Ça fait un petit mois que je suis au centre. Et c’est l’enfer ! Le centre en lui-même est plutôt sympa, moderne avec un parc arboré et tout. Mais il est en pleine montagne avec un réseau catastrophique. Il est suffisant pour téléphoner, mais recevoir une photo par texto est moins rapide qu’un pigeon voyageur. Ils ont bien un WiFi public, mais il est fortement filtré pour éviter les contenus inappropriés. Il y a pas mal d’enfants et d’adolescents ici. Du coup, impossible de regarder peinard des vidéos intéressantes, si vous voyez ce que je veux dire.
Pourquoi me concentrer sur les vidéos ? Parce qu’ici, le personnel est très masculin. Il y a quelques femmes dans les services administratifs ou en auxiliaires médicales, mais vraiment, on dirait que toutes les moches et les vieilles se sont donné rendez-vous ici. Je sais, ce n’est pas sympa, mais je suis en manque depuis que je suis là.
J’ai bien continué à alimenter mes rêves des images de Bertille et d’Anne-Sophie. Mais j’ai le plus grand mal à me créer de nouvelles scènes érotiques. J’ai beaucoup perdu de ce côté, suite à l’accident. Il faudrait que je me refasse un stock d’images et de souvenirs pour bien faire, mais c’est très compliqué ici. J’ai pu me palucher dans ma chambre au début. Mais j’ai bien trop vite tourné en rond niveau fantasme.
Comme je le disais, aucune des quelques femmes qui travaillent ici nest susceptible de générer chez moi des fantasmes. Dans les patientes ? Soit trop jeunes, soit trop amochées. Il y a bien une auxiliaire médicale qui est assez jeune, pas mal foutue. Mais elle est en couple avec un des kinés. Et le gars, c’est une armoire à glace, comme La Montagne de la série. Sauf que La Montagne est beaucoup plus avenante. C’était mon kiné au départ, quand j’ai vu passer sa gonzesse, il a dû s’apercevoir que je la reluquais plus qu’un peu. Il lui a suffi d’un regard et d’un grognement pour se faire comprendre. Il m’a échangé avec un collègue pour "éviter une mauvaise manipulation" de sa part. Le message était des plus clairs.
Du coup, je suis entre les mains de Jérôme maintenant. Je préfère et pas seulement à cause de la nana du précédent. Je rigole bien avec lui, il est plutôt sympa. Il me fait travailler en douceur, mais efficacement. J’ai vraiment l’impression de progresser même si je voudrais que ça aille plus vite. Lui n’arrête pas de me dire :
Un pas après l’autre Kevin. Si tu veux sauter des étapes, tu n’y arriveras pas. Déjà, je trouve que tu progresses plus vite que la moyenne.
Bon, j’arrive à marcher en m’aidant des barres parallèles, je peux également faire deux trois pas sans rien, mais c’est tout. Niveau des bras, c’est beaucoup mieux. Le droit est fonctionnel à 100% et le gauche à 80%. Je suis quasiment autonome pour manger. Sauf lorsqu’il s’agit de couper des trucs avec couteau et fourchette. Ça, ça reste compliqué.
Pour ne rien arranger, Sami et sa Kinga semblent filer le parfait amour. Il me donne régulièrement de leurs nouvelles. Apparemment, leur formation se passe bien. Ils sont tous les deux épanouis dans ce qu’ils font. Sami vit désormais chez elle. C’est allé assez vite. Surtout que les parents de Sami et ceux de Kinga ne sont pas enchantés par cette relation. Il faut dire qu’un couple tuniso-polonais, ce n’est pas courant. Car Kinga est née en Pologne, mais elle est arrivée ici à 2 ans. D’après Sami, elle a hérité d’un léger accent de ses parents. Il lui trouve également toutes les qualités du monde. Bref, il est fou amoureux. Comme il m’en parle tout le temps, je peux la décrire facilement, surtout avec les quelques photos que j’ai pu récupérer par texto. Par le réseau, c’est horriblement long, mais ça finit par arriver. Elle est assez grande pour une femme.
Blonde avec des yeux noisette (et pas en ambre comme il me l’a dit), une silhouette élancée et sportive, normale pour une future pompière. Elle n’a pas des seins énormes et un petit cul rond et ferme. Ce n’est pas trop mon style, mais c’est celui de Sami.
Et mes amours à moi ? Le néant absolu. Il m’a été impossible de retrouver Anne-Sophie. Elle ne semble pas avoir d’adresse à elle, elle doit encore vivre chez ses parents. Je ne connais pas le prénom de ceux-ci et Thomas comme nom de famille, c’est beaucoup trop courant. Je l’ai cherchée sur les réseaux sociaux, mais là aussi, j’ai fait chou-blanc. J’ai sondé d’anciens du collège, mais personne n’a eu de contact avec elle depuis cette époque. En même temps, je comprends qu’elle a choisi de couper les ponts avec ses bourreaux.
Et Bertille ? Aucune nouvelle. Et de toute façon, je ne cherche pas à en avoir. Encore que maintenant, je serais content qu’elle me rende visite. Même si c’est pour se servir de moi comme avant. C’est dire dans quelle détresse affective et sexuelle je suis. Rien que la voir de nouveau pour une petite branlette, rien que ça, ça serait top.
