Depuis quelques temps, j’écris dans une revue pour adultes, qui publie notamment les confessions érotiques de ses lecteurs.
Au début de l’été, on m’a demandé de prendre contact avec un couple libertin, Lucie et Simon, habitant non loin de chez moi, et qui avait une aventure peu ordinaire à raconter. Compte tenu des faits, mon rédac chef voulait que je les écoute, et que je trouve matière à un article qui ferait l’accroche du numéro de rentrée de la revue.
Il faisait chaud, en ce début juillet, quand je suis arrivée devant une belle villa entourée d’un haut mur de clôture. J’ai sonné, et un séduisant quadragénaire est venu m’ouvrir. Il était brun, avec quelques premiers cheveux blancs, grand et mince, habillé dans un style décontracté mais élégant.
Je me suis présentée, et il m’a conduite sur une grande terrasse, où sa femme nous a rejoints.
Lucie était manifestement plus jeune que lui je lui donnais trente ans au grand maximum. Des cheveux auburn en bataille, une peau cuivrée, des yeux verts. C’était un petit gabarit, fine, avec de longues jambes, une poitrine qui tendait à éclater un débardeur très décolleté, et une chute de reins affolante mise en valeur par un micro short.
Simon nous a apporté des rafraîchissements, et le couple m’a raconté son histoire, vraiment peu ordinaire.
Ils m’ont permis d’enregistrer ce qu’ils me confiaient, et j’ai tout de suite imaginé la manière dont je présenterai mon article : après une courte présentation, je les ferai parler l’un après l’autre, pour que chacun raconte, de son point de vue, ce qui s’était passé, et exprime son ressenti
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J’ai dit en introduction que Lucie et Simon formaient un couple libertin, et ils m’ont avoué qu’ils avaient fait de très nombreuses expériences, cherchant à dépasser presque tous les tabous à l’exception de quelques pratiques qu’ils trouvaient trop dangereuses ou dégradantes.
Lucie était d’un tempérament volcanique en matière de sexe. Elle ne cachait pas son côté insatiable, sa capacité de jouir à répétition, et elle était toujours en quête de nouvelles expériences, de situations inédites. Un fantasme en particulier la hantait
Simon était aussi un véritable jouisseur, et il prenait un plaisir extraordinaire à admirer les exploits de sa femme. Loin de la freiner, il l’encourageait, au contraire, à aller toujours plus loin. Aussi, après que Lucie lui ait fait part de son dernier fantasme, il a décidé de lui faire la surprise de le réaliser.
Mais je leur laisse la parole
LUCIE
C’était à la mi-juin, en fin d’après-midi.
Il faisait très chaud, et Simon m’a annoncé qu’il me réservait une surprise, dont je me souviendrai longtemps. Il m’a aidée à choisir ma tenue, mais il n’a pas voulu m’en dire plus.
Il m’a d’abord donné des instructions très précises sur mon maquillage : mes yeux très fardés, un gloss brillant mettant en valeur mes lèvres, une crème légèrement teintée accentuant mon bronzage intégral.
Côté vêtements, je devais être sexy, à la limite de l’indécence (j’en ai déduit que nous allions dans un lieu public). J’ai donc enfilé un bustier à fines bretelles, coupé dans un mince coton blanc, et qui laissait deviner les petites aréoles grenues de mes seins, libres. Un string minuscule, en dentelle rouge vif. Et une minijupe en lin, rouge également, cachant juste ma chatte et mes fesses.
Pour compléter le tout, Simon a choisi pour moi mes stilettos aux talons les plus hauts, retenus par une fine lanière autour de mes chevilles. Et il a insisté pour que je mette de lourds bijoux, clinquants, mais sans valeur.
Je me suis admirée dans la glace, et j’ai pensé que je risquais de me faire sauter dessus par le premier mâle que je croiserais. Mais si l’homme me plaisait, pourquoi pas Au contraire, même !
SIMON
Moi aussi, j’admirais Lucie, incroyablement excitante dans cette tenue. Surtout que, moi, je savais ce qui allait se passer. Enfin, pas tout à fait
Nous avons rejoint ma voiture, et j’ai ouvert la portière à Lucie, pour qu’elle s’installe. Sa minijupe est remontée sur ses cuisses et, même si je connais son corps par cur, j’ai senti mon sexe gonfler dans mon jean.
Nous avons traversé la ville. Le jour baissait, et nous sommes arrivés dans une forêt touffue, que les habitants de la région considérait comme peu fréquentable, à partir de la tombée de la nuit. Mais Lucie ne savait rien de cette réputation
J’ai engagé la voiture dans un chemin de terre, et je suis descendu au bout d’une centaine de mètres. J’ai alors demandé à ma femme de prendre le volant, de garer la voiture un peu plus loin à l’entrée d’un autre chemin sur la droite, et de descendre pour m’attendre. En lui précisant que je ne la rejoindrai pas tout de suite
J’ai suivi la voiture des yeux, pour vérifier que Lucie respectait bien mes instructions. Je me suis enfoncé dans les buissons, et je l’ai vue descendre, là où je le lui avais dit.
