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Ma belle Brésilienne – Chapitre 1

Ma belle Brésilienne - Chapitre 1



À cette époque j’avais 35 ans, je vivais au Brésil. J’étais cadre supérieur dans une grande entreprise française dont je tairai bien entendu le nom. Le pognon coulait à flots, la vie était belle. Bien entendu, ma petite amie du moment était canon. Mélissa était une sublime métisse, à la peau dorée et aux longs cheveux frisés. Même pas tout-à-fait 20 ans, très grande, plus grande que moi, le ventre plat et les seins comme des obus… La chatte perpétuellement en feu, aussi ! Et, comble du raffinement, elle parlait français, avec le bel accent chantant de son pays… Le rêve éveillé de n’importe quel mec normalement constitué.

Pourtant, je m’étais déjà lassé d’elle. On en trouve tellement, des nanas comme elle au Brésil… Je m’apprêtais à la quitter, elle ne s’en doutait pas, et quand elle a su que je rentrais en France pour les vacances et l’anniversaire de mon père, elle a tellement insisté pour venir avec moi que j’ai accepté de lui payer un billet d’avion. À une condition… J’ai vu ses yeux de braise s’allumer, j’ai cru qu’elle allait m’étrangler ! On a eu une dispute homérique. J’ai pourtant fini par avoir le dessus. J’avais de bons arguments. Tout miel, elle a fini par se calmer, et par accepter…

*

Trois jours après notre arrivée en France, j’ai annoncé à Mélissa que nous allions visiter mes parents. La belle métisse a frémi, de colère et d’inquiétude. J’ai planté un baiser sur ses lèvres.

-Tout doux ma belle… Ça va bien se passer…

Je ne l’ai pas senti rassurée. Ce qui ne m’a pas empêché d’acheter deux billets de train…

*

Mélissa a fait meilleure figure lors du dîner d’anniversaire. On n’avait pas prévu grand-chose, juste un repas amélioré, mes parents savaient que j’étais fatigué, leur présence me suffisait. Mélissa plaisantait avec mes parents, leur parlait du Brésil… La belle-fille idéale !

Puis nous sommes allés regarder la télé. En plein milieu du film, j’ai dit à Maman, en plaisantant :

-Maman ! Si ça ne t’intéresse pas, va te coucher !

Elle m’a répondu, hagarde :

-C’est pas ça le problème, il est bien le film, pour une fois que c’est pas une rediffusion en plus… Mais je sais pas ce qui se passe, je suis crevée…

Effectivement, elle ne savait pas ce qui se passait, elle ne m’avait pas vu verser le somnifère dans son jus d’orange… Elle s’est levée en titubant, pour gagner sa chambre. Je dis bien sa chambre, elle et mon père faisaient chambre à part depuis au moins dix ans.

Nous avons regardé la fin du film, tranquillement, tous les trois. Mon épaule était posée sur la main de Mélissa, que je caressais doucement.

Et puis, à la fin du film, après un brin de causette, mon père s’est retiré dans l’ancienne chambre d’amis, et Mélissa et moi dans la chambre que j’avais laissée en quittant la maison.

Tandis que je gardais mes vêtements, j’ai ordonné à Mélissa de se déshabiller. Intégralement. Je ne l’ai autorisée à garder qu’un collier en or qui mettait en valeur ses seins. Son corps était vraiment sublime. Elle m’a dit :

-Tou es sour que tou veux que je fasse céla ?

-Você vai ser grandiosa !

Tu vas être grandiose… Je lui parlais en portugais quand je voulais être sûr d’être compris, c’était ma manière de lui faire comprendre que ce n’était pas négociable.

-Attrape ta chemise de nuit !

Sans dire un mot, Mélissa m’a tourné le dos, me montrant deux fesses sculpturales, délicatement rebondies et bien bronzées avant de s’accroupir… J’imaginais sa chatte grande ouverte, à prendre, mais il fallait que je me retienne.

Mélissa s’est retournée, la chemise de nuit à la main. Je lui ai demandé de l’enfiler.

