Jérémy et Laura, sa mère
(Un grand classique des récits érotiques revisité par Phantome)
Chapitre 1: Surpris par son père, pris par sa mère.
Jérémy tremble dans le placard, de peur ou d’impatience, car il attend ce moment depuis que son père a annoncé qu’il partait par avion ce soir.
Son Père à l’habitude, avant de partir pour un long déplacement d’entrainer sa femme dans la chambre et de faire l’amour avec sa mère une dernière fois avant de partir.
Bien sûr, Jérémy n’a pas idée de ce qu’il arriverait s’il était pris, caché dans leur chambre, alors qu’ils sont en train de baiser mais il a tellement envie de les mâter qu’il attend malgré les risques.
Ce qui est certain c’est qu’il se ferait engueuler et prendrait peut être une bonne raclée mais il sait aussi que ses parents seraient drôlement embarrassé de savoir qu’il est là et qu’il va voir son père enfoncer sa bite dans la chatte de sa mère.
Mais c’est de son âge, il a plus de 17 ans et ses pulsions sexuelles sont de plus en plus fréquentes. Si encore sa mère était une grosse vache vielle et ridée il n’aurait pas des idées aussi salaces mais ce n’est pas le cas.
Laura, sa mère, est belle et depuis un certain temps il n’arrête pas de penser à ce qui est caché sous sa jupe et la forme de son
cul lisse et ferme sous un pantalon serré lui monte à la tête et le fait bander immédiatement. Ses seins Ah, ses seins ; Jérémy caresse sa bite endolori et sourit aux images qui passent dans sa tète, ses seins qui rebondissent quand elle marche, à ces gros melons si excitants sous une robe légère. Laura ne porte jamais de soutien-gorge. Il a souvent vu ce sillon qui sépare ces 2 masses de chair et parfois il a eu l’occasion d’apercevoir la vallée d’or brun foncé qui sépare ses belles cuisses.
Jérémy se tend quand il entend la porte de la chambre s’ouvrir et espère qu’aucun d’entre eux ne remarquera la porte de placard entrebâillée. Il voit sa mère entrer dans la pièce, se déplaçant avec son balancement des hanches si particulier que tous les hommes la regardent quand elle marche.
Il retient son souffle quand il voit que le devant de sa robe est déjà ouvert, et qu’il entend le doux bruit que font ses cuisses quand elles frottent l’une contre l’autre.
Jérémy vois aussi furtivement son pubis recouvert de poils dorés. Ses pulsions inavouables réapparaissent dans sa tête et la bouche sèche, il regarde sa mère s’étendre sur le lit après avoir retirer sa robe.
Du coup, Jérémy est à peine conscient que son père vient dentrer dans la chambre tellement étourdis par le spectacle de sa maman si belle et magnifiquement nue. Son corps tout entier illumine la pièce comme une statue de jade, sous un projecteur, poli avec amour par la plus douce des toiles et, sa belle chair étincelante de santé reflète déjà ce feu intérieur si spécial qu’est le désir. Il regarde en levant ses yeux l’arrondi de ses superbes seins, ces collines luxuriantes de peau crémeuse, ces tétons érectiles sur ses mamelons rose sombre.
Le ventre de sa mère est à peine arrondi encadré par des hanches d’une courbe vénusienne et son entre jambe laisse apparaitre le renflement de son pubis, antre secret et interdit couvert de fines boucle d’or masquant des profondeurs plus intimes.
En transe, osant à peine respirer, Jérémy regarde avidement la perfection du magnifique corps de sa mère et cette chatte attirante qui semble ondulée sous la lumière lui laissant entrevoir une fente rose clair bordée par les grandes lèvres de sa chatte.
Elle est belle, sensuelle, nue et désirable, et elle est sur le point de se faire baiser.
Jérémy serre dans sa main sa bite dure alors quil regarde son père qui savance vers sa mère qui écarte doucement ses cuisses.
Jean, son père, sapproche de sa mère, la bite sortie, rigide et ériger attirer par la chaleur du ventre de sa femme. Elle est magnifique les
seins légèrement aplatis et elle soulève ses reins en écartant encore plus ses jambes.
Jérémy commence à manquer dair dans son placard quand il voit les mains de son père prendre les fesses de sa mère et quil la tire vers lui pour frotter son gland de haut en bas de son ventre de satin.
