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Ma collègue joue la pute, mieux qu'une professionnelle. – Chapitre 1

Ma collègue joue la pute, mieux qu'une professionnelle. - Chapitre 1



Il y a déjà quelques années, j’avais 54 ans, je travaillais avec un collègue plus âgé que moi, et une petite jeune qui venait de nous rejoindre. Elle s’appelle Sylvie, a 24 ans, blonde, très mignonne et très nature. Elle aime plaisanter avec nous, et accepte et participe à nos histoires grivoises, nos histoires de cul, sans aucun complexe. Elle est cool, coquine, et on s’autorise à lui mettre la main au cul en lui disant bonjour, rien de plus, sans qu’elle ne s’en offusque. On passe deux ou trois années très agréables, mais malheureusement tout a une fin.

Aujourd’hui je suis seul dans mon bureau. Mon collègue est parti à la retraite, et ma petite copine a postulé au siège de la boite.

On reste en contact, on s’appelle ou on s’envoie des mails, pour le boulot, ou juste pour le plaisir. Elle est adorable, et j’aime savoir qu’elle pense encore à moi. Chacun de nos contacts, oral ou écrit, se finit par un échange de bisous, des bisous innombrables dans nos courriels, avec des "S" à la pelle. C’est elle qui a commencé ce jeu, et qui m’a dit qu’elle n’en avait jamais assez.

Je connais sa date de naissance, et je ne manque de lui adresser un gentil petit mot pour ses 28 ans, et des bisous avec des "s" plein la page. J’ai aussitôt une réponse que j’ouvre fébrilement, comme chacun de ses écrits:

— Merci pour ton message. J’adore les bisous, mais là j’ai peur que mes joues soient trop petites pour tous les recevoir. Tu as une idée pour ne pas les gaspiller!!!!!!!!!! Bisousss

— C’est une question coquine. Tu veux une réponse coquine?

— Oui, à 200 kilomètres je ne risque rien!!!!!!!

— Ok ma puce, je vais te répondre en vers:

Dis moi petite, à quoi tu joues

Ce manque de place sur tes joues

C’est vrai qu’il y en a beaucoup

Alors j’en glisse dans ton cou

Et puisque l’on est entre nous

J’en dépose sur ton minou.

— C’est vrai que c’est coquin, mais ça me plait bien. Merci et Bisoussssssssssssssssssss…….

Elle termine son message elle aussi avec une pleine page de "S", et je sens qu’elle veut encore s’amuser. Je réponds sans la faire attendre:

— Merci pour tous ces bisous, mais je crains à mon tour que mes joues ne soient trop petites. Ce serait dommage de les perdre!

— Mais qui parle de les perdre. Je sais faire des vers moi aussi:

Quand tu m’embrasses le minou, ta moustache me chatouille

Et quand j’embrasse ta queue, c’est les poils de tes c…….

Pense à détruire ce message

D’une petite fille pas très sage.

— Hummm, quel dommage que tu sois si loin! Je t’adore.

— Je t’aime moi aussi. Je te laisse, j’ai du boulot. A+

— A+ ma chérie.

A partir de ce jour nos échanges sont de plus en plus coquins, de plus en plus chauds.

En début d’année, comme tous les ans, on reçoit des propositions de formations. Je n’y répond jamais, étant proche de la retraite, mais là il y en a une qui se passe au siège, et c’est l’occasion de retrouver ma petite chérie. J’ai les dates, l’appelle pour savoir si elle sera là, et elle trouve mon idée excellente. Je confirme ma participation.

C’est un stage de trois jours, 9h-12h et 13h30-17h. J’arrive de bonne heure, histoire de dire bonjour à ceux que je connais, sans oublier Sylvie bien sûr. Elle a un bureau pour elle toute seule, je referme la porte, et on tombe dans les bras l’un de l’autre. Elle est toujours aussi jolie, toujours blonde, mais avec les cheveux courts. On s’est promis de se faire en réel les bisous coquins, virtuels jusque là, mais il va falloir patienter encore un peu.

