Histoires de non consentement Histoires de sexe voisins Histoires de tromper

Quatre jolies jeunes demoiselles – Chapitre 1

Quatre jolies jeunes demoiselles - Chapitre 1



Je connaissais Laure depuis le début de ma seconde, et Marion depuis la première seulement. Laure et Marion avaient eu un délire, de dire qu’elles étaient toutes les deux mes filles. De ce fait, elles m’appelaient souvent papa, et me demandaient de leur apprendre les choses de la vie. On a souvent eu des discussions « osées », avec Laure comme avec Marion, mais c’était toujours du second degrés, à mon grand désarroi. Pendant une période de mon année de première, alors que j’étais en couple, Marion m’a envoyé des curs en me demandant quand est-ce qu’elle pouvait faire un match avec ma copine, Anaïs, pour savoir laquelle était la meilleure. Bien sûr, souligna-t-elle, Laure serait de la partie, ainsi que la sur de ma petite amie, Juliette. Anaïs (19 ans) et Juliette (18 ans) ne se ressemblaient pas beaucoup, et Juliette, bien qu’étant la cadette, était mieux formée que sa sur. Cependant, leurs formes n’étaient pas très généreuses, elles étaient très minces, voire maigres, toutes les deux, et n’avaient pas de poitrine pour ainsi dire importante. En revanche, toutes deux avaient de très jolies fesses. Quant à Laure et Marion (19 ans toutes deux), elles étaient minces, mais avaient toutes deux des seins qui semblaient très jolis, bien que n’étant pas très imposants non plus. Et, si Marion avait une magnifique paire de fesses, ça n’était rien à côté de celle de Laure. Toutes les quatre étaient donc fort séduisantes, malgré un petit manque de chair au niveau de la poitrine. Ici, s’arrête la partie « réelle » de l’histoire et commence la fiction.

J’avais convenu avec Marion que notre petit jeu aurait lieu au lycée, et plus particulièrement dans la salle de danse du gymnase, que l’on avait réservé pour l’occasion, prétendant devoir s’entraîner pour notre évaluation d’accrosport. C’était mercredi après midi, le lycée était quasiment vide, n’étaient présents que quelques profs, et les élèves collés. Le bâtiment des cours est à l’opposé du gymnase, la cantine et les bureaux administratifs sont au milieu, ce qui faisait que personne ne nous entendrait si on criait. Il était 13h20 quand nous arrivions, tous les cinq ensemble, là-bas. Juliette ferma la porte de la salle de danse, tandis que Marion allumait la chaîne hi-fi et mettait sa playlist, pour couvrir nos voix, au cas où. On installa de tapis de gym dans l’angle le moins visible de la porte, et c’est la que Laure commença les hostilités: elle m’embrassa à pleine bouche, et Marion commençait à dévergonder ma petite amie et sa sur, qui étaient, à mon grand regret, très (trop?) sages. Elle commença par se mettre en sous-vêtements, un soutien-gorge noir mettant sa petite poitrine en valeur, et une jolie culotte, rouge quant à elle, qui la rendaient fort désirable, puis commença à embrasser l’élue de mon cur, Anaïs, tandis que sa sur nous observait, ne sachant plus où se mettre. Tout en l’embrassant, Marion défit les boutons du jean d’Anaïs, tandis qu’elle-même essayait tant bien que mal de retirer son haut sans rompre ce magnifique baiser. Laure me lâcha (enfin!) la bouche et se tourna vers Juliette, en retrait depuis le début, ce qui me permis de me coller à ma chère et tendre afin de la caresser, toute en laissant traîner une main sur la poitrine de Marion. Leur bouche se décollèrent, et aussitôt j’embrassais Marion, voulant rendre Anaïs jalouse, ce qui marcha à merveille puisqu’elle commença à me descendre mon jean. Juliette se joignit bientôt à elle, tandis que Marion déshabillait Laure, qui n’avait toujours rien enlevé depuis le début. Les deux surs commençaient à me baisser le caleçon, découvrant mon membre tendu comme jamais devant ce festival, alors que Laure était maintenant totalement nue, contrairement à Marion et Anaïs, qui étaient en sous-vêtement, et Juliette, qui avait seulement enlevé son haut. Pendant que ces trois dernières couvraient mon sexe de caresses, bisous et autre, j’attirai Laure à moi pour l’embrasser, me permettant ainsi de la peloter sans gêne : je jouais avec ses seins d’une main, en caressant ses fesses de l’autre. Elles eurent rapidement raison de moi, et, à ma demande, Marion avala mon sperme. Le premier round était fini; cependant, l’après midi était encore long…

La suite prochainement, si vous le souhaitez. Je prends toutes les remarques que vous aurez à me faire 🙂

A propos de l'auteur

HistoiresDeSexe

Laissez un commentaire