La maison devant laquelle on avait déposé Pallakshine était vaste, plus spacieuse qu’on ne pouvait l’imaginer de l’extérieur.
Comme il le lui avait été indiqué, elle a écrasé le doigt sur la grosse sonnette installée sur une des deux colonnes de pierre du portail. Passé un moment, on est venu la chercher. On a juste entrouvert le portail pour elle, qui s’est glissée entre les panneaux métalliques lourds et sonores.
On l’a conduite à l’intérieur pour lui faire traverser un long couloir ponctué de lourdes portes, qui donnait finalement accès à un salon spacieux, à l’ameublement luxueux et décoré d’authentiques chefs-d’uvre de la Renaissance.
Toujours escortée, elle a traversé le salon pour se retrouver au seuil d’une terrasse lumineuse, baignée de soleil, qui donnait sur un véritable parc.
Les accompagnateurs de Pallakshine l’ont abandonnée là. Elle est restée seule un court moment. Puis, deux jeunes filles sont venues à sa rencontre.
Toutes deux brunes, elles avaient des physionomies assez distinctes. L’une était toute de formes longues et nuancées. Le visage formait un bel ovale. La silhouette plutôt grande était merveilleusement proportionnée et la joliesse de ses fesses attirait immédiatement le regard, attisant immanquablement des désirs fervents, presque brutaux. L’autre était plus en rondeurs : ses cheveux bouclés, ses jolies pommettes, ses yeux rieurs lui faisaient un visage particulièrement indécent.
Elles se touchaient mutuellement comme par jeu et sans pudeur en s’approchant de Pallakshine, qui les regardait médusée. Les demoiselles paraissaient fiévreuses et avides du contact de Pallakshine. Elles lui ont littéralement fondu dessus, collant leurs corps à la peau de la jeune fille qui s’est laissée faire.
Ses hôtesses la caressaient de tout leur corps. Elles n’étaient vêtues, il est vrai, que de maillots de bain, tandis qu’une bande de tissu déchiré leur faisait office de soutien-gorge. Et comme elle lui léchait le bas du visage, fermement arrimée à son corps, l’une d’elles a glissé quelques mots à l’oreille de Pallakshine, qui a hoché la tête en entendant ce propos sibyllin.
Les demoiselles, qui avaient pu donner à Pallakshine l’impression d’être sur le point de se baigner, l’ont conduite au bord d’une piscine qu’elle n’avait pas vue, tout d’abord, parce qu’elle est cachée par un bosquet d’arbustes formant comme un simulacre d’enclos. En réalité, elles n’avaient pas du tout l’intention de se baigner.
Elles se sont resserrées autour de Pallakshine et ont commencé à jouer avec ses seins, tout particulièrement. Leurs caresses se sont d’abord concentrées sur les formes que dessinait le débardeur de Pallakshine, avant de se glisser dessous. Finalement, l’une des demoiselles a replié la pièce de tissu sur elle-même pour découvrir les seins de Pallakshine.
Elles semblaient très excitées, ces deux-là et leurs amusements divers avec le corps de Pallakshine les rendaient plus délurées encore. Elles se sont amusées un moment et puis celle qui avait entrepris, avec beaucoup d’empressement, de branler Pallakshine, lui a expliqué dans un souffle qu’il fallait vite retourner à l’intérieur à présent.
« Tu y seras foutue de bien des façons, ma douce », lui a-t-elle dit en lui caressant tendrement la joue, comme si elle avait voulu faire preuve de compassion. Pallakshine a répondu par un simple « Oui » et elles sont retournées à l’intérieur, ensemble. Ses accompagnatrices ne sont pas restées avec elle au salon, cependant. Pallashkine les a à peine vu partir. On l’a alors conduite dans la salle de bain.
Elle n’était pas très habillée, avec son short et son débardeur relevé, mais on lui a demandé de retirer le peu qui lui restait et de se déshabiller en empruntant des poses suggestives. A peine s’était-elle dénudée qu’un homme corpulent et d’allure impassible fonçait sur elle pour plonger la main entre ses jambes, d’abord pour caresser la surface du con, puis, se rendant compte que ce con était déjà trempé de foutre, en enfonçant un doigt tout à l’intérieur de la vulve avant de plonger un second doigt, l’index et le majeur se collant l’un à l’autre pour branler le con dégoulinant avec une vigueur accrue.
Pallakshine s’est sentie partir en gémissements obscènes tandis qu’elle était prise de soubresauts qui la rendaient plus indécente encore devant le petit groupe d’hommes et de femmes réunis à l’entrée de la salle de bain et qui regardaient la scène. Elle se cambrait sous la pression des deux doigts qui la fouillaient avec une puissance quasi mécanique.
L’homme a dégagé sa main de l’entrejambe de Pallakshine, lui a fourré ses doigts englués de foutre dans la bouche. Pallakshine a léché. Puis, il lui a ordonné de retourner au salon. Elle a dû passer parmi les spectateurs agglutinés autour de la porte. On la touchait, on la tâtait, elle n’osait se refuser à ces mains qui palpaient tout son corps, sur son passage. Elle ne s’est pas pressée, tandis qu’elle traversait cette barrière humaine qui l’absorbait.
