Une nouvelle aventure où Annick…
ANNICK DANS UN BAR
En ce vendredi soir, j?avais proposé à Annick, pour nous distraire, de passer la soirée dans un bar situé rue Glandevès, proche du Vieux Port, où régna Gaston Deferre, durant de nombreuses années. Il était un peu plus de dix heures lorsque je poussai la porte pour découvrir le bar que plusieurs amis m?avaient recommandé.
Le petit hall d?entrée, fermé de d’une porte à deux vantaux aux vitres opaques, protégeait du froid et du vent une salle tout en longueur. Toute la partie gauche était occupé par le comptoir. Le long du mur opposé, face au bar, quelques chaises autour de tables basses attendaient d?éventuels clients. Au bout de cette première pièce, on pouvait apercevoir le début d?une autre salle qui s?avéra plus grande que la première. Le bar était décoré avec goût. Nous nous appuyâmes au zinc pour commander.
Derrière le comptoir, une jeune femme, entre vingt cinq et trente ans, rangeait quelques verres. Elle avait des cheveux bruns coiffés en chignon. Elle était vêtu d?un débardeur scintillant à fines bretelles et au profond décolleté qui cachait une poitrine, apparemment, libre de tout soutien. Une courte jupe lui couvrait la partie supérieure de ses cuisses.
-Suivez-moi dans la pièce du fond, il fait meilleur, ici , c’est un vrai courant d’air, nous dit la jeune femme après avoir enregistré notre commande.
La salle était séparée du bar par un épais rideau entrouvert. Le centre de cette pièce devait faire office de piste de danse et de chaque côté il y avait des tables et des boxes.
Juchée sur des souliers à hauts talons, elle nous guida en dandinant de la croupe Elle nous invita à prendre place dans le box qui était le plus éloigné du comptoir mais un des rares dont l?ouverture faisait face au bar. Les boxes étaient des réduits séparés par des cloisons légères recouvertes de tissus sombres.
Dans chaque box il y avait une banquette en U, plus ou moins grande, recouverte de tissu de couleur pourpre qui pouvait acceuillir quatre à six personnes.. Particulièrement profonde, la partie centrale de la banquette ressemblait plus à un divan. Un petit guéridon en bois exotique, un plafonnier et quelques coussins complétaient l?ensemble.
-C?est le plus confortable, installez vous. Ce soir il n?y aura plus beaucoup de monde car nous fermons dans une bonne heure, commenta la serveuse, je vous apporte vos ’Gins’.
La barmaid, professionnelle, revint quelques instants plus tard pour déposer sur le guéridon un cendrier et un bougeoir odorant qui éclaira son visage méditerranéen. Quand elle se baissa, je pus voir pendant quelques instants ses seins qui ballottaient sous le top très échancré.
Une musique, petit à petit, se fit mieux entendre. Aux lumières vives des spots succéda un éclairage très tamisé diffusé par quelques appliques. Le tour de la salle était maintenant dans une relative pénombre et seul le centre de la pièce était subtilement éclairé par quelques projecteurs. Puis on augmenta de volume de la musique pour distiller quelques tubes des années seventies.
La barmaid revint avec les consommations, ce qui me permit, à nouveau, d?entrevoir sa poitrine libre sous le léger vêtement lorsqu’elle déposa les verres sur le guéridon.
Annick réclama une paille et la serveuse, quelque instants plus tard, en rapporta plusieurs qu?elle déposa sur la table basse.
D’où nous nous trouvions, nous avions une vue panoramique sur l’ensemble de l’établissement. Il n’y avait effectivement pas grand monde dans le bar. En plus de la serveuse, il y avait un homme d?environ quarante ans, au tempes grisonnantes, perché sur un haut tabouret, accoudé au comptoir, tout proche de l?arrière salle. Dans le fond de la pièce où nous étions, un autre homme, plus âgé, occupait seul une table.
