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emmanuelle – Chapitre 2

emmanuelle - Chapitre 2



Jai affronté le regard des nageurs matinaux qui arrivaient en même temps que moi pour louverture. Jattendis avec eux le moment de rentrer sans prendre peine de me protéger plus quil nen fallait du manteau. Parfois il cachait. Parfois il montrait. La fraicheur avait durci mes mamelons. Je le voyais et le devinais sous le coton. Mais eux ?

Je me suis changée. La peau en sueur. Piégée par le latex, javais transpiré comme jaime. Jai fait quelques longueurs et suis retournée me sécher. Après tout, venir à la piscine nétait rien dautre quun prétexte non ?

Jai remis mon body en tremblant quune voisine nentendre le bruissement du latex qui se remet en place. Sur le chemin du retour, il y avait plus de monde. Jétais moins sûre de moins. Je fermai mon manteau dans la rue préférant privilégier mes compagnons de bus, ravis de ce réveil sensuel.

En rentrant, jai croisé Florence qui, je le sais, a remarqué ma tenue. Mais je men fous maintenant. Jai décidé de ne plus me cacher. Je suis une chienne et je lassume.

En tout début de soirée, je me suis décidée à jouer à un autre jeu dangereux. Précise comme une horloge, ma colocataire est arrivée alors que jétais presque nue dans lappartement. Presque, cest la différence entre rien et un slip en dentelle fine, blanc, terriblement échancré et ressemblant à sy méprendre à un string tant les fesses sont peu recouvertes.

« Je vais prendre un bain » lui expliquai-je en virevoltant dans lappartement sans prendre garde à ma tenue. Volontairement, javais envie de quelque chose. Peut être quelle me parle de ma tenue. Ou bien plus sûrement quelle remarque entre mes fesses la base ronde du plug en métal. Caché par létoffe fine, je redoutais et espérais à la fois quil néchappe à mes muscles et vienne frapper le sol de son poids et sa nature vicieuse. Il nétait pas très bien ancré en moi à ces instants, le lubrifiant que javais utilisé pour lintroduire faisant encore leffet désiré. Il aurait très bien pu séchapper de mon illet quand je me penchais ou maccroupissais pour ranger un bouquin ou attraper une paire de chaussures. Lorsque Florence eut fini par regagner sa chambre, je gagnai la baignoire.

Après une séance de relaxation et de masturbation, mes esprits repris, jai recommencé ma petite exhibition jusquà ce que mon corps ne soit plus du tout humide, tout du moins en apparence car une zone sensible demeurait tout sauf aride.

Je me suis ensuite habillée : une jupe courte, légère, blanc cassé, faite de ce mélange synthétique qui donne à la fois légèreté et transparence. Car tel était mon nouveau défi. Jouer la transparence au point de me sentir gênée. Un coup dil dans la glace : je distinguais parfaitement la silhouette et les courbes de mon slip sous létoffe indiscrète. Pour prendre une image, un peu comme derrière une vitre pleine de buée : on ne voit rien précisément mais on devine et imagine tout et même plus.

Brassière assortie à la jupe, le ventre nu, la poitrine partiellement protégée par un volant en dentelle, je voyais néanmoins lombre de mes auréoles transpercer la transparence. Normalement prévue pour être portée avec un soutien, aujourdhui, cette brassière ne le serait pas.

Jai discuté quelques minutes avec Florence pour quelle voie bien comme jétais habillée. Pari réussi puisque lorsquelle me vit prendre sac et manteau, je mentendis dire un « tu sors comme ça ? » des plus étonnés.

Je navais pas le courage de sortir sans manteau. Javais besoin de lemmener avec moi. Même si je ne devais pas le porter pour remplir mon défi. Gagner mon pari. Je peux le faire. Oui.

Dans la rue, je me sentais comme nue. Le manteau sur le sac, le sac sur lépaule, jai marché. Croisé des regards. Senti lindiscrétion se retourner sur mon passage. Ressenti les yeux se poser sur les seins qui sapprochaient deux puis examiner mon cul de salope après que je les ai dépassés. Il faisait jour. Parfaitement jour. Le soleil était doux. Comme pour toute fin daprès-midi en cette saison.

