonté et ce coup-ci c’est Marie qui m’a accueilli vêtue d’une très douce robe longue. Après une paire de claques je me retrouvais nu vêtu de la fameuse robe longue.
— Ta femme avait raison c’est vrai que tu portes des bodies en lycra.
— On dirait pas quand on te voit que tu es une petite soumise.
— Chérie, viens mettre un collier à ton mari.
— Ta femme et moi allons t’apprendre à me bouffer la moule.
— Tout compte fait, vu que ton body est quand même super mignon enfile-le pour la suite de ton aventure
J’étais comme hypnotisé par les propos de notre voisine, pendant ce temps, ma femme était en train de me mettre un gros collier en cuir autour du cou. Quand je suis arrivé dans la chambre cela sentait le minou comme vous n’imaginez pas. Marie s’est assise sur son lit jambes écartées, j’étais pressé de plonger entre ses jambes.
— Mets-toi à genoux entre mes jambes ma belle.
— Montre-moi comment tu t’en sors pour faire du bien à une femme avec ta langue
Cela me faisait tout drôle qu’elle parle de moi au féminin mais je me suis exécuté, pendant que j’étais en train de m’agenouiller, ma femme était en train de me caresser à travers la robe et le body. Ça allait être la première fois que j’allais faire du bien à une autre femme que Sophie avec ma langue, en effet ma femme était ma première rencontre. Marie m’a fait plonger sous sa robe, j’étais tout excité de pouvoir poser ma langue sur ce minou qui suintait énormément. À travers ma douce et fine robe elle m’a saisi par les oreilles pour me plaquer bien contre son abricot, je n’ai pas rouspété, je me suis exécuté. J’ai commencé à donner des coups de langue et j’ai découvert que le goût était beaucoup plus fort que celui de ma femme mais il était tout autant aphrodisiaque. Pas besoin du poppers avec une telle cyprine, les caresses de ma femme faisaient que j’avais envie de lui faire l’amour tout comme à Marie.
— Caresse-lui le cul, je suis sûre que c’est une salope de ce côté-là.
Ma femme a un peu espacé ses caresses pour pouvoir embrasser la femme à qui je broutais le minou, j’aimais beaucoup la façon dont Marie me traitait.
— Sophie va me chercher la cravache, je veux le motiver à ce qu’il me fasse jouir avec sa langue, lui aussi.
De tels propos m’ont incité à m’appliquer pour essayer de lui donner du plaisir. Ma langue allait maintenant du haut de son clito jusqu’à son périnée et il m’arrivait même de lui toucher son petit trou. Après une analyse pointue de sa sensibilité, j’en ai conclu qu’il fallait que je m’attarde de plus sur son clito. À chaque fois que ma langue restait à cet endroit, je sentais que Marie tressaillait de plaisir, me retrouver offert à une femme devant la mienne, elle aussi l’était, avait quelque chose dhyper excitant. Maintenant Sophie avait trouvé la technique pour réussir à embrasser notre maîtresse en même temps qu’elle me chauffait mon petit cul.
— Finalement ton homme ne s’en sort pas si mal.
Pendant que Marie embrassait Sophie, elle en profitait pour me caresser le sexe et elle pouvait ainsi constater que ce dernier était de belle taille.
— Tu as de la chance Sophie, ton homme est un véritable étalon.
— Mais moi je ne cherche pas un étalon, je cherche une petite pédale qui me bouffe la moule quand je lui demande et que je puisse sodomiser quand je le désire.
Je pouvais en conclure que Marie avait projet de me défoncer le petit trou, est-ce qu’elle l’avait déjà fait à ma femme. À force de lui butiner la friandise, Marie s’est mise à jouir assez violemment et surtout bruyamment.
Je me suis retrouvé à prendre des coups de cravache juste parce qu’elle venait de jouir, pendant ce temps-là Sophie me caressait l’entre-deux fesses, pour mon plus grand plaisir et embrassait Marie pour essayer de la faire taire. Pour la première fois de notre vie, Sophie et moi venions de remplir le rôle de jouets sexuels auprès d’une femme. Désormais à chaque fois que je descendrai le matin à la voiture, ou en ascenseur, notre voisine me regardera d’une façon dominatrice, il y a des chances à ce qu’elle m’oblige à baisser les yeux à chaque fois que je la croiserai. Par contre du côté de Sophie, il fallait que je me fasse une raison, mon petit doigt me disait quelle allait souvent rentrer tard le soir.
— Je suis contente Sophie, tu t’occupes très bien de moi.