Il tombe à coté delle et ils commencent à se caresser.
Dans le placard, Jérémy se retient pour ne pas se branler quand il voit les doigts de sa mère enserrer la queue rigide de son père alors que lui, enfonce doucement les siens dans sa chatte en écartant les poils brillants de son pubis.
Jérémy à envie de lui demander :
— Est-ce chaud et juteux contre la paume de ta main.
La chatte de sa mère tremble comme si elle avait sa propre vie et ne réagissait quà la caresse de cette main curieuse.
Avec bonheur il voit sa mère se mettre sur le dos et attraper ses jambes par le pli arrière des genoux pour les tirer sur sa poitrine les cuisses toujours bien écartées car il voit maintenant sa chatte qui est entrouverte bordée de ses lèvres roses foncé. Mais la vue est furtive car son père rampe entre ses cuisses.
Jérémy ose entrebâiller un peu plus la porte du placard pour mieux voir la tête luisante de la bite de son père se positionner entre les deux grande lèvres du sexe de sa mère.
Son père a une jolie bite, pensa-t-il. Elle nest pas aussi longue et aussi épaisse que la sienne, mais sa mère semble être très heureuse
avec elle. Elle sagite avec impatience quand le gland écarte ses lèvres labiales déjà humides par son excitation et avance même son cul vers elle pour la sentir pénétrer dans son tunnel ruisselant.
Le temps est suspendu quand le gland senfonce dans sa belle chatte et pénètre dans les profondeurs secrètes de Laura qui se tortille béatement pour quil s’installe dans son fourreau de soie quest son torride vagin. Cm par cm la queue de son père glisse sans hésitation dans élégante chatte jusqu’à ce qu’elle disparaisse complètement de sa vue,
et que les poils de son père se mêlent avec ceux de sa mère qui soulève encore plus son cul. Il entend sa mère gémir et dire :
— Oh, mon chéri, cest si bon de sentir ta belle bite bien dure dans mon ventre. Vas-y, prend moi ! Enfonce-toi bien à fond ! Baise-moi mon amour. Jaime vraiment baiser et ta bite me fait toujours autant de bien ! Oooh, Jean, Jean… jaime quand tu vas et vient et quand tu frotte ton gland dans le haut de ma chatte.
— Jérémy frémit de désir. C’était le genre de d’audio sexy qu’il entend à travers la paroi de leur chambre quand il colle son oreille dessus. Ces mots qui sortent de la bouche de sa mère quand elle danse sur la bite de son père.
Maintenant il entend et il voit! Son père rentre et sort sa bite de plus en plus vite et de plus en plus fort dans le corps de sa mère, dans cette chatte qui doit être brulante car sa mère arque son dos, ses hanches se soulèvent pour mieux avaler le sexe de son père au plus profond de sa chatte juteuse. Maintenant Jérémy entend bien les clapotis que la bite de Papa fait quand elle plonge dans son vagin très humide. On dirait que sa chatte suce la queue de son père! C’est le plus excitant des sons dans le monde.
— Ma chérie! Quelque soit les chattes que j’ai eu l’occasion de gouter, la tienne est la meilleure de toutes! Elle est étroite, chaude et j’aime faire des baises sauvage avec toi. Laura, mon amour, j’ai envie de t’emmener avec moi à chaque voyage, comme ça j’aurais ta fabuleuse chatte à porter de ma bouche et de ma bite à tout instant.
Jérémy regarde avec envie le cul de sa mère qui ondule sous la queue de son père et il la voit soulever ses longues jambes souples pour les poser sur les épaules de son mari, en appui sur ses omoplates, haletante sous les coups de piston de la queue de son père.
— Alors tu ne pourrais plus savourer les jeunes femmes que tu rencontrerais dans ce cas ! Je ne voudrais pas te priver de ce genre de nouvelles choses, mon amour.
Jérémy cligne des yeux étonné! Sa mère dit à son père qu’elle sait qu’il baise avec d’autres femmes et en plus elle approuve! Non de Dieu ça veut dire quoi!
Mais son esprit est vite ramené au présent car sa mère en prend plein la chatte et commence à grogner de plus en plus fort.
La bite de son père plongeait d’une façon voluptueuse dans la chatte enchantée de sa maman.
— Oh mon cur, grogne Jean. Je voudrais te baiser encore longtemps mais il ne faut pas que je loupe mon avion. Ne te venge pas sur un de nos voisins en particulier avec les hommes mariés.