Je me suis rendue dans le parc qui se trouve à quelques rues de mon domicile. Bien sûr, lendroit nest pas très joli. Cest la banlieue. Mais il y avait ce que je voulais. Un banc et des gens.

Pas beaucoup. Surtout des gens de passage qui coupe par le parc pour raccourcir le chemin qui les mène à leur domicile. Moi, je massis. Sereinement. Un banc au soleil. Le cul sur le métal chaud, le plug se rappelait à moi. Je naimais pas beaucoup marcher avec. Mais avec le temps, cela mamuse énormément de sentir cette pesante présence menacer de méchapper à chaque pas.

Néanmoins, lorifice asséché par la chaleur restituée le métal, je commençais à grimacer de ce jeu pénétrant. Jessayais doublier en regardant les passants. Prenant confiance, jabandonnais sur le banc le manteau et le sac, ouvrant mes bras sur le dossier, basculant ma tête en arrière pour mieux prendre le soleil.

Je décroisai mes jambes pour ne plus les croiser. Javais envie de montrer ma culotte. Je menfonçai, prenant une position relaxée, inconsciente, un peu avachie sur le banc, les fesses proches du bord : jouvrai par intermittence les jambes comme si jécoutais de la musique et que je mabandonnai.

En fermant les yeux, jimaginais que lon me voyait. Que lon me regardait. Mais que jétais protégée et que je ne risquais rien. Javais envie de me caresser. Impossible. Frustrée, je décidais de mexciter plus encore en corsant une dernière fois le jeu. Je quittai ce banc pour un autre, moins exposé cest vrai, mais javais médité mon geste. Après avoir posé mes affaires sur le banc, tout en masseyant, mes mains glissèrent sous la jupe en la soulevant légèrement comme une petite fille, et alors que jallais poser mon cul sur le banc, jattirai le slip et le faisais quitter son nid. Le slip sur les cuisses, encore sous la jupe, je recroquevillai mes jambes.

Les jambes allongées de côté sur le banc, le buste droit, le bras sur lassise, lautre le long du corps, je poursuivis discrètement la délicate opération. Je ramenais mes mollets derrière mes cuisses et fis alors glisser mon slip sous le genou, puis sur mes chevilles. Discrète, jai réussi à me retrouver nue sous ma transparente tenue.

Mon slip au creux de la main, je lai porté à mes narines pour lhumer. Il avait cette odeur âpre que jaime tant. Il sentait la chienne. Il portait ma saveur. Mon arôme. Parfum dexcitation intense.

Jai posé le slip à ma droite, près de mon manteau et de mon sac mais sans le ranger. Jaimais le voir prendre le soleil. Je me rassis normalement. Sans croiser les jambes. Les genoux entrouverts. Je repris ma position précédente. Reposée. Je suis restée ainsi un moment. A penser. A tout ce que jaime.

A tout ce qui me fait peur. Me fait mal. Puis, alors comme ça arrive parfois, jai ressenti une pressante envie de soulager ma vessie.

Lexcitation était un peu tombée. Elle avait cédé sa place à une autre envie naturelle. Mais lesprit demeurait lui en alerte. Je ne pense que soumission et perversion. Alors je me suis imaginée. Et lai réalisé en même temps. Je ne réfléchissais plus sinon je ne laurais jamais fait.

Jai repris une position stricte sur le banc et, après mêtre relevée comme pour mieux masseoir, je fis en sorte de masseoir à même le banc, la jupe ne me protégeait plus du tout. Je me revois très bien : le buste légèrement incliné vers lavant, les mains posées sur le rebord du banc, les bras tendus, le visage droit, regardant au loin, je me concentrais.

