Dimanche matin
Nous nous réveillons, plus exactement Rex nous réveille. Il est tôt. Justine se lève pour donner à manger au chien,. Moi je m’étire. Il fait beau. Je vais dehors. Justine prépare notre petit déjeuner. Nous le prenons toutes les deux dehors. Le chien est calme. Justine me dit qu’il est calme jusqu’à 9H après elle doit soccuper de lui.
Nous allons nous laver. Nous prenons notre temps. Nous nous aidons mutuellement. Justine a la peau douce. Je demande à Justine si elle sait ce que nous allons faire aujourd’hui. Elle est comme moi, elle ne le sait pas.
Je regarde lheure, il est est 8H50.
Je sors de la salle de bain. Rex se met devant moi. Il met sa truffe sur mon vide couille. Justine me dit que là, il a envie. Je sais, j’ai compris. Je vais sur la terrasse. Rex me suit. Il me pousse sur le cul. Je suis obligée de me mettre à quatre patte. Rex monte sur moi. Je sens sa queue qui cherche. Justine guide sa queue dans mon vide couille. Le chien me saillit. Sa queue me remplit. Il remue frénétiquement. Le nud grossit dans mon vide couille. Je suis remplie. Je mouille sous les coups de boutoir du chien.
Justine dit ; il est 9 H, je vais réveiller mon maître.
Moi, je suis là, saillis par le chien, sans pouvoir bouger. Mon maître ne va pas être content. Le chien se vide en moi et ne peut pas se retirer. On reste coller. Le temps passe. De toute façon, si je n’avais pas obéi à Rex, j’aurais été punie par mon maître. Peut être que mon maître sera compréhensif. Je sais que c’est faux mais des fois j’espère. En faîte, non, je ne le souhaite pas. J’aime que mon maître soit intransigeant.
A 9H15, je suis libre. Je me précipite dans la chambre et réveille mon maître en le suçant. Mon maître ouvre les yeux et me donne deux grandes claques sur les fesses.
— Tu es en retard, femelle, tu seras punie.
Je ne dis rien, cela est inutile. Mon maître m’ordonne de me mette en position. Je me mets à quatre patte. Le sperme du chien coule.
— Je vois que Rex s’est occupé de toi femelle.
Mon maître m ’encule sans ménagement, brutalement. Il ne s’occupe de rien, juste de son plaisir. Une fois fini, il se lève et me dit :
— Va te mettre à genoux sur la terrasse, mains dans le dos, cuisses écartées. Si le chien vient te voir, tu le suces. Et Interdiction de t’essuyer.
Je me lève et je vais me mettre en position au milieu de la terrasse. Je suis à genoux, cuisses écartées, droite, mains dans le dos. Les anneaux de mes grandes lèvres sont bien visible, ceux de mes mamelles tirent sur mes tétons. Le soleil chauffe ma peau. Je sais que mon maître va me laisser longtemps dans cette position. Il est très en colère.
Maître Michel arrive et me regarde :
— Ça sent la punition
— Cette chienne était en retard. Je la punis. Elle ne doit pas bouger à part pour sucer le chien. Regarde, elle a du sperme qui sort de ses trous, précise mon maître.
Je suis humiliée. Je pleure de honte d’avoir mis mon maître en colère.
Justine sert le petit déjeuner aux maîtres. Elle se met au pied de maître Michel. Plus personne ne fait attention à moi. C’est comme-ci j’étais un objet. Les maîtres discutent entre eux., maître Michel caressant la tête de Justine comme on le ferait pour un animal
A un moment mon maître se lève et me met une grande claque sur les fesses. Je suis surprise et je pousse un petit cri. Mon maître est parti dans la maison. Quand il revient, il me claque l’autre fesse et va sasseoir Ça y est j’ai compris. A chaque fois qu’ils passeront à coté de moi, je recevrai une claque sur les fesses ou ailleurs.
En effet quand maître Michel passe, il fait pareil. Cela dure un certain temps. Je n’ai aucune idée de l’heure. Je commence à avoir mal aux genoux.
