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Sophie et Laurence – Chapitre 2

Sophie et Laurence - Chapitre 2



Maman rentra du boulot, elle serra très fort Sophie contre elle. Il faut dire que maman l’adore, car depuis que nous sommes ensemble, ma vie a changé. Plus de fréquentations douteuses, avec lesquelles je passais mes soirées et weekends. A présent, il s’agissait uniquement de gens tranquilles, sans zones troubles.

Bonjour ma chérie tu vas bien ? Oh oui, je pense que ça va bien, vous n’avez pas attendu d’être rentrées, petites impatientes !

Et là, maman brandit le string qui dépassait de la poche de Sophie, et le fit tourner devant nos visages, qui virèrent au rouge, nous qui n’étions pas vraiment gênées d’habitude devant maman. Mais là, ma mère, avec à la main mon string tout trempé, nous nous sentions un peu bébête, elle l’enfouit dans sa poche.

Je vais faire une lessive, alors si tu as des trucs à laver Sophie, donne-les-moi, je lance la machine, et vous vous en occuperez quand elle sera finie. Ce soir ton père et moi allons manger chez Christine, et nous dormirons là-bas. Elle arrose sa promo, et l’alcool va couler à flots, pas la peine de prendre des risques inutiles et comme cela, vous serez tranquilles toutes les deux.

Je servis trois mojitos au bord de la piscine. J’étais en compagnie de Max, le berger allemand confié par un voisin, parti définitivement travailler sur une plateforme pétrolière, en mer du Nord. Il avait vendu sa maison, et fut très heureux que mes parents aient accepté un nouveau membre dans la famille. Il savait que j’allais le chouchouter, mais ni lui ni moi, n’imaginions encore à quel point !

Alors le voilà, ton nouveau doudou qui passe ses nuits avec toi ! Oh, mais oui, t’es beau Max! Oui, viens, oui, ah doucement, hi hi hi !

Sophie le caressa, et fit connaissance avec ce beau mâle de cinq ans à poils longs, qui très affectueusement lui lécha les mains, le nez et alla fourrer sa truffe entre les cuisses de ma belle, encore parfumées de nos ébats. Elle le repoussa gentiment en riant, il vint vers moi et me lécha directement la chatte, nue sous ma mini-jupe trop courte.

Je sentis mon minou couler instantanément et mis quelques secondes à le repousser :

Hé, mais ma parole tu le laisses faire ?

— Mais non idiote, j’avais un verre et la bouteille en main, je n’ai pas voulu renverser, c’est tout ! Allez ça va, ce n’est qu’un chien, et si tu ne m’avais pas sauté dessus en voiture, il n’aurait pas reniflé notre excitation !

Oui mais moi je ne l’ai pas laissé faire, toi si grosse coquine ! Et nous partîmes dans un fou rire.

Maman vint trinquer avec nous ; puis papa arriva, et après s’être changés et préparés pour la soirée, ils nous embrassèrent en partant, non sans la petite vanne de papa.

Ah, Sophie nous t’avons préparé la chambre d’amis

Mais oui c’est ça, et moi je téléphone à Christine pour vous installer dans des chambres séparées !

Bonne nuit les coquines ! Papa ferma le portail derrière eux et démarra.

Santé ! Mon amour, nous avons la maison rien que pour nous toute la nuit.

Tes parents sont trop cool ! Je vais te bouffer ma chériiiiiiiiiiieeeeee !

Je courus autour de la piscine, Sophie à mes trousses, finit par me rattraper, une main chopa un sein, et l’autre se colla sur mon minou, moi je ne pouvais rien faire comme une conne, avec encore mon verre et la bouteille dans les mains.

Arrête, tricheuse, j’ai les mains pleines !

Je me tortillai comme je pouvais, mais rien n’y faisait ! Ses doigts roulaient déjà sur mes tétons, tandis qu’en bas, je sentis mes lèvres, déjà gonflées et humides se faire écarter, puis mon minou envahir profondément d’un coup, par mon amoureuse impatiente

Elle accepta que je pose tout à terre, mais sans me lâcher, et en augmentant le rythme de ses doigts dans ma chatte, maintenant totalement offerte, je coulais de bonheur !

Puis passant mes bras en arrière, j’attrapai comme je pouvais ma Sophie d’amour, et je nous fis tomber dans la piscine, en riant comme des folles.