Je sifflotais entre mes lèvres légèrement pour me donner du courage et pour déclencher le geste qui me bloquait. Soudain, jentendis. Ce doux bruit. Le liquide qui venait sabattre sur le sol. Je faisais pipi sur le banc. Sans me lever. Lurine glissait entre les barres métalliques pour atteindre le sol qui brunissait sous son arrivée.

Bien sur, le système nétait pas parfait puisque mes cuisses comme mes fesses subirent partiellement la satisfaction de mon envie : éclaboussée, humidifiée par quelques gouttes indisciplinées, je séchai au soleil. Les fesses à lair. Le sexe accessible à lil. Pendant plusieurs minutes, je relevai même ma jupe jusquà la limite raisonnable pour que lintérieur de mes cuisses sassèche parfaitement.

Il commençait à faire frais. Je sentais une brise légère caressée mes cuisses, mon sexe et mes fesses.

Le slip rangé dans mon sac, je quittai le banc, courageusement pour rentrer chez moi.

Je savais que ma longue chevelure protégeait partiellement mon dos. Néanmoins, mon cul nu, et surtout mon pubis navait plus aucune protection. Mais, après tout, peau blanche sous tissu blanc, rien de plus passe-partout. Non ?

Moins simple, moins passe partout, le plug en métal dont je sentais la base ronde au creux de mes fesses. Je me demandais si lon pouvait remarquer la teinte de lalliage. De retour à lappartement, je pris soin de croiser Florence pour quelle puisse voir et comprendre que je deviens perverse.

Ça, ce nest pas nouveau. Ce qui lest, cest que je laffiche. Et je sais quelle a remarqué que je navais plus de slip. Ne me demandez pas comment. Je ressens ces choses là.

Jeudi 29 avril 2013

Cet après-midi, jai encore joué. De manière déraisonnable. Je profite de mon temps libre. Et je nen ai pas honte. Bien au contraire.

La journée avait bien déjà pas mal commencé dans le genre perverse : hier soir, jai oublié de ranger mes pinces et le plug gonflable que jai utilisés. Les pinces sur la table de nuit près de mon lit, mais surtout, le plug et sa poire sur une tablette inférieure du bureau. Et ce matin, Florence a voulu utiliser le mac pour imprimer une de ces foutues lettres de motivation.

« La prochaine fois, noublie pas de le ranger » ma-t-elle dit après mavoir précisé « Je tai laissé un truc sur ton lit ». Elle semblait sen amuser. En tous cas, elle le prenait sur le ton de la plaisanterie. Mais comment pouvait-il en être autrement ? Moi aussi, jai souri même si javoue être un peu gênée parce que lobjet nétait pas très « propre » et que lon devinait aisément où il avait séjourné en moi.

Passons. Je suis allée au parc des buttes chaumont. Jupe longue, droite, fendue sur le côté gauche jusquau dernier tiers supérieur de la cuisse, en coton léger, bleu pastel. Pull blanc en coton maillé, pas trop chaud, très décolleté en V, une épaule toujours visible ou presque, en tous cas, toujours la bretelle de soutien gorge apparente. Et comme aujourdhui, mes dessous étaient en latex, jétais très excitée dafficher cette matière en bretelle, mais aussi en bonnets, puisque, vue de haut, ma poitrine est entièrement révélée par ce pull.

Jai marché de chez moi jusquà la gare, suis arrivée en nage là bas parce quil faisait très bon, et me suis retrouvée dans une rame RER bondée. Merci aux grévistes ! Nayant pas pris autre chose quun imperméable roulé en boule dans mon sac, certains ont pu se rincer lil gratuitement à laller Et même toucher puisque nous étions serrés comme des sardines.

Au parc, je me suis allongée dans lherbe au soleil avant daller masseoir sur un banc, à lombre.

Jétais dans un virage, en contrebas dune autre allée, il y avait comme toujours pas mal de monde.

Assise au garde à vous, je ne serrais pas les jambes. Je ne devais pas le faire. Une adolescente est venue sasseoir presque en face de moi, de lautre côté de lallée. Elle ma souri. Jai répondu par le même procédé. Son petit copain la rejointe quelques instants après avec une boisson.