Allez, il faut que je reste motivé. Sinon, mon séjour risque de s’éterniser. Jérôme n’arrête pas de me répéter que si j’ai le moral, tout ira bien plus vite. Mais garder le moral dans ces conditions… Au moins, Sami et Kinga viennent me faire une visite aujourd’hui. C’est la première fois qu’il vient avec elle. Je vais enfin la voir pour de vrai.
***
Il est presque 16h, j’espère qu’ils ne vont pas être en retard. Les visites se terminent à 18h pour les gens qui ne sont pas de la famille. Je regarde par la fenêtre, ma chambre est tout au bout de l’aile sud et donne sur l’avant et la fin du parking visiteur. Ah, je crois reconnaitre la vieille Clio blanche de Sami qui cherche à se garer. Au lieu de prendre une des places proches de l’entrée, elle vient se ranger dans le fond. Personne ne descend, c’est bizarre. Tout à coup, je vois la voiture tanguer. Non, mais, ils font quoi ? Je change un peu d’angle de vue et distingue mieux l’intérieur du véhicule. Non, ils ne baisent pas, ils se contentent de s’embrasser fougueusement. C’est très chaud quand même. Je ne suis pas sûr, mais il me semble que Sami a une main sous le t-shirt de Kinga. Je ne vois pas celles de sa copine, mais elle semble s’activer aussi. Ils ont du mal à s’arrêter, mais finissent par sortir. Ils se rajustent, tous deux en t-shirt, lui en jean, et elle en jupe.
Malgré le soleil, il fait frais, ils doivent enfiler un blouson. Ils se roulent une grosse pelle et se dirigent vers l’entrée. Quelques instants plus tard, j’entends toquer à ma porte :
Entrez.
Salut Kevin.
Salut Sami.
On se serre la main et Sami rajoute une accolade qui me fait du bien.
Je te présente Kinga. Kinga, voilà Kevin.
Euh bonjour Kinga.
Enchantée, Kevin.
Kinga se penche et me fait la bise. Elle sent bon. Son sourire est éclatant. Et effectivement, elle a un très léger accent qui lui donne du charme dans la voix. Du charme, elle n’en a pas que là. Elle est vraiment très bien foutue. Elle manque un peu de forme à mon goût, mais son corps est très harmonieux, souple et affuté. Ses cheveux sont très blonds, coupés en carré, ses yeux sont marron clair, ils brillent vraiment comme de l’ambre. Sami a de la chance. En plus, elle a l’air d’avoir du tempérament, si j’en crois leurs galipettes dans leur auto. Ils posent leurs blousons et nous entamons la discussion.
Ils me parlent tous les deux de leur futur métier, des casernes où ils sont passés, de comment ils pensent évoluer dans leur carrière. Ils sont passionnés, ça se voit. Sami me donne des nouvelles du quartier. Puis on en vient enfin un peu à moi, grâce à Kinga qui fait remarquer à son "chouchou" qu’il ne s’est pas beaucoup intéressé à ma personne.
Oh pardon. Merci Kini. Alors Kev, quoi de neuf ?
Je leur raconte mes progrès physiques. Sur ma lancée, je me lamente aussi sur mon désert affectif, sur mes recherches infructueuses pour retrouver Anne-Sophie. J’oublie Kinga qui est assise dans un coin de la chambre un peu en dehors de mon champ de vision. Je parle à Sami comme si nous étions seuls. Je lui raconte mes difficultés à trouver de nouvelles sources de libido, l’endroit ici étant encore pire que l’hôpital où j’étais avant. Il se marre et me demande si je veux qu’il me ramène des magazines pour adultes. Je suis à deux doigts d’accepter, mais je vois bien que ça reste une blague.
Ne le tourmente pas trop quand même ton copain. Tu ne voudrais pas être à sa place, le tance Kinga.
Je tourne un peu mon regard vers elle. Elle s’est installée dans le fauteuil près de la fenêtre. Elle a glissé ses pieds sous ses fesses et est de travers. C’est une position fort peu confortable. Pourtant elle semble parfaitement s’en accommoder. Cela a l’avantage de dévoiler presque totalement ses longues jambes fuselées. Elles sont fermes, musclées. Je devine même le pli du cul à la lisière de sa jupe. Je ne distingue pas de lingerie. Je ne crois pourtant pas qu’elle soit nue dessus. C’est peut-être un string ou un tanga.
Oui pardon. Bon Kev, désolé. T’as besoin de quoi en fait ?
Euh, hein ? Oui, de quoi ? Euh bah de rien.
Il faut que je détourne les yeux de sa copine. Ils vont voir que je la mate. Je dois retrouver un peu le fil de la conversation avec mon pote.
Non, vraiment. Le seul truc qu’il me faut pour l’instant, c’est de quoi fantasmer, dis-je. Mais il faut juste que je remette en marche ma boîte à fantasme tout seul.
Ouais, sinon tu vas exploser ha ha ha.
Mon chéri, il faut qu’on y aille. Il faut repasser chez nous avant d’aller voir tes parents.
