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plaisir solitaire à deux – Chapitre 1

plaisir solitaire à deux - Chapitre 1



Je suis dirigeant d’un club de hand, ce qui fait que j’ai les clés du club house. Parfois j’en profite pour utiliser les toilettes de temps en temps. Le club house est un bâtiment à l’entrée du complexe sportif. Dans les toilettes, la seule ouverture est une fenêtre située à 1.8m du sol.

Ce midi, je suis allé faire quelques courses en mangeant un fast-food, et je ressens le besoin d’évacuer le soda. Donc, comme je le fais très souvent je passe au club house pour utiliser les toilettes.

Je m’assois le plus souvent, même pour uriner, je trouve cela plus confortable et évite les projections d’urines trop fréquentes chez nous autres les pisse-debout.

J’en profite pour regarder mon smart phone et venir sur ce site lire quelques histoires. Rapidement, je sens mon sexe gonfler, à la lecture d’un récit bien ficelé. J’en lis donc un second et c’est désormais une petite érection qu’affiche mon sexe. Assis sur la cuvette, je me redresse et entame une masturbation très tranquille. La seconde histoire et les gestes précis de ma main finissent de transformer mon sexe durcissant en une belle queue dressée au gland luisant et bien gonflé.

Sous le coup de l’excitation, je retire mes chaussures, chaussettes et mon pantalon, dans lequel mon caleçon est resté, j’ôte aussi mon pull : je suis cul nu avec pour seul vêtement mon polo. Je trouve cela très excitant. Je suis debout face à la petite fenêtre et regarde vers l’extérieur.

Je vois une femme de ménage, en robe avec des bottes noires. Je m’imagine en train de me faire sucer par cette quinquagénaire loin des standards de beauté. Elle disparaît de mon champ de vision. Puis à l’opposé, je vois apparaître trois jeunes femmes d’une vingtaine d’années. Je m’imagine nu, soumis à leurs caresses. Elles complètement habillées me branlant et me caressant les couilles et les fesses.

Je me branle énergiquement. Ma queue est raide, veinée et mes couilles qui pendent un peu dansent la chamade au rythme de mes va-et-vient.

J’aime ses moments de plaisirs solitaires, et le fait d’être nu ou presque à quelques mètres de ces femmes décuple mon excitation, même si elles ne me voient pas et qu’elles ignorent même mon existence.

C’est à ce moment que je vois Sabine passer en courant. C’est la maman d’un jeune joueur que j’ai entraîné. Elle a une petite quarantaine, un fessier un peu rond, brune assez petite elle a une paire de seins assez molle qui danse à chaque pas qu’elle fait. Ce n’est pas un top-modèle mais elle a beaucoup de charme et pour avoir discuté de nombreuses fois avec elle : elle aime séduire.

Je la regarde passer, son cul moulé dans un pantalon en coton et lui rentrant dans les fesses. Je me branle de plus belle je m’imagine la prendre en levrette et agiter ses seins et ses fesses de la même manière mais à grands coups de bite.

Je reprends mon téléphone et je me connecte sur un site avec des photos pornos. Et je tape en recherche « MILF ». Forcément mon excitation monte encore d’un cran : des blanches, des blacks, des blondes, des brunes, des rousses, petits seins ou pas, petits culs ou pas… Je fais partie de ces hommes qui pourraient coucher avec n’importe quelle femme à partir du moment où elle prend le temps de séduire. De toute façon j’aime me branler.

Je bascule mon bassin en avant et accélère le mouvement jusqu’à sentir le jus monter dans ma queue, et j’arrête net. Le temps de laisser le tout retomber, juste pour faire durer le plaisir.

Je crache dans ma main, et reprends la branlette à un rythme d’enfer. Du coin de l’il je perçois un mouvement : cette salope de Sabine vient de nouveau remuer son bon cul sous ma fenêtre. J’aimerais jouir sur son cul et la laisser finir son footing avec le cul couvert de foutre à la vue de tous.

Les images sur mon téléphone se succèdent et dans ma tête aussi. Mes couilles battent la chamade suivant la vitesse de ma masturbation.

Je suis excité au possible et je sens que je ne vais pas tarder à cracher !

