Suite :
Le lendemain matin, je me rendis directement sur le lieu de la réunion de chantier dont m’avait parlé mon patron, celui-ci étant assez loin. La visite des travaux en elle-même se passa bien et je me disais que je serais rentrée à la maison rapidement. Mais une fois dans lalgeco du chef de chantier, je sentis la tension monter.
Les gérants dune société sous traitante, les frères Da Silva, nous y attendaient pour se plaindre des délais de paiement. Jai insisté sur le fait quil sagissait dune sous-traitance, que cela ne nous concernait pas et quil fallait voir cela avec le chef de chantier. Mais celui-ci refusait de payer, prétextant une close dans notre contrat. Bref, un dialogue de sourd sest installé et cela pouvait vite dégénérer.
Je demande donc aux Da Silva de nous laisser un instant pour régler cela en privé avec le chef de chantier. Nous rentrons dans le préfabriqué et je lui dis alors fermement quil a choisi de sous-traiter et que donc cest à lui de payer. Mais il me sort notre contrat et me montre un article qui précise queffectivement, dans des cas bien particulier, cela pourrait être à nous de payer.
Sa position était bancale et mais il nest pas dit quen cas de recours, la situation aurait tourné en notre faveur. Bref, je pris le partit de négocier à ma minière un compromis.
— M. Muller, nous savons tous les deux que nous ne sommes pas du tout dans la situation que vous évoquer Mais nous savons tous les 2 quun recours serait négatif pour tout le monde.
— Certes, mais la somme en question est ridicule pour vous.
— Peut être mais cela créera un précédent et, un jour, toutes les entreprises nous demanderons de payer les sous traitants à leur place
— Ce nest pas mon problème me dit-il alors dun air provocateur.
Je pose alors une main sur sa cuisse et tout en parlant, je commence à le caresser :
— Vous avez 2 possibilités : soit vous allez au conflit et je vous promets que je ferai tout pour vous donner une réputation telle que dans 6 mois vous mettez la clé sous la porte
— Soit ? me demande-t-il en regardant ma main remonter vers son entre jambe
— soit vous payer sans broncher ce sous traitant et je vous promets que je vous nallez pas le regretter. Alors ?
Au moment de prononcer ce « alors ? », ma main était sur son entrejambe, palpant un paquet généreux et en train de durcir.
— Et bien, après tout, il ny en a pas pour des millions Voyons tout de même ce que vous avez à proposer avant de me décider !
— Très bien, voici un petit échantillon.
A ce moment, je déboutonne son pantalon et sors son sexe, déjà bien dur. Il est plutôt petit, rien de bien effrayant pour moi. Je commence à le masturber doucement en le regardant droit dans les yeux, la plus provocatrice possible. Je baisse ensuite ma tête jusquà son sexe, évite de trop respirer car il sent fort, et lui gobe le gland. Il pousse un soupire de plaisir, jen profite alors pour me redresser et lui demande :
— Léchantillon vous convient-il ?
— Cest en effet prometteur
— Alors je vous propose de signer le chèque des frères Da Silva dès maintenant et nous pourrons passer à la version complète.
— Marché conclu !
Il se dirige alors vers son bureau, toujours la bite à lair et signe un chèque du montant indiqué sur la facture en question. De mon coté, jenlève ma veste et me à laise avec simplement un débardeur blanc. Rien de spécialement sexy aujourdhui, pour les visites de chantier, je suis en pantalons et grosses chaussures ! Mais je sais que mon jean met bien en valeur mes fesses.
Une fois cela fait, il se retourne alors vers moi :
— A vous de faire votre part du contrat maintenant !
Je me mets alors à genoux devant lui, lui baisse complètement son pantalon et recommence à le sucer. Lodeur me dégoute dabord un peu puis disparait petit à petit, diluée dans ma salive. Javale sans difficulté la totalité de sa petite bite, ce qui le prend au dépourvu et le fait soupirer de surprise et de plaisir. Je sens quil ne tiendra pas longtemps à ce rythme et que laffaire va être vite réglée.
Mais il se reprend un peu et me saisi alors la tête. Voyant que je peux lui gober la totalité de la queue sans difficultés, il se met à me baiser la bouche avec ardeur, comme sil profitait du fait quil pouvait enfin le faire ! Cette gorge profonde nétait pas vraiment un défi pour moi mais il ne me ménageait pas pour autant. Je recrachais de longs fils de baves qui venaient souiller mon débardeur blanc, entre mes seins. Sans vraiment me demander mon avis, il commença à enlever mon haut. Je fis non de la tête en essayant de le retenir mais il insista :
— Avec le cheque que je viens de faire, je peux au moins voir les nibards dune directrice adjointe ! Et puis, vous allez finir par le tacher, votre beau débardeur
Son sexe toujours plantés au fond de ma bouche, je finis par céder et le laisser enlever mon haut. Je me retrouve donc en soutif en train de sucer cet homme qui travail pour ma boite
Soudain, il se retire de ma bouche, et me demande de mallonger sur la table centrale de lalgeco. Puis, ainsi sur le dos, il me penche la tête en arrière et, depuis le bord de la table, se remet à me baiser la bouche. Dans cette position, je ne peux absolument rien faire et suis obligée de subir la fellation. Il en profite aussi pour me ploter les seins sur et sous mon soutien gorge. Il faut vraiment que ça se finisse vite car je sens que ça peut dégénérer à tout moment.
Se penchant sur moi, il tente de déboutonner mon jean et de passer sa main en dessous. Mais je considère alors que ça va trop loin et me dégage dun coup.
— Tout doux ! lui dis-je alors. Cest une pipe et rien dautre !
— Pardon ?!? 15 000 de travaux pour une pipe ?? Vous êtes plutôt chère Madame
— Non, non Cest 15 000 qui sont de toute façon à votre charge et la pipe, cest un geste commercial de notre part. nuance ! Mais je peux aussi marrêter là, si cela ne vous convient pas
— Cest bon, continuez jadmets que vous êtes carrément douée ! dit-il finalement
Reprenant le contrôle de la situation, je me remets à genoux devant lui et lui gobe la bite, lavalant entièrement à chaque aller-retour, lui pompant le gland, lui léchant les couilles. Cette fois, vu ses râles, je sais quil va craquer dun instant à lautre. Dailleurs, il me prend la tête par les cheveux, me cale sa queue au fond du gosier et se vide directement dans mon estomac. Son foutre chaud est abondant et épais, je suppose que cela fait un moment quil ne sest pas soulagé. Je retire un peu son sexe de mon gosier pour reprendre ma respiration et le laisse finir de se vider dans ma bouche.
Jaspire les dernières gouttes et donne encore quelques petits coups de langues sur sa queue quand jentends soudain derrière moi une voix sécrier :
— Et bien, en semmerde pas ici !
Je me retourne alors effrayée vers la porte de lalgeco et découvre les frères Da Silva à lentrée, sourire aux lèvres. Je ne peux absolument rien dire pour ma défense : je suis en soutien gorge, jean ouvert, à genoux devant mon maitre duvre, du sperme dégoulinant encore de la bouche. Lui-même a le pantalon baissé et la bite à lair. Je mattendais à ce quil les engueule ou essaie de sexpliquer mais je lentends dire :
— Ça cest du timing impeccable, les gars ! Je viens de terminer, à votre tour, messieurs
A suivre…