Oui, oui, c’est vrai. Et ne vaut mieux pas être en retard.
Vous allez chez tes parents ? La hache de guerre est enterrée ?
Non, disons que pour l’instant, les relations diplomatiques ont repris. Avec les parents de Kini aussi. Allez mon Kev, à la prochaine.
Sami me refait une accolade. Au même moment, Kinga se lève du fauteuil. Un bref instant, je peux voir le bas de ses fesses. Je sais maintenant qu’elle a un string noir. Elle n’a pas vu qu’elle avait été impudique alors qu’elle cherchait son sac à main. Elle me fait la bise pour me dire au revoir. Ils partent tous les deux main dans la main. Je me lève et me pose dans le fauteuil, ils arrivent sur le parking. Une fois devant leur voiture, Sami se fait plaquer contre celle-ci par sa copine. Elle l’embrasse fougueusement sous mon regard envieux. Je suis un peu loin, mais je crois qu’elle lui a mis la main au paquet. Ça ne m’étonnerait pas qu’ils baisent une fois chez elle. J’en connais qui vont être en retard à leur dîner.
La nuit suivante, je revois Kinga dans le fauteuil. Je l’imagine s’asseoir différemment, écarter les cuisses pour me laisser voir sous sa jupe. J’admire l’étoffe noire qui cache son intimité. Je me réveille en sursaut alors que mon rêve fait un zoom avant entre les jambes de la Polonaise. Bordel, je ne vais pas faire de la copine de mon meilleur ami l’objet de mon fantasme ! Putain, ça ne se fait pas.
Au matin, je m’en veux toujours autant. J’ai presque envie de m’excuser auprès de Sami et de Kinga. Après le petit-déjeuner, je vois que j’ai reçu un message de mon pote.
Salut Kev. Tu peux me rappeler vers midi ? C’est à propos d’hier.
Merde, elle ou lui s’est aperçu que j’avais maté sous la jupe ? Ça peut être autre chose. Comme l’histoire des magazines. Voir même des nouvelles d’Anne-Sophie. J’imagine plein de raisons alternatives, mais la première revient sans arrêt en tête des probabilités. Et avec elle, la perte probable de mon pote ou au mieux une bonne engueulade. Ma séance de kiné est perturbée par l’échéance de mi-journée. J’ai l’impression de régresser. Jérôme aussi qui me demande ce qui ne va pas. J’élude ses questions. Je ne veux surtout pas rentrer dans les détails. Je redoute l’heure d’appeler Sami, le moment venu, je prends mon courage à deux mains et compose son numéro. Sami décroche dès la première sonnerie.
Hey Kev, j’attendais ton appel. Ça va ?
Salut Sami. Ça va pas trop mal.
Pour l’instant, me dis-je.
Bien, alors heu pour aller droit au but, heu Kinga a vu que tu as maté sous sa jupe hier.
Et merde.
Excuse-moi, ce n’était pas intentionnel. C’est arrivé comme ça.
Attends, attends, tais-toi. Tu as vu quoi au juste ?
Le bas de ses fesses et juste assez pour savoir qu’elle portait un string noir.
Putain, je rentre trop dans les détails ! Le string, franchement ce n’était pas nécessaire.
Pas plus ?
Non, non, je te jure.
OK, OK. Et heu, tu la trouves comment Kini ?
Il me fait quoi Sami là ? Je réponds à sa question sans trop savoir où je vais.
Elle est vachement mignonne. Moi je préfère un peu plus de formes, mais elle est bien ban…
J’allais dire une connerie, moi. Je me suis retenu à temps.
Bandante ?
Bah heu, oui.
Et hem, tu… cette nuit… avec elle ?
Malgré les blancs qu’il laisse, je comprends ce qu’il demande. C’est mon pote le plus cher, je lui dois la vie, je lui dois pour le moins la vérité. Je lui dévoile le contenu de mon rêve. Celui-là a l’avantage d’être assez soft. Je m’empresse également de lui dire dans quel état d’esprit j’étais à mon réveil par rapport à eux.
D’accord, d’accord, mais hem au moins ça t’a fait de l’effet ? Je veux dire ce matin, t’avais… tu bandais ?
Je suis de plus en plus perdu quant à son attitude. En effet, j’avais une demi-molle. Je le dis à Sami. A part des "je vois, je vois", je n’ai pas trop de réactions. J’entends le téléphone bouger, être manipulé.
Bah t’avais raison, il a rêvé de toi, entends-je de façon étouffée.
Merde, Kinga est là depuis le début. C’est quoi leur plan chelou ?
Oui, oui, je lui dis. Mais t’es sûre ?… Oui, oui, moi aussi.
Ils doivent être en pleine discussion. Mais ils veulent me dire quoi ? Sami reprend la conversation.
Kev, bon, Kinga se demandait justement si elle t’avait fait de l’effet. Bon, euh, si tu n’étais pas mon frérot, je t’aurais buté, mais euh, putain je le crois pas à ce que je vais te dire… Ecoute, c’est OK si tu continues de fantasmer sur elle.
Hein ?
