Après une pause repas bien mérité, il se baignèrent longuement et se prélassèrent au soleil. Dan regardait la maison et le travail quil lattendait sur celle-ci. Il passerait beaucoup de temps dans les parages au cours des prochaines semaines. Cette idée fit naître un sourire.
— Pourquoi souris-tu de cette façon? Demanda Julie.
— En regardant la maison, je me disais que je serai souvent ici au cours de lété, répondit Dan.
— Encore plus que tu ne le crois, dit Julie. Jai pas lintention darrêter dabuser de toi.
— À ce sujet, déclara Sylvie, il est grand temps que jessaie léquipement en question.
— Excellente idée, dit Dan.
Il se retourna, Sylvie était allongée non loin. Il se mit à quatre pattes et avança vers elle tèl un prédateur. Cette démarche fit rire la proie qui écarta légèrement les jambes comme une invitation au festin. Dan en comprit la signification et sapprocha jusqu’à se trouver au-dessus de sa tête. Il lembrassa et commença à descendre vers les seins de Sylvie. Il lécha le premier en massant dune main le second. Il mordilla le mamelon déjà dressé et dure déclenchant des soupirs chez sa partenaire très sensible à cette forme de caresse.
Il relâcha le sein pour recommencer à marcher à quatre pattes autour de Sylvie. Celle-ci se sentit vraiment comme prise au piège de ce formidable étalon prédateur. Parvenu à ses pieds, il sapprocha entre ses cuisses et commença un savant cunnilingus. Julie sapprocha et présenta à sa sur sa fente de plaisir pour elle aussi être assouvie dans ses désires.
Dan prit bien son temps dapprécier chaque recoin de cette belle fleur qui souvrait un peu plus à chaque coup de langue. Il fit pénétrer sa langue comme un sexe dans le vagin de Sylvie pour y laper les premières gouttes de son jus damour.
Sylvie avait immédiatement commencé à savourer la vulve offerte de Julie. Dès le premier regard sur ses grosses lèvres charnues, elle put y lire le désir et lexcitation de sa sur car la mouille était déjà au rendez-vous. Elle trouva le clitoris, dressé comme un petit sexe et laspira goulûment, le mordilla et le titilla du bout de la langue. Julie ne put retenir ses gémissements et prit ses seins dans ses mains, les pressa ensemble en pinçant les bouts déjà fièrement dressés et durs de désire.
— OUI, CEST ÇA COMME ÇA, OUI.Gémit Julie.
Pour Sylvie, étant occupée avec la fente de sa sur, combiné à la lenteur de Dan, le plaisir monta plus tranquillement. Elle comprit que Dan faisait exprès, il voulait que son orgasme soit fabuleux. Le plaisir, monta graduellement, elle commença à bouger son bassin au rythme de son plaisir qui sintensifiait de minutes en minutes.
Sylvie recommença à aspirer fortement le bourgeon de Julie et inséra deux doigts dans son puit humide. La réaction fut sans retour. Des spasmes agrippèrent les doigts dans la vulve et un chaud liquide se déversa dans la bouche de Sylvie.
— HOOOOOO OUI, OUI, OUI, HUMMMM, hurla Julie en proie à un orgasme.
Dan imita Sylvie en insérant deux doigts dans la grotte secrète, un de chaque main. Les gémissements de Sylvie doublèrent dintensité. Arrivé au point de non-retour, Dan sortit un de ses doigts, le remplaça par le Second doigt de lautre main et pénétra lanus de Sylvie avec le doigt lubrifié et libre. Lorgasme la prit par surprise et fut très puissant.
— HO MERDE OUI, SEIGNEUR JE PLANE, JE JOUIS, OUI OUI OUIIIIIIIII, cria Sylvie en plaquant la bouche de Dan sur son sexe.
Dan se redressa et ne laissa pas le temps à Sylvie de redescendre de son orgasme et lui enfonça son dard bandé dans le corps dun seul coup de rein.
— DIEU DU CIEL, OUI, cria Sylvie en ouvrant grand les yeux.
Dan commença un profond et lent mouvement de pénétration. Nayant pas pu redescendre de son dernier orgasme, Sylvie se mit à chevaucher la crête en continuant à jouir sans fin et de plus en plus accentué par le voluptueux mouvement de bassin de Dan. Ses seins, rendus sensible par lorgasme étaient dressés et durs.
