Attachée les mains dans le dos comme maman, nous fûmes poussées jusqu?au réfectoire où Mme B ayant les clés, nous fit entrer. Maman faisait peine à voir, elle avait les yeux rougis par les larmes, les traits tirés et le fait d?être nue, juste avec ses dim-up et ses chaussures à talons hauts ne la mettait pas en position de supériorité. Mme B et les filles nous firent asseoir, préparèrent un bon repas puis on nous donna à manger comme à des enfants, de peur que l?on se serve des couteaux. Mme B déboucha une bonne bouteille de vin de sa réserve personnelle et tout le monde mangea et but à satiété.
A la fin du repas, Mme B nous entraîna dans sa chambre au 1er étage où nous fûmes détachées, au milieu de la pièce trônait un énorme lit de 2 mètres sur 2. Maman fut poussée dans la salle d?eau où les filles lui rasèrent le sexe puis elle réapparut, toujours en dim-up avec la chatte aussi lisse qu?une petite fille. Mm B sembla apprécier car elle prit maman par la main, l?attira à elle et la força à l?embrasser; au début, j?ai vu ma mère qui résistait et ne voulait pas desserrer les lèvres, aussi Mme B lui pinça un téton; maman ouvrit la bouche pour crier et Mme B en profita pour investir sa bouche avec sa langue. Maman dut malgré elle rouler une pelle à ma directrice pendant quelques minutes avant d?être poussée sur le lit où Mme B s?installa entre ses cuisses et commença à lui lécher sa chatte imberbe. Maman se débattait mollement et Mme B savait y faire, elle lui écarta les petites lèvres et s?empara de son clitoris avec le bout de sa langue, elle l?aspira, le tourna entre ses lèvres et maman gémit de plus en plus fort jusqu?à crier après quoi Mme B enfila un gode ceinture et pénétra ma mère qui couina de plus belle. La chevauchant, la directrice dit:
?Alors Monique… Tu révises ton jugement sur les lesbiennes… Tu aimes ça n?est ce pas?… On va te faire jouir fais-moi confiance… On va t?en donner; des orgasmes…?
Là-dessus, elle attrapa maman par les hanches et se mit à la défoncer en poussant de petits cris puis elle s?allongea sur le dos, gode dressé à la verticale; Laurence et Julie attrapèrent ma mère qui se débattit avec violence, elles prirent alors une paire de menottes et lui attachèrent les poignets dans le dos puis se saisirent d?elle sous les cuisses et les bras et en lui faisant tourner le dos à Mme B, la descendirent pour l?empaler par l?anus sur la fausse bite. Maman fit la grimace et demanda encore une fois de la laisser mais les 2 filles rigolèrent et la firent descendre jusqu?à ce que le gode fut entré complètement dans son cul. Elles la levèrent un peu puis la lâchèrent et ainsi de suite, jusqu?à ce que le gode coulisse parfaitement, puis placèrent les jambes de maman de chaque côté de Mme B et cette dernière put imprimer sa propre cadence à ma mère qui sautait sur la bite artificielle. Laurence prit un caméscope et se mit à filmer toute la scène, se rapprochant pour avoir des gros plans. Quand maman cria, Julie se positionna devant elle, lui releva les jambes en les écartant et la pénétra dans son minou rasé. Après quelques va et vient, maman se mit à délirer, tant son orgasme par cette 1ère double pénétration était intense:
?Ooooohhhhh mon dieu…. Arrêtez… Nooonnnn… S?il vous plait… Aaaahhh, je jouiiiis…?
Je n?en revenais pas d?entendre ma mère et Coralie qui était en train de me sodomiser jusque là eut l?idée de me faire enfiler un gode ceinture; elle demanda à Julie de me laisser sa place et je dus pénétrer ma propre mère qui se remit à jouir comme jamais. M?empoignant par les cheveux, Coralie me pencha en avant afin que je roule une pelle à ma mère qui, malgré elle, se laissa faire. Une bonne heure plus tard et après avoir changés plusieurs fois de place, maman s?endormit dans les bras de Mme B qui nous demanda de toutes nous coucher dans son grand lit. Quelques caresses plus tard, nous plongeâmes dans un sommeil réparateur jusqu?au lendemain qui allait être encore plus corsé…