Attirée par une chanson endiablée de Madonna, Annick gagna le centre de la piste pour danser en solo. Très sensuelle, Annick se tortillait et se déhanchait sous les décibels
Au bout de dix minutes de danse sur des rythmes effrénés, Annick revint pour vider son verre de Gin. Puis, quelques bons vieux slows ayant remplacés les airs à la mode, elle m?entraîna pour danser alors que les spots de lumières qui illuminaient la piste improvisée étaient presque éteints .
Annick, ce soir là, portait un tailleur printanier, en lin, de couleur pistache, fermé par trois boutons de nacre. Elle portait à même la peau, une veste échancrée qui cachait un soutien gorge blanc qui avait du mal à contenir sa généreuse poitrine . Elle avait mis un slip brésilien sous une jupe courte et fendue sur le devant.
Je portais, comme souvent, une tenue très classique : pantalon de flanelle et chemise ouverte sous une veste légère.
Enlacés, nous dansions, bercés par la musique.
Animé, comme d’habitude, par des idées lubriques bien précises, je demanda à Annick de déboutonner sa veste. Après s’être assurée que personne ne pourrait la voir de près, elle s’exécuta discrètement et de bonne grâce car elle avait très chaud. J?en profitais aussitôt pour passer une main sous la veste et empaumer un sein pour le caresser à travers le fin sous-vêtement. De temps en temps, avec beaucoup de discrétions pour ne pas éveiller l?attention des autres consommateurs, mon autre main descendait, durant quelques instants, vers les reins d?Annick et parfois beaucoup plus bas encore, pour caresser les fesses rebondies.
J?avais remarqué que l?homme assis sur le tabouret, était tourné vers nous et ne cessait de nous observer. Il avait même modifié sa posture sur le tabouret pour mieux nous voir évoluer sous le faible halo de lumière.
Au bout d?un quart d?heure à s?être échauffé les sens et nos corps, nous retournâmes nous asseoir.
Après avoir partiellement reboutonné sa veste, Annick repartit rapidement sur la piste pour s?éclater sur des musiques, à nouveau, trépidantes. Seule, elle se trémoussait sur des airs remuants, laissant entrevoir, de temps en temps, la blancheur du soutien gorge aux bonnets pigeonnants.
J?en profita pour quitter ma place et me diriger vers le bar pour recommander à boire.
La barmaid discutait tranquillement avec le client toujours perché sur le tabouret et qui ne quittait pas des yeux Annick.
J?interrompis leur conversation pour passer commande .
A ce moment l?homme pivota pour me faire face et m?interpella aimablement :
-Bonjour, je m?appelle Tony, me dit-il en me tendant la main, et je vous remercie d’avoir choisi notre modeste établissement. Vous et votre compagne formez un très beau couple et j?aime les gens qui en dansant comme vous dégagent une telle sensualité. Permettez-moi de vous offrir un verre à vous et à la jeune femme qui vous accompagne.
Sans réfléchir, je lui signifia mon accord et il descendit de son siège pour me suivre jusqu?à notre table.
Avant de repartir, en compagnie de l?inconnu, j?indiquai à la serveuse que nous voulions deux ’Gins’
L?homme avisa la serveuse :
-Eva, trois et des doubles.
Tony avait, en fait, quarante deux ans et dirigeait ce commerce depuis plusieurs années. Plutôt corpulent, des épaules larges, mais pas mal physiquement, il était vêtu d?un chandail gris d?une marque célèbre et d?un jean de bonne facture.
Il était sympathique et faisait étalage d’un grande savoir. Sa conversation était plaisante. Il dressa le profil assez fidèle d’Annick et me complimenta pour sa rare beauté
La serveuse arriva avec trois verres, quelques serviettes en papier et déposa le tout sur le guéridon en me gratifiant d?un super sourire lorsqu?elle vit à nouveau mon regard plonger dans son décolleté.