— Enfonce-toi bien Jean, siffle Laura en plaquant sa chatte contre l’entrejambe de son mari. Colle ta queue contre mon utérus! Je veux la sentir me frapper! Oooh ! Chéri ouiiiii comme ça! C’est formidable ! Aaaahhhhh mon amour jevieeennns! Ouiiiii je jouiiiisssss!
Jérémy serre son poing autour de sa queue torturée par cette vision et les cris de sa mère et il voit son père se retirer pour se renfoncer brutalement dans cet antre en ébullition. Les couilles de Jean semblent tourner et sauter en l’air et Jérémy se rend compte que son père lui aussi est entrain de jouir à l’intérieur de la chatte magique de sa maman.
Et il se demande comment ce serait si, au lieu de son père, c’était lui qui giclait dans cette gaine bouillonnante, dans la chatte de sa maman alors qu’elle gémirait en recevant son foutre chaud tout en continuant à s’agiter pour mieux le sentir.
Aujourd’hui ils n’ont pas baisé aussi longtemps qu’ils le font habituellement ; la plupart du temps, ils restent collés une heure ou deux, s’excitant mutuellement en jouant avec leurs corps et se disant des choses que Jérémy n’entend pas toujours.
Néanmoins il est très heureux d’avoir vu cela, enfin, mais il est aussi un peu déçu, parce que çà c’est vite terminé parce que son vieux père (15 ans de plus que sa mère) comme il l’appelle parfois doit prendre l’avion.
Jérémy soupire mais garde ses yeux fixés sur eux qui sont encore sur le lit toujours verrouillés l’un dans l’autre. Il se met à caresser sa queue tellement tendue qu’elle est douloureuse et il se branle en se demandant ou il pourrait bien déposer sa charge de sperme. Il pourrait se laisser aller dans un des chaussons de maman, en espérant qu’elle ne les mettrait pas d’ici quelques jours, au moins jusqu’à ce que son sperme soit séché.
Il ralenti sa branlette car son père vient de sortir son sexe du vagin détrempé de sa mère.
Du gland de la bite de Jean coule encore quelques goutes de sperme qui s’étirent en fils brillants en tombant sur les lèvres rougies et gonflées de sa chatte qui palpitent encore.
— C’est toujours fantastique de baiser avec toi et peut-être qu’un jour, je n’aurai plus à partir aussi souvent pour faire marcher cette société.
Laura assise, ses seins lourds se balançant légèrement avec ses tétons encore dur te terriblement excitant, séduisante avec son ventre brillant de sueur dorée sur son ventre semble songeuse puis dit:
— En parlant d’homme marié, t’as raison. Je n’aurais jamais pensé que Juliette obtiendrait le divorce parce que j’ai baisé avec son mari juste 2 ou 3 fois! Et elle aurait pu le faire sans mentionner tous nos noms dans les documents.
Jean caresse la chatte humide de sa femme.
— Tu sais, mon bébé d’amour, que je suis prêt à tout pour satisfaire tes besoins en sexe et je pense que j’ai la solution. Ça va peut être te surprendre mais pas trop je l’espère. Et n’oublie pas que se sera beaucoup plus facile pour moi de te laisser seule à la maison, connaissant ta frénésie de sexe, si c’est moi qui les contrôle.
Pendant que son père parle, Jérémy ralenti la caresse de sa main sur sa queue dure et excitée et se demande si sa mère couche avec des gars du quartier et c’est peut-être pour ça qu’elle l’envoyait voir des films dans l’après-midi.
La tête de Jérémy lui tourne un peu. C’est bizarre d’entendre sa mère dire qu’elle accepte que son papa baise des oies blanches quand il est en déplacement et encore plus troublant d’entendre son père proposer à sa mère une solution pour se faire baiser!
Il s’est bien rendu compte que ses parents sont très libéraux sur les sujets portant sur les couples mais il n’avait pas inclus aussi "sur le sexe".
Maintenant sa queue est au bord de l’explosion et il serre la base de sa bite pour l’étouffer et il prend une profonde respiration pour se stabiliser.
Les yeux fixés dans la chambre par l’entrebâillement de la porte de placard il voit son père se lever se qui lui permet de voir en entier le corps nu de sa mère couchée dans une position sensuelle digne d’un peintre romantique avec ses gros seins, son ventre plat et la butte magique de sa vulve avec ses lèvres gonflée encore ouverte, qui vient d’être baisée et dégoulinante du jus qu’elle vient de recevoir.