Une chemise de nuit en dentelle blanche, que j’avais achetée pour l’occasion. Superbe. À moitié transparente. Laissant entrevoir ses seins généreux, ses hanches larges, sa motte poilue…

Je me suis levé du lit et je l’ai serrée contre moi, en faisant en sorte qu’elle sente bien mon érection. Je l’ai embrassée longuement, passionnément. Avant de me séparer de ses lèvres. De la regarder dans les yeux. Et de lui dire :

-C’est à toi ! N’oublie pas que je t’aime !

Elle s’est retournée, et m’a fait profiter de sa démarche chaloupée avant de quitter la chambre.

Je me suis monté sur le fauteuil, et j’ai retiré silencieusement mais fébrilement les livres qui se trouvaient sur l’étagère. Le voilà… Le fameux trou, que mes parents ont cru cacher par ce subterfuge… Et qui donne justement sur la chambre d’amis… Enfin, celle de mon père… Une vue plongeante sur le lit…

La lumière était allumée. Mon père était en train de bouquiner, comme à son habitude vespérale depuis qu’il était à la retraite.

Mélissa est entrée dans la chambre de mon père sans frapper.

Mon père a levé le nez de son bouquin.

-Mélissa ? C’est vous ? Pourquoi vous ne … ?

Il n’a pas fini sa phrase. Je suppose qu’il a eu le souffle coupé par ce qu’il a vu.

Une femme du tiers de son âge, qui entrait dans sa chambre à une heure tardive, fort court-vêtue… Cela n’arrive pas tous les jours dans une vie, n’est-ce pas ?

Mélissa le regardait, de son regard fier et impénétrable. Elle ne disait rien. Elle a rejeté ses cheveux en arrière, offrant à mon père une vue affolante sur son décolleté. D’un pas félin, elle s’est approchée du lit de mon père. Elle s’est assise sur son lit.

-Mélissa ? Qu’est-ce que vous voulez, à la fin ?

Mélissa a posé son index sur les lèvres de mon père.

-Chout… Tais-toi… Profite…

Elle s’est couchée sur lui, lui a caressé la joue et l’a embrassé. Un baiser lascif avec ses lèvres pulpeuses… J’ai compris que c’était gagné à la manière dont mon père lui rendait son baiser, dont il enfonçait sa langue dans sa bouche… Pourtant, il avait encore des scrupules.

Mon père a séparé ses lèvres de celles de la belle Mélissa.

-Mélissa, non, ce n’est pas possible… Mon fils…

Mélissa lui a jeté un regard coquin.

-Et alors ? Jé né souis pas mariée avec loui !

Avec ses longs doigts fins, elle commençait à déboutonner la veste de pyjama de mon père, laissant apparaître la toison de poils blancs qui recouvraient sa poitrine, et à caresser son ventre un peu proéminent. Mon père, de plus en plus hésitant, lui a répondu :

-Oui, mais marié, moi je le suis… Ma femme…

-Ta femme… Elle saura jamais rien, chérri… Elle va dormir toute la nouit…

Mon amante a léché et embrassé le torse velu de mon père. Mon père a passé la main dans les cheveux de Mélissa. Il regardait au ciel

Subitement, la petite traînée s’est redressée. Elle avait eu beau faire la mijaurée, elle aimait ça… Lentement, en regardant mon père dans les yeux, fixement, Mélissa a fait glisser une de ses bretelles le long de son épaule, dévoilant sensuellement un généreux sein brun, aux aréoles foncées, qui défiait la gravité. Mon père a louché sur l’anatomie de ma petite copine.

Il s’est penché vers elle et s’est saisi de son sein nu, il l’a attrapé à pleines mains, le caressant, le malaxant, étirant le mamelon pointu, avant de l’engouffrer dans sa bouche et de le téter comme l’aurait fait un bébé affamé depuis des heures. Mélissa caressait son crâne presque entièrement chauve et lui faisait de petits bisous.