LUCIE
Je me demandais vraiment ce que Simon mijotait. Mais il est resté sourd à mes questions !
J’ai garé la voiture, je suis descendue, et j’ai commencé à marcher sur le chemin. Heureusement, il n’avait pas plu depuis plusieurs semaines, car sinon j’aurais été incapable de rester debout sur mes talons aiguilles.
J’ai fait quelques pas sur le chemin.
Le temps était chaud et lourd, orageux. Tout semblait désert autour de moi.
Je me rappelle avoir pensé qu’il valait mieux que je ne sois pas peureuse, pour me retrouver seule dans cette forêt, alors qu’il faisait bientôt nuit.
C’est à ce moment là que j’ai entendu du bruit dans les fourrés, et que j’ai cru apercevoir des silhouettes.
SIMON
J’avais trouvé le poste d’observation idéal. Au pied d’une cépée de bouleaux, entourée de buissons de ronces qui me dissimulaient aux yeux de Lucie.
Je ne pouvais pas m’empêcher d’admirer sa plastique. Et quand je pensais à ce qui l’attendait, je me mettais à bander comme un taureau.
J’ai sorti une petite caméra, pour immortaliser en vidéo ce qui allait se passer.
Mais pendant plusieurs minutes, rien ne bougea. Je commençais à craindre d’avoir raté mon coup.
Et puis enfin, je distinguai des silhouettes qui se déplaçaient en essayant de se cacher, sur le côté du chemin. Elles marquèrent un temps d’arrêt, et deux d’entre elles se rapprochèrent. Je réussis alors à voir deux hommes, grands, qui sortaient des buissons et se dirigeaient vers Lucie.
LUCIE
Les bruits dans les fourrés s’étaient rapprochés. J’avais d’abord craint qu’il s’agisse d’une bête sauvage, et je frissonnais à l’idée de me retrouver nez à nez avec un sanglier. Quelle idée avait eue Simon, en me laissant seule à cet endroit !
Puis j’ai fini par distinguer deux silhouettes. Deux hommes
Ils étaient grands. L’un était jeune, brun, plutôt baraqué. L’autre était beaucoup plus vieux, avec des cheveux blancs.
Ils sont sortis des buissons, et se sont dirigés vers moi, l’air goguenard.
— Alors, ma belle, m’a demandé le plus vieux, t’as pas peur de te promener toute seule ici ?
J’étais paralysée par le regard vicieux de cet homme, oubliant ma témérité habituelle.
— Ça m’a tout l’air d’une pute, a ajouté le second avec un fort accent, ou d’une salope qui a envie de se faire baiser.
Qu’est ce qui allait se passer ? Les images se bousculaient dans ma tête.
Je repensais à ces vidéos que j’avais regardées avec Simon. Des filles, en quête d’expériences extrêmes, qui voulaient être livrées à des groupes de mâles en rut, pour connaître les frissons de la peur, et la sensation de devenir des objets sexuels, totalement soumises à des hommes.
J’avais dit à Simon que je fantasmais sur ce genre d’expériences, l’une des seules si ce n’est la seule que je n’avais jamais tentées. Sauf que là, ça ne ressemblait pas à un scénario prémédité !
Instinctivement, j’ai fait quelques pas en arrière, mais les deux hommes me serraient maintenant de près, et leurs mains se sont posées sur mes seins et mes fesses.
— Elle a même pas de soutif ! s’exclama le plus jeune.
SIMON
Je n’avais pas pu entendre distinctement ce que les deux hommes disaient à Lucie, mais je devinais de quoi il s’agissait.
J’ai commencé à filmer la scène.
J’avoue que je n’en menais pas large non plus. Jamais Lucie ne s’était mise en danger à ce point, et je me sentais responsable de tout ce qui pourrait lui arriver de grave, car je la mettais dans cette situation à son insu.
Ils n’étaient que deux pour l’instant, car je me doutais que d’autres hommes les rejoindraient. Surtout avec une proie de choix, comme ma Lucie !
Je les ai vus se rapprocher d’elle, commencer à la caresser à travers ses vêtements. Les choses "sérieuses" allaient commencer.
LUCIE
J’ai eu moment de panique, lorsque les mains des deux hommes se sont posées sur moi. Le plus jeune malaxait mes seins, et malgré ma peur, les pointes se sont dressées, bien visibles à travers mon bustier. Le vieux touchait mes fesses, et il a soulevé ma jupe.
