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un petit handicap – Chapitre 1

un petit handicap - Chapitre 1



Nous tenons a vous faire partager notre expérience et comment nous avons réussi à vaincre le handicap de mon Jean mon mari.

Jean et moi sommes tous les deux divorcé lorsque nous nous sommes rencontrés, cela fut un réel coup de foudre nous avions tous les deux la 45 ans, de grands enfants qui ne vivaient plus chez nous, en gros tous pour être heureux.

Seulement de suite nous fumes confrontés à un problème, Jean possède un micropénis (3cm en érection), cela ne lempêche pas dêtre un formidable amant doux, tendre, attentionné.

Vu son handicap il sait comme personne donner du plaisir avec sa langue et ses doigts, on savait tous les deux quil nous manquait quelques choses lors de nos ébats amoureux.

Après en avoir discuter, nous avons fait quelques achats sur un sexe shop en ligne, vibromasseur et un gode creux que Jean pourrait enfiler pour me prendre, même si cela changea un peu notre façon de faire lamour, cela fut plus source de fou rire que de nirvana.

Un jours ou nous étions en vacances dans le sud, Jean venait de me faire lamour, alors que nous nous désaltérions sur le balcon de notre chambre il me révéla avoir trouver une solution a notre problème, je tentais den apprendre plus mais il refusa me demandant de lui accorder ma confiance.

Évidement que je lui fais confiance les yeux fermés à mon Jean.

Cest un soir chez Jean, on venait de dîner nous prenions un petit digestif au salon, jétais assise sur ses genoux et nous échangions baisers et caresses. Jean faisait monter petit a petit mon excitation ce quil maîtrise très bien, faut vous avouer quil suffit de me caresser la poitrine pour me déclencher une folle envie de jouir. Je savais que sétait ce soir que Jean voulait me faire partager sa découverte alors lorsquil se leva et quil me banda les yeux à laide dun large bandeau jétais encore plus exciter que dhabitude.

Il me fit attendre quelques instants au milieu du salon, puis après avoir mit une musique douce, il est revenu vers moi et a recommencé à me caresser en me chuchotant au creux de loreille, il empoignait ma poitrine généreuse (95 D) à pleines mains il me pinçait les tétons jusqu’à me faire fuir cette attention douloureuse.

Jétais trempé denvie et de désir, ce dont il saperçu lorsquil passa sa main entre mes cuisses. Jean fit glisser ma culotte en sagenouillant entre mes jambes, je les écartais pour quil puisse me bouffer la chatte le plus goulûment possible mais il nen fut rien.

Il se releva, posa sa main sur mes épaules et dune légère pression me fit comprendre quil souhaitait que je me mette à genoux sur le fauteuil les mains en appui sur le dossier.

Jean narrêtait pas de me parler et lorsquil mannonça que ce soir il allait me prendre avec son sexe, je ne pouvais quabonder dans son sens et je me cambrais encore plus pour le recevoir.

Je sentis son gland écarter mes lèvres humides et linstant daprès une colonne de chair chaude prendre possession de moi, je fus bien évidement surpris et troublé. Comment Jean pouvait il ?

Jentendais ses mots, répondais à ses questions. Oui cétait bon, Oui jaimais cela, Oui jallais jouir, Oui je voulais encore et plus fort.

Cela faisait tellement longtemps que je navais pas ressentit ces sensations quil ne me fallut pas longtemps pour jouir. Je meffondrais sur le fauteuil et alors que javais toujours ce sexe en moi, Jean me prit le visage a deux mains posa un baiser gourmand sur mes lèvres avant de glisser prêt de mon oreille et de me demander de le sucer.

Par ce geste il savait que je ne pouvais ignorer ce qui venait de se passer, lhomme sortit son sexe et une fois fait le tour du fauteuil me le présenta.

Je le prit en main, le caressais et le prit en bouche, je le suçais et le branlais en même temps, jentendais Jean me dire que cela était bon, quil aimait mes caresses, quil allait jouir.

Jaccélérais ma fellation et reçus à la fois du sperme en bouche et sur la joue en même temps, cela faillit me faire vomir tellement il y en avait.

Ne voulant avaler, je gardais la bouche ouverte et recrachais tous dans mes mains.

Jean maida à rejoindre le cabinet de toilette du rez-de-chaussée puis retourna au salon.

Une fois avoir remis un peu dordre dans ma tenue et mêtre débarbouiller je retournais au salon celui si était vide à ma grande surprise, comme la baie vitrée était ouverte je mavançais sur la terrasse. Je vis Jean au portillon et une silhouette disparaître dans la rue, lorsquil se retourna et quil revint vers moi il arborait un large sourire au quelle je ne manquais pas de répondre.

Nous avons filé direct dans la chambre et avons repris nos caresses.

Depuis ce jours nous recevons régulièrement le concours dhommes bien membrés qui viennent suppléé Jean lors de nos ébats.

Nous avons surmontés ensemble cette handicap et cela a renforcer encore plus notre couple.

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