Tony l?interpella :
-Eva, tu n?as pas fini d?exhiber tes nichons sous le nez des clients, dit-il sur le ton de la plaisanterie, Tu veux boire quelque chose avec nous ?
-Je dois rester au bar, il peut venir quelqu’un, répondit la jeune femme en haussant les épaules.
-Tu peux fermer maintenant, ordonna Tony, puis s’adressant à moi il dit:
-Je suis comme vous, je ne peux m’empêcher de poser mon regard sur ce qui est désirable.
Eva repartit vers le bar avec les verres vides, me permettant d?observer son superbe fessier, pour verrouiller la porte d?entrée et éteindre la lumière du hall.
Tony sortit d?une de ses poches une toute petite boite, en extrait une gélule translucide qu?il ouvrit pour verser la poudre blanche qu’elle contenait dans un des verres de ’Gin’qui se trouvait devant lui. Il prit une paille disponible sur la table pour mélanger l?ensemble et laissa la paille dans le verre.
Annick, lorsqu?elle me rejoint, fut surprise de me voir en compagnie d?une personne inconnue.
Tony serra longuement et avec beaucoup de délicatesse la main d?Annick alors que nous faisions les présentations.
Annick avait vingt-sept ans, moi trente deux et nous étions mariés depuis déjà neuf années.
Elle vint s?asseoir à mes côtés et put reprendre son souffle quelques minutes tout en bavardant avec nous.
Tony pris les deux verres qui se trouvaient devant lui et présenta celui qui avait une paille à ma femme. Annick, qui avait eu très chaud en dansant, porta aussitôt la paille à ses lèvres et aspira quelques gorgées du breuvage.
-Buvez d?un seul trait, c?est meilleur, dit-il en enlevant d?autorité la paille du verre qu?Annick avait à la main.
Annick s?exécuta et vida le reste de son verre en un éclair.
La recommandation de Tony me surprit et me fit réaliser à ce moment qu?il avait dû substituer les deux verres, donnant à Annick celui dans lequel il avait mélangé, avec la paille, l?alcool et le contenu de la capsule.
Tony, après avoir vider son verre, me demanda si je l’autorisais à inviter Annick à danser.
En se levant, la veste d?Annick qui ne tenait que par un seul bouton, bailla généreusement et Tony eut amplement le temps de voir les bonnets du soutien gorge en dentelle blanche.
Les bonnets pigeonnants soulevaient ses gros seins, laissant leurs parties supérieures largement découvertes.
-Annick, si tous vos dessous sont comme ça, votre mari doit être comblé, dit Tony pour la flatter.
Sans pouvoir le vérifier, je devinais que le jolie visage d?Annick avait du s?empourprer sous la remarque de Tony.
Tony entraîna Annick sur la piste. Pendant une dizaine de minutes, les slows se succédèrent et le couple bougea à peine.
Annick aimait ces danses lascives. Elle ondulait des hanches sous l?impulsion de la musique et du moindre des mouvements de son corps sculptural se dégageait une sensualité torride.
Guidée habilement par Tony, ma femme écrasait son ventre sur celui de son cavalier, en ondulant .
En dansant, Tony chuchotait à l?oreille d?Annick et celle-ci semblait apprécier la galant cavalier qui la maintenait étroitement serré contre lui Une main installée sous la veste, à la hauteur des reins, l’autre main caressait le cou gracile.
L?ingéniosité qu?il déployait pour la séduire puis pour l?exciter pendant ces danses devenait presque obscène.
Pourtant Annick semblait beaucoup apprécier et commençait à vibrer dans ses bras.
Eva réapparut, une coupe de champagne à la main et prit place à mes côtés. Nous échangions quelques banalités tout en regardant le couple danser. Tout à coup, elle me prit une main et me dit à l’oreille:
-Je crois qu’on va avoir droit à un chaud spectacle. Invitez-moi à danser !
