Après une bonne douche, nous passons à table.
Pendant le repas, mon fils propose à sa maman de participer à une partouze.
Elle sursaute puis me regarde étonnée, je fais un haussement d’épaules.
Mon chéri, tu ne penses pas ce que tu dis ?
Maman, tu es très chaude, je le sens que tu en veux encore plus !
Dis tout de suite que je suis une affamée de sexe, une salope !
Ryan rétorque :
Rectification, maman chérie, tu es notre salope !
Après le repas, tu vas en prendre plein les trous, tu vas encore jouir comme une dingue, n’est-ce pas papa ?
Si tu le dis, fiston, je ne peux qu’approuver, rien que d’y penser, j’ai la queue qui me démange !
Ryan s’approche de sa maman, il lui relève la jupe et passe tant bien que mal sa main sur l’entrejambe.
Elle retient la main du mieux qu’elle peut.
Non, mais ça va pas Ryan ? Nous sommes en train de manger ! lui dit-elle.
Papa, elle a la culotte humide ta femme ! répond Ryan en riant.
Je signale que ma femme c’est ta maman fiston !
Ryan éclate de rire puis reprend son repas.
Le déjeuner se passe très bien, Ryan a réitéré sa demande de partouzer, Laure a les yeux qui commence à pétiller, les détails que donne notre fils sont de plus en plus croustillants.
Le repas prend fin.
Nous prenons place dans le salon, je m’installe dans un profond fauteuil, Ryan et sa maman sur le canapé, il remonte doucement la jupe de sa mère, elle ne fait rien pour l’en empêcher.
Machinalement, elle écarte les jambes, rapidement, la main visiteuse trouve place entre les cuisses.
Oh ! Papa, elle mouille, sa culotte est trempée, viens toucher !
Laure rougit légèrement.
Oui, je mouille, là, tu es content, avec toutes les bêtises que tu m’as mises dans la tête en plus avec les détails, je ne suis pas en bois !
Donc cela t’intéresse maman chérie ?
Elle répond par un haussement d’épaules.
Laisse-lui le temps de réfléchir ! lui dis-je.
Ma femme répond :
Et toi bien sûr, tu es d’accord avec lui, tu veux que je me fasse prendre par d’autres ?
Je réponds du tac au tac.
Tu sais, c’est une expérience à tenter, maintenant que tu es plus…!
Que je suis plus…quoi? Plus salope ?
Je bégaie un peu.
Heu heu !
Ryan vient à ma rescousse.
Papa veut dire que maintenant tu es décoincée et que tu dois t’éclater, connaître d’autres pratiques avec d’autres personnes !
Ouais ouais, c’est quoi, d’autres pratiques ?
Par exemple d’autres femmes, voir même un couple, cela serait une bonne expérience pour toi et un régal pour nos yeux !
La main de Ryan écarte la culotte de sa maman, ses doigts glissent sur la fente moite, Laure pour rendre plus facile l’accès, s’avance un peu plus sur le bord du canapé.
Elle ferme les yeux lorsque les intrus s’enfoncent en elle, et geint lorsqu’ils tournent en elle.
Rapidement, la pression monte en elle, elle se cambre et grogne :
Prends-moi mon chéri, prends-moi, maman n’en peut plus !
Ryan retire ses doigts, et arrache brutalement la culotte de sa maman, il extirpe de son pantalon sa queue déjà raide.
Laure écarte encore plus ses jambes, il frotte son gland imposant contre la chatte et donne un violent coup de reins.
La bite épaisse s’enfonce aisément dans la gaine trempée.
Oui oui mon chéri, prends-moi fort, oui très fort !
Moi, je me masse doucement la bite à travers mon pantalon, j’adore voir mon fils prendre sauvagement sa maman.
Mon membre est emprisonné dans le carcan de tissus, il me fait mal.
Je le libère en grimaçant, il jaillit comme une fusée de mon pantalon.
Je saisis la colonne veineuse et la branle doucement, sans rien perdre du spectacle que donne le duo.
