Juliette et sa fille Claire
Je me prénomme Juliette, j’ai 38 ans. J’élève seule ma fille Claire et ce depuis le départ de mon mari avec une autre femme bien plus vieille que moi.
Elle venait d’avoir 18 ans et durant toutes ces années j’avais consacré tout mon temps à son éducation, jouant le rôle de mère, de père en omettant trop souvent que j’étais aussi une femme.
Telle une religieuse, j’avais mise ma sexualité au rancard et ne prêtais même pas attention à tous ces hommes qui me lançaient des regards énamourés.
La vie, ma vie de nonne s’écoulait paisiblement jusqu’à ce jour où tout a basculé pour moi
Ce mercredi là, Claire comme à son habitude, se trouvait en compagnie d’Estelle son amie de toujours et comme d’habitude elles se trouvaient dans la cabane en planche, située au fond du jardin.
Jusqu’à ce jour je n’avais jamais essayé de savoir ce qu’elles y faisaient. Je comprenais, ayant été jeune, moi aussi, qu’elles avaient besoin de trouver un endroit discret pour papoter de leur petit secret de jeune fille.
D’habitude, vers 16 h, elles revenaient à la maison pour prendre leur goûter que je leur préparais mais ce fameux mercredi, ne les voyant pas arriver, je décidais d’aller les prévenir.
Arrivée devant la porte, je m’apprêtais à frapper pour signaler ma présence quand j’entendis Claire parler et les mots qu’elle disait me firent suspendre mon geste.
— Alors Estelle, disait Claire, ça vient ? Dépêches-toi, nous devons aller goûter. Tu sais que maman, n’aime pas qu’on soit en retard
— Oui ça vient, répondit Estelle, je vais bientôt jouir, je ne suis pas comme toi qui met à peine 2 minutes pour prendre son plaisir.
Intriguée, je fis le tour de la cabane et par l’interstice de deux planches mal jointes, j’essayais de voir ce qui se passait à l’intérieur.
Les deux filles étaient assises en bouddha, face à face, leurs jupes relevées jusqu’aux hanches et leurs culottes gisaient sur le sol.
La main d’Estelle s’agitait entre ses cuisses et Claire la regardait.
— Bon, Estelle ! Arrêtes, ça suffit, ma mère va s’inquiéter et puis tu as déjà joui 3 fois.
Je vis Estelle suspendre sa masturbation avec regret. Rapidement je repris le chemin de la maison, le cour battant la chamade, profitant du laps de temps dont elles eurent besoin pour reprendre une tenue décente.
Quand elles rentrèrent dans la cuisine, elles avaient les joues rouges et le regard brillant, tout comme moi d’ailleurs, mais pas pour les mêmes raisons.
J’essayais d’être la plus naturel possible malgré l’émotion qui m’étreignait et pendant qu’elles mangeaient, je me mis à les regarder avec un regard différent.
Jusqu’à ce jour, j’avais vu mon enfant comme une petite fille, mais à présent je me rendais compte combien elle avait changé. Elle devenait femme. Sous son corsage, deux petits seins pointaient et sous sa courte jupe deux longues jambes finement galbées.
Je ne m’étais pas rendue compte à quel point elle avait changée, me disant pour le coup que j’avais moi aussi pris un sacré coup de vieux
Estelle était un peu plus boulotte et sa poitrine était déjà étonnamment développée.
Tout en mangeant elles se regardaient, échangeant des sourires complices.
— Bon, dis-je, je vous laisse. Lorsque vous aurez fini, soyez gentilles de débarrasser la table.
— D’accord, répondirent-elles en chour.
Je montais dans ma chambre et me suis mise à réfléchir sur la conduite que je devais adopter.
Tout à-coup je me revis, moi, à leur âge. Je me revoyais, dans ma chambre, le soir en train de me masturber. Je me souvenais du plaisir que j’éprouvais chaque nuit depuis que j’avais découvert que mon corps pouvait être une source de jouissance.
— Au fait, me dis-je, qu’as-tu fait de ce corps ?
Je me mis debout devant la glace.
— Pourtant, il n’est pas mal ce corps, tu t’es un peu épaissie, mais tes seins sont encore fermes.
En me disant cela, je les empaumais et les malaxais.
— Ta taille est bien marquée, tes hanches un peu larges, tes fesses bien rebondies.
Je continuais à caresser toutes les parties de mon corps que je décrivais.