Je commence ma formation, et à 10h30 on a une pause d’un quart d’heure. On se disperse, certains prennent un café, d’autres sortent pour fumer, d’autres vont dire des bonjours, et moi j’appelle la petite. Elle m’attend devant l’ascenseur, et on descend aux archives, ses archives où personne ne vient. Elle ferme à clé et je m’accroupis pour défaire son pantalon et descendre son joli petit string. Elle a vulve de toute beauté, lisse comme une boule de billard, et je dépose ma bouche dessus. Je lui fait plein de petits bisous, puis je sors ma langue pour la glisser entre ses lèvres. Elle me repousse gentiment et remonte sa culotte et son pantalon.

— Eh! On a dit des bisous, pas plus.

— Oui, mais tu es trop belle, j’ai envie de toi.

— Pas ici et pas maintenant. Tu finis à quelle heure?

— C’est prévu à 17 heures.

— Je serais au bureau, tu n’auras qu’à venir et on verra.

— Ok. Et mes bisous sur la queue!

— Tu vas les avoir, mais vite fait, on va t’attendre.

Je baisse mon froc et je baisse mon slip pour libérer mon paquet. Elle me fait des bisous sur la bite, et aussi sur les couilles. Elle se relève, je me rhabille et on remonte. Elle me dit qu’elle a envie de moi elle aussi et me dit à tout à l’heure.

A 17 heures je suis dans son bureau et elle me propose de m’emmener à mon l’hôtel. C’est une grande ville, la mauvaise heure, et on tombe dans les bouchons de la rocade, avec tout le temps pour discuter et planifier notre soirée. Je pensais que l’on irait chez elle, mais elle a une autre idée, un fantasme qu’elle aimerait bien réaliser: elle voudrait être une pute, et avoir un client qui la paye ce qu’il faut pour tout lui faire, un vieux, cochon, vicieux, avec une grosse queue. On met tout au point, dans les moindres détails. On arrive à l’hôtel, elle va me laisser et aller chez elle pour prendre des affaires, et revenir pour 21h30. J’hésite à la laisser partir, lui dit que j’ai peur qu’elle ne revienne pas, que ce soit trop beau pour être vrai. Elle me jure de revenir, me demande de lui faire confiance, et me fait une grosse bise.

Je mange au restaurant de l’hôtel, repart à la chambre regarder la télé, et je ressort. Elle m’a dit qu’elle m’attendrait tout près de l’hôtel, sur le trottoir. Je m’avance et je vois une femme qui poireaute, mais ça ne semble pas être elle. Elle a une mini jupe, des talons hauts, et elle est brune à cheveux longs. Je m’approche et je la reconnais malgré sa perruque:

— Bonsoir.

— Bonsoir.

— Tu es libre?

— Oui.

— C’est combien?

— Ca dépend de ce que tu veux.

— Tu fais quoi?

— Je fais tout.

— Et combien de temps?

— Le temps qu’il faut, ça dépend de ce que tu me donnes.

— Et pour la nuit c’est combien?

— Au dessus de tes moyens.

— Dis toujours. Tu gagnes combien le soir? Je suis sûr que des fois tu te gèles pour rien. Je suis à l’hôtel, juste à côté, tu seras au chaud. Tu viens?

— Ok, Si tu veux la nuit, c’est 300 euros.

— Combien!

— Tu vois, tu n’as pas les moyens.

— Je n’ai pas dit ça; Et tu fais vraiment tout?

Elle me confirme que oui, et je rentre dans les détails. Elle accepte toutes mes demandes, faire l’amour sans préservatif, m’offrir tous ses orifices, me laisser l’insulter et lui dire des obscénités. Il y une chose qu’elle me refuse, c’est d’embrasser, sauf si j’aligne 50 euros de plus.

J’ai trop envie et j’accepte. J’ai toujours du liquide sur moi, mais pas suffisamment. Je lui demande si je peux lui faire un chèque, et elle éclate de rire, me demande d’où je sors. Puis elle m’indique un distributeur à deux ou trois cents mètres. J’y vais et la supplie de m’attendre.

Je reviens, elle est toujours là et me suit jusqu’à la chambre. Je suis dans une chaîne d’hôtel où les chambres sont à l’écart de la réception, ce qui permet toutes les visites.

