Cathy 2
Cathy, une adorable blonde est la petite amie de mon fils Paul. Je les héberge quelques jours dans ma maison. La jeune femme m’a beaucoup allumé et nous avons même échangé un baiser la nuit précédente.
Je suis réveillé de bon matin en me demandant si j’avais rêvé. Non, la langue furtive de Cathy s’est bien enroulée avec la mienne hier soir. Comme c’était rapide mais agréable !
Les jeunes dorment toujours et je n’ose pas les déranger en allant dans la salle de bain mitoyenne de leur chambre.
Je décide alors d’aller au village chercher des croissants pour le petit déjeuner.
Quand je reviens, Paul apparaît suivi de son amie. Je n’ai encore que des yeux pour elle.
Elle n’a pas mis de soutien gorge et sa nuisette courte en coton laisse transparaître ses tétons dressés. Elle fait comme si de rien n’était et j’en fait tout autant.
Après le petit déjeuner, tandis que Paul se lave, Cathy se penche sur moi et dépose une bise sur mes lèvres avant de me glisser à l’oreille :
« J’ai envie de toi ! »
Et moi alors ! Je la saisis par la taille pour l’enlacer, mais elle glisse comme une anguille et m’échappe. Elle débarrasse la table et dépose les bols dans le lave-vaisselle. Quand elle se penche ostensiblement, j’ai une vue imprenable sur ses fesses découvertes. Je n’y tiens plus, je la rejoins et pose ma main sur son fessier si ferme. Elle retire ma main délicatement et chuchote :
« Pas maintenant ! Nous aurons plus de temps, plus tard »
Effectivement, mon fils arrive peu de temps après et commence à me parler golf, sa passion.
« Tu sais, Paul, ça me gêne un peu que tu fasse ce sport par opportunisme »
« T’inquiètes pas, papa,, je sais ce que je fais et puis ça va me permettre de griller des étapes, j’ai pas envie d’être employé dans une banque ou autre à attendre une promotion »
C’est vrai, je ne dois plus interférer dans sa vie, il est grand’ maintenant. Malgré tout, je me devais de lui exprimer ma pensée de père.
Quand tout le monde est lavé, nous allons au village, c’est jour de marché. Cathy est ravie et s’arrête pratiquement à chaque étal. Paul, quant à lui, semble s’ennuyer profondément et préfère aller s’acheter des revues de golf qu’il va lire sur un banc en nous attendant.
Quand Cathy tombe amoureuse d’une robe, puis d’une jupe, puis d’un joli haut ou de souliers, je sors à chaque fois mon portefeuille ou mon chéquier pour la satisfaire.
« Oh merci, Marc, je te revaudrai ça bientôt. »
Elle me tutoie et, implicitement, me promet de belles choses. Je me remets à fantasmer sur elle. La coquine n’est pas dupe, car elle m’adresse un sourire complice.
Nous revenons les bras emplis de courses et, vue l’heure avancée, il est temps que je commence à préparer le repas du midi.
Paul s’entraîne dans le jardin à faire des swings’ et ne prête pas attention à Cathy qui essaie ses nouveaux vêtements. Elle est superbe, perchée sur des talons, une robe courte évasée en bas, mais moulant parfaitement le haut du corps. Je l’admire et elle le sait.
Elle repart se changer et quand elle revient, je suis un peu déçu qu’elle ait remis ses habits du matin. Je lui glisse à l’oreille :
« La robe t’allait très bien ! »
« Je la remettrai tout à l’heure, pour toi ! »
Nous nous éloignons l’un de l’autre pour rester discrets, puis nous passons à table.
Après le repas, Paul est pressé de partir au terrain de golf de la station balnéaire où il compte passer l’après midi.
Il n’a pas fait cent mètres que Cathy file dans la chambre remettre la tenue qui me plaisait tant. Je m’affaire à débarrasser tandis qu’elle réapparaît.
Elle est radieuse et le contre jour de la fenêtre laisse transparaître sa silhouette à travers la robe. Elle tourne sur elle-même et me demande :
« Je te plais comme ça ? »
Je bredouille :
« Tu es magnifique Cathy, mais tu sais, j’ai du mal à admettre que tu me fascines tant, tu es la petite amie de mon fils et risquer de le tromper me gêne beaucoup »
Elle réfléchit quelques secondes et me dit :
« Viens t’asseoir dans le canapé, je vais de dire quelque chose, mais tu me promets de ne pas en parler à Paul, d’accord ? »
Nous nous asseyons côte à côte et elle me prend la main qu’elle caresse.
« Voilà ! Avec Paul nous avons une relation compliquée. Ca fait environ six mois que nous sortons ensemble. Dès que nous avons commencé à flirter, mes notes en droit privé ont baissé. La prof de droit m’a prise en grippe sans raison. En en parlant à Paul, il m’a avoué, sans vergogne, qu’il couchait avec elle, cela après l’avoir séduite en prétextant un besoin de cours particuliers.
