Il est minuit passé lorsque je redescends la colline à pied après avoir déposé la voiture comme convenu. Le restaurant est fermé et le camping est silencieux. Seules quelques veilleuses éclairent doucement les allées et me permettent de rejoindre ma tente sans encombre. Je me couche et me remémore la journée qui s’achève.
Jane a été une découverte inattendue. Elle m’a apporté beaucoup plus que ce à quoi je m’attendais lorsque j’ai découvert ce vilain "petit" canard au restaurant. En la suivant chez elle, je me disais qu’avec un peu de chance je pourrais l’embrasser et qu’avec beaucoup de chance je pourrais peut-être tirer un coup, mais en fait, ça a été beaucoup plus que ça. Cette fille s’est offerte à moi corps et âme et j’ai un petit pincement au cur pour elle, mais la vie continue.
Je finis par m’endormir et me réveille le matin vers 10h bien sonné. Comme hier, je décide de me la jouer tranquille et je m’assois sous un arbre avec mon bouquin entamé hier. De temps à autre, je me trempe dans la piscine, car bien qu’on soit déjà en septembre, il fait encore rudement chaud. En regardant tout autour de moi, je m’aperçois qu’il n’y a plus grand monde dans ce camping et ça continue à se vider. Une famille de Hollandais replie son matériel et repart avec sa caravane alors qu’un couple d’Anglais fait ses adieux au personnel de l’endroit. Si ça continue, je vais finir par me retrouver seul ! Pas d’importance, il fera d’autant plus calme.
Perdu dans mes pensées, je ne vois pas le temps qui passe. En jetant un coup d’il à ma montre, je me rends compte qu’il est déjà 14h30. Pas étonnant que mon estomac gargouille, je n’ai plus rien mangé depuis 24h … hormis la chatte de ma douce Anglaise !
J’enfile donc un T-shirt et je rejoins la même table dans le coin de la salle de restaurant. Il y a beaucoup moins de monde qu’hier et le personnel aussi est moins nombreux; seuls un serveur et la collègue de Jane officient en salle.
A peine installé, la voilà qui déboule vers moi en roulant des hanches, un sourire épanoui éclairant son visage. Elle ne s’encombre pas de formules de politesse et, s’adressant à moi, elle opte directement pour le tutoiement.
Bonjour. Aujourd’hui, ma collègue est absente et je la remplace. Qu’est-ce que tu bois ?
Une bière bien fraîche.
Elle dépose la carte sur la table et, comme Jane hier, elle se dirige vers le bar pour passer ma commande qu’elle ramène aussitôt, vu le peu de clients présents.
En déposant ma bière, elle se penche généreusement vers l’avant et, contrairement à la veille, je bénéficie d’une vue plongeante dans son décolleté. Celui-ci est abondamment garni par une poitrine bien pleine, retenue par un soutien-gorge blanc que je rêve immédiatement d’enlever. En même temps, je vois l’étiquette où figure son prénom : Carmen. Pas de doute, il s’agit bien de la fille dont Jane m’a dit qu’elle adorait se faire draguer. Je ne vais donc pas m’en priver.
Tu as déjà fait ton choix ?
Oui, je vais faire comme hier, je vais prendre le menu du jour. Je suppose qu’il varie chaque jour ?
Oui, oui, c’est le cas. Euh … Pardon, mais est-ce que je me trompe où c’est bien toi que j’ai vu partir hier avec ma collègue Jane ?
Effectivement, c’était moi. Pourquoi ?
Ben, ça m’étonne un peu. Elle est si fade et si moche que je ne comprends pas bien pourquoi un beau gars comme toi l’a embarquée alors qu’il y a tant d’autres filles bien plus jolies tout autour.
Comme toi, par exemple ?
Comme moi en effet. Et … tu te l’es faite ?
Tu es bien indiscrète ! Mais oui, on a fait l’amour ensemble et je peux te dire que, contrairement à ce que tu crois, elle n’est ni fade ni moche. Débarrassée de ses lunettes et de son piercing, c’est un vrai volcan que j’ai tenu entre mes bras et on a passé une après-midi de feu ensemble.