Je l?invita donc à danser. Comme j’avais très chaud, j’ôta ma veste avant de gagner la piste avec Eva qui me tenait par la main. Nous retrouvâmes Annick et Tony engagés dans un corps à corps des plus impudiques. Eva, en toute indécence, se colla à moi, me caressant, d?une main délicate, la nuque.
A cause ou grâce au mélange alcoolisé qu?elle avait ingurgité, Annick ne semblait plus elle-même. Elle paraissait de plus en plus troublée, dans les bras de Tony. Elle le laissait agir à sa guise. Il l’embrassait dans le cou tandis que, d’une main passée sous la veste, il lui caressait le dos. Lorsque notre couple en dansant se rapprocha d’eux, je vis que la veste d’Annick n’était plus boutonnée.
La main de Tony abandonna la nuque d’Annick et alla lui caresser le haut des seins après avoir écarter les pans de la veste .
La rigueur implacable avec laquelle il mit en oeuvre un cycle de massages, transforma le visage d?Annick. Elle avait les yeux mi-clos et la bouche entrouverte. Accrochée à son partenaire, au coeur de la piste, elle ignorait le rythme de la musique pour n’entendre que les vibrations de son corps
Une jambe de Tony avait pris position entre les cuisse d?Annick pour lui masser l?entre-jambes.
De mon côté, je pouvais sentir les seins d’Eva s?écraser et frotter contre mon torse. De plus, son ventre, subtilement, ondulait contre le mien, réveillant à tout instant ma virilité. Pendant la série de slows, le souffle tiède de sa bouche caressait ma joue.
Je sentais, à travers mes fins vêtements, la motte rebondie de son bas-ventre me provoquer. Ma queue enfla sous ma ceinture.
Dès lors Eva ne pouvait plus ignorer l?intérêt que m?inspirait sa désirable personne. Je ne pouvais plus cacher mon envie, trahie par une superbe érection.
Aussi Eva, serrant encore plus fort son ventre contre mon sexe dur, me dit, provoquante :
-C?est moi qui te mets dans cet état , ou c’est parceque ta femme est avec Tony ? … J?ai très envie de le connaître.
-Devines !, lui répondis-je en passant une main sous la jupe pour lui caresser les fesses.
Je fus surpris de ne rencontrer aucun obstacle alors que ma main remontait vers ses reins.
Tony en s?écartant imperceptiblement passa sa deuxième main sous le veste d?Annick, palpa le sein qui s?offrait sous ses doigts et dégagea des bonnets les deux globes laiteux en les effleurant à peine. Puis il les soupesa, les malaxa et étira leurs pointes.
Puis il remonta les deux mains, ensemble, vers les épaules, saisit le veston par le revers du col, le dégagea des épaules. Annick ne fit pas un geste pour l’empêcher de faire glisser le vêtement le long de son corps jusqu?à ce qu?il rejoigne le sol.. Elle ne broncha pas plus lorsque Tony, impatient, dégrafa, illico, le soutien gorge qui finit par retrouver la veste, délivrant la poitrine opulente qui palpitait.
Satisfait, il saisit avec douceur, le visage d?Annick et sa bouche prit longuement les lèvres frémissantes, les baisa maintes fois, avant de glisser sa langue dans la bouche où une autre langue l?attendait.
Sous l?emprise du savant baiser, Annick plaqua son ventre contre celui de Tony.
Pour les mains habiles de Tony, ôter la courte jupe fut un jeu d?enfant. Aussi, l?attache ne résista pas longtemps et la jupe tomba en corolle au pieds d?Annick. Tony saisit alors Annick sous les aisselles, la souleva l?espace d?un instant, pour écarter du pied le vêtement.
Tony passa un bras autour de la taille d?Annick pour la maintenir et la faire pivoter. Elle se retrouva ainsi face à notre couple, Tony presque dans son dos. Nous pouvions voir Annick, les bras pendants le long du corps, casiment nue, ceinturée par un bras de Tony.