Je saisis un peu de papier toilette pour me répandre. Je fais de nouveau face à la fenêtre, et je vois cette salope de Sabine qui me tourne le dos elle commence une séance d’étirements. Les jambes écartées elle descend pour toucher la pointe de ses pieds. Elle est tout au plus à six mètres de moi et je peux clairement distinguer les coutures de son string sur son cul et aussi la fente de son sexe dans laquelle rente le tissu ! Putain le top ! Je vais jouir en matant cette cochonne innocente qui s’exhibe à quelques mètres de moi. Elle se tourne et est maintenant de profil. Elle pose son pied sur la lisse en bois et se penche en avant. Dans cette position je me vois bien la besogner de trois quarts en lui mettant de grands coups de pine au plus profond de son ventre. Je suis au bord de l’explosion. Je vais jouir dans le lavabo situé juste sous la fenêtre.

Elle me fait face maintenant. Je m’imagine lui faire une belle faciale, salir ses belles boucles brunes déjà trempées de sueur. La chaleur me monte autant au visage que dans ma bite raide à faire mal. Elle arbore un sourire qui finit de me rendre dingue… Euh en fait c’est à moi qu’elle sourit…

Elle me fait un petit signe de tête, et je vois ses lèvres qui tentent de communiquer mais je n’entends rien. J’ouvre la fenêtre sans lâcher ma queue, mais mes mouvements sont discrets. Hors de question de se faire gauler ainsi.

— Salut Benoix, tu vas bien ?

— Oui et toi ?

— Super ! Je m’attendais à te voir courir, j’ai vu ta voiture sur le parking.

— Oh tu sais depuis que je ne fais plus de compétition je ne cours plus que derrière les filles…

— Et tu dois bien en trouver qui se laisse rattraper !

(Ne me conforte pas dans mon délire ! Si tu savais que je me branle…) Elle s’approche de la fenêtre et n’est plus qu’à un mètre de moi trop petite pour pouvoir soupçonner quoi que ce soit.

J’écarte un peu les jambes pour que mes boules puissent continuer à ballotter sans l’entrave de mes cuisses. Elles tapotent sur le froid de la faïence. J’adore ! Je vais doucement : la moindre accélération et je jouis !

Elle arbore son plus beau sourire ! Je glisserais bien ma bite entre ses lèvres charnues. Je vois ces tétons pointer sous le t-shirt. Elle m’excite grave, je suis à deux doigts de tout faire basculer.

— Et que fait un beau jeune homme comme toi tout seul à l’heure du repas.

— Et bien tu vois je me mets derrière ma fenêtre et je me masturbe en regardant les belles femmes comme toi.

Je vois à l’expression de son visage que je l’ai choquée, les mots lui manquent et le souffle aussi. Remarque ça la calme aussi cette allumeuse.

— Non je plaisante excuse-moi c’est de mauvais goût.

— – Ce n’est rien.

— Je suis venu bricoler deux ou trois trucs et j’ai les mains pleines de gras, alors je les lave avec insistance !

— OK…

Elle s’approche encore nos visages sont à 50 centimètres l’un de l’autre. Qu’est-ce que j’aimerais la baiser maintenant !… J’ai jeté un froid avec ma réflexion…

— L’espace d’un instant je t’ai cru sérieux concernant la masturbation !

— Haha… remarque, tu es une belle femme, tu dois sûrement inspirer quelques malheureux éconduits…

— Tu es bête !

Je sens le foutre monter dans ma tige. Je garde ce rythme lent. Je me tends vers l’avant comme si je visais son visage. Ses yeux sont plantés dans les miens et je jouis ! Je jouis fort et de là où moi je suis j’entends les giclées de foutre claquer sur le mur qui nous sépare. J’essaie de ne rien laisser transparaître de cet air niais qu’ont les hommes quand ils jouissent.

— Je vais y aller moi…

— Moi aussi, j’ai fini ce que j’avais à faire et je reprends à 13h30.

— Une douche et au boulot aussi !

— Je t’aurais bien proposé de t’aider mais je n’ai plus assez de temps… Je plaisante bien sûr

— Mais oui je sais que tu n’es pas comme ça !

(Si tu savais… et peut-être même que tu sais)

— Salut

— Oui au plaisir ma p’tite dame !

Elle se retourne, le pantalon rentré loin dans entre ses fesses, et elle part en roulant du cul, j’ai l’impression plus que d’habitude.

Je referme la fenêtre, la queue toujours raide. Il y a du sperme partout : le mur (et assez haut), le lavabo, le sol, ma main. Je regarde cette allumeuse partir en léchant le foutre que j’ai sur les doigts… quelle bonne branlette !

Un Coup de propre partout et je repars au boulot… Plus léger mais la queue puant le foutre… J’adore ça !

Merci Sabine !

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