— Putain ! T’as vu ce cul ? Et c’est pas son string qui cache quelque chose !
Ma peur a redoublé en apercevant une nouvelle silhouette sortir des buissons.
J’ai voulu fuir, mais déjà le troisième homme me barrait le chemin.
Les deux premiers m’ont rattrapée et immobilisée. Le jeune a voulu dégager mes seins du bustier, et en me défendant, le seul résultat que j’ai obtenu a été de déchirer une bretelle. Je me suis retrouvée la poitrine à l’air, avec un morceau de tissu accroché à mon épaule.
Le plus vieux, lui, semblait plus intéressé par ma chatte et mes fesses. Il a retroussé ma minijupe, la roulant autour de ma taille.
J’ai senti ses doigts se glisser dans le minuscule triangle de mon string, et l’écarter tout en caressant mon mont de Vénus.
— Et en plus, elle est toute lisse, la salope. Elle a envie de nous montrer sa fente !
J’enrageais d’être traitée de cette façon par deux gros ploucs. J’ai voulu me débattre, mais mon string n’a pas résisté, et le vieux l’a montré aux deux autres, comme un trophée.
SIMON
J’étais hypnotisé par ce que j’avais sous les yeux
Lucie cherchait à résister, elle se débattait. Mais elle n’en paraissait que plus désirable. Surtout lorsqu’elle se retrouva seins nus, et quand le vieux a retroussé sa jupe.
Et quand le string s’est déchiré ! Sa chatte et ses fesses découvertes
Je filmais tout ce qui se passait, réussissant à faire quelques zooms qui seraient sans doute excitants à regarder !
Le troisième homme s’est déplacé, pour écarter les cuisses de ma jolie femme, et admirer son minou glabre et ses grandes lèvres, et j’ai entendu son commentaire.
— La vache ! Elle coule vachement, elle en a sur les cuisses.
— Ca m’étonne pas, a renchéri le vieux, ça se voit que ça l’excite de s’exhiber. Et je suis sur qu’elle a envie d’autre chose encore. Tu aimes sucer, hein, salope ? Tu vas être servie !
LUCIE
Les deux autres me tenaient par les poignets, m’interdisant toute fuite.
Je ne pouvais pas détacher mon regard du pantalon gonflé du vieux. Tout en me fixant avec un air pervers, il a dégrafé sa ceinture, ouvert sa braguette, et baissé d’un seul geste son pantalon et son slip.
Il m’a empoignée par les cheveux, et il m’a obligée à m’agenouiller devant lui. J’étais toujours maintenue par les deux hommes, et le sol caillouteux du chemin blessait mes genoux.
Je regardais le sexe dressé devant moi, et j’avais peine à imaginer que c’était celui d’un homme âgé. Il me semblait énorme, avec une longue tige parcourue de veines apparentes, un gland turgescent et, en dessous, de grosses bourses velues.
Je n’eus pas le loisir de l’observer davantage, car l’homme a guidé son dard vers ma bouche, en me criant :
— Allez, suce, espèce de pute !
Il ne m’a pas laissé le choix. Il tenait ma tête fermement entre ses mains calleuses, et j’ai bien été obligée d’écarter les lèvres au maximum, tant son gland était gros. Il s’est enfoncé, jusqu’au fond de ma gorge, et j’avais du mal à respirer.
Il s’est mis à aller et venir dans ma bouche, brutalement, comme s’il me baisait. Je n’arrivais pas à reprendre mon souffle, je hoquetais, mais il n’en avait cure. Seule la poursuite de son plaisir lui importait.
Je sentais des mains pétrir mes seins, mes fesses, fouiller ma chatte, et j’entendais des commentaires.
— Mais c’est qu’elle aime ça ! Elle est trempée !
— Ouais ! Et t’as vu comment ses nibards pointent ?
SIMON
Resté à l’écart, caché, était un vrai supplice pour moi. Je bandais comme un taureau. Heureusement, mon rôle de vidéaste m’occupait.
Je me demandais ce que ressentait Lucie.
Je l’avais déjà vue, dans des partouzes, prise brutalement par les mecs qu’elle avait excités à mort. Mais là, être obligée de sucer un homme qui lui était totalement inconnu, devant ces voyeurs C’était bien le contexte sur lequel elle fantasmait, et j’étais sure qu’elle allait finir par rentrer dans le jeu, tout en jouant à merveille la victime effarouchée d’une agression.
LUCIE
Malgré ma peur, je n’arrivais pas à réprimer mon excitation.
J’étais l’objet du désir de ces hommes. Qui plus est, je l’avais porté à son paroxysme, avec ma tenue.