-Oh oui mon chérri, tou es oun dieu dou sexe…

Elle en faisait vraiment beaucoup… Se sentant encouragé, mon père a tiré sa deuxième bretelle, et la chemise de nuit est tombée sur les hanches larges de Mélissa. Il a ainsi fait jaillir de son bonnet son autre nichon et lui a fait subir le même traitement. Mélissa a fermé les yeux et rejeté la tête en arrière, faisant saillir un peu plus ses seins superbes…

Quand Mélissa a de nouveau embrassé mon père, ses seins luisaient de salive. Elle a pris une des mains de mon père, a léché son index et l’a passé sur son cou, entre ses seins, sur son nombril avant de le glisser sous sa chemise de nuit roulée au tour de la taille. Mon père avait les yeux exorbités, il a avalé sa salive et a chevroté :

-Mais tu es trempée, petite salope…

Ma belle Brésilienne a fait un petit bécot sur la bouche à mon père, est s’est allongée sur le lit, jambes serrées.

-Tou es soûr ? Tou veux vérifier ?

Mon père s’est léché les babines et a fait glisser le fin tissu sur les cuisses de mon amie, qui s’est retrouvée entièrement nue devant lui. Ses seins pointaient, et sa toison pubienne était pleine de mouille.

Mon père a caressé ses cuisses sensuelles, avant de lui lécher la plante des pieds, de la pointe de sa langue. Mélissa a éclaté d’un rire tonitruant. Puis mon père lui a sucé, un à un, avec sa langue crochue, les orteils, avant de la saisir par les pieds et de lui écarter les cuisses d’un geste autoritaire, dévoilant les lèvres gonflées et le clitoris érigé de la jeune fille, avant de lui ordonner :

-Dessape-moi !

Mélissa a haussé les épaules en souriant :

-C’est quoi dessapé-moi ?

-Déshabille-moi, enlève mon pantalon !

Mélissa, le sourire plus carnassier que jamais, s’est redressée pour déboutonner le pantalon de pyjama de mon père et en extraire une queue aux dimensions respectables, au gland violacé luisant de pré-sperme, aux couilles gonflées à bloc, le tout surmonté d’une touffe hirsute de poils blancs comme la neige. Le sexagénaire bandait comme un adolescent.

Mélissa a planté un petit bisou sur le gland de mon père. La seule chose que je lui avais interdite, c’était de se faire éjaculer dans la bouche, mais rien ne l’empêchait de faire une petite caresse buccale à mon paternel. Ce dont la divine petite salope ne s’est pas privée, léchant et embrassant son gland et sa hampe avec toute la virtuosité dont je la savais capable.

Puis Mélissa s’est laissée retomber sur le lit, toujours dans la position du grand écart. Avec un sourire enjôleur, elle a dit à mon père :

-Qu’est-cé qué tou attends ? Fais-moi amôr !

Mon père n’a pas hésité. Avec son membre vigoureux, il a pénétré ma petite amie. La petite amie de son fils. Son sexe coulissait dans sa féminité comme dans du beurre, à grands coups de ah ! et de oh ! Il écartait ses chairs brunes, chaudes et humides comme son pays. Il pétrissait les seins de Mélissa et l’embrassait à pleine bouche tout en lui donnant de grands coups de hanche. Mélissa tortillait du cul au rythme des coups de queue que lui infligeait mon père. Il respirait de plus en plus fort et de plus en plus vite.

Très vieille école, mon père lui a demandé :

-Tu jouis ? Tu jouis ?

-Siiiimm, gozo, gozo, me fuda, me fuda !!!

Ma belle Brésilienne ne jouissait qu’en portugais. Mon père ne maîtrisait pas cette langue, mais je savais qu’il avait compris que Mélissa d’un soir venait d’avoir un orgasme.

Il n’a pas tardé à faire feu. J’ai compris aux sons de sa gorge qu’il éjaculait dans le vagin de Mélissa. J’imaginais les jets de sperme s’écraser contre les parois internes de notre maîtresse commune.

J’avais une envie folle de me branler, mais je savais que je devais attendre. Mon père et Mélissa s’embrassaient tendrement et se caressaient. Il ne s’est pas retiré d’elle. J’ai compris qu’il était en train de remettre le couvert quand leurs hanches se sont remises à bouger en rythme.

*

Ils ont baisé deux autres fois. À chaque fois, mon père lui a juté à l’intérieur.

Mélissa a fini par se séparer de lui.

