Mes mémoires des année 70
Dans le cadre de notre formation, la société mère réuni plusieurs jeunes cadres de ses agences. Ces séminaires sont généralement organisées dans des salles de l?hôtel. Parmi les jeunes il y avait une fille qui attire particulièrement mon regard. L?instructeur nous invite à nous installer, naturellement les femmes se mettent ensemble ainsi que les hommes. Il commence le cours et après nous ouvrons le débat, tout de suite il nous demande ci dans nos agence les hommes et les femmes sont séparés ? Non répondant nous ! – Alors appliquer la règle. La fille que j?avais remarqué se trouve à l?opposée, je me lève et part m?installer près d?elle, lui demandant si je peu. Rosissant un peu elle me dit oui de la tête et nous poursuivant le débat, au repas du midi nous nous mîmes à la même table. Corinne habillée d?une jupe et tee-shirt fraîchement sortie des études aborde son premier emploi. Tout au long du repas je la met à l?aise et l?après midi l?ambiance était plus conviviale. Le lendemain se passe comme la veille sauf que le soir je l?invite à venir se détendre au bar, rosissant encore elle refuse, préférant se détendre par une promenade en ville. – Puis-je vous accompagner ? – Si ça ne vous ennuie pas ! Nous partons sur le boulevard faire du lèche vitrine Corinne s?arrête souvent devant les vitrines de vêtements. – C?est ravissant lui dit-je devant une vitrine de prêt à porter ! – Ah oui ! Mais quand j?en aurait les moyens dit-elle. A la terrasse d?un bar je l?invite pour un rafraîchissement. – Entendu dit-elle ici je veut bien. – Pourquoi tu avait une appréhension toute à l?heure ? – Tu sait les langues ! Tout naturellement nous venions de nous tutoyer. Nous reprenons notre promenade, passant devant une devanture de lingerie – Que c?est beau dit-elle ! – Ca aussi t?en portera ? – J?en porte dit-elle. Du coup je bande et Corinne qui s?en aperçois rigole. – Ah ! les hommes avec la lingerie ! Nous poursuivant notre chemin, Corinne jette des petits regards vers ma braguette. – Ca va mieux dit-elle ! Je passe mon bras autour de ses épaules, elle penche sa tête légèrement en arrière et nous nous embrassant. – Après le souper, viens me rejoindre dans ma chambre dit-elle. Je rebande Corinne me sourie. Je monte vers sa chambre, frappe et entre Corinne et la sur le lit en nuisette – Alors qu?en pense-tu, en pirouettant sur elle-même ? – A croquer dit-je ! – Croque dit-elle ! Mon excitation est à son comble, je veut me déshabiller. – Laisse-moi faire. A genoux sur le lit elle déboutonne ma chemise, ma ceinture et fait glisser mon pantalon sur le sol, puis mon slip qui raccroche tellement que je suis bandé fait rire Corinne. Mon sexe est dur et sans un mot elle m?attire sur le lit. Je caresse son corps et pétris doucement ses seins aux pointes érigées et durs, elle émet un soupir délicat quand je dépose de doux baisers sur chaque tétons. Corinne prend en main mon sexe, le regarde et commence doucement une branlette en recouvrant le gland de sa main, elle masturbe agréablement bien, puis s?allonge près de moi et m?embrasse en me branlant. Levant les yeux vers moi elle me dit – Tu aime ? – Oui ! Continue ! – Tu as envie de jouir ? – Fait moi durer dit-je ! Elle me regarde un sourire au coin des lèvres, ce retourne et jambes écartées m?offre sa minette. Je pose ma bouche dans son intimité et rentre ma langue dans son sexe chaud et humide ou dresse son clito. Corinne cambre son corps. Un coup de langue sur son clito lui déclenche un soupir, continuant de lui sucer son bouton, ses soupirs se font de plus en plus forts, pour la calmer j?approche mon sexe de sa bouche qu?elle gobe et nous nous suçons mutuellement. Ses lèvres forment un anneau autour de ma bite à un rythme différent de ses mains. Très excitée Corinne se trémousse enserrant ses jambes autour de ma tête. J’ai du mal à me maîtriser je laisse échapper des petits soupirs de plaisir, elle dégage mon sexe et ses lèvres et me demande de la pénétrer. Sans difficulté j?entre dans son vagin dilaté, Corinne pousse de petits gémissements. Doucement nous commençons un lent mouvement de va et vient. – Arrête-toi dit-elle en glissant une serviette sous ses fesses, puis elle entour ses jambes sur mes reins m?accompagne par des ondulations de bassin. J?ai l’impression d’être aspiré, dévoré, englouti entièrement dans sa chatte. Je me sens proche de la jouissance et pousse ma bite au plus profond de… c?est la que Corinne sort ma bite de son vagin et le pose dans le sillon de ses fesses – Joui mon amour ! tout de suite et pour m?exciter elle caresse avec son doigt l?extrémité du gland. L’excitation est tellement forte que j’éjacule et très rapidement Corinne se cabre et pousse son anus sur la tête de mon sexe pour me vider complètement dans son ventre. Qui lui déclenche alors un violent orgasme. Revenue à elle Corinne laisse échapper un léger soupir qui en dit long, ses yeux brillent de plaisir et nos regards se croisent, la peau moite nous restons un long moment sans parler. Elle rompt le silence – J?espère que je ne t?ai pas choquée dit-elle ? Du fluide s?échappe, elle se lève et part se vider et se laver, elle revient avec un gant de toilette me nettoyer. – Voilà dit-elle c?est propre. Reprenant mes esprits elle m?explique qu?avant qu?elle prenne la pilule son copain lui décharger toujours dans son anus pour éviter d?être enceinte – C?est une sensation terrible de sentir les éjaculations dans mon rectum et pour mon copain il à l?impression d?être dans mon vagin. – Tu sait c?est la première fois qu?une fille me fait jouir comme ça ! – Ca ta plus ? – Oui ! L?effet de surprise passé. Je la vis rougir et tout simplement je pose ma main sur son ventre. – Tu as un petit ami dit-je ? – Oui et nous allons bientôt nous marier. Surprit de sa réaction je sursaute. – Quand je t?ai vue dans le groupe je savais que nous aurions fait l?amour ensemble dit-elle, c?est mieux que les plaisirs solitaire non ? – Moi qui te prenait pour une timide ! – Il faut toujours se méfier de l?eau qui dort, mon handicape dit-elle c?est de rougir assez facilement. Nous avons passer la nuit ensemble et le lendemain le stage fini nous nous somme séparer rentrant chacun chez soit. Souvent je pense à elle.