Justine est allongée plus loin sur la pelouse, jambes écartées à se faire bronzer. Je n’entends plus les maîtres. Je ne sais pas où ils sont.
Rex s’approche de moi. C’est lui la cause de tout cela. Il commence à me renifler. Alors je me baisse , commence à le caresser. Rex se met sur le dos les pattes arrière ouvertes Je me penche et lui prends sa bite dans la bouche. A ce moment, deux claques arrivent sur mes fesses. Les maîtres sont derrière moi.
Je suce le chien jusqu’à ce qu’il éjacule. Les maîtres me claquent les fesses tout le temps que cela dure. Une fois fini, je me remets en position. Mes fesses me chauffent. Le sperme du chien coule un peu le long de mes lèvres.
Les maîtres vont voir Justine. Justine se mets à quatre patte. Mon maître encule Justine alors que maître Michel se fait sucer par elle. J’aimerais être à la place de Justine. Justine s’active sur le sexe de son maître. Je regarde mon maître, je le trouve beau, sûr de lui. Il domine la femelle qu’il est entrain d’enculer. J’aime mon maître. Quand maître Michel se vide dans la bouche de Justine, mon maître se retire de son cul et vient vers moi. Je dois lui nettoyer la queue avec ma bouche. Je m’applique pour que sa queue soit bien propre et que toute trace de merde est disparue.
On sonne, Justine se lève et va ouvrir. Estelle rentre dans le jardin. Elle ne me regarde pas et dit bonjour à nos maîtres.
La conversation s’engage entre eux.
Mon maître dit :
— Estelle, je te propose de fesser ma femelle. Elle a reçu déjà une petite fessée mais elle mérite une plus forte. Donc tu la fesses maintenant et tu la fesseras de nouveau après manger. Cela te convient ?
— Bien sur que ça me convient de fesser un gros cul comme ça.
Je frémis. J’ai déjà le cul rouge de la précédente fessée.
Estelle s’approche regarde mon cul.
Elle dit :
— En effet, vous avez déjà commencé.
— Oui, c’était juste un hors-duvre répond mon maître
Estelle caresse un peu mon fessier et me donne une claque sèche, elle recommence sur l’autre fesse.
Elle continue en variant l’intensité, le temps entre chaque claque. J’ai les fesses en feu. Des larmes coulent le long de mes joues. Estelle veux s’arrêter mais mon maître lui dit de continuer. Estelle frappe de plus belle, mon cul me fait mal. Mon maître se lève regarde mon cul.
— On va s’arrêter là. Elle a le cul cramoisi.
— J’ai adoré fesser ce gros cul, dit Estelle
Je reste à genoux au milieu de la terrasse, les mains dans le dos, et le cul écarlate. Mon maître félicite Estelle. C’est une bonne fesseuse.
-Regarde cette femelle, dit il, malgré le cul rouge, ses pleures, la cyprine coule de son vide couille. .
C’est vrai je mouillais malgré moi. Je pense qu’il n’y avait pas que la fessée, la punition y était aussi pour quelque chose. Cela faisait longtemps que je n’avais pas été punie comme cela. En faite, j’aime quand mon maître me punit. Il s’occupe de moi et ne laisse rien passer. J’aime sa sévérité.
Ils mangèrent, Justine s’occupant du service. Alors qu’elle servait Estelle, légèrement penchée sur la table, Estelle lui met une claque sur la fesse droite. Elle enchaîne aussitôt sur la fesse gauche. Les claques tombent sur le cul de Justine. Au début assez légères, pour faire rosir le cul, ensuite plus fortes. Je vois le cul de Justine rougir de plus en plus. Maître Michel dit à Justine de se caresser et de jouir. Elle se caresse pendant qu’Estelle la fesse et jouit. Estelle arrête ,elle a un grand sourire et les yeux brillants.
Le chien commence à roder à coté de moi de nouveau. Je me penche et le suce . Personne ne s’occupe de moi, ils ne font même pas attention à ce que je fais. Quand jai fini avec le chien, je me remets en position. J’ai mal aux genoux, j’ai faim et soif, mes anneaux tirent sur mes grandes lèvres et malgré tout je suis excitée.
