Je les baise les unes après les autres, elles viennent s’empaler tout à tour sur ma queue. Elles jouissent chacune à plusieurs reprises. Pour ma part, je ne me retiens pas et je jouis quatre fois, une fois dans chacune, et une fois sur chacun de leurs trois visages, les trois copines à genoux devant moi, debout.
Comme je lui ai raconté ma nuit avec Elodie et ses copines, Manon en fait une affaire personnelle qu’elle et ses copines soient à la hauteur. Elles se relaient toute la nuit pour me maintenir éveillé et en action. Quand ma queue n’est pas dans une chatte ou un cul, elle est dans une bouche.
Alors que je baise Elise en missionnaire, je sens Sophie derrière moi qui me lèche les couilles et l’anus. Manon est debout devant moi, je la lèche. J’adore sa petite chatte. Je la fais jouir avec ma langue pendant que je fais jouir sa copine à grands coups de queue.
Alors qu’elle redescend de son orgasme, je me vide dans la chatte d’Élise. Quand j’en sors, je prends Sophie par les cheveux et lui mets ma queue en bouche. De l’autre main je fais s’allonger Manon sur Elise et lui fais lécher la chatte de sa copine, plein de ma semence. Le tableau me plaît beaucoup. C’est là que je formalise mon emprise sur elles :
— Vous formez un magnifique harem.
Manon se redresse et m’embrasse pendant qu’Élise rejoint Sophie sur ma queue à nettoyer.
— A moins que vous n’ayez changé d’avis ?
— Moi je suis à toi mon amour tu le sais.
— Je sais ma belle. Mais tes copines ?
Elise se redresse en me frôlant et m’embrasse.
— Moi aussi mon Roi.
Sophie à son tour remonte vers moi, elle me regarde, me sourit et se jette sur ma bouche.
— Moi aussi mon Prince.
— Mmmmm parfait, j’espère que vous ne me décevrez pas.
Je leur roule des pelles à tour de rôle.
On fixe les règles de base. C’est Manon qui le propose : elle reste évidemment mon officielle. Ni elle, ni moi, ni ses deux copines ne voulons changer cela. Mais Elise et Sophie sont miennes dorénavant, elles sont donc à ma disposition, quand je veux, où je veux et comme je veux.
Pour sceller le pacte je les rebaise l’une après l’autre. Jusqu’à jouir dans Manon.
On laisse Sophie et Elise prendre une douche, on était au lit, elle tout contre moi.
— Tu es heureux mon amour ?
— Oui très. Et toi ?
— Oh oui. Je ne peux pas rêver mieux que de partager ce que j’aime le plus avec mes deux meilleures amies.
Elise et Sophie repassent chez elle, et pendant que Manon se prépare, je regarde mon téléphone.
J’envoie un message à Claire et Anne-Sophie :
— Inutile de vous dire que je veux que ce matin vous pensiez à moi et à ce midi en vous habillant.
Puis je vois que j’ai un message d’Élodie :
— Tu me tiens au courant pour ce soir ?
— Oui je te dis dès que je sais.
Et enfin je vois que Charlotte m’a écrit. Je suis curieux de voir si elle a fait ce que je lui ai demandé. Elle répond d’abord à mon dernier message de la veille puis s’ensuivent d’autres messages :
— Je vais essayer mon chéri.
— Il vient de rentrer, comme je ne me suis pas changé, et qu’il m’a trouvé très sexy, il a commencé à me câliner, j’ai refusé.
— Je viens de me mettre sur le lit, je vais l’appeler et lui dire que j’ai envie qu’il me lèche. J’ai un peu peur ; j’aimerais tellement que tu sois là bébé.
Et plus tard :
— Il m’a léché, il a voulu que je le suce au moins, j’ai dit non, que ce soir je voulais que ce soit juste pour moi. Il a accepté en râlant un peu. J’ai pris mon téléphone quand il était entre mes cuisses, il m’a demandé ce que je faisais, je lui ai dit que je voulais un souvenir. J’ai fait une vidéo… La voici mon amour.
Il y a un MMS avec la vidéo. Puis deux autres SMS :
— J’espère que ça te plaira.
— PS : tu pourrais lui donner des cours de cunni aussi…
Je réponds juste :
— J’espère qu’il a aimé le goût de ta chatte au sperme black. C’est très bien en tout cas. Tu aurais quand même de lui demander si tu avais bon goût;-)
— Coucou mon chéri ; je lui ai demandé ce matin s’il avait apprécié. Il m’a dit que oui.
Je ne réponds pas. En revanche j’ai des messages d’Anne-Sophie et Claire :
— C’est prévu Isaiah.
— C’est Michel qui a tenu à choisir ma tenue du jour… « pour son Roi », m’a-t-il dit. Lol.
