Ce vendredi la, je terminai mes cours bien plus tot à l’université. J’allais pouvoir regagner ma province et m’éloigner le temps d’un week end de cette ville folle de Paris. Je courus jusqu’au train, presque vide à cette heure-ci. J’eu la chance de trouver un compartiment vide pour moi tout seul. Je vis quelques personnes circuler dans le coulouir, des étudiants, bidasses, hommes d’affaires fatigues par la semaine, bref pas grand chose qui m’aiderait passer le temps, 4 heures de trajet tout seul. Au démarrage du train, une femme entra dans mon compartiment, alors que je commencais à sombrer dans un sommeil profond. De sa voix douce et sensuelle, elle me demanda: ’Pardon jeune homme, ça ne vous dérange pas si j’occupe votre comportaiment ?’
’Non, je vous en prie, installez vous où vous voulez.’
Elle vint s’asseoir en face de moi, à côté de la vitre. Elle étrait incroyablement séduisante. Elle était très mure, elle devait facilement approcher la quarantaine. Elle retira son épaisse veste de velour. Son épaisse chevelure noire, retomba sur ses épaules délicates. Elle était vêtue d’un tailleur noir, ce quyi me frappa, c’est qu’elle ne portait ni bas, ni collant. Ses jambes étaient nues, mais d’une couleur et d’une douceur encore jamais vue.
Nous avons commencé à discute, on a parlé de tout et de rien, de notre petit quotidien. Je la désirais en fait, mes yeux ne pouvaient se détacher d’elle, de son chemisier blanc. Ses levres écarlates, sur lesquelles elle passait sa langue entre deux taffs de cigarettes blondes. Je sentai un edureté entre mes jambes. Alors, brusquement, elle me lança: ’Dites moi, est ce que je vous fais envie ?’
’Oui, énormément’ répondai-je maladroitement .Je sentais une grosse boule se nouer au niveau de ma gorge. Son charme m’ensorcerlait.
Elle se leva pour fermer les portes coulissantes du compartiement, et tira les rideaux verts. Tout en déboutonnant son chemisier en satin, elle me demanda : ’As tu déjà fais l’amour ave cune femme qui a peut etre le double de ton âge ?’ ’Non, mais il faut un début à tout’. Je retirai mon sweet. Son chemisier cachait une poitrine oppulente, ses seins légèrement tombant étaient très allechant. Je m’appretais à me lever pour les dévorer, mais d’un geste elle m’arreta net.’
’Attends, continu de te déshabiller, je veux te voir complètement nu’. Je m’exécutai sans poser de questions.’
Nous étions enfin nus. Je bandais grave de grave. Je crois que je n’avais jamais eu un tel brackmar entre les jambes.J’étais prêt à traverser n’importe quel troupeau de vagins !
Quant à elle, elle avait la plus belle chatte que je n’avais jamais vue. Elle ne ressemblait pas à ces chattes rasées, non la sienne était épaisse, noire. Je distinguais même ses levres, humides. Cette fois ci, je n’en pouvai plus, je me jetai à ses pieds , elle écarta légèrement ses jambes, et je plongeai ma langue dans sa chatte brûlante. JE titillais son clitoris, et je la sentai gémir, elle cachait un orgasme qui allait bientôt éclater. Je continuais de la lecher, je lechai sa chatte entièrement. Puis je me relevai, m’asseyai sur une des deux banquettes, elle se mit à genou et prit ma bite complètement raide, et l’avala complètement. Elle se mit à me pomper énergiquement, sa langue tournait en spirale autour de mon gland, brûlant, puis vint le moment ou je ne pus me retenir, j’ejacullai, j’explosai dans sa bouche. Je sus alors qu’elle devait être une sacrée avaleuse, car elle ne laissa aucune goutte de mon torrent de foutre s’echapper de sa bouche.
Je me relevai, soulevai les accoudoirs des banquettes, et elle s’allongea sur le dos, écarta les jambes autant qu’elle pouvait, et m’invita à la baiser en missionnaire. Tout en préparant mon arrivée, je la vis se toucher, et moi je me masturbai délicatement, tout en la regardant: Elle me regarda férocement, se pris les seins, et me cria: ’Viens me baiser, viens me faire l’amour, depeche toi je n’en peux plus’.
Je vins par dessus elle délicatement, et doucement. Je commençai à l’embrasser. La douceur de son corps était elle que je perdis toute envuie de la défoncer, mais de lui faire l’amour aussi tendrement que je le pouvais. Elle le compris aussi, je continuais de la fixer dans les yeux tout en massant ses seins. Elle me regarda en souriant, me carressa les cheveux, et de sa main droite, empoigna ma bite et la guida vèrs l’entrée de son vagin dans lequel je pénetrai. Il était brûlant, je sentais la mouille contre ses parois humides et chaudes. Et je commençai mon interminable mouvement de va et viens. Cela a duré une éternité, pendant laquelle nous nous sommes embrassés, je lui lechgai les seins entièrement .Sentant l’excitation suprême naître au fond de moi, et elle gémissant de plus en plus fort, j’accelèrai la cadence, lui donnant de véritable coup de boutoirs.
Cette fois ci, je la baisai, je la baisai comme jamais je n’ai baisé une fille. Elle s’excitait, j’avais peur qu’on l’entende dans les autres compartiments, mais j’m’en foutais. Nous étions tous les deux îvres de sexe, l’odeur du sexe, de sa mouille qui coulait sur mes cuisses, l’odeur de la transpiration, parfum enivrant de l’amour physique, de l’orgasme et de la compassion. Plus rien n’existait pour moi, que cette femme qui m’emprisonnait en elle. Puis, j’eclata en elle, un peu avant elle, mon corps se raidit, et mon plaisir se déversa en elle. Avant qu’elle ne laisse echapper quelles que rales de jouissance que ce soient, je l’embrassai, plongea ma langue dans sa bouche. Puis, je me laissai retomber sur elle, je jetai un coup d’oeil à ma montrer. Nous avions baisé pendant 40 minutes. Je n’en revenais pas. Pour moi c’etait impossible, je l’embrassai. Nous sommes restes dans cette position, presqu’une heure. Apres, nous nous rhabillames, puis nous avons finis le voyage dans les bras. J’etais amoureux d’elle. Sur le quai d’arrivée, nous nous dîmes Adieu. Je repartai chez mes parents, elle, alla rejoindre son mari, et ses deux enfants.