Bonjour, c’est encore moi, Julien, 20 ans et étudiant en fac de lettre. Je me suis enfin décidé de prendre mon courage à deux mains et de vous écrire. Je crois que vous avez le droit d’avoir des nouvelles de ma mère, Martine, qui rappelez-vous à eu quelques problèmes dernièrement. Je désire passer sur ces évènements et oublier mon attitude une fois de plus discutable et indigne d’un fils convenable. La vie a repris son cours aussi banalement que possible. Je vis toujours avec Laeticia et profite de la joie que me procure la vie de couple. Nous venons de passer nos examens que nous avons obtenus assez facilement et sommes en vacances. Laetitia m’annonce qu’elle a prévu de passer le mois en Corée où habite sa grand-mère maternelle et je dois bien me résoudre à devoir passer trente jours sans sa présence. J’en profiterai donc pour faire un tour chez mes parents que je n’avais pas vu depuis quelque temps. En arrivant, le soir, mes parents me félicitent pour l’obtention de mes examens. Mon père, Dominique, décide de fêter ça et nous emmène dîner au restaurant. Nous discutons de mon avenir à l’université et à mes futurs projets professionnels. Je suis actuellement dans l’incertitude absolue mais pourquoi ne pas envisager une carrière dans l’éducation nationale en tant que professeur de lettres modernes. Quoiqu’il en soit, nous passons une soirée agréable. Mon père, nous propose de passer quelques jours dans notre résidence secondaire dans le Sud de la France. Malgré son emploi du temps de cadre supérieur surchargé, il est prés à prendre quelques jours de congé. Ceci dit, il nous propose à maman et moi d’y aller une semaine à l’avance histoire de redonner à la maison un air habitable. Nous acceptons avec joie et l’idée de passer quelques jours à la plage loin des murs gris me donne du baume au coeur. Deux jours plus tard, ma mère et moi arrivons sur les lieux. Nous commençons par une bonne séance de nettoyage et de jardinage car cela faisait longtemps que nous n’y avons pas mis les pieds. Vers 16h00, la lassitude se fait sentir et je propose à ma mère d’aller faire un saut à la plage. Elle opine mais préfère que j’y aille seul car pour être honnête, elle a un peu honte de se montrer. Ma mère a connu une période de décontraction où elle mettait des tenues un peu décontractées voire osées. Hélas, elle s’est disputée avec mon père à ce propos et elle a depuis, un gros blocage. A la maison, elle est habillée comme une ménagère insipide. On devine ses charmes mais sont complètement occulté par ses robes fadasses ou ses pulls de mauvais goûts. Lorsqu’elle sort, elle met des tailleurs jupes on ne peut plus soft. Pour ceux qui ne connaissent pas encore ma mère, Martine, ils doivent savoir que c’est une belle femme bourgeoise d’1m64, très bien conservée qui va sur ses 47 ans. Elle est brune aux yeux noisettes et est coupée au carrée. Elle a un léger embonpoint mais possède un corps aux formes très affriolantes et elle a de surcroît, et je tiens à le préciser, une très grosse poitrine. C’est ce dernier élément qui la gêne car même si par le passé, elle m’avait avoué adorer sentir les regards envieux des hommes sur son corps, aujourd’hui elle a honte. Elle a honte de se montrer en maillot de bain car elle pense à mon père. Je vous avoue être un peu en colère vis à vis de cela. Je respecte la pudeur mais pas lorsqu’elle est contrainte par la moralité et un puritanisme exacerbé. Maman a un corps plantureux et je trouve dommage qu’elle se sente obligé de le camoufler. Je nous verse des petits cocktails de rhum de ma fabrication et nous le sirotons dans le jardin ensoleillé. Je sais que ma mère à l’alcool festif et cela la détend beaucoup. Nous discutons de ma relation avec Laetitia. Elle l’aime bien et trouve que c’est une fille convenable. Ainsi, habilement, je l’invite à prendre un verre en ville histoire de la décoincer un peu. Je lui suggère de mettre une tenue un peu plus décontractée que d’habitude et, grâce à l’effet désinhibant de l’alcool, elle s’exécute avec joie. Elle fait un brin de toilette et quelques