Sa vision est brutalement coupée par l’ombre du corps nu de son père. Jean s’approche du placard et Jérémy tante de se cacher parmi les vêtements au cas où.
Lorsque la porte s’ouvre, le cur de Jérémy martèle sa poitrine comme un tambour devenu fou, et par réflexe, pris de panique, il tire un vêtement autour de son corps. Inondé de lumière, enroulé en boule il n’y a aucun véritable endroit pour se cacher. Il pourrait courir mais son corps tremble. Une main l’attrape par le col et le sort du placard.
Les yeux fermés et tremblant, il attend la gifle cinglante de cette grosse main, mais le pire c’est sa honte d’avoir été découvert.
— Tiens tiens Qui voila? Viens par là et n’est pas peur, rien ne va t’arriver rien de mauvais, en tout cas!
La voix choquée de Laura venant de la chambre:
— Jean! Qu’est ce qu’il fait là! Comment as-tu deviné?
Jérémy se sent amené sur le lit où il reste lamentablement prostré les yeux toujours fermés.
Son père dit,
— Il a peur dans sa tête mais regarde l’engin de ton garçon. Même effrayé il bande comme un cheval. Qu’elle bite! Comment J’ai devinéJ’ai vu la porte du placard ouverte et je l’ai entendu gémir. En outre, j’ai vu Jérémy se branler l’autre jour, quand tu étais dans la salle de bain avec la porte entrouvert et j’ai été sacrément surpris par la taille de son sexe!
Jérémy sent sa bite rétrécir et se plier sur elle-même alors qu’il y a seulement une minute auparavant elle était prête à cracher son jus tellement il était excité. Maintenant elle se ratatine en rampant sur son ventre.
Sa mère dit doucement,
— Waouh, je n’aurais jamais pensé que la bistouquette de mon fils pouvait devenir aussi grande. Bon! Et toi Jean, Qu’avais-tu à en tête qu’en tu me disais avoir une solution pour m’éviter des ennuis avec les voisins ? Tu ne veux quand même pas me proposer mon propre fils ?
— Pourquoi pas, bébé ? Regarde comment ce pauvre garçon tremble avec sa biroute qui frémit encore. Et combien de courage il lui a fallu pour se cacher dans le placard et nous regarder baiser! Il devait être tellement excité qu’il maudit celui qui l’arrache du placard avant qu’il n’est eu le temps de juter comme un jeune puceau qui mate sa maman si désirable à poils. Personne ne peut lui en vouloir pour cela.
Jérémy envisage de faire rapidement une sortie par la porte, mais il sait que son père aura vite fait de le rattraper. En outre, la conversation ne se déroule pas comme il le pensait et ne comprend pas très bien ou son père veut en venir.
Sa mère dit doucement,
— pourquoi " pauvre garçon"Je pense que c’est de son âge d’avoir des relations sexuelles. Il me semble, Jean, que tu as une excellente idée.
— Tel que je te connais, je pensais bien que tu verrais ça d’un bon il. Répond Jean en riant, surtout quand tu as aperçu le bel outil de ton grand fils. Mais arrêtons de parler de Jérémy comme si il était un morceau de viande à déguster.
— Jérémy, qu’en penses-tu? Es-tu prêt pour ça? Penses- tu que tu pourrais satisfaire tous les besoins de cette femme passionnée, alors que je suis en déplacement afin qu’elle n’aille pas se mettre dans le pétrin en allant voir dehors?
Jérémy bas des paupières et avale sa salive pour essayer de dire quelque chose mais aucun mot ne sort et sa mère dit;
— Nous sommes entrain de l’effrayer à mort. Viens là mon petit chéri couche toi à coté de moi, et blottis-toi dans mes bras. Ouiiii là, comme ça mon bébé.
Jérémy sent la douceur merveilleuse et parfumée du corps nu de sa mère
contre son propre corps et que ses mains repousse la robe qu’elle avait reposée sur elle pour les poser sur sa peau. Son corps est à ce moment là, traversé par un violent choc électrique.