— Pour ce qui est de ta petite pédale de mari, il y a un très gros potentiel.
— Ne te fais aucune illusion, même si tu bandes comme un cerf, tu ne me pénètreras jamais.
Cela avait le mérite d’être direct et de ne pas tourner autour du pot.
Vous n’imaginez pas comment cela sentait le sexe sur le lit dans la chambre. À force de me caresser à travers la robe, Marie a réussi à me faire éjaculer dans cette dernière, je me suis étonné à voir la quantité de semence que je déversais. Cela me faisait tout drôle car c’était la première fois que j’éjaculais alors que j’étais habillé en femme, mon visage sentait le minou de la maîtresse de ma femme et mon petit cul rêvait de se faire visiter. À voir les petits yeux de ma femme, je savais qu’elle avait déjà joui avant que j’arrive, mais notre maîtresse voulait qu’elle jouisse en ma présence. Marie m’a écarté du lit et a fait allonger ma femme pour se mettre à lui manger sa friandise, je n’avais jamais vu ma femme à ce point obéissante et qui plus est sous les ordres d’une femme. Marie est passée à l’action et, à ma grande surprise, Sophie était hypersensible du clitoris ce qui n’était pas le cas quand nous étions ensemble.
— Viens embrasser ta femme ma chérie car il y a des chances qu’elle se mette à crier dans peu de temps.
Cela me faisait tout drôle que notre maîtresse parle de moi au féminin.
Bien évidemment ma femme s’est mise à jouir de façon très intense et heureusement que j’étais là pour la faire taire avec mes baisers. Il devait être minuit quand nous nous sommes effondrés après notre partie de sexe sans tabou. Marie nous a invités à dormir sur place, bien évidemment cela m’a fait tout drôle quand j’ai vu que Sophie dormait au milieu de nous. Marie avait une main sur son minou alors que moi j’en avais une sur sa poitrine, tout le sperme qui était parti dans la robe collait maintenant à mes poils pubiens. Pour la première fois de ma vie, j’allais m’endormir habillé en femme, manifestement mon sexe avait l’air de bien aimer. Excepté ma queue qui traînait entre les jambes, j’avais quand même l’impression de me sentir femme vu comment j’étais traité par Marie et comment j’avais été sollicité par elle et Sophie. À force de croiser ma voisine dans l’ascenseur et d’essayer de l’étudier, je me doutais bien qu’elle était un peu dans ce genre. Maintenant ma femme et moi étions à sa totale merci et je ne serai pas étonné qu’elle nous ait filmés à faire notre partie de jambes en l’air.
Moi qui n’étais pas vraiment insensible aux odeurs intimes de ma femme, là j’étais comblée j’avais double ration et c’est ainsi que je me suis endormi. Quand je me suis réveillé, j’avais l’impression d’avoir vécu un mauvais rêve, cela m’a fait tout drôle de me réveiller dans une tenue féminine, mais surtout à côté de ma femme et aussi d’une autre femme; notre voisine tout aussi dénudée. Avec toutes ces odeurs intimes, mes narines étaient excitées comme ma tête et mon sexe, j’avais une grosse envie de pénétrer ces deux femmes. Quand j’ai vu dans quelle tenue j’étais, cela m’a rapidement calmé mes ardeurs d’étalon. Peu de temps après moi, c’est ma voisine qui a émergé de son sommeil profond, pendant que ma femme était toujours très très loin, mais mon petit doigt me dit qu’elle s’était beaucoup dépensée hier soir.
— Ça y est ma petite chérie a repris des forces.
Cela me faisait vraiment bizarre que Marie me parle ainsi au féminin et avec une telle familiarité.
Elle s’est levée, puis est venue me chercher de l’autre côté du lit en faisant attention à ce que nous ne fassions pas trop de bruit pour laisser ma femme dormir. Elle m’a emmené dans la salle de bain pour me faire enfiler un collant fendu, tel un automate je me suis laissé faire, en même temps c’était très agréable. Sentir mes deux jambes se frotter l’une contre l’autre avait tendance à m’émoustiller avec ce collant tout doux. J’avais l’impression que notre voisine me connaissait mieux que je ne me connaissais moi, quelle n’a pas été ma surprise quand elle m’a emmené dans l’entrée pour me faire essayer des escarpins qui étaient pile-poil à ma taille car nous avions la même pointure.
— Un autre jour, je te ferai essayer des cuissardes car tu as des petits mollets et je pense que cela doit rentrer dedans.
Jamais, hier matin, je n’aurais cru que je finirai dans une telle tenue, et pourtant je me sentais bien maintenant dedans. Entre les escarpins et le collant, ajoutez à cela ma douce et longue robe, je trouve que mon corps était bien mis en valeur.
