Le baron avale la mixture suave, et se relève en souriant, et dit:
Bravo, cela commence bien, tu seras vite décoincée, crois-moi, maintenant, retourne-toi, passons à autre chose !
Lise prend la pose demandée, le domestique lui place un coussin sous le ventre pour que son fessier soit relevé, et à l’aide de ses mains, lui maintient les lobes écartés.
Le baron passe plusieurs fois ses doigts sur l’anus, à chaque attouchement sur sa fleur anale, Lise se raidit.
C’est bien, tu es très sensible, cela s’annonce bien pour la suite !
Il lui verse un liquide étrange qui provoque sur son anus une douce chaleur, il en badigeonne bien la rosette, et en fait pénétrer à l’intérieur avec son doigt.
N’aie crainte, c’est un nouveau lubrifiant, cela va faciliter le passage de mes doigts !
Les doigts, vous comptez en mettre combien ?
Autant que tu pourras en supporter !
Je commence avec un !
Le doigt s’enfonce jusqu’à la dernière phalange, il tourne doucement puis fait quelques va-et-vient très lents.
Lise serre les fesses le plus qu’elle peut.
Le baron retire l’intrus.
Détends-toi, tout va bien se passer, tu en redemanderas même !
Un deuxième se joint au premier, les deux s’enfoncent sans brusquerie en faisant des quarts de tour dans la gaine étroite.
Lise ne ressent qu’une gêne, mais pas de douleur. Le baron satisfait, retire ses doigts.
Il plaque sa bouche sur l’illet le lèche goulûment un bon moment puis l’aspire fortement, Lise pousse un grognement, la langue du fouineur s’enfonce dans le rectum, et fouille chaque recoin.
La sensation pour Lise est terrible, elle agite sa croupe doucement.
Mon Dieu, comment est-ce possible de prendre du plaisir par là !
Le baron s’écarte et répond:
Tu vas même jouir du cul, je te le promets !
Il replonge sa langue le plus loin possible et fouille le conduit plus sauvagement, Lise pousse des :
Ah oh nooooooon mon Dieu je vais jouir c’est troooooop !
Elle se raidit comme un morceau de bois, et envoie plusieurs giclées sur le sol.
Le baron retire sa langue râpeuse et la place sur de la fournaise en pleine ébullition, il taquine le clito, rapidement, Lise gicle à nouveau.
Enfin, il délaisse la chatte et fait prendre à Lise une nouvelle position.
Elle s’allonge sur le dos, le baron verse encore de l’huile sur les seins et les malaxe de plus en plus fort, comme prévu, les bouts se dressent.
Il les prend entre ses doigts, les roule en les pressant fortement.
Lise grogne à chaque pression sur ses tétons, les bougres enflent encore, ils sont devenus énormes, le baron les étire avant de les lâcher.
Sa bouche prend la relève, il aspire à tour de rôle les boules de chair plantées au centre de leur aréole.
Le corps de Lise tremble, les aspirations successives la rendent dingue, elle râle à chaque succion sur ses mamelons hyper-dressés.
Le baron est un expert, il mord les tétons et les étire à la limite du supportable puis les aspire fortement à tour de rôle.
Lise pousse des cris :
Oui oui encore !
Le traitement est tel que les bouts en deviennent douloureux.
Le baron connaît la limite à ne pas dépasser, il tète une dernière fois les mamelons avant de les délaisser.
Il passe sa main sur la chatte, y introduit trois doigts et ramone énergiquement le conduit en feu.
Lise ne tarde pas à pousser un cri de jouissance, les giclées puissantes de cyprine fusent sur la main du baron et sur le sol.
Bon maintenant, ma petite dame, passons aux choses sérieuses !
Il extirpe de son pantalon sa queue bandée comme un arc, il la branle doucement avant de l’offrir à Lise, sans rechigner, elle gobe le gland violacé.
Branle-moi en même temps ! Quil lui demande.
Tout en suçant le cèpe royal, elle saisit la verge et l’agite comme demandé.
Plus lentement, sinon, je vais décharger immédiatement !
Tu dois faire comme cela à ton mari, lentement au début plus de plus en plus vite !
Elle ne répond pas, trop occupée à sucer, mais retient la leçon.
La bite du baron a l’air monstrueuse avec les veines apparentes qui la déforment.
Soudain, il attrape la tignasse rousse, et tire fortement, la bite du baron bute dans le fond de la gorge de Lise, il fait des va-et-vient terribles, il lui baise la bouche férocement.
Il se bloque et décharge sa semence gluante dans la bouche de la suceuse.
Lise veut recracher, la baronne intervient :
Il faut avaler, ne gâche pas ce nectar !
Lise hésite puis avale jusqu’à la dernière goutte.
La baronne se met nue, ainsi que le domestique, l’homme a déjà la queue raide, il se place sur une chaise, la baronne l’enjambe et s’empale sur le mat, son corps monte et descend au rythme qu’elle a choisi.
Le baron n’a pas fini la leçon, il pose contre la chatte dégoulinante de Lise son braquemart et donne un coup de reins.
La queue qui n’a pas débandé, s’enfonce jusqu’aux couilles dans le corps de Lise, elle pousse un cri lorsque le manche puissant butte conte le col de son utérus.
Il la prend par les hanches et la pilonne comme il se doit.
Les râles qu’elle pousse prouvent bien qu’elle prend du plaisir, le baron accélère la cadence, Lise s’accroche à lui, elle gémit comme une chienne en rut sous les coups de boutoir violents.
Elle se cabre, impossible à se contrôler, elle pousse un hurlement terrible de jouissance.
Le baron la pilonne encore un petit moment avant de se retirer du puits d’amour.
Il descend sa bite de quelques cm, trouve l’anus, place son mandrin contre la petite porte et donne un coup de reins.
La bite s’enfonce de quelques centimètres.
Lise veut fuir, mais un deuxième coup de reins l’en dissuade.
La bite est entièrement dans son fondement, Lise pousse des soupirs féroces, le baron entreprend de la démonter comme il a le don de le faire.
La bite large et épaisse coulisse dans la gaine étroite, Lise souffle comme un buf, les coups augmentent en intensité, elle halète à chaque coup de bite.
La pression monte en elle, elle a un rictus atroce, sa bouche est grande ouverte, elle se contracte et pousse un râle rauque, elle jouit pour la énième fois. Le baron la ramone énergiquement, il grimace, se bloque et décharge tout son sperme dans les entrailles de Lise qui jouit nouveau.
Il retire son membre gluant, demande à Lise de prendre une douche et de revenir la semaine suivante avec Paul son mari pour peaufiner l’éducation.
La baronne, quant à elle, a déjà joui six fois, maintenant elle est à quatre pattes le domestique lui défonce le cul à grands coups de reins
Elle remercie le baron.
Le chauffeur la ramène chez elle
À suivre peut-être ?