« Je te préviens, je veux me faire défoncer par tous les trous ! »
Au moins, cétait clair. Charlotte ne manquait pas denvie, cest le moins quon puisse dire, dès quon touchait au sexe.
Positions, lieux, partenaires, on aurait dit quelle nen avait jamais assez.
A peine avait-elle fini davaler la dernière trace de sperme sur le bureau quelle mavait dit quelle reviendrait le lendemain.
Je lui avais dit ok mais pas avant 19h, quon puisse faire cela sans trop de monde autour.
Il était 18h58 quand mon téléphone vibra. Le SMS indiquait : « Je suis sur le parking, dépêche-toi : ».
Je fermais lordinateur et 3 minutes plus tard, jétais dehors. Elle était déjà sortie de sa voiture.
« Hé bien, tu es bien pressée ! » lui dis-je.
« Jai trop envie de baiser, on va où ? » répondit-elle.
« Je te propose daller visiter les archives, on sera bien. Cest le bâtiment là-bas ! »
Nous avions 150 mètres à faire mais il nous fallut plus dun quart dheure pour y arriver.
Torts partagés car partant devant moi, je ne pus mempêcher de mexclamer sur ses fesses que mettait en valeur une jupe vraiment mini.
Sauf quelle navait pas mise de culotte et quelle se fit un plaisir de me le montrer.
Nous navions donc pas fait 10 mètres que je lui pelotais le cul, jupe remontée.
De mon côté, je bandais déjà comme un taureau et cela se voyait.
Elle baissa la braguette de mon pantalon et en sortit mon sexe qui ne demandait que cela.
Nous traversâmes le parking ainsi, elle me branlant la bite et moi lui caressant la chatte.
Elle mexcitait tellement quau détour dune benne, je la plaquais contre et quà labri des regards, jallais vérifier si elle létait autant que moi.
Mes doigts senfoncèrent sans beaucoup de résistance en elle.
« Hmmm, va falloir soccuper de cela, je sens une légère excitation. »
Tout en la masturbant, je lembrassais. Bouche, cou, épaule, poitrine. Elle se laissait complètement faire, accompagnant juste mes doigts de ses déhanchements.
« Ho cest bon » soupira-telle.
« Viens alors, je veux te lécher ! »
Nous arrivâmes à la porte du petit bâtiment, construction récente ajoutée sous un hangar.
« Merde, ils ont fermé Tout à lheure cétait ouvert. »
« Men fous, on fait cela ici, on sen tape »
« Attends, cochonne, regarde, on va aller au-dessus ! »
Le toit des archives était plat et servait à entreposer du matériel.
Une échelle permettait dy accéder.
« Allez monte ! »
Et elle monta, avec un doigt dans la chatte, car dans cette position, cétait impossible dy résister.
« Le matelas de Mlle est avancée, impecc, des sacs de ciment ! »
Une palette de sacs de ciment quasi vide nous tendait les bras. Je poussais Charlotte dessus, qui nattendait que cela.
« Déshabille-toi ! Et ne moublie pas ! » lui dis-je.
Je me déshabillai (veste, chemise) quelle était déjà nue. Elle se jeta sur mon sexe, tendu volontairement près delle.
Elle ne savait pas résister à ma queue comme je ne savais pas résister à sa bouche.
Sa langue humide et chaude senroula autour de mon gland, comme on retrouve un vieil ami.
Ses lèvres, posés à la base du gland, apposaient une délicieuse pression.
« Bon sang Que cest bon. » criai-je à moitié.
Cela devait être pour elle le signal car elle se mit à me lécher goulûment. Mon sexe nétait plus que salive et elle jouait avec comme
Si sa vie en dépendait.
Sentant que cela pouvait finir bientôt, je la repoussais à grand peine sur la palette.
« Toi je vais te baiser avant que tu ne me fasses jouir non mais !! »
Elle souriait toujours quand je la pénétrai.
Pas un de ses trous nétait désagréable. Pas une position où on ne voulait que ça se termine (à part dans un grand jet de foutre).
Lui attrapant les cheveux de la main droite, je lembrassai à perdre haleine.
Elle adorait voir le sperme gicler, je le savais, mais javais vraiment un doute sur ma capacité à ne pas la remplir ici, là, tout de suite.
Heureusement, elle était elle aussi sur les rives de lorgasme. Je sentis son corps se serrer et se tendre contre moi. Elle arrêta de membrasser
Pour jouir tout son soul. A peine avait-elle fini que je me retirai delle avant déjaculer dans la foulée. Je battis un record personnel ce jour-là
Car le 1er jet lui arriva sur le menton et les suivants sur les seins.
Nous étions toujours sous le coup de notre orgasme lorsque nous entendîmes les voix non loin de nous.
Incroyable, nous avions totalement occulté le fourgon qui venait de se garer en bas du bâtiment !!
Sûrement une équipe qui travaillait sur le chantier urgent du centre-ville et qui venait de finir ses heures supp.
« Je suis sûr que jai entendu du bruit les gars ! »
Je fis un chut de la main à Charlotte mais je vis à ses yeux quelle trouvait la situation très excitante.
De toute façon, elle mavait fait jouir trop vite pour être rassasiée.
Le bruit de léchelle ne laissa aucun doute. Une tête apparut quelques instants après.
« Putain !!!! Les mecs, venez voir !! »
Charlotte prit une pose lascive qui ne mentait pas sur ses intentions. Sappuyant sur ses bras, elle écarta les jambes et leur adressa
un sourire ravageur.
« Messieurs, ma copine a encore envie de se faire sauter, jaurai besoin daide ». Ça lui plaisait dêtre offerte ainsi et je ne pouvais que jouer le jeu.