-Il faut que je rétourne auprês de Lourenço, chérri… Il va finir par sé rendre compte…

Je m’appelais Laurent, mais elle m’appelait toujours Lourenço. Elle savait que j’étais dans le coup, elle se doutait peut-être même que je matais, mais j’ai supposé qu’elle en avait marre. Je ne lui en voulais pas, après tout elle venait d’offrir un beau cadeau d’anniversaire de mon père.

J’ai rapidement remis les bouquins en place tandis que Mélissa quittait, nue, la chambre de mon père. Quand elle est rentrée dans ma chambre, elle m’a lancé un regard de défi. Je l’ai saisie par le bras, et faite se coucher sur le lit. Je lui ai écarté les jambes. Le spectacle était hallucinant.

Le sperme de mon père enduisait la vulve de ma jeune amie. Ses lèvres restaient gonflées par le désir. Ses poils étaient collés par la sueur et le sperme.

Les yeux luisant de désir, j’ai regardé Mélissa et je lui ai roulé un patin, en lui caressant les seins. J’ai mordu sa lèvre inférieure et en la relâchant, je lui ai dit :

-Accroupis-toi. Masturbe-toi.

Ma belle s’est exécutée. Elle a enfoncé deux doigts dans son vagin, jusqu’à la garde, et les a fait coulisser. Les fluides virils de mon père dégoulinaient sur le parquet.

J’ai sorti ma queue de mon falzar, et ordonné à Mélissa :

-Suce-moi ! Maintenant !

Mélissa a agrippé ma bite et l’a enfournée dans sa bouche. Elle a fait coulisser sa bouche de bas en haut sur mon engin, comme s’il s’agissait d’un vagin. Excité comme j’étais, je n’ai pas tardé à éjaculer dans sa bouche. J’avais l’impression de décharger des quantités immenses, il y avait tellement de foutre dans sa bouche qu’elle en a laissé couler un peu dans son cou et sur ses nibards.

Je lui ai dit :

-Va te laver, maintenant.

Quand elle est revenue, elle s’est blottie contre moi pour s’endormir…

*

Quand nous nous sommes levés le matin, pour le petit-déjeuner en famille, ma mère a demandé à Mélissa :

-C’est bizarre, il m’a semblé entendre l’eau couler dans la salle de bains vers 2 heures du matin. C’était vous, Mélissa ?

Nous étions tous décontenancés. Est-ce qu’elle avait entendu le reste ? Mélissa a eu la présence d’esprit de répondre :

-Oui… A cause dou décalage horaire, j’ai pas pou m’endormir… Alors j’ai pris oun bain…

-Ah, je suis pas folle alors ! Mais sinon qu’est-ce j’ai bien dormi ! Mieux que jamais !

Nous étions rassurés. Si ma mère avait seulement soupçonné toutes les saloperies que nous avons faites, elle ne serait pas de si bonne humeur. Jovial, j’ai proposé à ma mère d’aller faire des courses avec elle. Elle a volontiers accepté. Mélissa a proposé de se joindre à nous, j’ai refusé. Je lui ai dit, un gigantesque sourire aux lèvres :

-Non, j’ai des choses à dire à ma mère. Mais tu peux rester avec Papa, je suis sûr que vous avez beaucoup de choses à vous dire !

Papa lui a dit, l’air de rien :

-Mais oui ! Restez avec moi, Mélissa ! Vous verrez, on ne verra pas le temps passer.

Mélissa ne disait rien, mais elle était furieuse.

Avant de partir avec ma mère, j’ai profité d’un instant où nous étions seuls tous les deux pour glisser à l’oreille de mon père :

-Au fait… Mélissa aime aussi la sodomie !

J’ai cru qu’il allait s’étrangler ! Il m’a regardé, affolé, il s’apprêtait à parler lorsque nous avons entendu ma mère crier :

-Laurent ? Où es-tu ? Je m’en vais ! Tu es toujours en retard, ma parole !

J’en ai profité pour m’éclipser.

*

Quelques semaines plus tard, alors que j’étais déjà rentré au Brésil depuis quelque temps, j’ai appelé mon père au téléphone. Il a été très déçu quand je lui ai appris que j’avais quitté Mélissa. Je lui ai dit :

-Ne t’inquiète pas… J’ai déjà trouvé une nouvelle petite amie. Je lui ai beaucoup parlé de toi, elle est déjà impatiente de te rencontrer !

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