— Et tes jambes, comment sont tes jambes ?
Je relevais ma robe suffisamment haut pour que je puisse voir ma culotte. Cette vision déclencha en moi le besoin de voir ce qu’il y avait dessous. Lentement je saisis l’élastique et fis glisser ma culotte le long de mes cuisses puis remontais à nouveau ma robe.
Mon pubis se refléta dans le miroir. Il était couvert d’une toison très fournie, châtain clair comme mes cheveux.
— Depuis combien de temps, me dis-je, ne t’es-tu pas occupée d’elle ? 5, 10 ans. Non 12 ans, depuis le départ de mon ex.
Je passais ma main sur cette fourrure comme le ferait un peigne.
— Mon dieu ! Ce que tu es poilue !
Je saisis une touffe de poil et tirais dessus comme pour en évaluer la longueur. Ce geste eut pour effet de faire apparaître le sillon de mon sexe. Cette vision me troubla fortement, j’écartais mes jambes et ma fente bailla un peu plus. Je distinguais à peine mes petites lèvres. Pourtant je les avais connues plus saillantes. J’en saisis une et l’étirais. Ce simple geste me fit pousser un petit gémissement.
— Mon dieu, je deviens folle ! ça fait si longtemps !
Mais non, je n’étais pas folle. Il aura fallu que j’entende les mots un peu osés que les filles avaient échangés, que je vois Estelle en train de se caresser pour me souvenir que j’avais un sexe moi aussi.
De l’autre main je saisis la seconde petite lèvre et ouvris mon sexe plus franchement. Je pus voir alors une goutte de rosée perler.
— Mais je mouille, je mouille.
En disant cela je sentais mon sexe couler de plus en plus. Je passais un doigt pour recueillir le jus. Le contact de mon doigt avec la muqueuse me fit gémir un peu plus fort et je vis apparaître, jaillissant hors de son capuchon, mon clitoris.
— Je l’avais oublié celui-la, pourtant je crois me souvenir qu’il était bien présent autrefois, très présent même étant donné son volume.
C’est vrai j’avais un clitoris très développé et il avait toujours été le principal sujet de mes jouissances. Plus mon attention se concentrait sur lui et plus il grossissait.
– Que veux-tu, lui dis-je, une caresse ?
Mon doigt se posa dessus. Aussitôt une décharge électrique me traversa et un flot de cyprine coula le long de ma cuisse. Mon clitoris était devenu énorme et dur. Mon doigt le quitta pour s’enfoncer dans le sillon et le ramenais aussitôt, tout mouillé, vers mon bouton. Je répétais ce geste plusieurs fois. Et retrouvais ainsi les automatismes de la masturbation.
— Je me branle ! Je me caresse ! Mon dieu que c’est bon ! Il y avait si longtemps !
J’étais déchaînée. Une véritable frénésie s’empara de mon corps tout entier. Je déboutonnais le haut de ma robe, glissais une main à l’intérieur de mon soutien-gorge et me triturais les mamelons.
— Mais je vais jouir ! Je n’eu pas la temps de finir ma phrase que mes jambes se dérobèrent sous moi, m’affalant sur le lit en attendant que les derniers spasmes s’estompent et savourais avec une immense joie cette jouissance que je croyais à jamais disparue.
– Merci Claire, merci Estelle.
Quand je redescendis, la cuisine était nickel. Estelle était repartie chez elle et Claire, assise sur le canapé, regardait la télé. Je lui lançais un grand sourire.
J’étais bien, je flottais. Je savais que maintenant, rien ne serait comme avant. Mon corps s’était réveillé.
Durant la semaine qui suivit, je me masturbais au minimum une fois par jour comme si je voulais rattraper les 12 années que j’avais perdues. A chacune de mes masturbations, je revoyais l’image d’Estelle et de Claire dans la cabane. Aussi, j’attendais avec impatience le mercredi suivant.
Dès que ma fille et Estelle furent enfermées dans la cabane, j’allais rejoindre mon poste d’observation. Les deux filles étaient debout et s’embrassaient en se caressant la poitrine. Elles parlaient de leurs seins.
– Continues Estelle, ça me fait mouiller.
– Toujours aussi rapide, hein Claire, t’en as de la chance.
– Viens vite je ne peux plus attendre.
Claire se débarrassa de sa culotte et s’assit à même le sol, cuisses écartées.