Même si, dans ma tête, je continuais d’appeler Simon à l’aide, je commençais à trouver du plaisir à être soumise, traitée en objet sexuel.
Le vieux continuait à pilonner ma bouche, mais j’arrivais maintenant à le sucer vraiment, à lécher son gland, à mordiller sa tige, à sa grande surprise.
— Oh putain ! La salope !… Qu’est ce qu’elle suce bien !… Elle aime çà, dit-il d’une voix hachée par les grognements de satisfaction.
Et bientôt, un jet de sperme, épais et chaud, inonda ma bouche.
La pression des mains de l’homme sur mes tempes se relâcha, et il se retira en laissant un filet de semence sur mon menton.
Mais je savais d’instinct que ces types n’en avaient pas fini avec moi. Au contraire
SIMON
Je continuais de filmer, mais je n’avais pas pu résister au besoin de me caresser à travers mon jean, tant j’étais excité de voir Lucie dans cette position.
J’avais entendu les commentaires du vieux, qui me confirmaient qu’elle commençait à prendre du plaisir, et je me suis dit que mon plan était en train de réussir.
Au moment où il libérait la bouche de Lucie, j’ai aperçu deux autres hommes, qui sortaient à leur tour du bois. Ma petite femme allait être comblée !
LUCIE
Je peinais à reprendre ma respiration.
J’étais encore agenouillée, et je vis deux hommes en plus autour de moi. Ils étaient maintenant cinq, en tout. Oh putain ! Est ce que j’allais devoir les satisfaire tous ? J’en tremblais d’avance, autant de crainte que d’excitation.
Mais, dans l’immédiat, c’était le plus jeune des deux hommes qui m’avaient abordée qui voulait s’occuper de moi. Contrairement à son copain plus âgé, ce n’était pas ma bouche qui l’intéressait. Il n’avait pas l’intention de se contenter d’une pipe !
Heureusement, je ne sais pas d’où elle sortait, mais quelqu’un avait apporté une couverture. Une vieille couverture râpée, à la propreté incertaine, qu’on étala sur les herbes folles, au bord du chemin. Elle avait au moins l’avantage de m’éviter le contact des cailloux.
Mon nouveau "partenaire" avait décidé de me baiser. En levrette.
Je me surpris à protester, affolée :
— Qu’est ce que vous voulez me faire ? Non ! Je ne veux pas !
Mais je ne fis que provoquer des ricanements gras.
Aidé d’un autre homme, il m’empoigna par les bras pour me faire m’agenouiller, et me cambrer. Je savais que, dans cette position, j’offrais ma vulve toute lisse, et je sentais ma cyprine sourdre entre mes petites lèvres.
Prestement, il baissa son pantalon et son slip. En jetant un coup d’il en arrière, je découvris un énorme sexe dressé, et il bloqua mes hanches pour enfoncer son gland dans mon minou.
J’ai poussé un long cri rauque, pendant tout le temps où il m’a pénétrée. J’avais l’impression que son dard était d’une longueur anormale, et il ne me fit pas grâce d’un seul centimètre.
SIMON
Lucie était en train de se faire prendre comme une chienne, et le cri qu’elle a poussé au moment où le mec la pénétrait m’a attendri et excité.
Autour d’elle, un attroupement s’était formé, et j’ai pensé que ça devait combler son besoin de s’exhiber. Plusieurs spectateurs ne se cachaient pas pour se branler. Mais tous ces hommes me gênaient pour la filmer, et j’ai été obligé de me déplacer, en faisant attention de ne pas me faire repérer.
J’arrivais quand même à cadrer Lucie dans l’image, et j’étais sur que le son restituerait ses vocalises, car ma petite femme manifestait bruyamment les sensations que lui procurait la superbe bite qui coulissait dans sa fente.
LUCIE
Mon assaillant était vigoureux et endurant, et je ne pouvais pas cacher qu’il me donnait du plaisir. Surtout quand je regardais le groupe d’hommes qui me matait.
Je bougeais moi-même mon bassin, pour varier mes sensations, et je contractais ma chatte spasmodiquement du pieu qui me perforait, pour exciter le type.
— Putain ! Qu’est ce qu’elle est bonne !, clama-t-il. Vous allez vous régaler !
J’étais trop occupée à savourer mon plaisir pour relever ces mots sur le moment, mais j’ai vite réalisé ce qui m’attendait
Un orgasme m’a submergée brutalement, sans que j’arrive à le réprimer, et mes cris se sont transformés en hurlements. Ce qui a eu pour effet de faire jouir aussitôt mon "violeur".
J’ai senti un premier jet de sperme gicler dans ma chatte. Il s’est retiré tout en continuant à déverser son foutre sur mes fesses.