Ryan démonte sa maman comme elle aime qu’il le fasse; la bite luisante coulisse dans le cratère en pleine irruption; les assauts répétés ont vite raison de la résistance de ma femme qui hurle en giclant.
Je m’approche, et offre à la bouche pulpeuse de ma femme ma verge gorgée de sang.
Elle gobe le gland, et le suce mieux qu’une professionnelle; je ferme les yeux, lui saisis les cheveux et lui baise la bouche comme un sauvage; mon pieu s’enfonce jusqu’aux couilles dans sa bouche gourmande; elle geint de bonheur; d’une main, elle me triture les couilles.
Je me raidis et envoie dans sa gorge un flot intarissable de sperme épais.
Elle me repousse et avale difficilement la crème onctueuse.
Le surplus s’écoule de ses lèvres, avec sa langue agile, elle en récupère un maximum en poussant des :
Hum hum de délectation !
Maman, je veux te prendre par le cul, pose tes jambes sur mes épaules !
Laure prend la pose demandée.
Ryan pose ses doigts sur la rondelle brune qui s’ouvre et se referme sans interruption, cela est dû à la forte jouissance qu’elle a eue.
Il enfonce deux doigts et ramone doucement le conduit étroit; le jugeant assez assoupli, il retire les visiteurs, place contre l’illet frémissant sa queue large et épaisse, et donne un coup de reins violent, l’anneau cède et avale le pal puissant.
Ma femme ouvre la bouche toute grande, prend une grande bouffée d’air et retient sa respiration pendant la pénétration.
Elle ne reprend sa respiration que lorsque les couilles velues de son fils chéri frappent ses fesses.
La bite coulisse lentement au début puis prend de la vitesse au fur et à mesure que ma femme geint de plus en plus fort.
J’essuie avec mes doigts ma queue gluante, je dépose le surplus de sperme sur le clito gonflé de ma femme, et le frotte de plus en plus rapidement.
Le bouton a doublé de volume, maintenant, je peux le branler comme une petite bite.
Ma femme grogne comme un animal, ses cris rauques resonnent dans le salon.
Elle s’accroche à la taille de son fils et pousse un hurlement de bête blessée.
Sa cyprine gicle avec force sur le sol.
Elle agite fortement son bassin, la queue qui la défonce la fait délirer.
Oui mon chéri, casse le cul de ta salope de maman, oui oui plus fort !
Mon fils s’acharne, les coups redoublent; il ressort entièrement sa queue et la replonge violemment au plus profond de sa maman.
Elle pousse des :
Oui oui oooooh, c’est trop bon encore !
Encouragé, Ryan réitère le mouvement jusqu’à ce que sa maman jouisse à nouveau, enfin, il se raidit et remplit de sa semence le conduit brûlant.
Il la ramone encore un moment avant de se retirer.
Ma femme reste les jambes écartées, ses yeux sont brillants, je m’agenouille et plaque ma bouche sur la vulve dégoulinante; j’aspire tout ce qui s’échappe du temple.
Ma femme reprend ses gémissements; je lui gobe le clito et le tète comme un damné, elle place ses mains sur ma tête et les maintiens appuyées contre sa chatte trempée.
Oui oui, bouffe-moi mon chéri, je vais encore jouir, vas-y vas-y !
Elle agite son bassin, se cambre et gicle pour la énième fois.
Ryan en profite pour relancer sa proposition:
Maman, tu es à point, il faut le faire avec d’autres; tu veux, dis oui ?
Ma femme ne se contrôle plus, elle hurle:
Oui oui, fais ce que tu veux, amène qui tu veux, je suis devenue une Salope, j’en veux plein les trous, je veux sucer lécher être démontée comme une chienne et mourir de jouissance !
Oh là, maman, tu vas être comblée, si papa est d’accord, je vais organiser ça !
Bien sûr que je le veux, je ne demande que de voir ça ! (je suis un peu voyeur)