Cest mignon à cet âge là. Ils ont commencé à sembrasser. Je les regardais. Jai troqué mes lunettes de vue contre celles de soleil pour le faire plus ouvertement. Je mimaginais à sa place à son âge.

Soudain, jai remarqué que le garçon regardait parfois vers moi. Alors je me suis amusée à écarter les genoux de quelques centimètres. Quand jai pu constater quil regardait vraiment tout en continuant dembrasser sa copine, jai accentué le mouvement en masseyant au fond du banc, écartant mes cuisses suffisamment pour quun ballon de foot vienne trouver refuge entre mes genoux. Je ne restai pas immobile. Non. Je mamusais à bouger mes jambes de droite à gauche comme on le fait parfois lorsque lon est impatient.

Ainsi, la jupe fendue, les genoux ouverts, on pouvait non seulement voir quasiment une cuisse sur toute sa longueur de profil mais aussi de face.

Je battis lair avec mon livre de poche pour montrer que javais chaud. Après lavoir posé, jentrepris une mission périlleuse : enlever mon soutien gorge en latex sans changer dendroit. Les bras dans le dos, je dégrafai le soutien à travers le coton, puis, je rentrai le bras droit par la manche et, une fois fait, je glissai par le décolleté ma main gauche pour faire glisser la bretelle hors de lépaule. Le bras droit ressorti, je fis de même pour lautre bretelle. Je me suis penchée pour attraper mon sac posé à mes pieds, ce qui acheva de libérer mes seins du latex qui collait pourtant à la chair. Jai glissé une main sous le pull au niveau du ventre et ai transféré de mon ventre jusquau sac le soutien gorge en latex, au nez et à la barbe de mes voisins. Plus de bretelle visible sous mon pull mais une grosse envie de continuer mon show même si mes voisins den face quittaient le banc, le garçon visiblement doublement chagriné de ne pas pouvoir rester plus longtemps.

Je me suis levée profitant de labsence de voisin trop proches pour me mettre derrière le banc, debout, le sac posé sur le banc, masquant une partie de mon corps coincé entre le banc et une haie verdoyante. Contrairement à hier où mes deux mains pouvaient agir, aujourdhui, je nai pu user que dune main : glissant par la fente, jai saisi entre trois doigts le latex de mon slip pour le faire glisser. Je me suis retrouvée dans une situation superbement inconfortable, le slip à mi-cuisses dun côté, visible par la fente, et de lautre, un latex qui se tendait mais ne venait pas, mobligeant à me pencher comme pour mieux me dissimuler, regardant dans le sac et incrustant ma main à lopposé de louverture de ma jupe pour arracher le latex de sa sur épidermique.

Le slip tomba sur mes chevilles jonchées sur des talons de taille honorable pour la circonstance. Jai extrait mes pieds du slip et lai ensuite ramassé. Il était couvert de sable si bien que je profitai dune fontaine voisine de dix mètres pour aller le rincer à leau glacée avant de le ranger humide dans un sac plastique à lintérieur de mon sac où javais déjà mis mon soutien-gorge.

Dans un autre pochon, mes boules de geishas, les plus grosses, et un autre ensemble de lingerie, toujours sombre, gris anthracite, en satin celui-ci. Je le mettrai plus tard. Pour linstant, je regagnai mon banc où, comme cest étonnant, le jeune garçon était revenu sasseoir, seul. Il avait sans doute raccompagné sa copine au métro avant de revenir me voir. Bonne idée. Ça me motivait !

Cette fois-ci, il sétait placé du côté du banc lui permettant dêtre dans laxe de mes jambes. Enfin, à peu près. Pas suffisamment pour quil voit à quel point ma jupe était fendue. Alors jeus pitié de lui et de mon envie en masseyant de travers, de manière à ce que son trouble augmente.