On arrive au lycée avec Manon. En cours, je n’arrête pas de repenser à cette nuit. Je glisse un mot à Manon :
— Tu es sûre de toi ?
— Pour ?
— Pour Elise et Sophie ?
— Elles ne te plaisent pas ?
— Arrête, tu sais bien que si.
— Alors, je suis sûre Isaiah. Promis.
Je reçois un message de mon père qui m’informe que le lendemain on a rendez-vous avec sa conseillère immobilière pour l’achat d’un logement pour moi. Parfait. Sa maison est top, mais même si j’y suis le maître des lieux, je préférerais avoir aussi mon endroit, mon royaume.
Le midi arrive vite. J’attends de voir disparaître l’assistante d’Anne-Sophie et j’entre, sans frapper. Anne-Sophie et Claire sont là. Debout devant le bureau. Anne-Sophie porte un tailleur minijupe moulante, des bas autofixants, des bottes à talons aiguilles et rien sous sa veste de tailleur. Je la soupçonne de s’être changée juste pour le rendez-vous mais ne lui en tiens pas rigueur. Claire porte une jupette en cuir noire, des bas aussi, des bottines à talons aiguilles et un chemisier sur lequel elle a ouvert quelques boutons de trop. Elle aussi triche par rapport au reste de la journée évidemment, mais je ne peux pas leur en vouloir, et plus important encore : je ne peux absolument par leur résister. Je m’approche et leur roule une pelle à l’une puis à l’autre. Mes mains se posent sur chacun de leur cul que j’empoigne. Je les serre contre moi.
— C’est vrai qu’à notre dernier rendez-vous ici, on n’avait pas eu l’occasion d’aller au fond des choses.
— Tu t’es bien rattrapé depuis mon chéri.
— Pas faux. Mais pas dans ce bureau.
Je soulève Claire pour l’asseoir sur le bureau, je lui écarte les jambes, j’écarte son petit string et je la lèche. Anne-Sophie elle s’accroupit et sort ma queue, et commence à me pomper. Quand elle a bien lubrifié ma pine, je la glisse dans la chatte de Claire, qui a déjà connu un orgasme. Je roule des pelles à Anne-Sophie pendant que je lime Claire. Puis elles échangent de place ; je fais jouir Anne-Sophie à son tour, à grands coups de reins. Claire se penche en avant, accoudée sur un des fauteuils, je la prends debout en levrette. Je lui mets des bonnes fessées. Elle me supplie ensuite de lui prendre le cul. Je le fais. Anne-Sophie est jalouse, elle déplace un fauteuil juste à côté et se met dans la même position que Claire. Je leur prends le cul en alternance, je doigte leur chatte en même temps et leur donne mes doigts à lécher. Je finis par me vider les couilles dans le cul de Claire. Je donne ma queue à Anne-Sophie qui la suce pour bien la nettoyer.
Ayant un programme chargé, je me rhabille, Anne-Sophie me supplie de remettre le couvert, je lui dis que je n’ai pas le temps, mais elle met ma queue entre les seins de Claire. Je ne peux pas résister à cela. Je finis par soulever Anne-Sophie qui se retrouve la chatte sur mon visage et les jambes sur mes épaules, je la tiens d’un bras. De l’autre je soulève Claire et la fais s’empaler sur ma bite. Ses jambes sont autour de ma taille, elle est collée dans le dos d’Anne-Sophie. Je regrette que personne ne soit là pour filmer cette position. Je me promets de la refaire et de l’immortaliser. Je les fais jouir en même temps, l’une avec ma langue l’autre avec ma queue. Je les repose et refais la même mais en inversant les places ; je les fais de nouveau jouir de la sorte, et cette fois je jouis à mon tour dans la chatte d’Anne-Sophie. Elles nettoient ma queue à deux bouches. Elles en profitent aussi pour caresser et lécher mon torse, j’adore ça, elles le savent. Je les embrasse et pars, non sans leur avoir mis une bonne main au cul à chacune.
— Claire, on se voit jeudi après-midi. Anne-Sophie je te redis.
— Bien mon chéri.
— Ah et toutes les deux, vous savez que vous avez un truc à faire pour moi. Claire, il faut trouver un moyen que je rencontre ton mari. Et Anne-Sophie tu t’occupes de ta fille.
— Oui Isaiah.
Je ressors du bureau. Je n’ai absolument pas envie d’aller en cours. J’hésite. Je retourne dans le bureau d’Anne-Sophie qui se rhabille.
— Je ne suis pas en cours cet après-midi.
— Très bien, c’est noté.
Claire qui elle a fini ressort du bureau avec moi. J’ai une main qui empoigne ses fesses alors que l’on rejoint le couloir. Je la libère. Elle est déçue.
J’écris à Michel :
— Larbin, passe me prendre au lycée.
— Maintenant ?
— Oui !