Oui, te connaissant, j’étais sûr que tu allais avoir des remords. Donc c’est pour ça que je te dis ça, t’es un mec bien et respectueux. Après, on ne veut surtout pas savoir ce que tu peux imaginer à ce moment-là, OK ?
Euh OK.
Sami reprend ses apartés avec sa copine. Cette fois, je ne perçois que des murmures inaudibles. Puis il reprend notre discussion.
Bien, euh t’as assez de réseaux pour recevoir des photos par texto ?
Eeeuuuhh, ouiiii…
Je te fais confiance, tu ne déconnes pas. Allez, à la prochaine.
Et il raccroche brusquement. Je suis dans un brouillard de fou. Rapidement, j’ai trois textos qui arrivent. Trois photos évidemment. Mais le téléchargement est long. J’ai tout le temps de me demander ce que c’est. Ah, la première photo est chargée à 100%. Je l’ouvre et suis à deux doigts d’avoir une attaque. C’est Kinga, même avec le loup en dentelle noire qu’elle porte, je la reconnais. Elle est sur leur lit, dans un ensemble soutien-gorge et string en dentelle noire aussi. Elle a pris une pause un peu sexy. Elle est à genoux, légèrement cambrée, ce qui met bien en valeur sa chute de reins et son ventre plat. La seconde photo est arrivée aussi. Je me précipite pour la voir. Cette fois, elle est allongée sur le dos, les bras étirés au-dessus de la tête, une jambe un peu repliée devant l’autre. La troisième, vite ! Ah, enfin. Oh bordel ! Cette fois, elle est à quatre pattes, la photo est prise de derrière. On voit son cul au premier plan. Son visage est tourné vers moi, enfin vers Sami.
Elle regarde intensément l’objectif, l’air de dire : "Viens, je t’attends.".
Je ne sais quoi penser. Mais ma queue, elle, elle sait quoi faire. Elle se met au garde-à-vous en moins de deux. Quelle heure est-il ? 13h15… J’ai le temps ? Oui, aller… De toute façon, ça ne devrait pas traîner. Je sors ma bite et commence à m’astiquer comme un fou en matant Kinga. Comme je le pensais, il ne me faut pas longtemps pour jouir. J’ai tout juste la conscience d’esprit d’attraper des mouchoirs en papier posés sur ma table de chevet. La vache, que c’est bon de jouir, de se vider les couilles. Je me nettoie aussi bien que possible. Je jette les mouchoirs et ouvre la fenêtre pour aérer un peu. Ça me laisse le temps de repenser à tout ça. Ces quelques photos vont me permettre de mettre Anne-Sophie et Bertille dans de nouvelles situations. Peut-être Kinga aussi. Je préfèrerais éviter, mais si ça doit arriver, ça arrivera. Sami m’a dit de ne pas m’en faire pour ça.
Je pars quelques instants plus tard pour une séance en piscine rééducative. Je suis bien plus serein que le matin. J’enchaîne alors les exercices avec entrain et facilité. On est même obligé de me freiner. Mieux vaut tout faire bien que tout faire vite.
La nuit qui suit, je profite des images de Kinga. Je fais danser celle-ci devant moi dans sa tenue des photos, dans un style très "9 semaines et demie". C’est hyper-sensuel. Sa lingerie me rend fou et me frustre aussi. Je voudrais bien la voir complètement à poil. Lorsque j’arrive à la déshabiller, c’est pour trouver les seins de Bertille ou le cul d’Anne-Sophie. Ça donne un mélange étrange pas en accord avec le joli visage en ovale de la copine de Sami. Je me contente de prendre Bertille ou Anne-Sophie dans différentes positions, dans différents endroits. Les photos ont rechargé mes batteries pour plusieurs nuits, je pense.
Après trois nuits comme cela, je reçois un message de Sami. Il me demande comment je vais. Il ne fait pas allusion aux photos. J’évite donc trop ouvertement le sujet. Je lui dis simplement que j’ai fait quelques progrès dans ma rééducation, mais que je suis bloqué à un palier. Il m’encourage à ne rien lâcher.
La journée se déroule sans que je songe à cet échange. Mais lorsque je reviens dans ma chambre, je découvre que j’ai reçu de nouvelles photos. Je déverrouille fébrilement mon smartphone. Encore trois photos. Cette fois, Kinga est en maillot de bain, son visage est coupé ou hors champ. Mon imagination embraye tout de suite vers la plage, l’été, les vacances. La nuit suivante, je me vois faire l’amour à Kinga sur une plage de sable blanc. Elle est allongée et je suis sur elle. J’ai repoussé son maillot sur le côté pour enfiler ma bite dans son sexe. Je coulisse en elle, elle gémit et prie les étoiles pour que je la fasse jouir. Elle m’encourage, je vais plus vite, plus fort. Elle se crispe, me plante ses ongles dans le dos alors que je me vide en elle.