Au café, mon maître m’appelle :
— mets toi à quatre patte à coté d’Estelle
Je mexécute. Mes fesses sont encore sensible de la précédente fessée mais je sais que vais en recevoir une autre.
Estelle qui est en jupe courte se met au-dessus de moi, debout, les jambes de chaque coté de mon dos. Elle commence. Bien sur, mon cul rougit immédiatement. Entre les coups, j’entends sa respiration changée. Les claques sont plus fortes, plus proches. Une claque plus forte que les autres et cela s’arrête.J’entends des petits gémissements. Je connais ce son, je l’ai déjà entendu. Estelle jouit de m’avoir fessée.
Je ne bouge pas. Estelle s’assoit sur mon dos. Elle sourit et se repose, heureuse, satisfaite. Enfin, elle se lève.
Mon maître m’ordonne de reprendre ma position. Je retourne au milieu de la terrasse en position.
Au bout d’ un moment mon maître m’appelle. Je m’approche vers lui à 4 pattes comme une bonne chienne.
— Va mettre ton short en jean et ton débardeur. Tu prends ton maillot de bain deux pièces blanc. On va aller faire un tour au lac en vélo.
Je vais dans la chambre, passe mon short. Il a une particularité, il a des boutons à l’entre-jambe. Je déboutonne l’entre-jambe ainsi mes anneaux passent. Je mets le débardeur blanc, il est trop grand. C’est fait exprès, c’est un choix de mon maître. Ainsi, mes mamelles sont bien visibles. Mon cul est encore un peu rouge mais surtout très sensible.
Quand je retourne sur la terrasse, mon maître a sorti les vélos. Justine et son maître ne sont pas encore prêt.
Ils ressortent de la maison. Justine est habillée d’un corsage transparent et d’une jupe qui arrive au ras des fesses. Elle grimace en marchant.
Estelle s’approche de Justine et soulève le pan de sa jupe pour regarder ce qu’elle porte dessous.
Elle a une ceinture de chasteté. Mais cette ceinture a un plus, elle a deux godes. Ces deux godes sont positionnés de tel façon que, quand on met la ceinture, les godes remplissent les deux trous.
Estelle rabat le pan de la jupe.
Nous nous approchons des vélos. Le mien est équipé différemment des autres. A la selle, il y a deux trous avec deux gods. Le god de devant est plus long. Mon maître actionne une manette et le god de devant sort sur toute sa longueur, celui de derrière, sort un peu. Je mets du lubrifiant sur les deux gods. J’enjambe le vélo, positionne mon vide couille sur le god de devant. Je sens le god rentrer en moi, m’emplir, alors que je suis presque arrivée, je sens l’autre god pousser sur mon sphincter. Mon maître prend mes anneaux pour les écartés. Je peux masseoir complètement sur la selle.
Une fois installée, je vois Justine qui s’installe difficilement sur son vélo. Tout le monde étant prêt, nous partons. Aussitôt que je roule, les gods se mettent à descendre et monter. Ils sont reliés à la roue arrière, même si j’arrête de pédaler, les gods continuent. C’est très dure de faire du vélo ainsi.
Le chien court à coté de nous. Nous en avons pour pratiquement une heure. Une heure a se faire prendre par deux gods, à sentir les gods dans son vide couille et son anus. Éprouvant et excitant.
Dans les côtes, mon maître m’aide en poussant mon vélo, pour les descentes je dois laisser mon vélo prendre de la vitesse. Les gods vont et viennent rapidement. Quand nous arrivons, je mouille, ma selle est trempée. Je descend de mon vélo. Mes jambes tremblent, j’ai envie de jouir.
Nous sommes dans un petit coin du lac tranquille et à l’écart de la foule. Une petite plage de sable, avec des fourrés . Il fait beau. Nous installons.
Je me change. Je me mets au milieu de la plage, me déshabille. Je vais prendre mon maillot de bain deux pièces dans le sac. Je range mon short et mon débardeur et seulement à ce moment je peux mettre mon maillot de bain.