Carmen m’écoute bouche bée. Elle ne s’attendait sûrement pas à ça. Et j’en rajoute même une couche, histoire de la provoquer :
Et j’ai hâte qu’elle revienne pour qu’on puisse remettre ça !
Et ça marche, car elle me répond du tac au tac :
Ah bon ! Mais, cela dit, si tu veux on peut faire plus ample connaissance, toi et moi. On n’a qu’à agir comme tu l’as fait hier avec elle. Tu m’attends à la sortie au moment de ma pause. Comme il y a peu de monde, je devrais être libre vers 16h. Et je ne reprends qu’à 21h … !
Et voilà, pas plus compliqué que ça et, en plus, elle m’indique de combien de temps on disposera ! Elle est debout à côté de moi et je suis subjugué par son superbe cul, étroitement moulé dans son pantalon à hauteur de mes yeux. Le tissu est tendu à l’extrême et il n’y a pas la moindre trace de slip. Je ne peux pas résister à la tentation de le toucher et je pose donc ma main sur ses fesses, mais elle a instantanément un petit mouvement de recul.
Retire ta main de là tout de suite !
Merde ! Je suis sans doute allé trop vite et je me suis planté.
Excuse-moi, je ne voulais pas te heurter.
Mais, contrairement à ce que je craignais, elle me répond :
Non, non, ne te méprends pas, il n’y a pas de mal. Ce n’est pas que ça me déplait, au contraire même, mais je me méfie de l’il de Moscou.
L’il de Moscou … ???
Oui, ma patronne. Elle est là, planquée derrière sa caisse à l’extrémité du bar et elle observe tout ce qui se passe.
Je jette un il par-dessus son épaule et je vois en effet à l’endroit indiqué une femme d’une quarantaine d’année, perchée sur un tabouret et qui tient toute la salle à l’il, personnel et clients. Apparemment, rien ne lui échappe !
Ah oui, je la vois. Et elle tient particulièrement à ta vertu … ?
Oh ma vertu, elle s’en fout, elle sait à quoi s’en tenir ! Mais la très catholique Espagne, ça existe encore par-ci par-là. Et comme la clientèle se fait rare en dehors de la saison, elle ne veut pas qu’un geste équivoque choque l’une ou l’autre rombière. Ça fait cinq ans que je bosse ici et les emplois sont difficiles à trouver. Donc, je tiens à garder le mien et je préfère ne pas prendre de risque. Mais tantôt, quand on sera dehors, si tu veux me mettre la main aux fesses, ne te gêne surtout pas, ce sera bien volontiers !
Et comment fait-on pour se retrouver ?
Au bout du parking, il y a un petit hangar à motos et c’est là qu’est garé mon scooter. Attends-moi là, je t’y rejoindrai. On ira chez moi, c’est à dix minutes d’ici. J’ai hâte d’y être.
Voilà qui est on ne peut plus clair. Pardon, Jane, mais je crois que te voilà déjà remplacée. Je prends donc mon déjeuner à mon aise. Comme hier, je mange peu et me contente de boire de l’eau, question d’être en forme, car j’ai comme dans l’idée qu’avec Carmen ce sera direct, sans ambages, de la baise pure, sans flonflon ni romantisme. Du sexe, rien que du sexe !
Et à l’heure prévue, Carmen arrive, juchée sur ses hauts talons. Je me demande comment elle va faire pour conduire sa moto comme ça, mais j’ai très vite la réponse. Elle me tend les clés et me dit :
Tiens, conduis. Ici, c’est toujours le garçon qui pilote. Au fait, quel âge as-tu ?
22 ans. Et toi ?
Un peu plus. J’ai 25 ans … et dix ans d’expérience.
Et elle ponctue cette dernière phrase par un clin d’il et un grand sourire. Je m’installe donc à l’avant de l’engin et elle grimpe derrière moi.
Vas-y. Prends à gauche en sortant et continue jusqu’au premier patelin. Je t’indiquerai en arrivant.