Quand Pallakshine est arrivée au salon, pourtant, les spectateurs se sont dispersés très rapidement, comme si l’arrêt de la séquence « salle de bain » avait marqué pour eux la fin d’une récréation.
L’homme a rejoint Pallakshine dans le salon. Il lui a expliqué sobrement qu’il fallait qu’elle lui présente son cul, en se prodiguant à elle-même des caresses et en remuant les fesses selon un rythme suggestif, pour son contentement. Il lui a également expliqué qu’on allait la filmer, parce qu’elle était à la disposition complète de l’assemblée réunie sous ce toit. « Vous êtes soumise aux désirs de chacune des personnes qui vont et viennent ici », a-t-il conclu.
Machinalement, Pallakshine a jeté un regard circulaire autour d’elle et elle a effectivement vu un homme, plutôt jeune, habillé de simples jeans mais armé d’une caméra, apparemment focalisée sur le cul de la jeune fille. L’homme a filmé tout le temps que Pallakshine a joué avec son cul, aux ordres de l’homme qui l’avait conduite là.
Pallakshine s’attendait à ce qu’on la foute assez tôt, au con comme au cul. Elle redoutait même qu’on entreprenne de la sodomiser sans aucune sorte de ménagement. Après tout, elle était soumise à tous les fantaisies de cette maisonnée et elle n’en connaissait pas les limites. Au lieu de cela, on lui a dit : « Relève-toi » et on l’a ramenée à la salle de bain.
Pallakshine, qui se demandait où ses hôtes voulaient en venir, a été accueillie par l’une des filles de la piscine, qui lui a proposé de prendre une douche. « Tu es à peine arrivée et tu sens déjà le foutre à plusieurs mètres, ma pauvre ! », s’est-elle exclamée, tandis que Pallakshine se déshabillait, un peu étourdie. La demoiselle, restée hors de la douche, lui parlait doucement et d’une voix impersonnelle pour lui expliquer qu’on allait la foutre encore beaucoup et qu’en particulier, les hommes de la maison avaient convenu entre eux de lui décharger un maximum de leur semence dans la bouche. Bien entendu, elle ne pourrait rien refuser de ce qu’ils avaient à lui offrir.
En lui parlant, elle passait ses mains sur le corps de Pallakshine, un corps merveilleusement fin, dont la légèreté même accentuait le rebondi des fesses et des seins. Les convives évoquaient souvent cette particularité entre eux en se félicitant de la rencontre et des perspectives qu’elle ouvrait, en cette fin d’après-midi.
L’homme qui venait d’exposer Pallakshine aux yeux de tous et aussi à l’il de la caméra a brusquement refait apparition, interrompant les amusements obscènes de la jeune fille avec le corps de Pallakshine. La demoiselle s’est interrompue et a cédé la place à l’homme, qui a fait sortir Pallakshine de la douche. Il lui a tendu le peignoir. Elle a à peine eu le temps de le passer. Il fallait retourner au salon.
Le petit groupe venait de se reformer. Les convives attendaient même le couple avec une impatience fébrile. Pallakshine, juste vêtue du peignoir qu’elle n’avait pu attacher, n’entendait autour d’elles que des rires, des gémissements furtifs et des murmures qui la concernaient de façon certaine. L’ordre qu’on lui faisait de s’agenouiller et d’ouvrir la bouche est à peine parvenu à la conscience de Pallakshine, qui s’y est cependant conformée, tandis que l’homme extirpait son membre d’un pantalon déjà déboutonné. Une fois le sexe dégagé, il l’a enfoncé dans la bouche de Pallakshine qui a docilement refermé les lèvres sur le membre pour en recevoir les va-et-vient.
Elle s’attendait à ce qu’il lui éjacule dans la bouche. Au lieu de cela, il en a extrait son membre très rapidement pour lui décharger au visage un long jet de sperme qui lui a éclaboussé les yeux et a coulé longuement sur ses joues et ses lèvres.
Une demoiselle, coquette dans la robe qui flottait sur son corps, des plus légères, s’est accroupie à côté de Pallakshine, restée figée après la rude giclée de sperme qui venait de lui souiller le visage, sous le regard d’une petite foule obscène et enthousiaste qui regardait avec curiosité et bonne humeur le jeune corps féminin offert à toutes les dépravations du clan. La nymphe a longuement léché le visage de Pallakshine, jusqu’à ce qu’il soit nettoyé entièrement de la liqueur blanchâtre dont on l’avait éclaboussé. Puis la fille dont la robe était si indécente a invité Pallakshine à se relever avec une douceur particulière. Le peignoir toujours ouvert, Pallakshine s’est laissée conduire à l’extérieur, où un homme et une femme l’attendaient visiblement, comme on attend son tour.
(à suivre…)