J’ai ainsi de nouvelles photos tous les trois, quatre jours à peu près. Toujours en dessous ou en maillot de bain. Kinga a le visage caché ou en dehors du cadre. Sami me demande ensuite des nouvelles indirectes le lendemain de l’envoi. Comme s’ils cherchaient à faire croire que ce sont d’autres qu’eux qui me fournissent en photos. C’était bien au début, mais ça tourne un peu en rond. Je cherche un moyen de dire à Sami d’arrêter, que ça ne sert à rien dorénavant. Je trouve une formule assez claire, mais qui maintient cette forme d’hypocrisie dans nos échanges. Je n’ai reçu aucune réponse en retour. Du coup, ça se ressent dans mes performances physiques. Jérôme s’étonne de mes sauts d’humeurs et de progrès. Il ne sait pas trop comment me prendre et me garder dans de bonnes dispositions de façon permanente. Je ne me vois pas lui dire les raisons de ces fluctuations dans mon attitude.
Le soir, j’ai la surprise de voir que j’ai encore reçu des photos. Je ne sais même pas si je dois les regarder. Je pensais pourtant avoir été clair avec Sami. Par acquit de conscience, je vais les ouvrir. Mon sang bouillonne d’un coup dès la première photo. Kinga a remis son loup en dentelle, mais c’est son seul vêtement ! Elle est nue, allongée sur son lit et fixe l’objectif. Je peux admirer ses petits seins parfaits. Deux pommes rondes et fermes, surmontées de deux tétons clairs et pointus. Son pubis est visible également, c’est définitivement une vraie blonde. Je distingue bien ses poils blonds épilés en un triangle net. Sur la seconde, j’ai ses seins en gros plan, je peux admirer en détail le grain de sa peau. Sur la troisième, c’est ses poils que j’ai en zoom avancé. Derrière ceux-ci, je distingue vaguement ses lèvres vaginales. Bien évidemment, ça me redonne un coup de fouet tant sur le plan psychomoteur que sur le plan sexuel.
J’ai ainsi plusieurs séries avec Kinga nue, jusqu’à une plus longue que les autres. Il y a dix photos. Je pense qu’ils ont voulu m’envoyer une vidéo, mais ça ne passera jamais ici. Kinga est de nouveau avec sa dentelle noire de la première fois. Je comprends vite le sujet du shoot. C’est une séance de plaisir solitaire de Kinga. Elle se déshabille puis se masturbe. J’imagine facilement ses doigts titiller son bouton, jouer avec ses lèvres, entrer dans sa chatte. Elle se pince et tire sur ses mamelons. Sur la dernière photo, on voit bien qu’elle a joui, ses cuisses et ses poils sont luisants de mouille. J’ai reçu ces photos le matin au réveil, j’attends impatiemment d’avoir un peu de temps libres pour les mettre à profit. Au courrier du jour, j’ai la surprise d’avoir un colis. Je pense d’abord à mes parents, mais l’expéditeur est Sami. De retour dans ma chambre, je l’ouvre rapidement. J’en sors un soutien-gorge et un string noirs.
Des effluves dont la provenance est évidente me montent aux narines. Je les porte à mon nez et prends une profonde inspiration. Bordel, on oublie les effets puissants de l’odorat sur la libido.
Depuis, je prends une bouffée de parfum de Kinga avant de m’endormir. Cela intensifie mes rêves. Pas seulement avec elle, mais aussi avec Bertille et Anne-Sophie. Surtout avec Anne-Sophie. Elle me manque terriblement. Je me suis juré de la retrouver une fois sorti d’ici.
***
Rapidement après la première série de masturbation, j’en ai eu une autre où elle suçait Sami et où il lui éjaculait sur les seins. Et une dernière où Sami la prenait en levrette, avec des gros plans sur son sexe d’arabe entrant et sortant de celui de la Polonaise. J’ai également eu d’autres colis assortis à ces photos. Mes rêves sont bien plus puissants et variés grâce à eux. Et je n’ai pas que Kinga qui intervient dans ceux-ci. Anne-Sophie, Bertille, d’anciennes petites amies sont aussi là. Les lieux, les positions, les pratiques sont beaucoup plus variés.
Du côté psychomoteur, ça avance aussi, mais pas aussi vite. Je peux désormais marcher une dizaine de mètres sans soutien, mais j’ai l’impression d’avoir fait un marathon. Mon bras et ma main gauche stagnent toujours à 70% ou 80%. Quant au cinquième membre, il semble avoir repris un fonctionnement totalement opérationnel, du moins avec la branlette, car pour le reste, je n’ai pas eu l’occasion de repratiquer. Et ce n’est pas près d’arriver. Enfin, je ne sais pas, ça dépend de comment va évoluer cette journée dominicale.
Car quelques jours après la dernière série, j’eus un appel de Sami et Kinga qui a chamboulé la vision que j’avais de mon pote. Je revenais d’une séance en piscine assez éprouvante, il m’avait fallu une bonne douche pour me détendre. J’allais me rhabiller quand ils m’appelèrent. Je décrochai et me posai à poil sur mon lit, le soleil de cette fin mars se chargeant de finir de me sécher et de me réchauffer.
Moi : "Salut Sami. Ça va ?"
Sami : "Salut Kevin. Ça va, ça va."
Kinga : "Bonjour !"
Elle était là aussi. Je fus surpris et un peu mal à l’aise. Les images qu’ils m’avaient envoyées me revinrent en tête me faisant bander rapidement.
Sami : "Et toi ça va ?"