J’ai mis le chauffage à fonds avant de sortir, pour ne pas qu’elle ait froid, et elle est surprise par la chaleur, et moi aussi. Elle enlève son blouson, et moi ma veste. J’ôte mon pull, commence à déboutonner ma chemise, et elle me rappelle de ne pas oublier son petit cadeau. Je fouille ma veste et ma sacoche, et lui tend une liasse de billets. Elle contrôle que le compte y est, et la range dans son sac à main.

Je me mets rapidement à poil, et je m’allonge sur le lit. Elle enlève ses chaussures, sa jupe, ses collants, et me rejoint. Elle doit me sentir nerveux et essaye de me détendre. Elle me caresse le torse, le ventre, et me pose des questions sur mon boulot, d’où je suis, est ce que je suis marié…….

Ses lèvres se posent sur ma poitrine, et rejoignent sa main, sur mon sexe. Elle me prend en bouche et en trente secondes je sens mon plaisir venir:

— Doucement, tu vas me faire jouir.

Elle cesse de me sucer:

— Pas déjà, attend un peu.

— Je ne peux pas me retenir, ça va partir.

Elle s’empresse de me reprendre entre ses lèvres, et me suce tendrement. J’éjacule lamentablement, sans avoir vraiment bandé. Elle me suce toujours, s’applique à tout récolter, à tout avaler. Elle me pompe encore quelques instants, sans parvenir à me faire durcir. Elle relève la tête et m’adresse un gentil sourire:

— Tu es un rapide toi, c’est toujours comme ça?

— Non, ça dépend si ma partenaire m’excite, ou pas.

— Et visiblement je t’excite beaucoup.

— Oui tu es trop belle, j’ai trop envie de toi.

— Je suis là pour ça, mais avec ton zizi tout mou tu ne vas pas me faire grand chose.

— T’inquiètes, on a tout le temps. Suce moi et tu vas voir, il ne vas rester mou longtemps, je vais bien m’occuper de toi..

— Mais j’espère bien, tant qu’à être baisée j’aime l’être bien, et tu m’as l’air d’un petit coquin, un petit malin.

Elle s’installe à quatre pattes entre mes jambes et se met à me pomper, à me branler, tout en me fixant dans les yeux. Je la regarde, j’apprécie son savoir faire. Elle est douée, et je me met à bander. Je la complimente et lui demande si je peux l’insulter, lui dire des obscénités; je sais qu’elle m’a déjà donné l’autorisation, mais elle est très mignonne et j’hésite. Elle a l’habitude de clients vulgaires, et ça ne la choque pas. Elle m’y encourage, surtout si ça doit me faire bander encore plus. Je me laisse aller:

— Tu pompes bien salope, je me trompe ou tu aimes ça?

— Non, tu as raison, j’adore le sexe.

— Salope, c’est bon une pute qui aime la queue. La plupart des filles ne pensent qu’au fric, sans prendre de plaisir. Ca t’arrive de jouir avec tes clients?

— Ca peux, mais pas souvent. Ils restent peu de temps en principe, souvent juste pour une pipe.

— Mais moi tu m’as toute la nuit, et je ne veux pas que ta bouche. Je vais te faire jouir ma pute, je vais te baiser par tous tes putains de trous, comme une chienne. Elle te plait ma queue?

— Oui, elle est super belle, et enfin bien raide. Prends moi comme tu veux, fais moi jouir, fais jouir ta pute.

— Oui, avec plaisir, salope. Tu es une jeune vicieuse qui aime se faire reluire la chatte. Je vais te la farcir ta putain d’huître, mais avant je vais te la bouffer. Enlève ta culotte, et écarte tes jambes.

Elle s’exécute docilement, et je viens entres ses cuisses, comme elle venue entre les miennes. Je m’attable, et suis fasciné par sa vulve. Elle est toute lisse, bien en chair, des lèvres parfaitement découpées, une fente vertigineuse, un clito qui semble appeler à l’aide; un triangle des Bermudes qui donne envie de s’y noyer. Je la caresse, la couvre de bisous, puis continue avec ma langue. Je la lèche avec application, suis attentif à ses réactions. Je sens son souffle s’accélérer, et elle pose ses mains sur ma tête pour me caresser et me maintenir contre elle. Je continue mon cunnilingus, et je sens ses premières et délicieuses sécrétions. Sa cyprine est succulente et je vais faire tout mon possible pour faire couler sa source et m’y abreuver. Je la sens vibrer, trembler, se raidir, ses reins se soulèvent, et son petit volcan entre en éruption. Elle s’agrippe à mes cheveux et je sens sa lave brulante envahir ma bouche. Son orgasme retombe, et elle reste offerte:

— Tu es bon, toi. Aucun client ne m’a léché comme toi.

