Cette année, ma famille a décidé d’organiser une grande cousinade pour le
Week-end de Pâques. On sera une petite centaine provenant du monde entier, sur plusieurs jours, réunis dans la ferme familiale historique en Vendée qui a été réhabilitée et rénovée en une magnifique demeure avec un gigantesque terrain.
Je ne me doutais pas que cette fête se passerait aussi bien…
Vendredi:
Arrivée tout le long de la journée des convives. Un flot ininterrompu de « bonjour, comment ça va ? », de rappels de nos arbres généalogiques respectifs ; au final, il y a un quart de personnes âgées, un quart d’adultes, un quart de jeunes adultes (ma catégorie) et un quart de jeunes et enfants.
Je suis divorcé, donc un des seuls à ne pas être accompagné, libre comme l’air… et j’avoue que j’en profite bien depuis quelques années.
Le bal des arrivées se poursuivant, une cousine arrive ; enfin, pour être précis, une arrière-arrière-arrière-cousine avec ses parents et ses grands-parents… nous avons juste le même arrière-arrière-arrière-grand-père père. Donc très dilué en termes de généalogie.
Elle s’appelle Alexandra et a tout juste 20 ans (j’en ai 35). J’ai particulièrement apprécié sa bise. Pas classique, mais avec contact de ses lèvres sur ma joue, contact très discret, alors que nous nétions jamais rencontrés auparavant, un joli smack. J’ai senti une vague de bien-être lors de ce contact fugace, un échange de regards silencieux et un magnifique sourire solaire sur son joli visage. Je me suis dit : arrête, ce sont les hormones qui te travaillent, oui elle est jeune et jolie, oui dans d’autres circonstances, je l’aurai bien culbutée, mais là, quand même…
L’après-midi passe et beaucoup de discussions sans intérêt, Champagne ou cocktail à la main. Et à chaque fois que je l’aperçois dans mon champ de vision, je la vois en train de me regarder discrètement aussi et de détourner le regard de manière ingénue. Ceci a le don de piquer ma curiosité. Je la contemple alors régulièrement, discrètement, des talons hauts noirs, un jean moulant stretch noir dessinant de jolies petites fesses rondes, une veste et un débardeur beige laissant imaginer une poitrine bien fournie (ou des wonderbras, je me questionne), un long cou et de beaux cheveux bruns très brillants et soyeux ; des yeux coquins donc noisettes et une jolie bouche avec juste du gloss rose.
À croquer.
Plus je la regarde, plus elle m’attire.
L’après-midi suit son court, ses parents et grands-parents m’adorent apparemment après deux ou trois discussions, ce qui fait qu’elle est souvent dans le cercle de nos échanges. Je n’ose pas la regarder, à part de-ci de-la quelques regards appuyés dans le but de la transpercer (j’ai les yeux très noirs) qui ont l’air de la troubler, sa famille n’y voit que du feu.
Le plaisir (peut-être imaginaire) d’arriver à lui dire juste par le regard « j’ai envie de toi » alors que je parle à son père et à sa mère est quasi jouissif. Et j’ai l’impression qu’elle entend mon message.
Le soir arrive. On s’affaire autour de l’immense chapiteau en dur pour 100 convives pour dîner, installés près de la maison dans le champ d’à côté. Le hasard faisait bien les choses: elle se met à côté de moi.
Nous avons beaucoup parlé, elle, de ses études de droit, des ses aspirations, de politique, d’art et de culture.
Nous avions peu ou prou les mêmes goûts, les mêmes idées et lorsque nous étions en désaccord, nous avions tous deux la bienséance d’écouter l’autre et parfois même, de réviser notre jugement.
Le courant passait très bien, je dirais…
Tout le monde était engagé dans une conversation avec ses voisins et nous étions seuls au milieu du brouhaha, tranquilles. Alors la discussion a bifurqué sur nos vies affectives. En quelques déclarations habiles et discrètes, nous nous sommes avoués (sans le dire !) que nous étions célibataires.
Elle me fit comprendre qu’elle ne trouvait pas vraiment d’intérêt à sortir avec des jeunes de son âge. Trop immatures selon elle… je ne me doutais pas alors qu’elle ne parlait pas que du comportement.
Et puis, de fil en aiguille, nous nous sommes donné nos numéros de portable, nos adresses (elle habite à Paris comme moi) et nos alias respectifs de compte de réseaux sociaux. On s’est montré certaines photos Insta… elle n’a pas essayé de cacher ses photos en maillot de bain, bien au contraire…
Notre discussion vint alors sur l’homme de ses rêves et pour moi la femme de mes rêves… en deux mots.
Je lui dis : douce et bestiale parfois, en rigolant.
Elle me dit : romantique et animal parfois, en riant à son tour.
Nous avons ri. Puis elle s’est levée en posant sa main sur mon avant-bras, une caresse ponctuée d’une pression et s’est éclipsée en dehors de la tente, dans la nuit noire.
10 minutes passent, je discute avec ma
voisine de droite, une discussion ennuyeuse s’il en est et puis je reçois un SMS. C’était Alexandra.
Tu peux me rejoindre discrètement près du chemin en bas de chez tes parents ?
Le « discrètement » m’intriguait.
Ni une ni deux je fais mine d’aller vaquer à d’autres occupations et me dirige en contournant la fête vers le lieu proposé.
Il faisait nuit, le chemin était baigné par un fort clair de Lune, un léger vent tiède et une température idéale de 21° rendaient ce choix idéal.