Moi : "Oui, je viens de faire une grosse séance dans la piscine de rééducation. Je suis mort. Mais je progresse alors je reste motivé. Tu imagines, je peux marcher sans soutien 10m. Et avec des béquilles, je peux presque faire le tour du parc !"
Kinga : "Bravo. T’es un champion !"
Sami : "Ouais c’est cool…"
Kinga : "Dis, tu peux sortir maintenant ?"
Moi : "Non pas… Ah tu veux dire à la journée ?"
Kinga : "Oui."
Moi : "Oui, oui. Mes parents passent me prendre tous les dimanches pour un repas en famille. Ça commence à me gaver sérieusement. Ils invitent toujours du monde qui passe son temps à se lamenter sur mon sort à ma place."
Sami : "Donc il faut qu’on te sauve ce week-end, comme d’habitude, ah ah ah."
J’entendis Kinga pouffer derrière lui. L’allusion aux photos était assez claire, mais je ne voulus pas relever. J’étais plus à l’aise à faire comme si ce n’était pas eux sur les clichés.
Kinga : "Bon, on t’invite à un petit pique-nique dimanche. T’es d’accord ?"
Moi : "Ah ouais, ça me changera."
Kinga : "Super. Bon, je file. A dimanche Kevin."
Je l’entendis s’éloigner de quelques pas puis lancer à Sami :
Kinga : "Tu n’oublies pas hein ?"
Sami : "Non, non. Allez, à ce soir chérie."
Une porte claqua et je perçus mon pote souffler un grand coup. Comme sa copine n’était plus là, je me sentis plus libre pour le remercier plus franchement.
Moi : "Merci pour les… photos et tout. Ça m’a vachement aidé. Dans la tête, ça remarche bien mieux. Et même à côté, je suis plus motivé, libéré de cette inquiétude."
Sami : "Bon, au moins on n’a pas fait ça pour rien. Par contre, tu n’oublieras pas d’effacer les photos quand même. Kini et moi, on n’est pas super à l’aise à l’idée qu’elles sont dans la nature."
Moi : "Si tu veux que je les efface tout de suite, il n’y a pas de problème…"
Sami : "Non, non. Mais dès que tu sors définitivement du centre…"
Moi : "Promis."
C’était donc ça que Kinga lui avait demandé de ne pas oublier.
Sami : "Bien. Pour dimanche, on voudrait te demander un truc…"
Moi : "Tout ce que vous voulez."
Sami : "Euh, Kinga elle a un… Moi, je voudrais… Putain, c’est pas facile à dire."
Moi : "Qu’est-ce qu’il y a ? Vous avez un problème ? Je ne suis pas sûr de pouvoir beaucoup vous aider dans mon état. Mais je ferais tout ce que je peux. Je te dois bien ça."
J’entendis Sami se motiver lui-même puis revenir vers moi et lâcher d’un coup.
Sami : "Voilà Kinga, elle a un fantasme. Celui-ci d’être épiée par un voyeur pendant qu’on fait l’amour. Je m’en suis douté quand on a fait les photos, alors je lui ai demandé. Ça m’a bien plu à condition qu’on le fasse en pleine nature. C’est mon fantasme à moi. On s’est dit qu’on pouvait facilement allier les deux, mais entre avoir un fantasme et le réaliser, il y a un monde. On a trouvé un super coin tranquille et tout. On s’est chauffé un peu et on a entamé des préliminaires. Mais Kini a entendu du bruit et a pris peur. Peur de tomber sur un connard, un groupe, des gamins, des flics. C’est vrai que ce n’était pas rassurant. Alors en fait, voilà, on voudrait que tu sois notre voyeur, juste voyeur, pas touche, hein. Elle te connaît et tu seras là pour surveiller. En plus, ça te fera des images en plus à garder en mémoire."
Je me tripotais nonchalamment depuis le début de la conversation. Ma queue fit alors un bond vers le plafond. Ils voulaient m’utiliser pour réaliser leurs fantasmes. Eux aussi allaient se servir de moi. J’étais prêt à refuser, mais c’était vrai aussi que je leur devais un service. Et puis ils allaient sans doute m’offrir un beau spectacle, un son et lumière.
Sami : "Je comprends si tu ne veux pas accepter. Mais bon, on avait que toi sous la main et avec qui on est suffisamment en confiance. Alors…"
Moi : "C’est bon. C’est d’accord."
Je lui donnais ma réponse tout en m’astiquant frénétiquement. J’imaginais déjà la jolie Kinga pomper le dard de mon ami, se faire baiser par sa queue d’arabe, jouir, crier sous ses coups de butoir.
Sami : "Merci, merci, merci. A dimanche."
Il raccrocha. J’ouvris alors le dossier dans lequel j’avais rangé leurs photos et finis de me branler sur les images de Kinga. Je ne tardai pas à prendre mon pied et à jouir. Je m’aspergeai le ventre et le torse d’une bonne rasade de foutre. J’étais bon pour un nouveau tour sous la douche.