De sa main libre, Tony atteignit un sein palpitant pour agacer , en expert, sa pointe magistralement dressée.
L?adresse de Tony sur les seins d?Annick lui fit naître de longs frissons qui la tétanisèrent. Il écrasait doucement les masses laiteuses par de légères pressions.
Annick en éprouvait une ivresse incomparable. Elle paraissait sans volonté dans les bras de ce séducteur. Elle semblait savourer l?excitation qui, sans cesse, grandissait et se diffusait partout en elle.
A chaque nouvelle étape, la main de Tony était plus ferme et plus précise. Ensuite la paume qui électrisait les tétines fût remplacée par un pouce et un index qui semblaient vouloir rouler et allonger les tétines. Désormais les seins d?Annick avaient atteint une telle sensibilité que chaque malaxage attisait le feu qui rongeait son sexe.
Insensiblement, elle écarta les jambes et sa vulve engourdie se mit à couler, humidifiant le léger slip.
Un gigantesque frisson traversa son corps et je l?entendis geindre.
J?étais quand même un peu surpris de constater qu?Annick s?était laissé dépouiller de ses vêtements par un inconnu sans opposer aucune résistance et s?abandonnait maintenant sans restriction aux caresses habiles de Tony et à nos regards investigateurs
Pour la remercier ou pour l?exciter plus encore, Tony lui prit à nouveau la bouche pour un échange muet et nourri de sensualité.
Puis la main de Tony qui la ceinturait s?aventura sur son ventre, rampant vers le pubis. Annick, encore une fois, ne tenta pas de l?arrêter et la progression se poursuivit. Il traçait avec ses doigts des lignes imaginaires sur la peau d?Annick qui l?électrisaient.
Ayant contourné le dernier obstacle vestimentaire, les doigts de Tony atteignirent le buisson du sexe d’Annick.
Un son guttural sortit de la gorge d?Annick lorsque les doigts de Tony titillèrent le sexe . Elle eut alors un long et profond tressaillement. Une secousse incontrôlable la poussa à poser ses mains et serrer étroitement le bras de la main que Tony avait enfoui au plus profond .
Les doigts de Tony s?activèrent et les chairs d?Annick s?ouvrirent, libérant leur liqueur.
Doigté par Tony, Annick se tordait sans retenue, gémissante, rivant à la bouche de Tony deux lèvres brûlantes.
Voulant profiter de ce spectacle hautement excitant, Eva et moi ne dansions plus. Presque immobiles à moins de deux mètres d?eux, nous nous caressions presque avec sagesse.
Le débardeur maintenant roulé autour de sa taille, Eva percevait l’expérience de mes mains sur les pointes dressées de ses seins. Une main d’Eva s?était infiltrée dans mon pantalon, après en avoir descendu la fermeture éclair et me massait délicatement le phallus dressé.
Mais nous n?étions pas les seuls à jouir du spectacle qui se déroulait devant nous. L?homme plus âgé, qui était assis seul au fond de la salle, s?était approché depuis un bon moment. Il avait sorti sa queue et se branlait sans retenue.
Il contourna sans un mot le couple enlacé sur la piste tout en continuant à secouer vigoureusement son noeud. Il était si près d’Annick, qu?elle aurait pu le toucher de la main.
Mais elle ne s?était pas rendu compte de sa présence, envoûtée par les caresses que lui procurait son partenaire . Mais Tony lui n?ignorait pas la proximité de cet homme , à la bonne soixantaine, et qui avait les cheveux tout gris.
Tout en agitant avec violence son sexe, il posa une main sur la fesse d?Annick la plus proche de lui. Il la caressa quelques instants. Annick, électrisée par ce geste osée, réagit d’une manière inattendue en tournant plus encore sa croupe vers la main impertinente.