Je démarre en douceur et elle s’accroche à mon dos. Au début, je pense que c’est pour la stabilité, mais, très rapidement, je comprends que ce n’est pas par hasard qu’elle m’a demandé de conduire : c’est surtout pour pouvoir entamer tout de suite notre "conversation". Je sens ses mains glisser sous mon t-shirt et me peloter le torse. Elle s’empare de mes mamelons qui s’érigent comme ceux d’une fille, elle les caresse, les pinces les tortillent … tout ça en roulant sur une petite route sinueuse.
Puis, bravant les lois de l’équilibre, elle redescend une main et l’insère dans mon short où elle rencontre ma queue en pleine escalade. Sans attendre que mon érection soit complète, ce qui ne saurait tarder, elle se met à me branler en se serrant tout contre moi. Je sens ses nichons s’écraser contre mon dos et, si elle continue, je ne vais plus pouvoir me contenir et je vais exploser.
Arrête, je ne vais plus tenir longtemps et ça devient dangereux !
Tu n’aimes pas ?
J’adore, mais je tiens à la vie et ce sera encore meilleur quand on sera chez toi en sécurité.
Je l’entends rire dans mon dos, mais elle se calme un peu et se contente maintenant de se frotter contre moi. Moins de dix minutes après avoir démarré, elle me dit de tourner à droite et de rentrer dans un ensemble d’immeubles de quatre étages entourant une piscine commune.
Voilà, c’est ici que je crèche. Ce n’est pas le grand luxe, mais c’est correct et financièrement abordable. Gare le scooter là au fond, derrière le bâtiment, et montons tout de suite.
Nous descendons de moto et, aussitôt, elle m’attrape la tête et me colle un patin incendiaire. Mais ça ne lui suffit évidemment pas et elle m’entraîne vers un petit escalier étroit qui rejoint le hall d’entrée. Galant, je la laisse passer devant moi et je la suis, ce qui m’offre une vue imprenable sur sa chute de reins qui se tortille devant moi. Vivement qu’on arrive, car je deviens fou !!!
Dans l’ascenseur, elle se jette sur moi et je crois qu’elle va me baiser sur place. Elle replonge dans mon short et empoigne à pleine main ma bite qui n’a pas débandé depuis le départ. Heureusement, elle loge au troisième étage et en quelques secondes nous nous retrouvons sur le pas de sa porte. Par chance, il n’y a personne dans le couloir, car je suis déjà à moitié à poil et elle ne vaut qu’à peine mieux !
Elle ouvre la porte et nous nous précipitons à l’intérieur.
Inutile de dire que, contrairement à Jane, elle n’a pas besoin d’alcool pour se désinhiber, ce serait plutôt une lance à incendie qu’il faudrait en ce moment. Bien décidée à ne pas perdre une seconde de son temps de pause, elle m’emmène directement dans sa chambre où trône un immense lit de 2m x 2m au beau milieu de la pièce. C’est d’ailleurs le seul meuble et, sa position centrale permettant de l’aborder par tous les côtés, mon imagination a tôt fait de comprendre tous les avantages que cela représente : toutes les positions du kamasutra doivent être possibles sur un tel baisodrome !
En moins de temps qu’il n’en faut pour l’écrire, Carmen m’a arraché tous mes vêtements et je suis maintenant au garde à vous droit devant elle. Comme Jane hier, elle tombe immédiatement à genoux et, sans aucun préambule, elle engouffre mon pieu au plus profond de sa bouche.
Elle me pompe maintenant d’une main comme si sa vie en dépendait pendant que son autre main glisse dans son propre pantalon et s’agite à toute vitesse. Très rapidement, je la sens se raidir et puis, en quelques secondes, elle jouit comme une folle !
Lorsqu’elle s’est un peu calmée, elle se redresse et me caresse plus doucement la queue.
Pardonne-moi, mais je n’en pouvais plus. Déjà hier midi, dès que je t’ai vu, j’ai eu envie de baiser avec toi. J’ai senti mes seins se gonfler et mon slip se mouiller. Alors, quand je t’ai vu partir avec l’Anglaise, tu ne peux pas t’imaginer à quel point j’ai été frustré. J’ai passé toute ma soirée à me branler en imaginant tout ce que tu lui faisais et dont j’aurais pu profiter. Alors, aujourd’hui, quand j’ai vu qu’elle était absente, je n’ai plus pensé qu’à ça : prendre sa place et jouir dans tes bras. C’est devenu presque une obsession et c’était tellement urgent que je n’ai pas pu attendre en arrivant ici. Mais, je te promets, je vais m’occuper de toi maintenant et tu ne vas pas le regretter.