minutes plus tard, je sens une très forte et agréable odeur de parfum de femme. La voilà prête. Pour mon plus grand bonheur (et mon étonnement ), elle a mis un superbe bustier blanc à boutons et au décolleté très échancré. Ses seins, déjà énormes, sont fortement comprimés et ont tendance à déborder par le haut. On se demande même comment elle parvient à respirer. Elle a mis une mini jupe porte feuille bleue fendue sur le coté gauche et qui lui arrive au niveau de ses cuisses nues (ma mère n’aime pas les bas). Elle porte également de délicieuses sandales à cuir noir. Je la trouve superbe et c’est avec une certaine fierté que je me promène avec elle dans les rues en ville. Inutile de vous dire que les hommes la matent sec. Les regards convergent systématiquement vers sa poitrine qui ballottent sans pudeur et de façon très provocatrice à mesure que nous avançons. De même que j’ai surpris beaucoup de regards salaces qui fixent ses jambes et son cul sans aucune gêne. Je préfère ne rien dire et je pense indubitablement qu’elle a conscience de ces coups d’oeils tendancieux mais flatteur pour son ego de femme. Pour être honnête, cela me plaisait bien que ma mère s’exhibe, elle qui d’habitude est si coincée. Je la sentais heureuse et bien dans sa peau: c’est l’essentiel. Ma mère se sent une femme désirée pour son corps et non une mère de famille honorable jugée et évaluée constamment par les gens de son milieu social bourgeois. Nous prenons quelques verres dans différents petits bistrots de la ville. Au départ, cela est assez flatteur de sentir maman devenir le centre d’intérêt mais j’avais peur que la situation dégénère (cfre épisodes de tournante avec ma mère). Nous décidons donc de rentrer. A la maison, je nous reverse un petit cocktail bien costaud que nous avalons aussi sec. La conversation dévie très rapidement sur le sexe. Elle me confirme aimer montrer ses charmes et sentir les regards salaces sur son corps. De même qu’elle adore porter des tenues très courtes et provocantes. Nous nous regardons d’un air complice en trinquant de nouveau et vidons nos verres. Mon regard se pose sur son décolleté et malgré moi, je commence à avoir une érection. Elle s’aperçoit que je commence à lorgner grave sur son opulente poitrine et elle remarque la bosse de mon pantalon.’ Je crois qu’il est temps de nous coucher, Julien’ . Elle file à sa chambre un peu déboussolée par mon attitude et moi je reste là en train de picoler et à me maudire de m’être fait griller à mater les seins de ma propre mère. Il fait super chaud et l’alcool me monte à la tête. J’essaye de penser à Laeticia mais l’image de ma mère m’obsède et surtout ses seins. Avant de voir en elle ma génitrice, cette mère qui m’a nourri, élevé et aimé, je vois celle d’une femme terriblement sexy. J’éprouve une sensation très différente de celle que j’ai avec mes copines. Ma mère me fait envie mais uniquement sur le plan sexuel. Je sens que je devrais m’arrêter de boire mais je continue. Je repense encore à cet après midi. Elle était vraiment bandante dans ses vêtements. Les idées les plus immorales et tabous me passent par la tête et je ne peux y résister. J’imaginais ma propre mère, la nuit, fringuée en prostituée faisant le trottoir sans complexe et alpaguant des clients décidément si nombreux. Ceux qui connaissent ma mère, savent déjà qu’elle s’est faite violer plusieurs fois par ma faute mais le fait de l’imaginer consentante pour une dépravation de cette ampleur me fout une gaule d’enfer. Je secoue la tête en me traitant de pervers aux pensées incestueuses. Puis, complètement saoul, la bouteille à la main, je me dirige vers la chambre de ma mère. Je ne sais pas pourquoi, mais j’ai une terrible envie de la mater une dernière fois avant de me coucher. Elle ne dort pas et semble un peu surprise de me voir. Elle est allongée sur le lit et porte une nuisette en dentelles qui plus est transparente. Je peux voir qu’elle porte un string noir. Je lui tends la bouteille qu’elle s’empresse de mettre de coté.’ Julien, m…mais tu vas bien? va te coucher, tu es complètement ivre! ’ . Le regard vicelard, je reste à mater de nouveau ses gros nibards laiteux à travers sa nuisette. On voit ses auréoles brunes et ses tétons qui pointent durs vers moi. Elle a un corps relativement ferme pour une dame mature de 47 ans et son léger embonpoint rajoute un aspect charnel très sexy. Je suis persuadé que la situation l’excite. Etre en présence de son propre fils presque à poil doit lui procurer un certain effet. Peut être espère t’elle une sorte de jeu semi-incestueux entre elle et moi sans aller jusqu’à l’acte? Ce qui est sûr, c’est qu’en ce moment, avant de voir en elle ma mère, je la vois en tant que femme et sans crier gare, je me précipite sur elle et l’immobilise sur le lit conjugal. Elle hurle et se débat en me traitant de pervers et de fils indigne. Moi, je me contente de peloter et de sucer ses nichons si convoités à travers la nuisette. Mes doigts sentent la chaleur des globes mammaires et mes mains les malaxent, les soupèsent et agacent ses tétons. Dans la foulée, j’arrache son string noir et lui écarte largement ses cuisses exposant son sexe bien entretenu. Puis, instinctivement, complètement décérébré par l’alcool, je la pénètre à grands coups. Je ne me rends même pas compte que je suis en train de violer cette femme mature qui n’est autre que ma propre mère. J’éjacule par grosse saccade et de façon bestiale en gémissant de bonheur inondant sa cave de mon sperme. Son corps subit des secousses brutales suite à mon excitation. Ma mère, résignée ne se débat plus et accueille ma semence de profane et de fils incestueux vicieux. Finalement, ses bras m’enlacent et me serrent contre elle. Ma mère ne lutte plus et semble même s’ouvrir à moi et cela me stimule plus. Je l’entends gémir de plaisir avant de sombrer dans le sommeil de l’ivrogne. Ma tête repose sur ses deux gros nichons et je sens son parfum, sa respiration et les battements accélérés de son coeur. Il doit être environ, 3h00 du matin et je sens au niveau de mon bas ventre une sensation étrange, une sensation très agréable. Quelque chose de chaud et de mou s’active sur mon sexe. J’ouvre péniblement les yeux encore assommés par l’alcool et ce que je vois me surprend terriblement. Ma mère est sur moi et est complètement à poil. Elle a enlevé sa nuisette en dentelle et elle est en train de me tailler une pipe du tonnerre. Je veux réagir à mon tour devant cette mère qui me viole mais après tout, ce n’est qu’un juste retour des choses. Comment résister à cette femelle perverse aux seins énormes qui ballottent et pendent lourdement devant moi. Sa bouche est avide, ses lèvres humides et elle pompe mon jus sans complexe. Ne pouvant résister au plaisir que me procure maman, je m’empare de cette chevelure brune et l’incite à pomper plus fort et plus vite. Elle enfonce profondément mon dard dans son gosier sans fin. Son regard croise le mien et elle fronce les sourcils. Ma mère se dresse telle une formidable putain et décide de me chevaucher. Elle s’ouvre le plus possible et s’empale sur ma queue gonflée à bloc et ondule du bassin provoquant en moi de véritables bouffée de plaisir. Je vois une fois de plus ses seins en contre plongée et elle sent mon attirance pour eux. Elle les empoigne et se penche le plus possible pour me les offrir. Me voilà en train de la téter comme un bébé et de réveiller en elle un instinct à la fois maternel et sexuel. Elle s’empare de ma tête et la plaque le plus possible contre ses tétons en poussant des gémissements d’extases. Moi, je suis aux anges car je peux enfin posséder ses deux grosses loches charnues qui m’ont tant fait fantasmer. Ils sont gigantesques et je prends plaisir à les pétrir et à les gober tout en me faisant baiser par ma délicieuse salope de mère. Je l’imagine facilement en hardeuse aux gros nichons. La chaleur de sa matrice humide me procure une sensation inégalable. Pourtant, j’ai déjà eu des relations sexuelles avec d’autres filles mais le fait de transgresser un interdit aussi tabou me procure un sentiment de jouissance que je n’avais jamais eu auparavant. Mes