Le haut du maillot est trop petit et cache très mal mes mamelles, le bas se résume à un petit triangle qui ne cache pratiquement rien surtout que mes anneaux dépassent sur les cotés et de ce fait mes grandes lèvres sont visibles.
Justine est entrain de se déshabiller, elle a enlevé sa jupe et son corsage, son maître enlève les cadenas de la ceinture de chasteté. Elle descend la ceinture. Je vois les gods sortirent de ses trous. Ils sont énormes. Je comprend pourquoi elle grimaçait. Une fois enlevés, elle met sont maillot une pièce en faisant attention que l’entrejambe rentre dans ses petites lèvres.
Nous installons au soleil. Estelle s’allonge à coté de nous. Elle est heureuse. Vios m:aîtres sont de vrais pervers, dit elle. Oui, lui repondis je, et nous aimons cela.
Nos maîtres nous disent d’aller nous baigner. Moi et Justine allons dans l’eau qui est encore un peu froide. Nous faisons quelques brasses et rejoignons le bord.
Quand nous arrivons à nos serviettes, Estelle nous dit : Ils sont bien vos maillots, non seulement ils ne cachent pas grand chose mais en plus quand ils sont mouillés, là on voit tout.
En effet, le mien devient pratiquement translucide, et on dirait que celui de Justine a rétréci. Il est si tendu que l’on voit ses tétons annelés, il lui rentre dans les fesses et les anneaux de ses lèvres dépassent largement.
Mon maître me fait un signe. Je m’approche, descends la fermeture de son boxer et commence à le sucer. Je suis à genoux dans le sable, mon maître est assis sur un banc. Justine vient à son tour sucer son maître. Nous sommes côte à côte dans la même position.
Alors que je suce mon maître je reçois une claque sur les fesses. Je sursaute. J’ai mal aux fesses.
J’entends un bruit de claque et je vois Justine sursauter.
Estelle se fait un plaisir de nous fesser pendant que nous suçons nos maîtres. Une queue dans la b ouche, les fesses qui rougissent et la cyprine qui mouille le maillot.
Enfin, nos maîtres se lèvent, se mettent derrière nous. Mon maître dit à Estelle :
tu n’as jamais vu jouir deux femelles en même temps. Regarde ces deux chiennes, on va les saillir et elles vont jouir en même temps quand on leur en donnera l’ordre.
Je sens la queue de mon maître envahir mon vide couille. Il n’a aucun mal à me saillir, je suis trempée. Justine pousse de petit cri de plaisir. Estelle est devant nous, assise sur le banc. Elle a baissé sa culotte. Elle est entrain de se branler.
Mon maître me pilonne, je suis au bord de la jouissance et j’attends l’ordre avec impatience. Lordre tant attendu arrive.
Justine cri plus fort et au même instant nous jouissons. C’est fort, c’est bon. Mon maître continue a remplir mon vide couille, il n’a pas encore jouit. Et je sens sa semence , sa queue raidit à son maximum. C’est bon.
Estelle a les yeux fermés, deux doigts dans sa chatte, un sur le clito. Mon maître me dit d’aller m’occuper d’elle, je dois la faire jouir.
J’écarte les mains d’ Estelle et je commence à la lécher, à mettre un doigts, puis deux, trois dans sa chatte et je les bouge, les tourne. Estelle mouille abondamment, alors je rentre le quatrième doigt. Je fais un va et vient avec ma main, décalotte le clito et pose mes lèvres dessus. J’aspire le clito, le relâche, recommence. L’effet est immédiat, Estelle se cabre et jouit.
Juste au moment ou Estelle jouit, j’aperçois une ombre dans un bosquet. Je le dis à mon maître. Il rit. Laisse le, répondit il, cela va lui faire du bien et comme cela il pourra se branler longtemps sur ces images.
Une fois revenu au calme, on s’allonge pour se reposer. Rex est fatigué et nous laisse tranquille. Après ce repos bien mérité, nous devons repartir.