Cela dit, elle commence à déboutonner son chemisier, mais je décide de reprendre la main. Ecartant ses doigts, j’empoigne ses superbes seins à travers le tissu et me mets à les malaxer. Elle répond en me tendant ses lèvres charnues que je prends avidement. Tout en dévorant sa bouche, je m’empare des petits boutons de sa blouse et les défais lentement, un à un. Lorsqu’ils sont tous ouverts, je glisse mes mains dans le vêtement à hauteur de ses épaules et le fais tomber au sol.
Un peu apaisée par son premier orgasme, elle se laisse faire en ronronnant et, donc, je continue mon uvre en défaisant la ceinture, le bouton et la fermeture éclair de son pantalon. Celui-ci est si serrant qu’elle est obligée de le pousser vers le bas tout en se tortillant pour le faire descendre. Lorsqu’il est sur ses chevilles, elle m’apparaît alors plus désirable que jamais, seulement vêtue d’un mini-string et de son soutien exposant ses deux seins comme sur un plateau.
Je passe mes bras autour d’elle et attrape l’agrafe de son soutien que je m’efforce de faire sauter. Mais mes doigts s’emberlificotent dans cette satanée fermeture et elle doit venir à ma rescousse. Elle recule donc d’un pas et lance ses mains vers l’arrière ce qui projette encore un peu plus ses deux superbes globes vers l’avant. Plus habile que moi, évidemment, elle lâche le fermoir et fait glisser son sous-vêtement qui tombe immédiatement au sol.
Je suis ébloui par ses magnifiques seins qui s’offrent à moi. Ils sont ronds, fermes, suffisamment pleins pour remplir la main d’un honnête homme, mais sans être lourds. Ils sont surmontés de deux aréoles sombres au centre desquelles pointent ses mamelons durs comme de l’acier. Je l’attire vers moi, fourre un de ces joyaux dans ma bouche et le suce avec délice. D’une main je caresse son autre lolo et, de l’autre main, je descends vers son pubis à peine couvert par son string.
Je glisse mes doigts sous le minuscule bout de soie et je rencontre le début de sa fente déjà bien humide. Je tourne doucement mes doigts autour de sa vulve, sans la pénétrer et, surtout, sans toucher son clito afin de la rendre encore plus affamée. Et, comme hier avec Jane, lorsque je me décide à enfin y déposer un doigt, elle réagit en sursautant vivement avec un petit cri de satisfaction puis elle presse son ventre contre le mien. J’enfonce alors un doigt dans son vagin qui coule abondamment et commence à la branler.
Elle écarte les jambes et me fait implicitement comprendre qu’elle veut que je la pénètre, là, tout de suite, mais ce n’est pas du tout mon intention. Je veux, au contraire, faire durer le plaisir le plus longtemps possible. Je l’agrippe donc par les hanches et la fais tourner sur elle-même. Puis je me colle contre son dos, j’attrape ses seins des deux mains et les palpe à n’en plus finir. Elle bascule la tête vers moi et me tend ses lèvres dans une supplique muette pour que je l’embrasse. Ce que je fais.
J’abandonne un sein et descends à nouveau une main vers son ventre sur lequel j’appuie pour la maintenir bien serrée contre moi. Je frotte mon pieu tendu à l’extrême entre ses fesses rebondies et je recommence à la masturber en dépit de son string toujours présent.
Elle savoure mes caresses pendant un long moment puis décide, sans un mot, de passer à la vitesse supérieure. Glissant un doigt de chaque côté sous le fin cordon de son string, elle le fait descendre en se trémoussant puis, d’un grand coup de pied, elle envoie balader son pantalon et son string à l’autre bout de la pièce. Je ne sais pas comment elle a fait, sans doute le résultat d’une longue expérience, mais elle a réussi à se débarrasser de ses vêtements tout en gardant ses chaussures à hauts talons, histoire de ne pas paraître trop petite par rapport à moi qui fais quand même 1,85m.