J’espérais un moment de répit, mais je me suis rendue compte que je me faisais des illusions ! A peine s’était il relevé que plusieurs mecs se jetaient sur moi, la queue à l’air. Affolée, je me suis debout, et j’ai voulu m’enfuir.
SIMON
J’ai bien vu le mouvement de panique de Lucie, et sa tentative de s’échapper. Mais je savais qu’elle ne ferait qu’exacerber le désir de ses assaillants et des voyeurs.
Elle n’avait pas parcouru dix mètres, qu’elle était déjà arrêtée,entourée, immobilisée.
Elle s’est débattue comme une forcenée, cherchant à repousser les mains qui cherchaient à l’empoigner, frappant les plus entreprenants, essayant d’éviter d’être davantage dévêtue.
Peine perdue ! Ils étaient trop nombreux. Je filmais toujours la scène, et j’entendis un craquement sec, celui du bustier qui se déchirait complètement.
Topless, Lucie continuait de se battre. En vain. Un craquement encore plus sinistre m’indiqua que les coutures de sa jupe n’avaient pas résisté.
Maintenant nue, Lucie a paru s’avouer vaincue. Elle ne cherchait plus à se dégager de l’emprise de tous ces hommes que très mollement.
LUCIE
Lorsque tous ces types m’ont rattrapée et ont commencé à arracher mes vêtements, j’ai su ce qui allait m’arriver.
Ce que j’avais vu dans ces vidéos, mon ultime fantasme était en train de devenir réalité. J’étais vraiment dans la peau d’une fille qui va se faire prendre en tournante, et j’avais peur. Et j’étais encore plus effrayée, en ressentant l’excitation qui montait en moi, malgré cette peur.
Je me suis battue avec l’énergie du désespoir, pendant que mon bustier et ma jupe partait en lambeaux, mais cette exhibition contrainte faisait darder mes tétons, et couler ma chatte.
Et puis, j’ai fini par renoncer à me battre. Même si j’essayais encore un peu de les repousser, j’avais envie d’être le jouet de cette horde de mecs en rut.
En regardant autour de moi, j’ai découvert une série de queues en érection. Certains avaient juste ouvert leurs braguettes, mais d’autre enlevaient carrément leurs vêtements.
Deux hommes me tenaient par les épaules, et un de ceux qui étaient nus a empoigné mes cuisses, m’a soulevé, et sans aucun préliminaire, il a enfoncé sa bite longue et dure dans mon abricot offert, en grognant.
Je me suis encore débattue mais il s’est mis à aller et venir en moi, comme une brute. Mes plaintes se sont transformées en gémissements de plaisir, tant cette situation m’excitait maintenant.
SIMON
Voir Lucie, nue comme un ver, se faire prendre de force sous mes yeux m’a excité aussi à un point que je n’imaginais pas. J’ai enlevé, moi aussi, mon jean et mon polo, et j’ai baissé mon boxer, tant j’avais besoin de me branler.
Je continuais à filmer malgré tout.
Lucie ressemblait à une poupée, tant son corps menu semblait minuscule entre ceux des malabars qui la pistonnaient.
Elle gémissait, elle criait, mais ses assaillants avaient compris qu’elle n’allait pas tarder à jouir, et cette perspective les galvanisait. Un peu trop peut-être, car celui qui la baisait n’a pu se contrôler, et il a éjaculé, avant qu’un autre homme le remplace instantanément.
LUCIE
Je ne jouais plus la comédie de la jeune fille effarouchée. C’était trop bon.
Si je me démenais maintenant, c’était pour exciter ces mecs et exacerber mon plaisir, et non pour tenter de me dégager.
Je sentais l’énorme gland distendre les parois de mon fourreau inondé de mouille, dans un clapotis révélateur qui mettait les voyeurs en joie.
Je poussais des cris rauques, emportée par ce coït sauvage, et l’homme qui me possédait a joui soudain. J’ai senti un torrent de sperme inonder ma chatte. Il s’est retiré aussitôt, en continuant à arroser mon ventre et mes cuisses d’un foutre épais.
Un autre type, le pantalon baissé s’est rué sur moi, bousculant son comparse, qu’il a remplacé dans ma fente, avec la même furie.
Cette fois, c’est moi qui n’ai pas pu me retenir davantage, et j’ai joui en hurlant. Mais, à ma grande déception, le second mâle a éjaculé trop vite. J’aurais voulu qu’il continue ainsi, sauf que les autres qui attendaient leur tour en ont décidé autrement.
SIMON
J’étais hypnotisé par le corps nu de Lucie, ballotté tel un fétu de paille entre ces hommes. Ses cris, ses hurlements
Après que le deuxième homme ait joui, je l’ai vu fugitivement, debout mais encore immobilisée, le ventre et les cuisses maculées de sperme.