— Je suis là dans 15 minutes Monsieur.
Je monte dans sa voiture à l’arrière.
— Tu as le numéro de Jessica ?
— Jessica ?
— La fille de Stéphanie que tu as aidée à déménager cet été.
— Ah, euh oui oui je crois que je l’ai.
— File-moi ton tél.
— Bien Monsieur.
Il me le passe. Je trouve Jessica dans ses contacts, et lui envoie un SMS :
— Bonjour Jessica, c’est Michel, je voulais juste m’assurer que tout allait bien dans l’appartement. Que vous n’aviez besoin de rien. N’hésite pas.
Michel me regarde dans le rétro, je ne dis rien, j’attends. Pour patienter, j’écris à Elodie :
— Bon, c’est quoi ton truc de ce soir ?
— Un de mes deux larbins de l’autre soir, il m’a reparlé de toi. Il aimerait que tu dragues sa femme.
— Dis-lui de m’écrire sur whatsapp.
— OK, mais du coup ce soir ?
— Pas le temps. Dis-lui de m’écrire.
Je reçois un message de Catherine :
— Dîner ce soir chez toi, avec Carl, Juliette et Nicolas. Tu seras là ?
— C’est qui Nicolas ?
— Le copain de Juliette.
— Ah. Je ne sais pas encore.
Dans la foulée je réponds à Elodie :
— En fait, je te retrouve vers 20h30 chez toi, fais en sorte que le larbin soit là et véhiculé OK ?
— OK bébé.
Puis je reçois une réponse de Jessica sur le portable de Michel :
— Bonjour Michel, tout va bien, merci beaucoup. On est justement en train de faire des trous dans les murs pour accrocher des cadres.
— On ?
— Avec Sandrine, ma coloc.
— Vous avez besoin d’aide, je suis dans le coin.
— Oh, ben, oui volontiers, c’est gentil.
— OK on arrive.
— On ?
Je ne réponds rien et dis à Michel de nous y conduire. Il se gare. On sonne. C’est Jessica qui ouvre, elle ressemble un peu à sa mère, en plus grande et plus fine, moins de seins. Elle a un grand sourire aux lèvres et dit bonjour à Michel, mais la surprise de me voir à ses côtés l’emporte :
— Et…
— Isaiah. Enchanté. Je suis un ami d’Anne-Sophie et Michel.
— Un ami ?
— Oui. Et si vous avez besoin de percer haut ou profond, je serai plus utile que Michel ah ah.
— Ah ah, oui c’est sûr. Entrez.
Elle nous précède, elle porte un pantalon blanc moulant taille basse, qui lui fait un cul de folie, un top rouge, et des petites baskets.
Elle nous présente sa coloc, Sandrine. Sandrine est métisse, de La Réunion, elle fait 1m75, 60 kilos je dirais, une belle paire de seins. Elle a les cheveux longs bouclés. Un sourire magnifique ; elle porte un jean serré et un top. Des baskets elle aussi.
Je vois la perceuse posée sur le bar de la cuisine américaine.
— Alors vous vous en sortez avec la perceuse.
— Ah ah, pas trop non. On n’est pas très douées.
— Bon, je vais prendre les choses en main. Michel c’est bon, tu peux y aller.
— Mais…
— C’est bon, merci.
Je le pousse vers la sortie et lui glisse à l’oreille de m’attendre dans la voiture, bien sagement. Il acquiesce. Je sens les deux filles qui sourient, amusées par la situation autant que gênées. Je referme la porte et les rejoins dans le salon. Je prends la perceuse.
— Bon, les filles, dites-moi tout.
On rit, et elles m’expliquent les trous que je dois faire. Cela me prendre cinq minutes, pour fixer tous leurs cadres.
— Oh merci, Isaiah, on aurait trop galéré nous.
— Pas de problème.
Jessica me propose une bière que j’accepte avec plaisir. Elle va la chercher mais réalise qu’elles sont dans leur cave.
— Je reviens.
Je suis sur le canapé avec Sandrine.
— Bon, c’est quoi cette histoire d’ami de Michel là ?
— Comment ça ?
— Ce sont des amis des parents de Jess, ils ont la quarantaine, toi tu as quoi, 20 ? Et t’as vu comme tu lui parles au père ?
Je souris.
— Disons que je m’entends mieux avec Madame qu’avec son petit mari.
Elle me regarde et sourit à son tour.
— Et tu étais dans le coin par hasard ?
— Bon OK, pas vraiment par hasard.
— Dis-moi ?
— Tu le gardes pour toi ?
— Je ne sais pas.
— Je suis disons, une connaissance du frère de Jessica.
— Une connaissance ?
— Disons que je lui ai piqué sa copine.
— Ah ah. Arrête, il est plus avec Manon ?
— Non. Tu la connais ?
