Ne crois pas que j’ai oublié la promotion que je t’ai promise.
Ces quelques mots suffisent à me faire frissonner de peur.
Quelle punition ?
Même si ça s’est arrangé, tu as tout même utilisé mon dildo sans autorisation et sans le nettoyer.
Mais je ne savais même ce que je faisais.
Cela n’excuse rien, tu vas recevoir ta punition.
Mais… Et quest-ce que c’est que cette tenue ?
On verra ça plus tard, baisse ton pantalon.
Quoi ?? Mais tu es ma mère.
Et pourtant, tu t’enfonces mes dildos dans le cul, et tu jouis sur mes culottes, baisse ton pantalon, je ne le répéterai pas. L’autorité dont elle a fait preuve en me le disant m’a transcendée. Je me sens comme impuissant, je me résigne et baisse mon pantalon, dévoilant mon intimité à ma mère.
Elle rit :
T’as vraiment une petite bite mon fils, maintenant à quatre pattes sur le lit et sans discuter.
Je m’exécute, à peine en place que le premier coup de cravache s’abat sur mes fesses nues. Je gémis de surprise plus que de douleurs lorsque le deuxième coup me frappe.
Tu as été vilaine n’est-ce pas ?
Un troisième coup plus fort que les précédents.
Réponds-moi !! Tu as été vilaine ?
Oui !
Deux coups frappent chacune de mes fesses, laissant échapper un petit cri de douleurs.
Oui qui ?
Oui maman ! Elle pose sa cravache sur ma fesse, comme pour m’avertir.
Finis ta phrase.
Oui maman, j’ai été vilain. Le rouage de coups que je subis est indescriptible, chacun me fait plus mal que le précédent, m’arrachant chacun des cris qui deviennent progressivement des larmes…
Je crois que tu t’es trompé quelque part, salope !
Oui maman… J’ai été très vilaine.
Bien. Reprends ton souffle et descends me voir lorsque tu es prêt, nous devons avoir une discussion, et ne prends pas la peine de te rhabiller. Je n’ai jamais ressenti telles douleurs, je me regarde dans le miroir, j’ai un cul écarlate. J’apprête à descendre lorsque je me rends compte que ma verge est bandée, plus forte qu’elle ne l’a jamais été. Je ne peux pas descendre comme ça… Je commence à me branler rapidement…
Tu ferais mieux de vite descendre si tu ne veux pas que je recommence.
Pas le choix… Je descends et lorsque j’arrive vers ma mère, elle pouffe de rire.
Mais c’est qu’elle bande ma salope, avoir les fesses rouges t’excite ? C’est très bien. Tu t’es sûrement demandé pourquoi ta mère, si douce et aimante, a caché dans sa chambre un tel attirail, n’est-ce pas ? Et j’imagine que tu penses que depuis ton père, je n’ai fréquenté aucun homme ? Eh bien, permets de t’annoncer que tu avais tort. Depuis la mort de ton père, j’ai développé une activité secondaire, je suis une dominatrice. Je vais chez des hommes pour les soumettre, les frapper, les enculer, faire d’eux mes chiennes.
Je ne comprends pas où tu veux en venir.
Tu vas devenir ma pute. Les clients se font rares ces derniers temps… Lorsque j’ai découvert que tu avais utilisé mes jouets… Cette idée a germé dans ma tête, j’en ai parlé à Valentine qui m’a encouragé, et j’ai décidé de passer à l’action. Nous allons faire ça dans les règles de l’art en rédigeant un contrat nous liant, de domina à esclave. Tu peux bien sûr refuser… Mais tu diras alors adieu à mes dessous ainsi qu’à mes jouets, je te laisse une heure pour réfléchir à ta réponse, ainsi qu’aux détails de notre contrat.
En quelques semaines, j’ai tant appris sur ma mère… Une dominatrice SM… Et elle veut me dominer, moi son propre fils ? J’ai beau faire tous les efforts du monde…
Pas besoin de réfléchir, j’accepte.
Tu te rends bien compte de ce à quoi tu t’engages.
J’ai essayé de te mentir et de me mentir à moi-même pendant longtemps… Tu m’excites plus que n’importe quelle femme au monde et devenir ton soumis, ta chienne serait une grande satisfaction.
Je t’aime mon fils… Maintenant, rédigeons notre contrat.
Contrat de soumission
Ce contrat, qui devra être signé par les deux partis, lie Caroline et Théo en tant que respectivement Maîtresse et soumis pendant une durée indéterminée et suivant les closes suivantes :
Le soumis devra s’adresser à sa domina par les termes suivants ; maîtresse, déesse en privé et Dame Caroline en public (sauf présence de leur famille) ou à la demande de la maîtresse, Maman.
Le soumis devra accéder à toutes les demandes de sa maîtresse, cela inclut toute forme de pratiques sexuelles ou de punition/humiliation, en privé comme en public.
Le soumis devra porter les tenues imposées ou autorisées par sa maîtresse.
Le soumis ne sera pas autorisé à pratiquer d’actes sexuels sans l’accord de sa maîtresse (masturbation comprise)
La maîtresse est libre d’imposer une ou plusieurs autres personnes dans les actes sexuels du soumis.
Le soumis a le droit à un safeword s’il estime que les choses vont trop loin pour lui, l’activité actuelle cessera alors, engageant une discussion entre le soumis et sa maîtresse. Le safeword choisi par le soumis est : Téléviseur.
Tout manquement à l’une de ces règles de la part du soumis conduira à une punition choisie par la maîtresse.
Compte tenu de la relation particulière liant les deux personnes, toute activité sera suspendue en présence d’une personne connaissant le lien unissant le soumis et la maîtresse, sauf cas exceptionnel en accord entre les deux partis.
Ce contrat rend les choses tellement officielles.
Cela te va, tu es sûr ? Il n’y aura pas de retours en arrière possible.
Oui, parfaitement. On signe alors tous les deux le contrat, marquant le début de ma soumission envers ma mère.
J’irai t’acheter quelques trucs demain, lorsque je rentrerai, tu devras être prêt.
C’est-à-dire ?
Je prends un rendez-vous express chez l’esthéticienne pour dire adieu à tous ces poils mal placés. Pense aussi à te faire un bon lavement, tu n’as envie qu’un accident arrive, crois-moi. Les choses sérieuses vont commencer très vite, je ne prendrais pas le temps de t’attendre.
Bien maîtresse.
Parfait…