Finalement mon corps était un peu androgyne, car effectivement si on retirait le sexe, avec une perruque je pouvais parfaitement remplir le rôle d’une femme. En même temps, ma passion première était de faire l’amour à ma femme et maintenant accessoirement à la voisine; même si j’étais mal parti pour avoir l’autorisation de la pénétrer. Nous sommes sortis sans faire de bruit et avons laissé Sophie dans les bras de Morphée pendant que moi j’étais comme un con perché sur mes escarpins. À ma grande surprise je me suis rapidement habituée à tel point que quand je me suis retrouvé dans la cuisine avec Marie pour prendre le petit-déj je ne sentais même plus mes escarpins.
— J’ai l’impression mon chéri, que tu es en train de te découvrir une nouvelle passion.
— Tu aimes bien te promener en femme on dirait.
Je préférais ne pas relever sur de tels commentaires, j’avais peur que mes réponses se retournent contre moi.
— Il n’y a pas de doute ta femme est bisexuelle.
— Hier je l’ai fait jouir comme tu n’imagines pas et elle est très obéissante.
— Vous êtes fait pour être ensemble, car toi aussi tu es un peu soumis.
Nous étions à table en train de prendre notre petit déjeuner, Marie se mettait le doigt dans le minou et me le donnait régulièrement à sucer. Je ne sais pas si c’était de la gourmandise ou de la soumission toujours est-il que je prenais à chaque fois en bouche son doigt plein de mouille. Il y avait un côté sensuel, érotique et excitant que notre voisine avait l’air de beaucoup apprécier.
— Je voudrais que tu te masturbes devant moi à travers ta robe.
Avec ma réponse négative, j’avais l’air d’un con car j’avais une érection monstrueuse, j’ai fini par obtempérer quand Marie est partie chercher la cravache. Cela était vraiment d’une grande douceur que de se caresser le sexe à travers du lycra. C’est Marie qui s’est chargée de libérer mon sexe de mon body, elle a ainsi pu constater combien je la désirais. C’est elle qui a commencé à me masturber avec beaucoup de délicatesse elle m’a laissé prendre le relais. Notre voisine m’a ensuite fait mettre debout et que je me mette face à elle et me masturbe ainsi. À ma grande surprise elle m’a fait cesser puis a glissé sa tête sous ma robe pour me faire une fellation divine.
Pour une femme qui ne voulait pas avoir de relation sexuelle avec un homme, elle s’accordait quelques écarts pour mon plus grand plaisir. Sa maîtrise de la turlutte laissait supposer qu’elle n’en était pas à sa première, elle jouait avec sa langue sur mon dard tout en vrillant la peau de mon sexe avec ses mains; c’était divin. Un coup sa langue virevoltait tout autour de mon dard et à d’autres moments elle venait effleurer chaque recoin sensible de mon Priape. Vu que nous n’avions pas pris de douche avant de nous endormir hier soir, il devait y avoir une sacrée odeur de sexe sous ma robe mais cela n’avait pas l’air de déranger ma voisine. Elle était là assise sur sa chaise de cuisine, la tête et les épaules dissimulées sous ma douce robe longue, occupée à me faire du bien. Elle avait l’air comme absorbée par mon sexe, je me suis permis de lui tenir la tête j’avais peur de sa réaction mais elle n’a rien dit. Je commençais à atteindre le point de non-retour, à savoir que j’étais sur le point d’éjaculer dans quelques instants maintenant.
Quand j’ai senti que cela allait partir, j’ai voulu lui retirer la tête de mon sexe mais elle s’est agrippée à mes fesses, elle ne voulait pas en perdre une goutte. Elle a continué à me sucer avec gourmandise, comme si de rien était, pendant que je lui balançais ma liqueur au fond de la gorge. Je faisais attention à ne pas crier pour ne pas réveiller ma femme, mais je soupirai très fort, maintenant je tenais à nouveau la tête de Marie pour qu’elle me pompe les dernières gouttes. Elle m’a effectivement vidé les burettes, mais elle a continué à me sucer encore plusieurs minutes après, jusqu’à ce que cela devienne insupportable tellement mon sexe était sensible. Elle savait ce qu’elle faisait en agissant ainsi et elle a fini par accepter de me libérer le sexe alors que je n’en pouvais plus de sa fellation.
— Tu sais, je n’ai pas fait souvent de fellation, mais tu me faisais très envie.
— Te voir ainsi habillé en femme avec ta belle érection, ne me laisse pas indifférent.