— Un peu, très sympa ; et mignonne.
— C’est ma copine.
— Elle a gagné au change.
— Ah ah, je trouve aussi oui.
— Et donc ?
— Et donc, j’ai vu une photo de Jessica, je l’ai trouvée mignonne, et jai décidé de venir.
— Bon, je ne comprends pas tout, et je ne suis pas certaine de vouloir comprendre. Et Manon sait que tu es là ?
— Oui. Je lui dis tout.
— OK… Et le Michel là, il t’a amené ici ?
— Ecoute Sandrine, soit tu veux en savoir plus et je te dis, mais si tu ne veux pas, on arrête là.
— OK OK, désolée. Et tu n’avais vu que des photos de Jess ?
— Oui. Sinon je serais venu avant.
— Ah ah, mais bien sûr.
Je la regarde en lui souriant, avec un air qui ne cache rien du fait qu’elle me plaît. Jessica revient, avec les bières. Elle m’en passe une, une à Sandrine et en prend elle aussi une.
— Santé. Et encore merci Isaiah.
— Mais de rien les filles.
On discute de tout et de rien, et Jessica me demande à son tour d’où je connais Michel. Je suis sauvé par son téléphone qui sonne. Elle décroche. Sandrine se lève.
— Je vais devoir y aller.
— Dommage.
Elle sort son portable.
— Tu as de quoi noter ?
— Je ne prends pas les numéros.
— Pardon ?
— Note le mien.
— D’accord.
Elle est troublée, mais rentre dans ses contacts.
— Je t’écoute.
Je lui donne. Elle s’éloigne quand Jessica revient.
— Alors ?
— Alors ?
— Michel et toi ?
— Ah merde, je pensais que tu avais oublié.
— Ah ah non, pourquoi ?
— Alors, en fait je suis en classe avec ton frère.
— Quoi ???? Mais non, t’es pas en …
— Et si.
— Eh ben, on dirait pas.
— Je sais.
— Et donc tu es un pote de Greg.
— Mmmmm, on peut pas vraiment dire ça.
— Ah ?
— Je suis le nouveau mec de Manon.
— Quoi ?????
— Oui.
— Mais ils sont plus ensemble ? Il ne nous a rien dit.
— Ah non. Elle a changé de catégorie.
Elle sourit. Mais en se retenant.
— Ecoute, je sais que mon frère est pas franchement un mec bien, surtout avec Manon. Et on… enfin on n’est pas les meilleurs amis du monde. Mais je ne suis pas sûre que ce soit bien que tu sois ici.
Sandrine revient dans le salon :
— Bon, j’y vais moi. Salut Isaiah, à bientôt.
Je souris, elle aussi. Elle va dans l’entrée. Sandrine se lève.
— Excuse-moi Isaiah.
Elle la rejoint. Elles parlent « tout bas », mais j’entends tout :
— Pourquoi tu pars ?
— J’ai cours.
— Tu peux pas me laisser là…
— Pourquoi ? Profites-en.
— Quoi ?
— Attends, t’es aveugle ou quoi, il est beau comme un dieu.
— Tu savais qu’il a piqué Manon à mon frère.
— Oui bon, on va pas en faire un plat, tu sais tout le bien que je pense de ton frère…
— Oui je sais mais quand même.
Et crois-moi, j’ai l’habitude, à mon avis, ce qu’il a entre les jambes est de l’ordre du divin aussi.
— T’es conne.
Sandrine ferme la porte. Je me suis levé et je me tiens dans l’entrée. Jessica se retourne pour me rejoindre au salon et du coup se heurte à moi.
— Ouuuhhhh, oh pardon… je… je ne t’avais pas…
— Pas grave Jessica.
Elle est collée à moi. Je reste un moment silencieux. Je ne la quitte pas des yeux.
— Merci pour la bière Jessica.
— Tu… tu t’en…
— Oui, j’ai pas mal de choses à faire.
— Ah… d’accord…
— Je t’ai laissé mon numéro sur la table basse, si jamais vous avez besoin d’un homme pour d’autres choses.
— Euhhh… oui… oui, OK.
— A bientôt Jessica.
— Merci… A bientôt Isaiah.
Elle reste prostrée, je sors de l’appartement. Je rejoins Michel dans sa voiture.
— Tout s’est bien passé Monsieur.
— Très bien oui.
Je lui dis de me conduire au boulot de Kate. Je lui écris :
— Libère-toi d’ici 15 minutes Kate, je passe te prendre à ton travail.
J’attends sa réponse.
— Un peu difficile désolée Isaiah, il est un peu tôt.
— Plus tard je ne peux pas, donc à toi de voir ce que tu veux.
— Mmmmm t’es dur.
— Comment tu sais;-)
— ;-) OK, 15 minutes devant mon boulot.
— Tu vois quand tu veux.
Je souris.