Ceux qui la tenaient par les épaules réclamaient leur part de ce "gateau" que représentait ma chérie, et il y eut une bousculade.
LUCIE
Tout un groupe d’hommes se disputait maintenant, pour savoir lequel allait me prendre. Mais les plus costauds ont intimidé les autres, et les choses se sont vite calmées. Enfin "calmées" n’est pas le mot le plus approprié !
J’ai été ramenée sans ménagement sur la couverture. Sans qu’on me demande mon avis, je me suis retrouvée à genoux, et un des deux hommes qui me tenait juste avant m’a prise par ma chevelure, et a présenté sa verge dressée entre mes lèvres.
A peine l’avais je prise dans ma bouche, que je sentis des mains puissantes écarter mes cuisses, empoigner mes hanches, et ce que je devinais être une queue dure et grosse forcer sans ménagement l’entrée de ma grotte. Mais c’était facile, avec le flot de mouille et de foutre qui l’inondait.
L’homme avait décidé de me défoncer, comme s’il voulait faire exploser mon minou, et je semblais minuscule et fragile, en comparaison du gabarit de mes assaillants et de leurs bites. Si celui que je suçais ne m’avait pas maintenue par les épaules, j’aurais été éjectée hors de la couverture.
Mais là, j’étais bloquée, et les deux types me pénétraient de toutes leurs forces. Ma bouche et ma chatte, et en plus, ils étaient endurants !
Putain, j’ai honte de l’avouer. Mais qu’est ce que c’était bon.
Enfin, ils éjaculèrent l’un après l’autre, en grognant, après m’avoir fait jouir encore.
Aussitôt, un autre type s’installa entre mes jambes, pour investir mon con.
Il me pénétra avec plus de douceur, et se mit à aller et venir dans ma fente lentement, semblant savourer ce moment. Sauf que j’avoue que cette douceur ne correspondait pas à mon état d’esprit du moment : j’étais bien obligée d’admettre que j’avais plutôt envie d’une bonne baise sauvage, brutale !
Heureusement, il a déchargé très vite, pour laisser sa place à un autre mec. Un black, plus que bien membré, qui s’impatientait et qui empoigna mes fesses offertes.
SIMON
Je n’arrivais pas à détacher mes yeux de Lucie, prise sans discontinuer depuis près d’une heure, par cette horde de mecs en rut.
A ses cris, à ses réactions, je savais qu’elle n’était pas rassasiée
J’ai joui aussi, presque sans me masturber, tant le spectacle qu’elle offrait m’excitait aussi. Un long jet de foutre, épais, jaillit de mon gland turgescent, pour aller se perdre dans le fourré.
Lorsque j’ai aperçu le grand black qui l’empoignait, je pressentais qu’elle allait se régaler. Mais je ne savais pas encore à quel point !
LUCIE
Ma bouche était libre pour l’instant et j’appréciais de pouvoir reprendre ma respiration. Ou exprimer bien fort ma jouissance.
Et avec ce que je venais de voir de ce black, surtout son monstrueux vit, je me disais que ça allait être ma fête ! Je les aime longues, bien grosses, mais là
Il a commencé par écarter mes fesses, avec une telle force que j’ai cru un instant que mon cul allait se déchirer, et presque aussitôt, j’ai senti la pression de son gland contre mes petites lèvres. J’ai passé une main entre mes cuisses, pour ouvrir ma fente avec mes doigts. Il a poussé très fort Et il a commencé à s’enfoncer en moi.
C’était fabuleux.
Heureusement que j’étais lubrifiée par ma mouille, et par tout le foutre qui s’était déversé dans mon minou, ça m’a évité d’avoir mal. Car c’était un des plus gros pieux que j’aie jamais reçu dans mon intimité !
J’ai senti les parois de mon antre se distendre, au passage du gland gonflé. Le type s’est mis à aller et venir doucement, pour me permettre de m’habituer, me remplissant un peu plus profondément à chaque coup de reins. Et lorsqu’il entra en contact avec mon point g, ce fut un feu d’artifice dans mon ventre.
Je me suis mise à hurler, ce qui a eu pour effet de l’exciter encore plus. Et il s’est déchaîné.
Il me baisait maintenant de toutes ses forces, en malaxant ma poitrine. Il utilisait mes seins pour me maintenir, car mes 48 kg étaient dérisoires par rapport à cette masse de muscle qui me soulevait à chaque pénétration.
J’ai joui encore. Je n’avais pas compté mes orgasmes, et celui-ci était le plus violent.
Mais mon assaillant ne faiblissait pas. Et j’ai paniqué, en entendant un des voyeurs l’encourager à continuer :
— Vas-y ! T’as vu cette pute ? Elle n’en a jamais assez. Encule la, je suis sur qu’elle aimera aussi !