Face à moi, ma Sophie m’embrassa tendrement, me retira mes fringues ; j’en fis de même et nous nous retrouvâmes nues, collées l’une contre l’autre, bouche à bouche, seins contre seins, et nos minous se frottant l’un contre l’autre, au gré des mouvements de nos bassins. Et c’est les yeux noyés de larmes et plongés dans ceux de l’être tant aimé, qu’un orgasme fantastique secoua nos corps, des pieds à la tête, soudées plus que jamais l’une à l’autre.

Après de longues secondes sans bouger, prolongeant un peu plus le plaisir qui venait de nous dévaster, nos lèvres se décollèrent, pour ensemble, murmurer un délicieux je t’aime.

Nos bras lâchèrent leurs étreintes, pour laisser nos mains caresser tout doucement nos corps, avides des caresses de l’autre.

Sophie m’échappa, sortit et revint s’assoir sur le bord du bassin, les jambes dans l’eau et nos verres à la main.

Santé mon amour ! Hum, tu les as bien tassés les mojitos Bébé, on va être très vite bourrées !

Je vais te saouler de sexe ce soir mon cur. Tiens, prends le mien je préfère m’enivrer autrement

Je lui lançai un regard gourmand et passai la langue sur mes lèvres, je lui écartai les cuisses, tout en laissant ma langue tendue, et j’approchai ma tête de son trésor. Je soufflai doucement dessus, puis la léchai, en dégustant ses lèvres sur toute leur longueur. Je faisais de petits ronds sur son périnée puis remontai, abandonnant volontairement son anus, repassai encore sur le côté d’une lèvre, et tournai sans le toucher autour de son clitoris qui, déjà était bien tendu, un souffle d’impatience et de plaisir montant de ses poumons.

Elle se laissa aller sur le dos, tandis que d’une main je caressai ses seins, en prenant bien soin d’éviter les tétons.

Je poursuivis mon manège pendant encore plusieurs minutes, et je sentis le corps de mon amoureuse demander grâce, et attendre de plus en plus impatiemment la jouissance promise. Je me réjouis de la situation, tout en me disant que j’allais le payer cher, très cher plus tard.

Après avoir mis encore un peu la patience de Sophie à rude épreuve, et fait monter son désir au sommet de ce qui était supportable, je décidai de la tuer. Je saisis la pointe toute durcie d’un sein que je pinçai et tournai entre mes doigts, mon autre main lui rentra trois doigts dans son vagin dégoulinant de cyprine, tandis que ma bouche se déchainait sur son bouton d’amour.

Et après quelques secondes de ce traitement que j’intensifiais, les halètements et les tremblements de tout son corps allaient crescendo. Je sentis, de mes mains et ma bouche, les vibrations d’un orgasme libérateur d’une force dingue, tant attendu par tout le corps de ma femme. Elle lâcha un long cri strident, qui se transforma lentement en un feulement de panthère en chaleur ; elle mit un temps fou à retomber enfin, dévastée et inerte, complètement achevée par cet orgasme tueur !

Je pris par la taille son corps complètement abandonné, presque désarticulé, et le fit glisser dans l’eau jusqu’au cou en l’enlaçant, nous plaquant l’une contre l’autre.

Doucement elle retrouva ses esprits, mis ses yeux dans les miens, ses mains prirent tendrement mon visage pour de douces caresses, et nos bouches s’abandonnèrent dans un profond baiser, chargé de tout l’amour qu’il y avait entre nous.

Après quelques sous-l’eau pour se détendre, nous sortîmes de la piscine, Sophie se sécha et s’allongea sur un transat, tandis que j’allais chercher un plateau :

Remplis les verres, chérie, je ramène à manger.

De retour les bras chargés d’un plateau de bonnes petites choses à grignoter, et d’une bouteille de rosé, je rejoignis ma chérie, assise en tailleur sur le lit d’été, posai le plateau devant elle et pris la même position, elle me tendit mon apéro :

Santé mon amour je t’aimerai toujours !

Santé Bébé, moi pour l’éternité, dis-moi, tu m’as bien fais languir tout à l’heure hein ! Alors profite tranquillement de ton repas, car après je vais te faire regretter de m’avoir torturée, tu vas mourir Bébé.

Hum, bla bla bla, que des promesses, chérie !

Après avoir avalé quelques bricoles et largement fait honneur à la bouteille de rosé, Sophie la prit, ainsi que son verre, et me tendit le tout.

Viens, mon amour, allons dans la chambre d’amis, allonge-toi j’arrive tout de suite, et pose mon verre et la bouteille sur la petite commode à côté du lit.