Maître Michel sort la ceinture de chasteté. Justine la prend et mes les deux énormes gods en face de ses trous. Même bien lubrifiés, ils ont du mal à rentrer. Tout doucement , ils s’enfoncent en elle.
C’est difficile mais il rentre. Elle fait un peu de va et vient pour qu’ils coulissent plus facilement. Une fois rentrés, elle ferme la ceinture et maître Michel lui met deux cadenas. Elle ne peut plus l’enlever.
Elle passe sa robe. Estelle a regardé Justine. Je me demande si elle n’est pas envieuse.
Nous remontons sur les vélos. Les gods reprennent leur travail. Je les sens en moi. Ils montent et descendent alternativement. Le retour est plus difficile que l’aller. Avoir mes trous remplient en permanence commence à être difficile à supporter. J’ai l’impression que le trajet dure une éternité. Enfin, nous arrivons à la maison, je descends du vélo contente d’en avoir fini.
Aussitôt arrivée, je me déshabille dans l’entrée comme à l’accoutumée. Rex commence à sentir mon vide couille. J’espère que maître Michel ,va l’appeler, mais il n’en fait rien. Rex insiste. Le chien tourne autour de moi, son museau appuie sur mon cul. Je suis obligée de me mettre à quatre patte. Le chien, après m’avoir renifler, me monte dessus. Sa queue a trouvé très facilement mon anus qui est encore ouvert. Rex m’encule profondément. Maître Michel flatte. Rex, tu es un bon chien, dit il, saillie là bien cette femelle. Estelle regarde. Je n’arrive pas à voir si elle est excitée par le spectacle ou interrogative. Le chien se vide les couilles en moi. Il se retire tout de suite. C’est vrai qu’avec le traitement que j’ai subi, mes trous sont bien ouvert et le chien ne reste pas coller.
Je me lève. Nos invités doivent partir. Je m’approche d’Estelle pour lui dire au revoir, elle en profite pour tirer sur les anneaux de mes mamelles. Elle se tendent, je gémis. Estelle sourit, se colle à moi. Je mets ma main sur son pubis et commence à la caresser à travers la robe ; l’effet est immédiat, Estelle bouge son cul. Je passe ma main sous sa robe et la caresse. Pendant ce temps, elle s’amuse à tourner mes anneaux. Estelle jouit. J’enlève ma main et la lèche.
Bonsoir, Estelle, j’espère que tu as passé une bonne après midi.
Elle sourit. Très bonne, je ne regrette pas d’être venue.
Je me mets à genoux devant maître Michel. Il me caresse la tête. Au revoir, la chienne. Il regarde Justine et lui fait signe de venir.
Mon maître les raccompagne
Une fois tout le monde parti, mon maître s’assoit dans son fauteuil.
Je suis fatigué, dit il, sers moi l’apéro. J’apporte deux verres. Il remplit le mien avec son urine. Le sien a du whisky. Pendant que nous sirotons notre apéritif, il me caresse. J’aime ses moments de tendresse
On va se coucher de bonne heure ma femelle dit il
Il joue avec les anneaux des tétons. Je grimace. Ils sont sensibles avec le traitement que ma fait subir Estelle. Il s’amuse un petit moment comme cela. Mes tétons durcissent, l ’excitation monte. Je ne suis qu’une femelle en rut. Mon maître a raison. Je ne peux mempêcher de remuer mon bassin. Je bois par petite lampée, non par dégout, au contraire, pour le plaisir.
Je commence à gémir. Mon maître se lève,
Cambre ton cul femelle
Il me saillit, rentre dans mon vide couille qui est ouvert et qui n’attend que cela.
Mon maître m’ordonne de jouir.
Je n’attendais que cet ordre. Je jouis en même temps que mon maître se déverse en moi.
Je suis comblée.
Le reste de la soirée passe vite.
Je range la maison, mon maître est couché depuis un moment
Je me couche au pied du lit.
Avant de m’endormir, je me dis que j’en aurai des choses à dire à Corinne demain.
La semaine est finie.