Je la vis alors, adossée à une barrière m’attendant dans la nuit. Je m’approche en silence, elle ne bouge pas et me regarde dans les yeux. Je m’approche encore, sa respiration se fait plus longue, plus puissante. Je pose mes deux mains sur la barrière, de chaque côté de son corps apparemment offert, mon visage face à son visage, une force irrésistible nous pousse l’un vers l’autre.
Un mot sort de sa bouche : enfin !
Je lui réponds : oui…
Je m’applique à l’embrasser, d’abord le front, les joues, le cou… elle sent divinement bon, mes lèvres s’aventurent sur la partie visible de son décolleté puis elle me prend par les deux bras qui étaient jusque-là encore posés sur la barrière, me relève vers son visage et approche ses lèvres des miennes.
Commence alors un long baiser fougueux ; j’adore le côté frais et moelleux de sa langue, très agile et vive d’ailleurs, ce qui me donne des idées pour la suite des événements.
Nos mains se font baladeuses, elle agrippe mes fesses (il paraît que j’ai un beau cul) et me colle contre elle, elle ne peut pas ne pas sentir le début d’érection qui prend place dans mon pantalon. Alors que je la caresse, elle me susurre dans l’oreille en sentant mon chibre durci : tu as envie de moi ?
Cette fameuse maturité qui lui manque ne me dit pas défaut. Je lui dis alors : j’ai très envie de toi depuis ton premier baiser sur la joue, mon envie n’a pas cessé de croître tout l’après-midi, j’ai envie de ta bouche, d’avaler tes seins, de lécher ta jolie chatte, de te manger les fesses et que tu uses ma queue comme bon te semble et surtout que j’ai envie d’entendre tes cris et tes gémissements pendant l’orgasme.
Ça a eu l’air de lui plaire, elle me fit un énorme sourire et me dit : tu es donc parfait mon cousin, moi aussi je veux t’entendre jouir, mais tout de suite ! en souriant de plus belle.
Ses mains descendirent vers ma ceinture, elle caressa longuement ma verge à travers pendant que je l’embrassais encore et lui attrapais les seins avec une main et les fesses avec l’autre, ayant l’air d’apprécier l’engin.
Puis elle décida d’un coup de la sortir de son fourreau. Surpris par tant de hardiesse, je la regardai faire, les deux seins sortis de son débardeur (elle n’avait donc pas de wonderbras, ses magnifiques seins en poire tenaient tout seuls, tétons érigés comme des pointes.)
Elle baissa mon pantalon, se mit à genoux et commença à embrasser ma bite, mes couilles (j’avais tout rasé de frais le matin même, un pressentiment sûrement), mon érection grandissait encore et encore.
Sa langue parcourait ma tige puis roulait très tendrement autour de mon gland, je la voyais me regarder sous le clair de Lune et puis elle m’a avalé, gobé, pompé, sucé, léché comme jamais.
Plus elle me suçait plus je bandais et elle adorait sentir mon pieu devenu dur comme de la pierre dans sa jolie bouche.
Depuis quelque temps, je parle sans retenue durant mes parties de sexe. Les femmes jouissent aussi avec les oreilles, l’expérience m’a montré, même (surtout !) les plus prudes.
Alors je lui dis à quel point je la trouvais belle ma grosse bite dans sa jolie bouche, je lui demandais si elle me sentait bander et lui assurait que c’était grâce à elle. À quel point c’était bon les soins quel me prodiguait et que mes couilles étant plus que pleines, je n’allais pas tarder à jouir. Elle me dit : tant mieux, donne-moi ton sperme.
Je n’osai pas espérer mieux. J’adore voir mes conquêtes avaler mon foutre, mais en général, ce n’est pas à la première baise. Et uniquement après que moi, je les ai fait jouir plusieurs fois. Là, elle voulait renverser la donne. Cela me convenait.
Elle continua donc à me sucer, à enrouler sa langue autour de mon gland et à s’attarder sur mon frein, ses douces mains tantôt me caressant les couilles, tantôt les pressant un peu.
Elle me suça jusqu’au point de non-retour, elle me sentit venir, me regarda et je lui dis alors que j’allais jouir et que je voulais qu’elle avale tout. Malgré la faible clarté, je la vis sourire, ma grosse queue durcie entre ses lèvres et elle me fit un clin d’il pour m’assurer qu’elle le voulait aussi.
Alors, elle me vida, je n’avais que rarement joui autant, une demi-douzaine de très fortes giclées, puis autant un peu moins puissantes, mes couilles palpitaient dans ses mains, ma queue grossissait à chaque éjaculation. Et elle murmurait la bouche pleine de « hmmmm » de plaisir pendant que je grognais « oh putain c’est bon ! Vas-y, prends mon jus d’homme Alexandra » « avale-moi tout entier »…
Elle avala tout entier… puis me lécha délicatement la queue comme un chat fait sa toilette pendant cinq bonnes minutes, ma queue, mes couilles, et même un peu plus bas elle commençait à titiller mon anus de sa langue. Ah l’anulingus ne te rebute pas ? Tu va être servie ma cousine adorée.
Elle se leva brusquement tout en gardant dans la main la queue et me dit « j’aime ta bite mon cousin » et m’embrassa avec force et passion. Alors que je m’apprêtais à lui rendre la pareille après lui avoir caressé la chatte à travers son pantalon, elle m’arrêta net et me dit : viens, on va prendre le dessert avec les autres.
J’avais envie de la faire jouir tout de suite mais je respectais son envie, la suite allait me donner raison.