Cette bonne femme était jalouse de moi. Pour résoudre le problème, il m’a emmené chez elle alors qu’ils avaient un rendez-vous amoureux. La prof a été surprise de ma présence, mais Paul a insisté pour que je sois là. Je ne sais pas comment il a réussi à me manipuler, mais
Tandis qu’ils se bécotaient, j’ai été chargée, par Paul, de leurs préliminaires à genou entre leurs jambes respectives. Je les ai regardé faire l’amour devant moi et la prof a pris un malin plaisir à me fixer avec défi toute la durée de leur étreinte. La chose s’est reproduite plusieurs fois et mes notes sont remontées, comme par miracle. »
« Je n’en reviens pas ! Mon fils est vraiment un salaud machiavélique ! »
« Ce n’est pas tout, Marc, je sais aussi qu’il s’est tapé le prof de math, un quinquagénaire marié, mais homo. Tout ça pour faire monter sa moyenne. Je ne sais pas comment il s’y est pris, mais le gars en redemande encore ! »
Je suis abasourdi par ces révélations ! Ca ne correspond pas à mes valeurs, ni à l’éducation que j’ai pu lui donner.
« Mais, Cathy, pourquoi restes-tu avec lui ? Et moi, tu ne chercherais pas à te venger de lui grâce à moi ? »
« Paul a du charme Mais toi encore plus, dès que je t’ai vu, j’ai ressenti une profonde émotion et, je crois, que c’était partagé, n’est ce pas ? ».
Tous mes scrupules s’envolent d’un coup. Je l’enlace et l’attire à moi.
Elle semble tellement fragile que je mets toute la délicatesse possible pour la serrer contre mon corps. Nos yeux sont en communion et je reste hypnotisé par son regard pétillant.
Nos lèvres s’approchent, se touchent et s’ouvrent. La sensualité du baiser qui s’en suit m’émeut au plus au point. Il en est de même pour elle, car nous suffoquons d’émotion l’un et l’autre.
Elle m’enjambe et me chevauche, me tient les joues et revient poser ses lèvres sur les miennes. Je fais preuve d’une grande retenue pour ne pas m’occuper de sa poitrine à quelques centimètres de ma main.
« Marc, tu veux bien enlever ma robe ? »
Je glisse ma main dans son dos et descends la fermeture. Les pans s’écartent et j’en profite pour caresser la peau lisse de son dos. Ses épaules se découvrent et, en un mouvement du torse qu’elle effectue, sa poitrine est à nu.
Elle m’offre un sein pointu que je m’empresse de mettre en bouche. Je glisse lentement ma langue sur son téton dardé tout en suçotant son auréole. Elle soupire et mon érection devient difficile à cacher. Etant pratiquement assise sur ma verge, elle roule du bassin pour me faire monter en pression. En un mouvement fugace, elle se relève se débarrasse de sa robe et m’apparaît nue, sans le moindre dessous. Elle veut quitter ses souliers, mais je lui fais comprendre que c’est plus sexy. Ce qui attire mon il, c’est son pubis épilé, mais pas totalement. Elle a un triangle blond, non, pas un triangle, c’est un cur qu’elle a sculpté dans sa toison. C’est totalement adorable !
« Ca te plais ??? »
Elle voit bien la convoitise que j’éprouve à regarder son sexe.
Elle revient à cheval sur moi et sa vulve est désormais en contact franc sur mon membre. Après un nouveau baiser, elle m’offre son autre sein et se met à onduler d’avant en arrière en se frottant sur ma braguette. Ce massage vulvaire’ est trop éprouvant pour moi. Si elle continue une minute de plus, je ne réponds plus de rien.
C’est sans compter sur le parfum de sa cyprine qui flotte dans l’air qui en rajoute à mon émotion. Je l’enlace et la bascule sur l’assise du canapé. Je me débarrasse de mes vêtements et plonge, tête la première entre ses jambes. Je tempère ma pulsion pour accorder tout le temps à ce préliminaire.
Après moult bisous, coups de langue sur tout son corps, du cou aux pieds (toujours chaussés) , je m’enhardis à converger vers son pubis, puis enfin à sa vulve tout en lui caressant le haut du corps.
Mon attention pour elle est récompensée, car dès que ma langue entre en contact avec son clitoris, elle se met à tressauter en geignant. Je me régale ensuite de sa liqueur et mon érection s’en trouve renforcée.
Elle m’attrape les bras et soupire :
« Viens ! Viens vite ! »
Elle est aussi impatiente que moi, je glisse sur elle et je n’ai aucun mal à trouver son antre.
Quand je la pénètre, elle émet un grognement qui m’inquiète un peu, lui ai-je fait mal ?
Je ne me considère pas surdimensionné de ce coté là, comme on le voit d’un acteur porno.
Comme j’hésite un peu, c’est elle qui glisse pour être davantage pénétrée.
Je me penche pour lui sucer la poitrine, lui mordiller le lobe de l’oreille, puis enfin, de l’embrasser à nouveau.
Nous sommes désormais en phase dans nos mouvements et notre excitation monte en puissance. Je sens poindre ma sève et essaie de détourner mon attention par des sujets peu rigolos, comme les impôts par exemple
Cela ne dure pas, je reviens vite au plaisir intense du moment. Je n’ai pas souvenance d’une telle harmonie avec une femme. Ses gémissements s’accélèrent et je sens que je ne vais pas me retenir plus longtemps.
Dès que, j’essaie de sortir de son fourreau, elle me bloque les reins et accentue ses mouvements du bassin. Quand ma semence se libère, elle éclate violemment d’un orgasme surpuissant, eu égard aux cris qu’elle émet..
Toute haletante, elle me souffle :
« Oh Marc, c’était génial ! Je t’adore ! »
Mon ego est flatté, mais plus que ça, c’est le bonheur indicible que j’éprouve qui me remplit de joie.
Je suis amoureux de Cathy, c’est sûr maintenant !