Julie saperçu de la situation et en goba un en laspirant fort dans sa bouche pendant que Dan pinçait le mamelon de lautre. Sylvie à ce point alternait cri de jouissance et respirations bruyantes par saccades.
— PITIÉ, ARRÊTÉ, PITIÉ, JENJEN PEU PLUS, clama Sylvie.
— Je crois quon devrait arrêter, dit Julie.
— Mais jai pas encore visité lorifice arrière se plaignit Dan.
— NOOOOONNNNN, cria Sylvie.
— Cest daccord ma chérie, reprend ton souffle, je prends le relais, dit Julie avec compassion en repoussant lentement dan pour quil sorte du vagin de sa sur.
— Viens, mon beau, dit Julie, viens me combler comme ma sur.
En prononçant ces paroles, elle sallongea, appuyée sur les coudes et appelait du doigt Dan pour quil la rejoigne. Il la fit sourire en reprenant sa démarche de matou. Julie écarta largement les jambes et joua avec son abricot lisse en lattendant. Cest avec un regard allumé quelle laccueillit et le guida immédiatement dans son antre brûlant.
Pour elle, Dan changea de tactique, il la pénétra dun solide coup de butoir pour se retirer millimètres par Millimètre et revenir dun solide coup rapide. Julie se sentit transpercée dun coup de masse et respira bruyamment du coup. Quand Dan se retire très lentement, elle ne peut retenir ses gémissements de plaisir ni les mouvements incontrôlables de son bassin. Les coups de boutoir furent accueillis comme une délivrance et les retrait lent comme une torture exquise.
— Jésus, Marie, Joseph, Ouiiii, tu me tues, dit Julie.
— Oui, je te sens bien moi aussi, répliqua Dan.
— Donne-moi tout, dit Julie.
Bien que Dan en eu énormément envie, il ne modifia ni le rythme, ni la force de ses coups. Julie lui griffa le dos alors que les préludes de son orgasme se faisait sentir. À ce moment, Dan se redressa un peu plus, accentua la profondeur de la pénétration. Cen fut assez pour Julie.
— OUI, OUI, JE JOUIS, HOOOOOOO, OUI C’EST BON, OUI, sexclama-t-elle en pinçant le bout de ses mamelons.
Dan sorti de Julie et la regarda continuer à jouir les yeux fermés, les jambes ouvert et la bouche en « O ». Il se retourna et vit que Sylvie le regardait avec un large sourire. Sans dire un mot, elle se mit à quatre pattes, les épaules accoter par terre et écarta au maximum les fesses de ces mains.
— Allez, vas-y, depuis ce matin que jen rêve, dit Sylvie.
— Si je te fait mal, dis-le-moi, lança Dan.
Il positionna son gland sur lorifice serré présenté et pressa lentement. Le muscle sétira et souvrit face à lintrus qui finit par se retrouver à lintérieur accueillit par un « oui » de satisfaction de Sylvie.
Dan attendit une minute pour quelle relaxe un peu avant de lancer lassaut final. Il fit coulisser son gourdin, dans le Fourreau étroit, jusqu’à la garde et ressortit pour mieux revenir. Dan ne le savait pas mais Sylvie adorait la sodomie plus que tout. Elle était dailleurs multi-orgasmique par la pastille. Elle eu six orgasmes avant que Dan ne sente la brûlure dans ses testicules annonçant la fin des festivités.
Sylvie sentit le liquide chaud se déverser comme un torrent en elle ce qui déclencha un nouvel et puissant orgasme qui lui fit perdre connaissance. Dan, quand à lui, poussa cri de jouissance bestial. Il sortit délicatement du rectum de Sylvie en la retenant et la porta sur une chaise longue à lombre. Julie suivit la scène des yeux et vit Dan installer sa sur avec tendresse dans la chaise et sassurer de son confort avant de la rejoindre. Quand il sinstalla, elle le prit en bouche pour bien le nettoyer et aspirer les dernières gouttes de sperme.
— Tu es sans doute le meilleur amant quune femme peut désirer, dit Julie.
— Merci, répondit Dan. Vous êtes, quand à vous deux, les femmes les plus chaudes que jai jamais vues. Puis-je te poser une question?
— Bien sur, répondit Julie.
— As-tu toujours fait lamour avec ta sur? Questionna Dan.
— Non, lui sourit Julie, cest uniquement depuis notre rencontre avec Mélissa.