— Merci, mais je n’ai aucun mérite, tu as une chatte de rêve.

Elle me remercie à son tour, et je replonge dans son intimité, fourre ma langue dans son vagin, suce son bouton. Elle enchaine les orgasmes, elle est inondée, et j’ai envie de la baiser. Je vais venir sur elle, mais avant je lui demande d’enlever le haut, je la veux toute nue. Elle a des petits seins ravissants, qui augmentent mon désir.

J’abandonne sa chatte, et ma bouche court sur son ventre , ses seins. Ma queue cherche sa grotte, et n’a aucun mal à l’embrocher tellement elle est ouverte et mouillée. Je suis en elle, veut l’embrasser mais sa bouche évite la mienne. Je lui rappelle notre accord, et elle ne se refuse plus. Je la baise, je la lime, je la ramone, et elle prend son pied, sans aucune simulation. On s’embrasse à pleine bouche, avec la langue, et elle passe même ses bras autour de mon cou pour me garder soudé à ses lèvres. On reprend souffle de temps en temps, et elle me chuchote des mots entrecoupés à l’oreille:

— Ohhh, tu es bien toi……….elle est bonne ta queue………baise moi……….baise moi….c’est bon…

J’alterne les grands coups de reins et les injures, avec des pénétrations et des mots plus tendres. Je lui dit que sa petite choune est trop bonne, qu’elle est la meilleure des putes.

J’ai les reins et les jambes qui fatiguent, mais ma queue est au top. Je me retire, me dégage, et c’est elle qui vient sur moi. Elle glisse mon manche entre ses cuisses, et me chevauche, au pas, au trot, au galop. Je ne vais pas tenir longtemps à ce rythme, et veux que ce soit moi qui lui donne mon jus, et non elle qui me le prenne. Elle revient sur le dos, et je vais la matraquer comme un bourrin:

— Tiens, prends salope. Tu en veux de la queue, tu vas en avoir. Je viens salope, je vais remplir ton trou de pute. Hummm, c’est bon, c’est bon de se vider les couilles dans ton garage à bite……

Je jouis, j’éjacule, je décharge au fonds de son vagin, et elle me prend la bouche pour étouffer ses cris. Je reste encore sur elle, sans rien dire, ma queue se dégonfle, et on va à la salle de bain pour se laver.

On est à nouveau sur le lit et elle me pose cette question:

— Tu veux que je reste?

— Mais je t’ai payée pour ça, et on vient juste de commencer.

— Tu n’as pas l’intention de baiser toute la nuit?

— Non, j’en serais bien incapable. Mais d’ici demain matin, on doit pouvoir remettre une ou deux fois le couvert.

— Tu es un chaud lapin, toi. On se repose un peu d’abord?

— Oui, pas de problème.

Elle est dans mes bras, on a éteint la lumière, et on discute un peu avant de dormir. Elle veut savoir vers quelle heure j’ai l’intention de refaire l’amour, et je lui avoue que je n’en sait rien. Je me réveille toute les nuits avec une trique entre les cuisses, et je la réveillerai à ce moment là.

Et une nuit encore ma queue ne faillit pas. Elle s’est dressée toute seule et je la prends en main pour m’assurer qu’elle est bien dure. Je viens alors contre Sylvie qui me tourne le dos, je me colle à elle, et glisse ma bite entre ses cuisses, sans la pénétrer. Je frotte mon bourgeon contre ses lèvres, lentement, pour la réveiller en douceur. Elle doit être réveillée, je la sens qui mouille, je l’entends gémir, et puis je sens ses doigts sur le bout de mon sexe. Elle me caresse le gland, puis le pousse dans sa fente:

— Baise moi, doucement, dans cette position.

— Si tu veux, mais juste pour commencer. J’ai envie de ton cul, tu aimes te faire prendre par derrière?