Affolée, j’ai senti mes fesses écartées de nouveau par les mains puissantes du black. Heureusement, il était conscient du problème, et il m’a préparée avant l’assaut.
Il a craché plusieurs fois dans ma raie, il a enduit ma rosette de salive, et il y a introduit d’abord un doigt, le faisant tourner pour dilater un peu mon petit trou. Je me suis mise à gémir malgré moi, et j’ai eu droit à un deuxième doigt. Puis un troisième.
Lorsque j’ai senti qu’il retirait sa main, j’ai deviné que j’allais me faire enculer. Sauf que là, j’étais prête. j’en avais envie, même en craignant d’avoir mal.
Et mes craintes étaient fondées J’ai crié, de douleur cette fois, quand le gland m’a pénétrée. L’homme n’avait pas l’intention de renoncer, mais il a fait preuve de douceur.
Il s’est enfoncé doucement dans mon cul, en marquant des pauses. Sans me faire grâce d’un seul centimètre de sa queue. Jusqu’à ce que ses couilles s’appuient contre mes fesses.
Après qu’il ait marqué une nouvelle et longue pause, l’excitation m’a submergée de nouveau, et c’est moi qui aie commencé à bouger mon bassin pour m’empaler.
Il a été patient, endurant. Il m’a laissée venir, contrairement aux autres brutes, et je voulais lui rendre le plaisir qu’il me donnait. Je contractais mon anus autour de sa tige, j’ondulais des hanches. Il a attendu que je crie « je vais jouir » pour éjaculer.
J’ai senti le foutre fouetter mes entrailles, ressortir par mon petit trou, pulsé par les derniers mouvements de ce pieu couleur d’ébène. Et j’ai joui en même temps, inondant encore mes cuisses de mouille.
Il s’est retiré, mais déjà d’autres hommes voulaient prendre sa place, et investir ma rosette encore béante.
SIMON
Je continuais de filmer. Ou, plus exactement, j’essayais de filmer. Heureusement que ma caméra était équipée d’un stabilisateur, car je me branlais comme un fou, en matant Lucie.
Lorsque j’ai vu la taille de l’engin du black, j’ai eu peur pour elle. Surtout que je la savais capable de toutes les folies !
J’ai été un peu rassuré, en voyant dans un premier temps qu’il "se contentait" de la baiser. Et j’ai imaginé ce qu’elle ressentait quand je l’ai vue et surtout entendue jouir.
J’ai compris ensuite qu’il ne se satisferait pas de ça : il voulait aussi enculer ma petite femme ! J’ai flippé, craignant qu’il la déchire. J’étais prêt à intervenir pour la sauver des griffes de ce type.
Mais lorsqu’elle s’est mise à gémir, pendant qu’il lui doigtait l’anus, j’ai su que, dans son for intérieur, elle était consentante. Je me suis souvenue de son fantasme de gangbang, de son désir d’être le jouet d’un maximum d’hommes, et de se faire défoncer par tous les trous.
Alors, je suis redevenu spectateur, voyeur, partageant le plaisir que donnait Lucie à tous ceux qui l’entouraient.
Et j’ai assisté, médusé et excité, à toute la scène.
Jusqu’à ce que le black se retire, la couvre de sperme, et laisse sa place aux autres.
LUCIE
J’étais épuisée, mais je mettais un point d’honneur à faire jouir le maximum de mecs et battre tous mes records.
Un autre homme s’est agenouillé derrière moi pour investir mon cul. Sa queue était d’une belle taille, mais mon petit trou était tellement dilaté qu’il m’a pénétrée à fond, au premier coup de reins.
De m’avoir vue jouir avant, et de se retrouver dans cette position, l’excitait, et il s’est mis à aller et venir dans ma rosette de toutes ses forces, à un rythme infernal.
Je me suis mise à gémir de nouveau, mais un autre voyeur m’a bâillonnée, en m’enfonçant sa bite dans la bouche. Instinctivement, j’ai pris sa tige dans ma main, et je me suis mise à le branler, en le suçant.
Je n’arrivais plus à jouir, mais je ressentais un plaisir d’une autre nature, plus cérébral, la fierté de m’offrir à qui me voulait et de le faire éjaculer.
J’y réussis assez vite, et je reçus, dans ma gorge et entre mes fesses, à quelques secondes d’intervalle, deux longs flots d’un foutre épais et chaud.
Aussitôt, on me releva. C’est à peine si je tenais encore debout, et j’avais l’impression d’être un pantin entre les mains puissantes de tous ces mâles.
— On l’a pas prise en double, lança un des hommes. On essaie ?