Puis elle se retourne et me fait face avec un sourire carnassier, en écartant légèrement bras et jambes afin de bien s’exhiber. Je peux ainsi l’admirer pour la première fois intégralement nue et je suis scotché par sa beauté. Bien sûr, dès le départ je savais qu’elle était mieux que Jane, mais là, c’est Aphrodite qui m’apparaît ! Elle a le pubis entièrement épilé à l’exception d’un petit paillasson triangulaire au-dessus de sa fente qui brille de cyprine tant elle est excitée. Pas la moindre trace de maillot ou de bikini, elle est totalement bronzée.
Brusquement, sans crier gare, elle me pousse vigoureusement en arrière et j’atterris à plat dos sur le lit, ma virilité fièrement dressée vers le plafond. Elle envoie ses chaussures valdinguer, histoire de ne pas m’éborgner, et se précipite sur moi, se mettant instantanément en position de 69.
Elle engouffre ma bite et se met à me pomper à grand renfort de salive pour bien faire coulisser mon membre entre ses lèvres. Ses cuisses fermes écartées de part et d’autre de mes épaules, elle m’offre sa vulve dans une quête explicite ! Je gobe donc son clitoris d’un seul coup et le suce avidement. Je rentre deux doigts dans son vagin trempé et commence à la masturber. Elle synchronise ses mouvements avec les miens et nos deux corps s’agitent en cadence.
D’abord superficielle, sa fellation se fait de plus en plus profonde au fur et à mesure que j’enfonce mes doigts de plus en plus loin dans son ventre. Je l’entends grogner, haleter et tousser pendant que je me délecte des flots de cyprine qui coulent de son fourreau. Je sens régulièrement son ventre se crisper et ces spasmes se rapprochent de plus en plus. Si je continue, je vais la faire jouir et ce n’est pas encore le moment. Elle, non plus, ne veut pas que cela se termine ainsi.
Elle lâche donc ma queue et rampe vers l’avant jusqu’à ce que son pubis vienne heurter le mien. Elle empoigne mon membre dégoulinant de salive, le dirige vers l’entrée de son sexe et s’empale doucement dessus. Lorsqu’elle arrive à la garde, elle déguste un instant la délicieuse invasion de sa chair distendue puis entame un lent va-et-vient qui fait ressortir presque entièrement ma bite à chaque coup.
La nature m’ayant particulièrement gâté, je regarde cet énorme gourdin entrer et sortir de son ventre et le spectacle me fascine. Je pose mes mains sur ses fesses et accompagne son mouvement afin d’imprimer une cadence pas trop rapide me permettant de me retenir le plus longtemps possible. Hier, avec Jane, je n’avais plus touché de fille depuis plus de trois mois et j’ai joui assez rapidement. Mais aujourd’hui, je veux que ça dure longtemps, que je puisse profiter au max, de son fabuleux corps en tirant parti des possibilités offertes par cet étonnant lit.
Au bout d’un moment, elle se redresse et pivote de 180° autour mon pieu tout en restant embrochée dessus. Elle s’appuie des deux mains sur le matelas et reprend son va-et-vient. Profitant de la position, je m’empare de son éblouissante poitrine et la malaxe dans tous les sens, titillant au passage ses mamelons durs comme des pointes de crayons.
Carmen est visiblement une fille rompue à toutes les techniques de l’amour, car, à chaque fois qu’elle sent que je ou qu’elle va partir, elle ralentit la cadence jusqu’à s’arrêter si nécessaire, pour nous permettre de récupérer. Quant à moi, je gère comme je peux, bien décidé à jouir après elle, ou au moins en même temps.