Elle me confie que oui, mais que ça lui arrive moins souvent qu’elle ne voudrait. J’accélère dans sa chatte pour finir de bien la réveiller, puis je me dégage et allume la lumière. Je veux voir son cul, je veux lui bouffer au grand jour. Elle est sur le dos, les jambes relevées, et je broute son fion, je le doigte, je le fouille, pour bien l’ouvrir. Je la prend dans toutes les positions, de face avec ses jambes relevées, à quatre pattes, et on fini elle allongée sur le ventre, et moi sur elle, dans elle. Je la lime profond et lui balance à nouveau des grossièretés:

— Salope, tu es trop bonne. Tu la sens bien ma queue?

— Oui, tu es bon baiseur, et j’adore me faire prendre mon petit trou.

— Je vais lui en donner à ton cul, je vais te le farcir. C’est bon de t’enculer salope. tu es la meilleure de toutes. Je vais bientôt décharger, je vais inonder tes reins.

Je me soulage en elle et on va se laver, avant de s’endormir. Il est 3h10 et je mets le réveil de bonne heure, pour un dernier petit plaisir.

Il est 6h30, et on se réveille. Je me colle à elle et je bande rapidement. Elle me supplie de la laisser tranquille, veut encore dormir, mais j’ai payé cher et j’en veux pour mon argent. Elle va me laisser faire, sans participer activement, et sans que j’allume la lumière. Je suis entre ses cuisses et lui dévore la chatte. Puis je la tire vers le milieu du lit, et sans quitter son minou je fais demi tour pour venir sur elle en 69. Je frotte ma queue sur son visage, à la recherche de sa bouche qui cherche à se dérober. Je finis par y entrer, et vais m’efforcer de ne pas en ressortir.

Je baise sa bouche, je lèche son huître, et elle se met à mouiller, à se tortiller. Je me dégage, et viens sur elle pour pénétrer sa vulve. Je vais et viens dans son ventre brulant, et je l’entends gémir:

— Salope, tu n’en as jamais assez. J’étais sûr que tu en voulais encore. Tu l’aimes ma queue?

— Oui, tu es bien toi, un vrai queutard.

— Et qui sait ce qui te plait, salope. J’ai déchargé dans ta chatte et ton cul, mais pas dans ta bouche, pas comme je l’aurais voulu. Lève toi, et viens devant la glace , je vais te baiser la gueule.

Je me lève en premier, allume la lumière, et elle me suit, obéissante et soumise, sachant qu’elle va enfin en finir. Elle est à genoux, et je pénètre sa bouche, sa gorge, profondément:

— Regarde nous salope, regarde comme c’est bon cette belle et jeune chienne qui se fait matraquer la gueule par ce vieux porc. Regarde comme elle aime ça cette trainée, elle ne cherche même pas à se dégager, elle s’offre avec plaisir…………………..

Je la lime rapidement, on va devoir se préparer, et je me vide dans sa bouche. Elle boit tout et me nettoie la queue.

Il va être 7h et on met fin à notre jeu de rôle, fini la pute et son client. On est épuisé mais ravi, et on se roule une pelle pour se féliciter et se remercier. Elle va à la salle de bain et je m’habille sans me laver pour aller à sa voiture chercher sa valise avec ses affaires. Elle finit de se préparer et je lui laisse aller prendre le petit déjeuner à ma place. Je me douche pendant ce temps, et on quitte l’hôtel.

Elle est toute guillerette, en pleine forme. Elle est enchantée de notre nuit, j’ai suivi son scénario à la lettre pour un peu sa surprise, elle ne m’aurait pas cru si performant. Je suis enchanté moi aussi, lui dit qu’elle est un super coup, et elle me propose que l’on recommence ce soir.

Je veux bien, à moins qu’elle n’ait d’autres fantasmes . Elle n’en manque pas, mais celui ci était un des plus sages, les autres ne lui semblent pas avouables. Je lui dit qu’elle peut tout me dire, que ça restera entre nous, et que je suis prêt à tout pour lui faire plaisir. Je rajoute que la question n’est pas de savoir ce qui est bien ou pas bien, mais de savoir si ses fantasmes resteront virtuels ou si elle est prête à les réaliser.

Je lui laisse la journée pour réfléchir, et on reparlera le soir dans les bouchons. On passe à autre chose.

A suivre…………………………………

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