Les 3 ouvriers du fourgon nous avaient rejoints et lun des 3 était complètement bloqué par la situation
Le plus jeune, sûrement un apprenti, dune vingtaine dannée, se dessapa à vitesse lumière.
Il nétait pas épais, sa queue était longue et fine.
Il bandait déjà quand il se mit à genoux devant elle et la pénétra sans plus de façon.
Le chef déquipe, une grosse quarantaine, le teint buriné de celui qui travaille dehors depuis longtemps sortit sa queue, et je savais que ce modèle plairait plus à Charlotte.
De mon côté, je navais presque pas débandé et Charlotte, sûrement pour montrer aux autres ce dont elle était capable, avait recommencé à me sucer doucement.
La bite du chef déquipe arriva bientôt de lautre côté. Avec 3 bites pour elle, Charlotte devait être aux anges.
Le dernier semblait plus timide car il restait à 2m, se branlant tout en nous regardant.
Le petit jeune devait être jaloux car au bout de 5 minutes, il se redressa et cest une 3ème queue qui atterrit devant les yeux de Charlotte.
Sensuivit une démonstration qui me fit penser quheureusement, javais déjà giclé avant. Elle passait de bite en bite sans relâche, léchant nos couilles, suçant nos glands, tout en essayant de branler du mieux possible les 2 « malchanceux » qui nétaient pas en elle.
Je savais ce quelle voulait et là on en était loin.
« Allez les gars, faut la baiser maintenant ! » dis-je en la relevant.
Le vieux sallongea là où elle était plutôt. Elle se positionna sur son sexe, et senfonça sur le membre dressé.
Le plus jeune la bascula vers lavant et entreprit de la sodomiser. Il fut sans doute surpris dy arriver aussi facilement mais
Charlotte adorait les double pénétration.
Ils la besognèrent un long moment. Le jeune lui défonçai littéralement le cul à grands coups de rein. En dessus, lautre lui bouffait les seins.
Le dernier se branlait toujours et ne perdait pas une miette du spectacle.
Je retournais me faire sucer, comblant ainsi le dernier de ses orifices.
Je la connaissais bien et elle était proche du Big One, lorgasme qui allait la calmer au moins une heure.
La tenant bien par la tête, je lançai « Bon on la défonce là, elle va jouir cette salope ! »
Et nous 3 de redoubler dardeur et daller-retour.
Ayant été vidé auparavant, je pouvais encore tenir, ce qui navait pas lair dêtre le cas de nos invités.
« Je signale que Mlle adore le sperme alors ne gâchez pas ! »
Je crois que cétait trop pour notre apprenti, qui eut juste le temps de sortir de son cul avant de crémer ses fesses.
Charlotte le regarda jouir et commença à se caresser avec le foutre quelle avait sur le cul.
Le mateur était a priori décidé à participer car il prit la place de son collègue dès que le chef quitta également son vagin.
Charlotte était désormais bien à 4 pattes, sodomisé dun côté, suçant de lautre, les seins malaxés par celui qui venait de lui repeindre le cul au foutre.
Javoue que jaurai bien participé mais elle était bien occupé ainsi.
Elle devait être fatigué mais mettait toujours du cur à louvrage. Le chef en fit les frais et éjacula à gros jets sur son visage. Il ne lavait pas loupé
Et avait collé sa queue contre son visage. Elle en avait plein la joue, le nez mais cela ne la dérangeait pas et lui nettoya le sexe à sa grande surprise. Vu sa tête alors quelle aspirait les dernières gouttes de foutre de sa queue, cétait en bien.
2 de moins, restait 2. Je voyais bien que Charlotte peinait dans cette position.
Je mapprochais deux.
« Attendez, elle fatigue, on va la prendre sur le côté ! ».
Mallongeant face à elle, je soulevai sa jambe et me glissai dans son vagin ultra lubrifié. Lautre se mit derrière elle et continua à lenculer.
Elle était de nouveau prise en sandwich mais au moins elle pouvait se reposer un peu plus.
Le petit jeune avait décidé quil reprendrait bien un coup de langue et présenta une bite presque à nouveau dure à Charlotte. Elle essaya de le lécher
Mais prise sous nos assauts, elle dut se résoudre à le branler. Sans quil sen plaigne le moins du monde.
Nous en étions là depuis un moment quand elle jouit pour la 3ème fois. Sifflant la fin de la partie, je me retirai.
« Allez on larrose maintenant, elle nattend plus que cela ! »
Madressant un sourire complice, elle sassit et ouvrit grand la bouche. Le jeune se précipita et après 2 mouvements de branle, lui jouit dans la bouche.
Il ny avait pas grand-chose mais tout finit à lintérieur. Charlotte avala le sperme sans le quitter des yeux. Cela était si excitant (même moi, je faillis jouir à ce moment-là) que le dernier comparse ne put attendre son tour. Le foutre finit sa course sur son front et son autre joue. Elle navait même pas eu le temps de le prendre en bouche mais bonne fille, nettoya un peu son visage avec sa bite.
De la voir se régaler ainsi, je ne pus résister non plus. Je lui présentai ma queue quelle branla quelques instants.
Je jouis aussi, le gland posé sur sa langue. Ma semence lui coula directement au fond de la gorge.
Je continuais à goûter la chaleur de sa bouche pendant que les autres se rhabillèrent et partirent sans un mot.
Mais pas sans un regard car ils quittèrent Charlotte des yeux à grand peine, profitant au maximum des courbes et des formes
De la petite salope quils venaient de baiser.
« Jespère quand même que tu nes pas déçue ? » lui dis-je
Arrêtant de me sucer, elle répondit : « Non mais je reviendrai bien demain si ça te dérange pas »
« Pfff, tais-toi et suce ! » en lui remettant le sexe en bouche
Un éclat de rire dans les yeux, elle sexécuta.