Donc, aujourd’hui, le couple est venu me prendre en fin de matinée. Le temps est idéal en cette fin mars. Beau et ensoleillé, sans être trop chaud. Kinga a préparé des sandwichs, des boissons. Elle a remis la même jupe que la première fois où ils sont venus me voir. Elle a un top à manches longues qui lui moule le haut du corps. On voit clairement qu’elle n’a pas de soutif. Mais avec sa petite et ferme poitrine, elle peut se le permettre. Sami et moi sommes en t-shirt manches longues et jean.
Nous ne sommes pas très loin du centre, à peine 15 minutes depuis le départ, lorsque Sami tourne dans un petit chemin forestier. La voiture tangue et est secouée un moment avant d’arriver au bout du sentier carrossable. Nous descendons et commençons une marche d’une cinquantaine de mètres. Avec mes béquilles et le terrain plein de racines, de pierres, c’est mon maximum. Ils me font découvrir un petit espace en marge du chemin, coincé entre une haie de muriers et un champ. Les plantations ne sont pas très hautes, mais si nous sommes assis par terre, nous sommes presque invisibles.
Le début du pique-nique est complètement normal. Nous discutons de tout et de rien. De leur formation, ils sont tous deux en plein dans un module sur les risques atomiques, chimiques, bactériologiques. On parle aussi de moi, de mes avancées en terme psychomoteur. De mes amours inexistants. Sami m’a dit qu’il avait un peu demandé à droite et à gauche pour voir si quelqu’un savait où vivait Anne-Sophie, mais personne ne lui a donné de réponse. Ça me rend taciturne, Kinga change alors de sujet. Nous rigolons un bon moment.
On a fini de manger et profitons du soleil. Je sens les deux à côté de moi, impatients de commencer les choses sérieuses. Mais nous n’avons pas défini de plan, de scénario. Sami passe sa main sur la cuisse de Kinga, la caresse, la remonte sous la jupe. Elle a posé sa main sur le ventre de son copain, prête à se faufiler sous la ceinture pour aller tâter la bête. Ma présence trop proche doit les freiner. Je me lève et annonce que j’ai besoin d’aller me soulager. D’une part, c’est vrai, et d’autre part, ça va les laisser seuls quelques instants. Ils devraient en profiter pour entamer les préliminaires.
Je me lève et passe derrière la haie. Je me choisis un coin et fais mon affaire. Je commence à entendre des mouvements, des soupirs. Ils ont commencé. Je fais quoi ? Je reviens tout de suite ou j’attends un peu ? Et après, je me repose près d’eux où je reste en partie caché par la haie comme un vrai voyeur ? Le temps de me poser ces questions, il me semble que les choses avancent. Je peux, je pense, venir jouer mon rôle. Je décide de rester un peu à l’écart. J’aimerais bien voir de près leurs ébats, mais je ne le ferai que s’ils m’invitent à m’approcher.
Je suis au bout de la haie, je me penche et découvre le couple. Ils ont tous deux enlevé leurs hauts. Les pommes de Kinga sont caressées par la grande main de son mec. L’autre main est entre les cuisses de la demoiselle. Elle a gardé sa minijupe, mais pas sa culotte. Ses jambes sont largement ouvertes et les doigts de mon copain glissent le long de la vulve complètement épilée. Moi je préfère quand il y a un peu de poils, ça fait moins gamine. En plus, Kinga a une jolie toison blonde excitante. Bon, je ne vais pas faire le difficile, ce que j’ai sous les yeux est super bandant. La Polonaise a glissé sa main dans la braguette de Sami. Elle extirpe l’engin de sa prison. Sa menotte branle alors la belle queue sombre.
Ils évitent tous deux de regarder dans la direction d’où je devrais arriver. J’en déduis que ma position est la bonne. Je scrute le couple, ils bougent. Sami s’allonge sur le dos et Kinga vient le pomper. Elle se place de façon à pouvoir toujours se faire tripoter. Mais je ne vois plus sa chatte, elle est trop de côté. Je dois me contenter de la pipe qu’elle lui octroie. Je me mets à la place de Sami et l’envie fortement. Les bruits de succion qu’elle fait avec sa bouche, le clapotis qui émane de sa chatte fouillée par les doigts de Sami comblent mon vide auditif. Mon sexe est dur et voudrait sortir. Je ne leur ai pas demandé si je pouvais me masturber en les matant. J’hésite à le faire, mais mes pulsions prennent le dessus. Je sors ma queue et m’astique en les épiant.
Ils changent encore de position, cette fois, Sami vient brouter sa copine. Lui qui revendiquait haut et fort qu’il ne ferait jamais ça… Leur position est encore moins bonne. Kinga est à moitié allongée, appuyée sur ses coudes. Mais elle me tourne presque complètement le dos. Je distingue à peine la tête de Sami s’agiter entre ses cuisses. Il doit savoir y faire, car Kinga gémit plus fort. Je l’entends donner des indications : plus haut, plus bas, etc. A un moment, Sami doit faire un truc qui la met hors de contrôle. Il met les doigts ? Dans la chatte ? Dans le cul ? Il lui mordille le bouton ? Aucune idée, cela laisse la place à plein de possibilités. Kinga a la tête qui part en arrière puis de mon côté. Elle m’aperçoit enfin. Est-elle assez dans son trip pour continuer ou vais-je la gêner ? En plus, ma queue est bien visible aussi. Son regard se fixe sur moi, sur mon membre. Elle se mord la lèvre puis ferme les yeux comme Sami l’amène près de l’orgasme.