mains, donc, palpent ses grosses loches douces et chaudes pendant un long moment puis descendent sur son ventre et finissent par caresser ses hanches. Enfin, je pose mes deux mains sur son cul moelleux que j’agrippe fermement et accompagne la cadence de va et vient imposée par ma mère. Ses gros seins aux tétons durcis ballottent de façon arrogante au-dessus de moi. Elle accélère ses coups de rein en gémissant de bonheur. C’est elle qui donne le rythme et mène cette danse scabreuse. Puis elle finit par me dire tout en haletant’ Aah, mon Julien, mon fils, ma chair j’ai honte mais jamais je n’ai pris mon pied comme cela.’ Je ne réponds rien car bien trop occupé à la baiser. ’ Je veux être à la fois ta mère chérie et ta putain aussi ’ Ces paroles sont très choquantes mais elle me font terriblement bander. Au moment, ou je sens que je sens l’éjaculation arriver, elle se retire et s’empare de mon membre turgescent en le branlant vigoureusement avec sa main devenue experte. Inutile de vous dire la gaule que je me tape à ce moment et à demi conscient. Puis, elle presse ses deux gros nibards laiteux autour de mon mandrin et entame (et je n’ai pas honte de le dire) la plus magnifique branlette espagnole que je n’ai jamais eu. Elle presse ses gros melons chauds autour de mon gourdin tout en fermant les yeux et en arborant un faciès de salope en manque. Ma mère semble vraiment prendre un plaisir fou à branler cette queue issue de sa chair. Je sens la sève monter rapidement et ne pouvant plus me contrôler, inonde sa poitrine et une bonne partie de son visage de sperme chaud qu’elle lèche sans perdre une seconde. Je la vois bien étaler mon foutre sur ses seins en les empoignant et en se les caressant langoureusement ( elle exagère ses gestes pour m’exciter davantage). Ne voulant perdre une miette, elle continue à me pomper et à me lécher la queue. Ma mère, tout en sueur, me fait l’effet d’une véritable salope perverse et qui n’a rien à envier à une actrice de film porno le plus hard. Elle s’acharne sur mon membre avec sa langue telle une furie dont la soif de sperme est inextinguible. Je ne reconnais plus ma mère puritaine et bourgeoise timide d’il y’ a quelques heures. Elle a subitement changé de caractère et cela est loin de me rebuter, bien au contraire: Je lui trouve même une certaine classe perverse. Infatigable, maman continue à me sucer et à jouer avec mon corps. Elle me chevauche de nouveau et, à force de me stimuler, parvient à me faire éjaculer une dernière fois à l’intérieur de son vagin. Epuisé par autant d’effort et surtout l’alcool, je finis par m’endormir……………………………………………………………….. Le lendemain, j’émerge tardivement du lit conjugal souillé. Maman n’est pas là car elle est de nature matinale. J’ai un peu mal à la tête car j’avais beaucoup bu. Je me dirige en caleçon vers la cuisine tout en appréhendant la rencontre avec ma mère. Ce que nous avions fait cette nuit était choquant et tabou mais je ne le regrette pas. Nos rapports ont changé et ont débouché sur une réelle complicité . Je dois même vous avouer que cette nuit a déclenché en elle, un désir sexuel, de dépravation et de soumission très intense (que je n’aurais jamais soupçonné en elle). Je la vois par la fenêtre vaquer à ses occupations de jardinage. Il va faire beau aujourd’hui, je le sens. Ma mère ayant entendu le bruit des tasses que j’ai sorti pour le café, entre dans la cuisine toute souriante. Elle est pieds nus, habillé d’un short noir et d’un t-shirt beige très moulant. Elle me regarde toute pétulante et me dit : ’ Bonjour, Julien, tu as passé une bonne nuit?’ Honteux, je ne dis rien et elle m’embrasse sur le coin des lèvres d’une façon dérangeante (tout en faisant semblant d’ignorer la nuit dernière, comme à son habitude). ’Il va faire chaud aujourd’hui et nous devons nous dépêcher d’aller faire un tour en ville!’ Intrigué, je lui demande:’En, ville, mais pourquoi?’. Elle esquisse un sourire’ Eh bien, il me faut acheter de nouveaux maillots de bains car avec un temps pareil, il serait dommage de ne pas aller à la plage.’