Quand je le jugeai à point, jai totalement changé doption puisque je montrai désormais le côté fermé et tendu de ma jupe. Je repoussai mon sac au bord du banc après avoir pris en main lobjet de mon défi : les boules. Trop grosses pour que ma main ne les cache totalement, elles nétaient pas du bon côté de lallée mais du côté de la fente. Je massis de manière à prendre appui sur mon sac et à allonger mes jambes sur le banc.

La jambe gauche repliée, la chaussure prenant appui sur le banc, jaffichais comme une montagne ma cuisse blanche aux yeux du gamin visiblement plus captivé par moi que par son magazine. Ce quil ne pouvait soupçonner, cest quen faisant semblant de lire, le bouquin en main droite, la main appuyée contre mon bas ventre, cest que sa sur jumelle elle glissait sous la jupe pour glisser en moi la première boule. Oh ce ne fut pas simple. Loin de là. Dailleurs, je dus temporairement éloigner la jambe gauche de sa voisine pour achever daccomplir le geste, la boule refusait en effet de franchir le pas. Jétais stressée. Je maitrisais mal lenvironnement public. Le garçon ne pouvait pas me voir, mais ce nétait pas le cas des passants de lallée qui dominait la nôtre. Et je ne pouvais plus marrêter en chemin et partir ainsi, une boule qui se balançait entre mes cuisses.

Jai pris mon temps. Javais le visage en sueur tout en étant à lombre. Javais ressorti ma main pour la replacer entre mes cuisses pour linsertion de la seconde qui fut plus aisée.

Je rassemblai mes affaires après mêtre relevée, emplie de ces étranges boules, la main odorante et poisseuse que jallai nettoyer à la fontaine. Dès les premiers pas, je savais que me rendre au parc Montsouris et traverser tout Paris avec cette présence vibrante et de large diamètre en moi serait un délicieux supplice.

En particulier dans le métro qui remue sans cesse, lieu incessant de vibrations incontrôlables que je ressentais dix fois plus que tous les autres voyageurs. Au point de ne pas prêter attention aux regards qui maintenant admiraient un décolleté vierge et des tétons durcis par lexcitation que je devinais gênée et fière sous le coton trop souple et ajusté.

Parc Montsouris. Parc historiquement proche des buttes chaumont. Géographiquement opposé.

Je devais retrouver mes dessous. Je regrettais de ne pas avoir fait de promenade en barque aux buttes chaumont. Je mimaginais montrer mon entrejambe au barreur et la ficelle qui disparaît en moi.

Réalité : je navais pas le courage de me remettre en place ma lingerie dans une allée.

Je me suis cachée. Ce parc est plein de cachettes. Mais je nai pas pris les plus sombres ou les plus discrètes. Jai juste limité lexcès. Parce quil faut que le jeu reste réaliste. Allongée dans lherbe, sur une pente, éloignée des passants situés cinquante mètres en contre-bras et protégée par la végétation de lallée qui me surplombait, je remis mon soutien-gorge comme je lavais enlevé, mais en faisant disparaître les deux bras en même temps sous le coton et en soulevant larrière du pull pour agrafer le satin. Un superbe balconnet qui me fait une poitrine magnifique et dévoile mon grain de beauté fétiche aux yeux indiscrets.

Je me suis reposée une bonne heure dans lherbe avant dachever ma tâche : jétais détendue, au calme, personne ne mavait dérangé durant la dernière heure, alors jai simplement déboutonné les cinq boutons qui ornaient ma hanche gauche pour ouvrir ma jupe.

Assise, les jambes recroquevillées vers moi, je glissai ma main sous ma cuisse pour atteindre mon sexe, me caresser un peu avant de tirer sur la ficelle pour extraire la boule. Cétait trop bon. Je lai réintroduite en moi avant de recommencer et dextraire la deuxième.

Elles portaient mon parfum. Elles avaient mon goût. Je les ai léchées au creux de mes deux mains avant de les ranger. Jai glissé mon slip en satin le long de mes jambes, puis me suis relevée pour ajuster la matière sur moi, la jupe au sol. Jétais à moitié nue. Je lai ramassée lentement avant de la boutonner sur moi. Jétais bien. Ravie. Mon devoir accompli. Je pouvais rentrer chez moi.