Ils ne vont pas se contenter de ça ; alors ils se mettent en position pour baiser. Je suis surpris qu’ils optent pour un missionnaire. Je ne vois presque plus rien à part le dos et le cul de mon copain. Je les entends haleter, gémir, se murmurer des mots doux. Je perçois aussi les bruits de pénétration. Néanmoins, il me manque la vue sur l’essentiel. Kinga fait tourner Sami pour le mettre sur le dos et elle au-dessus de lui. Ainsi je peux bien mieux admirer la bite de Sami coulisser entre les lèvres vaginales de sa copine. Ils continuent de se parler. Sami penche la tête dans ma direction et me regarde me branler. Il prend les fesses de Kinga en main et les écarte. Le soleil éclaire parfaitement la chatte pénétrée, mais j’ai aussi une vue imprenable sur le petit trou de sa chérie. Ce n’est pas une invitation. Mon rôle est purement celui d’un voyeur et doit le rester. Mais ce petit cul me donne envie, grandement.
Ils se donnent à fond l’un à l’autre et à moi par la même occasion. Est-ce ma présence qui attise leurs ébats ? Sans doute, au moins pour Kinga. Ils ne sont plus très loin de jouir tous les deux. La jeune femme veut changer une dernière fois de position. Elle laisse son copain sur le dos et elle tourne à 180° pour me faire face en cowgirl inversée. Kinga se cambre bien et laisse ses cuisses ouvertes. Je peux tout voir d’elle : son visage où s’exprime le plaisir, ses seins durs d’excitation, son sexe fourré par la queue de son copain. Celui-ci a lâché les chevaux et ne cherche plus à faire durer la séance. Moi aussi, je me branle à toute vitesse. J’ai dû m’appuyer sur un arbre, car je fatiguais. Je ne suis plus du tout caché. Ça ne la gêne en aucune façon. Au contraire, elle prend son pied à se faire mater ainsi. Kinga me fixe dans les yeux, j’entends quelques-uns de ses encouragements. Je pourrais les prendre pour moi tellement elle me regarde en les disant.
Je suis le premier à craquer. De nombreux jets viennent fertiliser le sol de la forêt. Kinga ne cesse alors de me regarder faire. Elle se passe la langue sur les lèvres comme si elle voulait me goûter. Soudain, elle se cambre, se crispe :
Ah, ah, aaaah, ouiii, ouiiiii.
Elle jouit puissamment. De là où je suis, je peux voir son vagin se contracter sur la bite de Sami. Celui-ci lâche des râles impressionnants. Sa queue est secouée de spasmes. Il doit bien lui remplir le con de foutre. Cela dure de longues secondes puis la jeune femme s’écroule sur lui et ils s’embrassent amoureusement. Alors qu’ils se parlent doucement, je me demande ce que je dois faire. Repartir et revenir comme si de rien n’était ? C’est Kinga qui me dit quoi faire.
Merci Kevin. C’était super.
Bon, je peux sûrement approcher. J’ai la queue toujours à l’air, mais ça ne semble déranger personne. Et puis, je n’ai pas envie de la remettre dans mon boxer sans l’avoir essuyée un minimum. Ils continuent à se galocher devant moi. Ils ne vont pas recommencer quand même ? Non, ils se séparent. La queue molle sort de la chatte gluante. Un peu de sperme s’écoule du sexe de Kinga. Elle attrape prestement l’essuie-tout qu’elle a amené et éponge ce qui coule. Je pense qu’elle va en donner à Sami pour qu’il fasse de même avec sa queue. Elle me jette le rouleau et se penche sur son mec pour récolter le fruit de leurs ébats avec sa langue.
Elle adore le mélange de son jus et du mien. Oh oui, c’est bon.
Ah OK.
Je suis subjugué par la performance de Kinga. En quelques instants, la queue de Sami brille comme un sou neuf. Il bande même à moitié. Moi, je suis resté figé tellement j’étais admiratif. Kinga se redresse et regarde Sami.
Dis, je peux ?
Tu exagères…
S’il te plaît. Tu pourras me prendre le cul ce soir, si tu veux.
Bon, OK. Je ne peux rien te refuser de toute façon.
Heu, Kevin, je peux ?
Elle veut aussi me nettoyer la queue ? Mais bien sûr !
D’accord.
Et Kinga de me prendre en bouche. Sa langue est très agile et vive. Il ne lui faut que quelques instants pour me rendre rutilant. J’aurais aimé que cela dure plus longtemps. Mais je n’ai vraiment aucune raison de me plaindre. J’ai eu plus que ce qui était prévu au programme.
Nous nous rhabillons tous. Je m’aperçois alors que Kinga ne remet aucune culotte et je n’en vois aucune traîner au sol. Elle est donc sortie les fesses à l’air ? Quelle nana ! Ils me ramènent au centre, je suis épuisé. La marche en forêt et la position debout de longues minutes m’ont éreinté. J’ai mal aux jambes et au dos. Après le repas du soir, je me couche et m’endors immédiatement.