Ses mains caressent ses épaules, son dos, et son souffle est sensuelle contre sa joue. Jérémy peut sentir la merveille poitrine de sa mère contre sa peau, le miracle de ses mamelons durs frottant contre sa chair tremblante. Oui il tremble et ne peux pas se maitriser, même lorsque son ventre délicieusement bombé est venu glisser contre le sien, même lorsque la toison humide et les poils frisés et soyeux de son pubis ont touché sa cuisse.
Tous les rêves érotiques de Jérémy réapparaissent tout d’un coup, car chose incroyable, ils sont maintenant réels! Il reste immobile, encore sous le choc, et malgré la mollesse traîtresse de sa queue il savoure cet instant magique craignant qu’il ne s’évapore. Des images érotiques défilent dans sa tête et son corps tremble qu’en il imagine une suite délicieuse a ce rêve éveillé.
Sa mère l’embrasse tendrement sur la joue puis ses lèvres frôlent les siennes et un bout de langue les caresses sensuellement. Sa mère lui aspire avidement ses lèvres pour ensuite lui lancer comme une flèche sa langue humide et chaude dans sa bouche et happer la sienne dans un baiser passionné. Ses dents heurtent les siennes, et les bras de Jérémy viennent dans un reflexe entourer le mince et long corps nu si excitant de Laura.
— Viens ici, lui dit son père. Oui comme ça. Soulève un peu ses jambes et mets-toi entres-elles. N’est-ce pas mieux ainsi ? Ne vous inquiétez pas ma douce amie, sa queue n’est pas bien dure mais elle va rapidement retrouver sa raideur précédente. Avance-toi contre sa chatte douce et chaude Ouais, comme ça. »
Jérémy est entre les cuisses de satin de sa mère, haletant devant la beauté de ses jambes élancées, sous le charme de la fente de sa chatte magnifique, interdite, tabou, jusqu’a présent mais plus maintenant. Sa bite commence à se soulever lentement, et il ose porter ses mains sur les globes des seins lourds de sa mère. Il les prend en mains et sens les tétons érectiles de ses mamelons roses palpiter contre ses paumes, et Jérémy les presse doucement.
— Ouii, mon petit chéri, joue avec eux. Presse-les vers le bas et laisse-les rebondir, empoigne-les et fait ce que tu veux avecembrasse-les, suce-les! Ils sont de nouveau à toi comme quand tu étais petit bébé.
Jérémy embrasse la vallée crémeuse de sa gorge et glissé sa bouche plus bas à la recherche de la tétine de son enfance. Les lèvres tremblantes, il embrasse l’un des mamelons si attirant, puis lèche ce bouton rose. Puis, avidement, il attrape de ses lèvres ce long et dur téton et béatement l’aspire et le presse comme quand il était bébé.
— Chérie! Regarde cette queue qui est en pleine croissance, dit son père. Je n’en reviens pas encore de la taille que prend sa bite! Bébé cette énorme queue va te tenir occupée pas mal de temps et tu ne trouveras pas mieux dans les alentours!
Jérémy sens bien son sexe gonfler et s’allonger pour presque atteindre sa longueur hors norme. Lentement il frotte le nombril de sa mère avec le bout de sa belle bite et puis redescend pour caresser sa vulve en tournant autour.
Il n’a plus peur et même, si il a observé la façon dont son vieux père a poussé son pénis dans la fantastique chatte de sa maman, Jérémy n’est pas encore sûr de bien si prendre.
Il avance un peu son cul et glisse son gland en ébullitions dans la fourrure palpitante des poils pubiens. Maintenant sa mère halète fortement et ses hanches se déplacent en arrière dans un mouvement ondulatoire si sensuel et provocant, qu’il est déstabilisé et rend plus difficile son introduction dans sa chatte.
Jérémy hésite encore quand il sent des doigts s’enrouler autour de la racine de son pieu et il se rend vaguement compte que c’est son père qui vient de prendre sa queue pour guider avec enthousiasme son gland dans la fente merveilleusement juteuse de la chatte de sa mère. Il a l’impression que les lèvres humides de sa chatte voluptueuse lui donnent un baiser. Elles sont chaudes, glissantes et élastique, comme une petite bouche avide et excitée entourée de cheveux.
Jérémy grogne de plaisir quand il sent son gland écarter les petites lèvres et enfin pénétrer dans cette grotte interdite. Son père lache sa bite et dit:
— Là! Tu y es! A toi de jouer maintenant. Donne a ta maman une bonne et longue baise. Moi je vais prendre ma douche et foutre le camp car je vais finir par manquer mon avion. J’aurais bien aimer restez dans les parages et voir comment tu te sers de ta grosse bite mais là je ne peux pas! La prochaine fois, peut-être.