Mettant à profit un de ses arrêts, je la bascule dans le lit et, dans le même mouvement, je me redresse et tire ses hanches vers le haut. Elle se trouve alors en position de levrette et je l’envahis d’un seul coup jusqu’à la garde. Mon pubis claque contre le sien à chaque pénétration et, pour ajouter encore à son plaisir, elle porte la main vers son sexe et se frotte furieusement le clitoris. Les mains cramponnées à ses hanches, je la défonce sans retenue ce qui doit lui plaire, car elle gémit maintenant en continu. Petit à petit, elle se laisse aller vers l’extase et, de mon côté, j’ai de plus en plus de mal à me retenir.
Mais je ne veux pas terminer dans cette position de domination, mon plus cher désir étant de la faire profiter autant que moi de ce moment de folie. Je la rebascule donc dans le lit, je me place en cuiller dans son dos, lui soulève une jambe et la réinvestis aussitôt. Je glisse mes bras sous les siens, ce qui me permet de m’emparer de ses seins et de l’étreindre tout contre moi. Puis je reprends mes coups de boutoir et lui laboure le vagin jusqu’au plus profond de son ventre pendant qu’elle s’astique frénétiquement le clito.
A cette allure, il est évident que nous ne tarderons plus à venir ! Ce qui se produit soudainement et, ayant atteint le point de non-retour tous les deux en même temps, nous nous laissons emporter par un orgasme foudroyant qui nous secoue dans tous les sens. Je gicle puissamment et mon sperme brûlant inonde ses entrailles pendant qu’elle éjacule un abondant jet de mouille.
Lorsque cette explosion s’estompe progressivement, je relâche peu à peu la pression de mes mains sur ses seins et je me retire doucement de son ventre. Mon foutre coule lentement hors de sa chatte et, comme elle a toujours la main posée sur sa vulve, elle le recueille avec ses doigts qu’elle porte à sa bouche et les lèche avec gourmandise.
Puis elle se retourne, se presse contre moi et m’embrasse fougueusement. Je goûte la saveur un peu âcre de mon propre jus mélangé à celle de sa cyprine et je m’en délecte.
Waw, quel feu d’artifice !!! Ça valait vraiment le coup de venir jusqu’ici. Je n’ai pas souvent eu l’occasion de baiser avec des mecs du nord, mais toi, tu les dépasses tous. Non seulement tu es drôlement bien foutu, mais, surtout, tu sais rudement bien te servir de ce que la nature t’a donné ! J’ai essayé de te faire une gorge profonde, mais tu es tellement bien monté que je n’y suis pas arrivée. Désolée.
Inutile d’être désolée, tu m’as fait jouir comme ça ne m’était plus arrivé depuis très longtemps.
C’était mieux qu’avec l’Anglaise, alors ?
Disons que c’était différent. Comme je n’avais plus baisé depuis un bon moment, elle m’a comblé hier en me faisant regoûter au plaisir charnel. Toi, tu m’as emmené dans les tréfonds de la volupté et tu as réussis à extraire de moi jusqu’à la dernière goutte de jouissance.
Et de jus… ! Car tu m’en as mis une fameuse dose et je pense qu’une douche ne me ferait pas de mal.
Et à moi non plus !
Nous nous levons donc de concert et nous rendons dans la salle de bain où nous laissons abondamment couler l’eau sur nos peaux, poisseuses de nos transpirations et de tous nos liquides corporels mélangés. A mon grand étonnement, elle ne cherche pas à en profiter pour essayer de me rallumer, ce qui serait d’ailleurs probablement inutile, car je lui ai vraiment tout donné !
Je la regarde ensuite se sécher et ne peux m’empêcher d’admirer la perfection de son corps. Elle a vraiment des proportions idéales : des seins pleins, mais fermes, absolument pas tombants, une taille fine et des hanches rondes sans excès, un ventre plat et un pubis bombé, un magnifique cul joliment rebondi et des jambes suffisamment longues malgré sa taille relativement petite. Vraiment, une très très jolie fille. Et elle s’est offerte à moi corps et âme ! J’ai vraiment de la chance…
Elle me prend par les doigts, me ramène à sa chambre et me pousse gentiment sur le lit.
J’aime me reposer après l’amour à côté de mon amant. J’espère que toi aussi.
Elle se couche à mes côtés, me prend la main qu’elle pose sur ses seins et s’endort aussitôt. Et j’en fais autant