A ce moment, Tony, avec beaucoup d’adresse, fit faire un demi-tour complet à Annick, tout en l?enlaçant étroitement. Il déposa de petits baisers dans le cou et au creux des épaules. Cette fois, les doigts de Tony frottèrent les mamelons, ses ongles les griffèrent, les faisant, à chaque passage, un peu plus saillir.
Annick était presque face à l?inconnu. Il avait laissé sa main sur son corps et lui présentait le chibre congestionné. Ce dernier n?était pas très long mais étonnait par son diamètre inhabituel.
Tony ordonna à Annick de toucher le sexe de l’inconnu. Comme un somnambule, elle posa une main sur le sexe bandé qui se présentait fièrement devant elle. Dès qu’elle eût saisi et comprimé le gland entre ses doigts, l?homme explosa en de lourdes salves qui se perdirent sur la cuisse et le ventre d?Annick, dont l?excitation était à son comble.
En recevant les jets chauds, Annick frisa l?hystérie pendant quelques secondes et ses humeurs féminines s?épanchèrent sur le fond du slip et le long de ses cuisses.
Après ce divertissement dont nous avions été les heureux témoins, Tony entraîna Annick vers le box et prit place à ses côtés. Nous les suivirent aussitôt. Il demanda à Eva d?apporter une bouteille de champagne, cinq flûtes et de baisser la musique.
L?homme qui avait éjaculé sur le ventre d?Annick se prénommait Jean nous avait rejoints sur la banquette . Après s?être réajusté, il prit place entre Annick et moi . Toujours aussi dévêtue, Annick semblait reprendre ses esprits. Elle utilisa un mouchoir pour effacer les traces gluantes que son voisin avait laissées sur son corps.
Je demanda discrètement à Tony ce qu?il y avait mis dans le verre d’Annick. Il comprit aussitôt l?allusion et répondit :
-C’est un ami, pharmacien qui a concocté ces petites gélules. Ells contiennent un concentré vasodilatateur qui rendrait une bonne soeur folle de sexe.
Eva, après avoir abandonné son top, revint avec la boisson pétillante et nous servit avant de s?approcher de moi .
— Tu dois être congestionné, je vais arranger ça ! plaisanta t-elle.
Elle s?accroupit devant moi et sortit, avec des mouvements lents et précis, mon sexe encore tendu. Elle commença à le faire aller et venir dans sa main fine. Prenant le temps que nous bavardions un peu, elle me le caressa, le faisant durcir et s?allonger. J’avais posé une main sur sa tête, mais sans appuyer, me contentant de lui effleurer les cheveux, mettant à mal son chignon.
Nos trois partenaires nous observaient, et de leurs mains, les deux hommes, excités par le spectacle, avaient repris possession du corps d?Annick.
Les attouchements appliqués sur les nombreux points faibles d?Annick la rendaient remarquablement réceptive et docile .
Un engourdissement bienfaisant inondait sa poitrine et ses nymphes s?érigeaient pour mieux palpiter sous le slip rendu transparent par sa mouille.
Un doigt et un pouce de Tony vinrent pincer l?extrémité d?une de ses tétines durcies, et nous vîmes que la chaleur diffuse fut immédiatement transmise aux canaux sensibles de sa zone érogène. Lorsque Jean fit de même sur l’autre sein, elle frissonna
Les doigts se faisaient très aériens dans leur présence, ils entraînaient ses tiges dans une légère rotation. Annick soupirait et sa poitrine se soulevait.
Spontanément Jean avait copié ses gestes sur ceux de Tony. Il était tout aussi adroit que Tony et ensemble, ils massaient, pressaient avec fermeté les pointes sensibles. Tony et Jean avaient entamé un concerto à quatre main sur la poitrine d?Annick Les doigts démoniaques faisaient ployer les tétines souples qui roulaient sur les aréoles. De gigantesques frissons traversaient le corps d’Annick, suspendue aux caresses.