La queue massive de Jérémy glisse lentement dans la gaine la plus douce, la plus chaude,
la plus glissante, qu’il n’a jamais ressentie. C’est profond et serré mais enrichi par un écoulement de jus féminin. La magnifique bite de Jérémy enfonce son gland toujours plus profondément, et le vagin se resserre sur sa bite pour mieux la sentir, la masser et la caresser avec je jus magique.
— AAaahhhh! Gémit Laura. Ooooooh, bébé mon bébé, Jérémy! Mon chéri ! Oh ! Oh, c’est si grand et si long, Si dure! Je n’ai jamais senti une bite comme ça avant. Oooh, mon amour de bébé! Tu es en moi! Tu remplis toute ma chatte! Ah ! je sens ton gland qui rentre dans mon ventre et tes couilles qui frappent mon cul! Ooooooh chéri! Ta bite est merveilleuse, grosse et longue j’adore! Quel merveilleux cadeau que tu me fais.
Béatement, Jérémy fait aller et venir son bassin dans l’entrejambe rembourré de sa mère, enfonçant profondément son gros pénis au fin fond de la chatte de sa mère et en frappant effectivement la fissure de son cul a chaque poussée.
Sa bite lui fait mal tellement elle est tendue et gonflée mais il n’a qu’en tête la chatte de sa mère. Cette chatte qu’il croyait interdite
est la plus belle des chattes pour sa bite. Elle est chaude et luxurieuse, profonde mais encore étroite pour que son nud soit au paradis de chattes.
Le vagin de sa mère lui prend sa bite comme avec des doigts et la caresse encore mieux. Cette bouche avide l’aspire quand il ralenti sa cadence et l’écrase pendant que sa mère entoure ses jambes autour de sa taille en poussant son pubis pour bien la prendre entièrement.
Son cul se balance dans tous les sens et Jérémy s’efforce de garder sa queue dans cet antre chaud et encore dégoulinant du foutre éjaculé il y a peu par son père et il est ravi de la préhension de ses jambes pour tortiller son beau corps sur le sien.
— Jérémy! Putain que t’es gros!
— Ooooooh, je bientôt me lâcher car ton énorme queue va m’éclater le cerveau! Prépare-toi mon amour de fils, ta maman va jouir. Ohhh je ne peux plus la supporter ! Mais surtout ne t’arrête pas! Continue de me baiser!
Il sent que les muscles autour de sa bite se contractent violemment et un afflux abondant de cyprine bouillant noie sa bite quand sa mère se plaque contre lui et enflamme son gland hyper sensible.
Elle l’emprisonne de ses jambes plaquées derrière son dos pour le tirer plus profondément dans son vagin alors que son orgasme va violemment éclaté.
Jérémy obéit à ses instructions, sa bite incroyablement gonflée empale sa chatte adorée et frappe son utérus a chaque poussée.
Sa mère aime la bite! Mais c’est sa bite qui la fait jouir et crier. Il met ses mains sur ses cuisses pour les écarter le plus possible et encore mieux pénétrer son sexe affolé et plein de spasmes non contrôlés.
Jérémy baise sa mère! Cà fait des années qu’il rêve de cet instant.
Laura grogne, gémit, hurle en battant le matelas avec ses poings en arquant son corps mince pour résister à chaque poussée de cet énorme piston qui dilate sa chatte enflammée.
— Oh, tu es un putain de fils qui baise sa maman! Un vrai bulldozer! Je n’ai jamais été baisé aussi fort et aussi profondément.
— AAaahhhh, mon chéri Ouuuiiiiiiiiiii! Vas-y! Entre bien dedans! Je viens encore une fois! Ouiiiii, encore une fois! AAAAAAHHHHHH, je meurs!
Jérémy enfonce son gland dans la grotte voluptueuse du vagin de sa mère, ses couilles entrent en action et sa bite crache son foutre épais et surabondant dans le con de sa mère, noyant d’un jus incestueux ce sexe qui l’a mis au monde.
Jérémy l’a fait ; il a baisé sa mère! Et elle a aimé baiser avec lui! Son phantasme c’est maintenant réalisé.
A suivre
Phantome