— Oh oui ! Putain, bonne idée, répondit un autre.
Le premier s’allongea sur la couverture, son pieu dressé à la verticale. Je n’ai opposé aucune résistance, pendant qu’on m’installait à califourchon sur lui et, sans réfléchir, j’ai écarté mes lèvres avec mes doigts pour venir m’empaler sur son vit.
— Vous avez vu ? Ça lui plaît, a commenté celui qui venait derrière moi. Allez, salope, présente moi ton cul.
J’ai écarté mes fesses, sous les commentaires salaces, et il s’est enfoncé dans mon petit trou, lentement. Il a marqué un temps d’arrêt, avant de me dire :
— Maintenant, ça va être ta fête !
Il s’est presque retiré, a attendu quelques secondes, avant de me pénétrer totalement d’un seul coup de reins violent.
Ensuite, il s’est déchaîné. Chacun de ses mouvements me soulevait, puis me laissait retomber lourdement sur la verge qui remplissait ma fente. J’avais l’impression que mes parois allaient se déchirer dans mon ventre mais c’était terriblement bon.
Ils savaient se contrôler tous les deux, et cette double pénétration me parut interminable. Je gémissais, je feulais, je hurlais. Et au bout de longues minutes, j’ai senti, incrédule, un nouvel orgasme qui montait.
Quand ils ont compris que je venais, ils ont libéré leur semence, et j’ai joui en mêlant ma sève à leur foutre.
Dès qu’ils se sont retirés et m’ont laissée, je me suis écroulée sur la couverture, au bord de l’évanouissement. Il m’a semblé que d’autres hommes s’approchaient encore, et j’ai crié, d’une voix que je ne reconnaissais pas :
— Non ! Par pitié ! J’en peux plus, je suis morte.
SIMON
J’avais regardé, incrédule, Lucie prise en sandwich, qui arrivait encore à jouir. Je me suis dit qu’elle avait réalisé son fantasme, sans doute au-delà de ses espérances.
Alors, quand je l’ai entendue supplier ses assaillants d’arrêter, je suis sorti de ma cachette.
Le groupe d’hommes m’a toisé quand je me suis approché. Mais quand ils se sont rendu compte que Lucie me connaissait, leur hostilité s’est transformée en crainte, et ils ont battu en retraite.
J’ai rejoint ma femme, et je l’ai aidée à se remettre debout.
Son visage était barbouillé de maquillage, sa chevelure en désordre, tout son corps était maculé de foutre, ses fesses et ses cuisses gluantes. Mais un sourire illumina son visage lorsqu’elle m’aperçut.
— Salaud !, me dit-elle. Tu as tout regardé, c’était un coup monté, n’est ce pas ?
— Bien sur ! C’était le dernier fantasme que tu n’avais pas réalisé ? Ca t’a plu ?
— A ton avis. T’as vu, j’ai assuré !, m’a t-elle répondu, pleine de fierté.
LUCIE
Quand j’ai vu Simon sortir des fourrés, j’ai ressenti un vrai soulagement, car je crois que je n’aurais pas résisté encore longtemps.
j’ai compris aussi qu’il avait voulu me permettre de réaliser mon fantasme, comme il l’avait déjà fait dans le passé. Et j’ai ressenti beaucoup d’amour et de reconnaissance, pour ce mari capable d’offrir de tels moments de jouissance à sa femme, dans les bras d’autres hommes.
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J’ai arrêté mon magnétophone.
Ce récit m’avait excitée d’une manière indescriptible. Surtout Lucie, avec sa façon de raconter le plaisir qu’elle avait pris. Je sentais mon string trempé, mes seins durs et dardés.
Et, rétrospectivement, se remémorer ces instants avait mis Lucie dans le même état.
Simon m’a proposé une flûte de champagne, pour arroser le passage de leur témoignage dans ma revue.
Pendant qu’il était parti chercher la bouteille, Lucie me proposa de me mettre à l’aise pour profiter du soleil. Sans attendre ma réponse, elle envoya voler sur la terrasse son débardeur et son short.
Nue, elle était magnifique, et j’avais envie d’elle. Je l’imitais aussitôt, pour me retrouver moi aussi en tenue d’Eve.
Quand il revint avec la bouteille et les flûtes, Simon me regarda avec un sourire gourmand.
— Bravo, Chloé. Je vois que vous ressemblez quelque part à Lucie. Je suis sur qu’elle aimerait vous découvrir davantage. N’est ce pas, chérie ?
— Oui, renchérit Lucie, et j’aimerais surtout qu’on fasse plus ample connaissance tous les trois. Ça te tente, Chloé ?
— Beaucoup, répondis je en écartant mes cuisses sur ma petite chatte brillante de cyprine.
A suivre ?