Brusquement, Tony aspira entre ses lèvres la totalité d?un mamelon, le plaisir d’Annick fut fulgurant. Son corps se contorsionna indépendamment de sa volonté et le paroxysme de sa folie fut atteint lorsque Jean goba également son autre sein.
Eva se pencha et prit ma bite dans sa bouche. Elle me fit une longue pipe, me suçant bien à fond, me caressant les couilles et m?aspirant le gland. D?une de mes mains, je titillait les bouts durs de ses seins.
Elle faisait rentrer ma grosse queue presque entièrement dans sa bouche Je me demandais comment elle pouvait y arriver, compte tenu de la belle longueur de mon engin.
J?étais trop excité pour attendre qu?elle jouisse de mes caresses. Je ne pus me retenir très longtemps et je déversa mon foutre épais dans sa bouche. Une partie s’écoula sur son visage et sur son cou alors qu’ell laissait échapper un râle.
Eva s?épongea le visage avec un serviette en papier, vida sa coupe de champagne et, toujours à genoux, s?installa entre les cuisses d?Annick qui ronronnait sous les attouchements de ses deux voisins.
Annick remuait sa croupe de plus en plus, tellement les caresses précises des deux complices lui faisaient de l’effet.
Tony saisit délicatement Annick par les épaules pour l?obliger à s?étendre à plat dos sur la banquette. Puis il l?embrassa goulûment et reprit ses attouchements
Eva glissa alors ses mains entre les fesses et le string trempé d’Annick et lui retira lentement. Les poils très humides ne cachaient presque rien des grandes lèvres poisseuses. Annick ne tentât pas le moindre geste pour repousser celle qui s?imposait entre ses cuisses mais, au contraire, elle écarta aussitôt les jambes pour lui faciliter la tâche et posa les talons sur la banquette.
La serveuse lui releva une jambe et approcha son visage au-dessus du pubis. Elle lissa d’abord les poils soyeux d’une main, puis descendit là où la peau est si douce et si fragile. Elle se pencha et embrassa l’intérieur des cuisses, fit semblant de remonter sur le ventre, mais finalement plaqua ses lèvres contre le sexe humide. De la langue elle écarta les poils et les grandes lèvres.
Enfin, Eva accéda au clitoris pour aspirer sa pointe dressée, puis elle le cajola du bout de la langue en larges mouvements.
Sa langue agile ne lachait plus le petit organe . Puis sa bouche à nouveau l?aspira par petites succions. Elle recommença plusieurs fois le même exercice.
Ses mains n?étaient pas inactives et plusieurs de ses doigts pistonnèrent la vagin trempé. La précision des attouchements d’Eva rendait folle Annick qui soulevait son bassin vers la bouche gourmande. Annick ne savait plus où elle en était, elle ressentait tant de plaisir. Les sensations lui provenaient de partout et se multipliaient les unes aux autres.
En deux ou trois minutes, la tendresse et l?expérience dont Eva avait fait preuve sur son bouton d?amour enflammèrent ses sens et
Annick obtint un orgasme d?une rare violence.
Son jus intime envahissait sa chatte et un torrent de liqueur de sa jouissance explosa hors de son corps.
Eva, excitée par l’afflux de liqueur, réagît aussitôt et enfonça son visage dans la chatte, vrilla sa langue au plus profond qu?elle pût dans le vagin et se délecta du breuvage obtenu par ses caresses. Annick n’arrivait plus à se contrôler et cela coulait sans cesse sous les divins assauts.
Jean, surexcité, se leva, baissa son pantalon, repoussa la barmaid sans précaution et guida son sexe noueux vers la moule trempée d?Annick.
A cause de la largeur de son pénis, Jean eut du mal à la pénétrer. Une fois le gland introduit, les muscles du vagin se relâchèrent et la bite glissa entièrement.
Annick laissa échapper une plainte stridente et noua ses jambes autour des hanches de Jean.