Vendredi 30 avril 2013

Je peux dire que je conclue en beauté le mois davril. Tout dabord un petit rappel sur mes jeux dexhibition dhier soir. Objectif : faire réfléchir Florence à qui je suis réellement.

Acte 1 Je suis allée voir Florence qui regardait un film pendant cinq minutes, en tee shirt, culotte, soutien-gorge avec le plug en métal entre les fesses et les petites boules de geisha en moi.

Verdict : elle na rien remarqué de spécial

Acte 2 Sans soutien-gorge, après avoir porté les pinces à poids quelques minutes, jy suis retournée pour lui poser une question : javais retiré ma culotte et changé de jouets. Entre mes fesses, le plug en latex de taille moyenne qui nest pas très discret, et les grosses boules de geisha en moi, avec une ficelle en coton de dix centimètres qui pend au dehors de ma chatte. Le tee shirt à la bonne hauteur pour dissimuler, je me suis accroupie à côté delle pour lui demander si elle sortait demain soir.

Verdict : rien de spécial sauf quen magenouillant, jai senti le plug glisser hors de moi mobligeant à une opération sauvetage, le bras dans le dos, poussant dun doigt le plug pour quil revienne en place avant que je ne me relève.

Acte 3 Jai envie de briser les tabous. Ça mamuse énormément : jai retiré mon tee-shirt et suis retournée à côté, passant juste à côté du canapé où elle était allongée pour prendre un bouquin dans la bibliothèque.

Verdict : avec la lumière tamisée, il est possible quelle ait vu le plug entre mes fesses, mais ce nétait pas certain.

Acte 4 Cinq minutes à peine après ma dernière apparition, jy suis retournée avec le tee-shirt mais pincée et lestées aux seins. Je suis restée devant la bibliothèque pendant une bonne minute, elle me voyait de profil : ma silhouette ne pouvait pas ne pas être différente. Jai finalement demandé où était rangé mon dictionnaire danglais et, comment il était tout en haut, elle est venue lattraper pour moi, énervée dêtre encore dérangée pendant son film.

Verdict : pour corser encore le jeu, je lui ai demandé si elle navait pas froid en précisant que je ne savais plus comment mhabiller afin quelle remarque bien les changements sur moi.

Acte 5 Un bon moment après, jai fait une dernière intrusion dans le salon, sans le tee shirt, sans les pinces, mais les mamelons écrasés par elles et la peau rougie autour des auréoles. Je navais plus le plug en moi mais les petites boules entre les fesses et toujours les grosses en moi. Deux ficelles pour le prix dune, même si celle derrière est assez courte et se remarque à peine.

Jai repris le prétexte de la bibliothèque et lui ai demandé si elle pouvait mattraper un recueil de nouvelles anglaises que je savais tout en haut, du coup, je me suis presque collée à elle, pour quelle ne puisse pas voir mes jambes, mais par contre, admirer mes seins masochistement modifiés.

Verdict : elle a regardé ma poitrine en me donnant le bouquin et ma demandé ce que je faisais avec ces bouquins à une heure pareille : je sais quelle na pas cru que je travaillais. Jen suis certaine.

Ainsi, Florence a de quoi réfléchir sur sa colocataire.

Excitée, ne trouvant pas le sommeil, jai joué. Jai voulu avoir mal. Comme parfois cela marrive. Alors je me suis laissée aller. Je me souviens avoir regardé lheure : 1H40.

Barre décartement aux chevilles, cagoule en latex, baillon gonflé modérément, plug gonflable entre les fesses confortablement calé, jai posé sur mes mamelons mes pinces les plus dures, en retirant les protections en plastique. Pince crocodile à même la chair. Je gémissais. Javais déjà mal. Puis je me suis habituée. Je savais ou je voulais en venir.

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