— Il va falloir que je trouve de quoi métamorphoser complètement.
Compte tenu du fait que j’étais chez elle, avec ma femme et qu’elle faisait de moi une femelle soumise et offerte; je ne voyais pas vraiment l’intérêt de me travestir ainsi. Que voulait-elle dire par "me métamorphoser complètement"? Quand elle est réapparue de sous ma robe, elle avait un regard satisfait mais surtout coquin, il n’y avait pas de doute, elle avait tout avalé. Elle s’est redonné une allure présentable puis m’a invité à tourner sur moi-même avant de me faire prendre des poses suggestives. Je me prenais au jeu même si ma virilité en prenait un sacré coup, je trouvais amusant de faire la femme devant une vraie femme. Elle s’est absentée pour revenir avec de quoi me maquiller, une perruque avec cheveux raides mi-longs et de quoi me raser.
— Après avoir fait la vaisselle, tu vas te raser de près.
— Ensuite, je vais te mettre la perruque et te maquiller, tu vas voir, je suis sûre que le résultat va être magnifique.
Je ne voyais rien à redire à ce programme, tant je me sentais sous l’emprise de Marie; qu’allait penser de moi ma femme quand, à son réveil, elle me verrait ainsi accoutré. Une fois la vaisselle faite et rasée de près, notre voisine m’a pris en main, en soumis que je venais de devenir, je me suis laissé faire.
Ayant les cheveux assez longs, elle a dû me les attacher, avant d’y fixer les faux cheveux qui me descendaient jusqu’à la poitrine. Une fois la perruque fixée, le résultat était stupéfiant, je me suis regardé dans la glace, cela m’a fait tout drôle, je me suis senti femme pour la première fois de ma vie. Ensuite Marie a décidé de me maquiller et bien évidemment je me suis laissé faire. Heureusement sur le visage, je n’avais pas le système pileux bien développé, sur le reste du corps non plus à vrai dire. Au fur et à mesure qu’elle progressait, elle me faisait me regarder dans un petit miroir, je ne me reconnaissais plus. Au bout d’une bonne demi-heure, notre voisine a estimé que le travail était fini, il n’y avait plus aucune trace de l’homme qui était en moi j’étais devenu une véritable femme. C’était plus fort que moi maintenant, j’essayais de prendre des postures les plus féminines possible, Marie souriait à me voir ainsi. Le paradoxe c’est que plus je me sentais femme, plus cela me procurait une érection de plus en plus grosse.
Maintenant Marie était venue se coller à moi et elle m’embrassait et me caressait à travers la tenue féminine. C’est à ce moment-là que Sophie est arrivée discrètement, mais surtout la tête encore dans les nuages. Cela n’avait pas du tout l’air de la déranger que je sois en train d’embrasser notre voisine à tel point qu’elle est venue dans mon dos pour me caresser les fesses.
— Ma chérie, le résultat est stupéfiant.
— Tu as fait de mon homme une véritable petite minette.
J’étais vraiment flatté du compliment, mais les caresses de ma femme étaient en train de me donner envie de pénétrer Marie, je donnais des coups de reins dans le vide. Au bout de quelques minutes de ce petit jeu, Marie a invité ma femme à s’asseoir sur la table et bien écarter les jambes, pour que je lui mange son minou. Désormais nous étions trois femmes dans la maison et je ne me suis pas fait prier pour aller faire une toilette intime et matinale à ma femme.
Je n’avais juste qu’à me pencher pour accéder à la source de cyprine de Sophie, par contre dans cette position mon petit cul était offert et Marie ne s’est pas privée de venir me le titiller. À ma grande honte, j’adorais les caresses qu’elle me prodiguait et j’avais envie qu’elle aille toujours plus loin. Au début, elle se limitait à des caresses, mais rapidement un doigt, puis deux, puis trois ont réussi à se positionner dans mon petit trou. J’adorais cette sensation, d’autant que j’avais la tête sous la robe de ma femme, je ne voyais pas ce que me faisait notre voisine. J’ai juste constaté qu’à un moment, ses doigts se sont retirés au profit d’autres choses, il m’a fallu quand même quelques instants pour réaliser que j’étais en train de me faire sodomiser par Marie. Elle s’était maintenant accrochée à mes anches et me donnait des coups de reins, comme je le faisais quelques instants auparavant, pour essayer d’aller toujours plus loin en moi. Marie avait fait de moi une femelle et elle me traitait désormais comme tel.
En espérant que ce chapitre vous ait satisfait.
Gros bisous à vous