Il se mit tout de suite à limer avec force. A chaque coup de boutoir, le ventre d?Annick allait au devant du sien.
Il ne lui fallut pas longtemps avant de jouir. Lorsqu?il répandit son sperme au fond du vagin Annick cria d?une voix aiguë, brisée par l?orgasme.
En sueur et à bout de souffle, Jean se releva pour reprendre ses esprits.
Annick, méconnaissable, se redressa haletante. Elle réclama à boire et repoussa Tony le temps d’avaler le contenu d’un verre de champagne.
Ayant épanchée sa soif, remise de ses émois, Annick déboutonna le pantalon de Tony et sortit une bite gonflé d’envie. Elle était de belle taille, comparable à la mienne.
Complètement décalotté, le gland émergeait au sommet de la hampe. Annick le tenait entre ses doigts et le massait énergiquement depuis la base jusqu?au gros bourrelet qui cernait le gland.
Annick se pencha et posa ses lèvres sur le sommet du gland. Elle ouvrit la bouche et le bout disparut entre les lèvres.
Elle se mit à le sucer en cadence, ses lèvres montant et descendant le long de la verge, à un rythme de plus en plus rapide. Elle avait le visage congestionné et la salive faisait un bruit mouillé dans sa bouche. Tony l?arrêta au bout de quelques minutes.
-Je n?en peux plus, souffla-t-il, Viens.
Tony, tombant le pantalon, obligea Annick à s?allonger et il l?embrassa à pleine bouche..
D?un seul coup de boutoir, il s?enfonça dans le vagin largement lubrifié des assauts de Jean. Annick arquant les reins de plus belle, Tony se mit à limer avec force. Les secousses se répercutaient dans la banquette, la tête d?Annick dodelinait en cadence.
Tony savait se contrôler. Il continua à la pilonner pendant un long moment. Annick eut le temps de jouir deux fois avant qu?il n?atteigne l?orgasme à son tour.
Epuisée, elle se contenta de subir avec passivité les derniers coups de reins. Elle laissa échapper une dernière plainte quand Tony retira sa bite de sa fente entrebâillée d?où s’écoula un filet de sperme et de mouille.
Ce que je venais de voir avait rallumé le feu qui somnolait en moi.
Je demanda à Eva de se mettre à genoux sur le canapé.
Debout derrière elle, j?ai alors passé une main entre ses cuisses et j?ai glissé mes doigts à l?intérieur de sa vulve humide. Elle a poussé un petit cri quand j?ai écrasé son clitoris entre le pouce et l?index. J?ai senti une coulée de mouille inonder mes doigts.
J?ai alors guidé ma queue à l?entrée du vagin et j?ai poussé pour l?enfiler tout au fond. Avec frénésie, je me suis mis à limer à grands coups.
Eva haletait et se mit à gémir de plus en plus fort. Ses plaintes m?excitaient encore plus. Mes coups de boutoir faisaient claquer mon ventre contre les fesses d’Eva, dont les reins pliaient à chaque fois. Au bout de quelques dizaines de secondes, le souffle court j’ai joui en même temps qu’elle.
Essoufflés, nous nous sommes écroulés sur la banquette.
Puis Jean est allé prendre dans le frigo du bar une nouvelle bouteille de champagne que nous avons vidé avec nos nouveaux amis .
-C?est la maison qui offre, lança Jean à la cantonade.
Epuisés, vidés et heureux, nous décidèrent tous ensemble qu?il était l?heure de nous séparer.
Avant de quitter le bar, nous fîmes, Annick et moi, un brin de toilette dans une salle de bain réservée au personnel de l?établissement, après avoir récupéré nos vêtements éparpillés, pour nous rhabiller enfin.
Enchantés par cette soirée, nous avons échangé avec Tony et Eva nos numéros de téléphones respectifs après leur avoir promis de revenir les voir.