Deux minutes après m’être allongée, ma chérie fit son entrée avec un sac à la main, d’où elle sortit un foulard rouge, qu’elle noua devant mes yeux :

Oh, tu me sors le grand jeu mon amour mais heu. . C’est ce que je pense, oh oui, des menottes ! Je comprends mieux maintenant, pourquoi la chambre d’amis : c’est le seul lit de la maison à posséder des barreaux !

Oui ma chérie, et ce n’est pas fini.

Après les mains, ce fut le tour des chevilles, menottées aux barreaux du lit, bras écartés et cuisses largement ouvertes, dévoilant l’intimité profonde de mon coquillage. J’étais à la merci de ma chérie, qui prenait tout son temps. Au bruit, je devinais qu’elle prenait une gorgée de vin, puis je sentis quelque chose de très doux, mais déjà très agaçant, venir me chatouiller les seins, le ventre, l’intérieur des cuisses, puis tous les endroits sensibles de mon corps.

Le résultat ne se fit guère attendre, et ce furent mes seins qui donnèrent les premiers signes d’excitation. Je sentais en effet mes tétons grossir, et mes aréoles gonflées plus que chez les autres femmes. Et à en croire ma chérie, cela rendait ma poitrine irrésistible.

Dis donc Bébé, tu es très sensible ce soir !

La plume que je devinais longue, ne quittait maintenant plus mes seins aux bouts gonflés, durs et tendus. Puis Sophie me posa une chaîne sur le ventre, la plume descendit tourner un peu autour de mon bouton magique, avant de suspendre momentanément sa douce torture.

Ma chérie prit une extrémité de la chaîne, qui se terminait par une pince à téton assez sophistiqué, un fin lacet de cuir se serra de plus en plus autour de mon aréole gonflée, qui semblait grossir encore au fur et à mesure que Sophie tirait sur les deux bouts de cuir; puis une pince en acier mordit la chair durcie de mon téton, même traitement pour l’autre sein !

Et la plume fut de retour, mais puissance dix, due au dispositif qui me torturait la poitrine dont les pointes semblaient vouloir exploser sous les sévices.

Sophie tournait autour de mon clito, qui lui aussi bandait bien, mais pas encore autant que mes seins, je laissai échapper une plainte d’un douloureux plaisir. Puis elle s’empara du troisième brin de la chaîne, et positionna la pince sur mon bouton gonflé, et tourna la vis pour pincer plus fort, et fit la même chose sur mes seins. Une douleur chaude montait doucement dans tout mon corps, précédant un orgasme à venir Ma chérie me dévorait la bouche, tout en dévissant l’étreinte des trois pinces, refoulant loin en moi l’orgasme tant attendu.

Ne sois pas si pressé mon Bébé d’amour, tu as le temps, détends-toi, pense à moi tout à l’heure dans la piscine.

Sa bouche se posa sur la mienne, déjà ouverte, avide d’un profond baiser. Mais, même pour ça, elle me fit attendre, et ne me donna pas sa langue de tout suite ! Elle joua avec mes lèvres suppliantes, tout en descendant une main le long de mon pubis, passa dans mes poils fraîchement taillés, puis continua, et enfin vint jouer autour de mon anus, qu’elle chauffa, en le frôlant sans le caresser vraiment. Son autre main jouait aussi sur mon corps, pour faire monter le désir dans tout mon être.

Ce manège dura un bon moment, puis sa langue me visita la bouche très profondément, sa main serra si fort les pinces sur mes seins et mon bouton d’amour, que j’allais tomber dans les vapes. Mais quand elle me mit deux doigts par derrière, et qu’elle secoua frénétiquement tout au fond de moi, le décollage direction Septième Ciel me ramena à la réalité d’un orgasme de folie ! Tout mon corps se mit à trembler, électrisé. Je n’étais plus qu’un pantin secoué dans tous les sens, par de puissants soubresauts, lâchant un long cri de jouissance qui n’en finissait plus! Alors Sophie retira les pinces et les menottes, puis ses mains caressèrent mes seins et ma chatte, trempés de cyprine. Elle m’en étala partout, et instantanément la douleur disparut de tout mon corps, laissant place à la douce béatitude de la redescente en douceur ! J’étais dévorée de baisers par ma femme, qui lentement, avec d’infinies précautions, s’allongea sur mon corps brûlant.

Épuisées par cette soirée d’amour, nous sombrâmes dans le sommeil.

Je t’aime ma meuf d’amour !

Je t’aime Bébé de mon cur !

merci à A M pour son aide précieuse

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