A l’occasion de notre mariage Marc et moi Christine, nos parents respectifs nous avaient offert un voyage de noces d’une semaine en pension complète organisé en Turquie. C’était il y a deux ans au mois de juillet.
Nous étions partis le lendemain de notre nuit de noces passée dans une somptueuse chambre d’hôtel où nous avions fait plusieurs fois l’amour malgré la fatigue.
Pour le voyage organisé, nous faisions partie d’un groupe d’une vingtaine de personnes, de tout âge et nous étions parmi les plus jeunes. J’avais 22 ans et mon mari avait trois ans de plus. De taille moyenne 1 m 64, brune, un visage aux traits fins et un corps svelte, menu grâce aux cours de gym, des seins petits et fermes sans besoin de porter de soutien-gorge, j’attirais les regards. Ce qui ne plaisait pas trop à mon mari assez jaloux. L’accueil à l’hôtel fut chaleureux et sympathique. Situé tout près de la plage, il était composé de bungalows confortables et il y avait aussi une piscine. Le guide, un jeune homme turc, était charmant et parlait bien le français. Les matinées étaient consacrées aux baignades en mer ou à la piscine. Les excursions-découverte avaient lieu l’après-midi. Mon mari et moi ne nous quittions pas, redoublant de méfiance, comme nous l’avaient recommandé des amis prétendant que les Turcs comme les Italiens et tous les méditerranéens étaient des dragueurs tenaces. Tout se passait merveilleusement bien. Nous faisions l’amour plusieurs fois par jour, surtout après la sieste, car il faisait très chaud dès le matin. Ce qui était normal pour de jeunes mariés amoureux comme nous.
Et puis la veille de notre retour en France, il s’est produit une aventure imprévisible. L’organisateur nous a donné quartier libre cet après-midi là pour nous permettre de faire des achats, etc.
En fin de soirée, nous avions décidé de dîner en amoureux dans un restaurant sur une terrasse avec vue sur le port et la mer, un port de pêche et de plaisance… A la fin du repas, au moment où nous prenions le café, le garçon, tout souriant, nous servit un digestif local en précisant qu’il nous était offert par des messieurs assis à une table toute proche. Ils étaient trois hommes, des Turcs qui devaient avoir la trentaine. Mon mari les remercia vivement et les invita à se joindre à nous. Ils étaient ravis d’apprendre que nous venions de France, surtout l’un d’eux. Il aurait travaillé à Paris, dit-il. Ils nous demandaient nos impressions sur leur pays et avions discuté longuement de choses et d’autres prolongeant ainsi la soirée marquée par une agréable brise marine. Puis l’un des trois se prénommant Ismet voulait savoir si nous avions fait une sortie en mer. Mon mari répondit que ce n’était pas dans le programme du voyage organisé et que devions repartir le lendemain. Nous nous apprêtions à quitter le restaurant après avoir payé lorsqu’ils nous proposèrent une petite "virée" sur un petit bateau qui se trouvait à quai pas loin.
Je n’étais pas très emballée, mais mon mari, au contraire et à mon grand étonnement, accepta avec plaisir. Nous voici donc embarqués quelques minutes plus tard sur ce petit bateau. La mer était bien calme. Mon mari accompagnait le capitaine dans la cabine me laissant avec les deux autres.
Nous avions pris place sur un banc en haut de la passerelle avec une vue superbe sur la mer, reflétant les lumières des étoiles et de la ville. J’étais assise entre les deux. Je portais un chemisier et une jupe courte. Au bout d’un bon quart d’heure de navigation, on ne voyait plus la ville et ses lumières et il faisait de plus en plus sombre. Ce qui me mettait mal à l’aise. Soudain, le plus jeune Ismet se tourna vers moi et tenta de m’embrasser tandis que l’autre glissa d’un coup sa main sous ma courte jupe entre mes cuisses jusqu’à toucher ma culotte. J’ai essayé de me dégager de leur emprise, mais ils étaient plus forts m’ordonnant avec des gestes de me laisser faire en plaquant une main sur la bouche. Pendant que l’un posait ses lèvres sur les miennes enfin entrouvertes après quelque résistance pour un chaud baiser, l’autre caressait mon sexe et y pénétrait un doigt fureteur. Pendant ce temps-là, j’entendais mon mari discuter avec le capitaine ne se doutant évidemment de rien. Les deux acolytes continuaient à m’embrasser et à me caresser les seins, la chatte puis chacun me prit une main pour dégager leurs sexes bien durs de leurs braguettes ouvertes. C’était la première fois que je voyais des sexes circoncis. Ils me paraissaient plus longs et plus larges que celui de mon mari et j’en fus très impressionnée. Pendant que je faisais une fellation forcée à l’un, l’autre s’occupait de pénétrer profondément ma chatte excitée et lubrifiée par les caresses. Je me retenais de ne pas crier tellement la jouissance était forte et mon vagin bien rempli de sperme chaud. Ensuite, je sentais un doigt puis deux massant avec application mon anus encore vierge. Mais comme le capitaine annonçait qu’on allait bientôt arriver au port, j’eus soudain droit à une double pénétration rapide avec une jouissance fulgurante suivie de baisers appuyés sur la bouche avant de pouvoir me remettre rapidement dans un état normal…
A notre arrivée au port, mon mari les avait remerciés chaleureusement pour cette sortie en mer dont il semblait ravi, ne sachant rien de ce qui s’était passé. Ils avaient répondu par de larges sourires, sûrement de satisfaction de la part des deux hommes qui avaient profité de la jeune mariée française.
Dès notre retour au bungalow, nous avions pris une douche et comme d’habitude avions fait l’amour avant de nous endormir.
Je garde encore secrètement un souvenir particulier et étrange de ce voyage de noces.