– Regardes Estelle, je suis trempée.
– En effet, on dirait que tu ne t’es pas branlée depuis une semaine.
– Tous les jours je me branle mais quand je suis avec toi, ici, j’ai encore plus envie. Enlèves ta culotte, vite ! Je veux voir ton minou.
Estelle se déculotta, lentement pour la faire languir. Claire ne pouvait plus attendre et commençait à se caresser. Estelle n’avait pas encore fini d’enlever son slip que déjà ma fille jouissait.
– 1 à 0 dit Estelle en se mettant un doigt dans sa fente.
– Attends je vais t’aider à me rattraper.
Estelle écarta ses cuisses et à deux mains, ouvrit son sexe. Claire y plongea ses doigts.
– Tu aimes cela n’est-ce pas, tu aimes que je te branles.
– Oui, oui j’aime. Vas-y plus fort, plus vite, n’oublies pas mon petit bouton. Ca vient, oui ! je jouis..
Accroupie derrière la cabane, je ne perdais pas une miette du spectacle. Ma culotte était trempée.
Malgré le sentiment de honte qui m’envahissait en jouant les voyeuses, j’étais très excitée. A un moment j’ai même eu la pensée que j’aurai aimé être avec elles.
J’étais dans ma rêverie quand je vis Estelle se pencher et plonger sa tête entre les jambes de Claire. Un frisson me parcourut. J’avais l’impression de sentir cette bouche sur mon propre sexe et l’orgasme me surprit sans m’être touchée.
La chatte en feu je courus vers la maison. Je n’eus pas le courage de monter dans ma chambre. J’avais une furieuse envie de jouir encore.
Je m’affalais sur le canapé et passant une main dans ma culotte je saisis mon clito et un orgasme fulgurant me secoua. Repue, je sombrais dans un demi-sommeil, la tête remplie des images de ma fille et d’Estelle. Ma main toujours dans la culotte j’entretenais mon excitation.
Je n’avais plus de notion du temps.
Lorsque je rouvris les yeux, Claire et Estelle étaient devant moi.
J’ôtais rapidement ma main de ma culotte. Depuis combien de temps étaient-elles là ?
– Oh Claire ! Que vas-tu penser de ta mère maintenant que tu viens de la surprendre en train de se. de se..
Je n’arrivais pas à prononcer le mot. Claire vint à mon secours.
– Branler, Maman en train de te branler.
Bien que ce mot me choquait un peu, je remerciais ma fille de l’avoir prononcé à ma place.
– Oui ma chérie ! Mais que vas tu penser de moi ? Et Estelle ?
– Je trouve cela normal, tu sais, j’ai 18 ans et j’ai déjà appris à me donner du plaisir et pour Estelle, il n’y a pas de problème, elle se caresse aussi depuis quelque temps. N’est-ce pas Estelle ?
– Bien sur, je vous jure que cela restera entre nous. Ce sera notre secret.
– Mais, reprit Claire, pourquoi as-tu fait cela dans le salon aujourd’hui ?
Je me mis alors à leur avouer que je les avais vues dans la cabane la semaine dernière et que grâce à elles, j’ai redécouvert que j’avais un corps, moi aussi, qui, bien qu’en sommeil depuis 12 ans, s’était tout à-coup réveillé et, aujourd’hui, les sachant ensemble (je ne voulais pas leur dire que je les avais de nouveau épiées) cela m’avait fortement excitée.
Estelle prit alors la parole.
– Madame.
– Juliette, dis-je, appelles-moi Juliette
– Oui Mad. Euh Juliette, pour vous rassurer je vais vous raconter mon histoire.
Puis se tournant vers Claire
– Tu la connais, toi Marion.
– Oui, répondit-elle et c’est à cause d’elle que tout à commencé entre nous.
– Vas-y Estelle, je t’écoute .
– Ma mère qui est à peu prés de votre âge, est souvent seule la semaine car mon père, voyageur de commerce ne rentre que pour le Week-end. Il y a un an environ, mon prof de gym était absent et le cour qui devait durer deux heures fut annulé. N’ayant pas d’autre cour après, je décidais de rentrer chez moi. La maison était silencieuse. Je montais l’escalier et par la porte entrebâillée je vis ma mère allongée nue sur son lit.
Ce fut déjà une surprise pour moi de voir ma mère nue, mais quand je vis sa main s’agiter entre ses cuisses largement ouvertes, je fus doublement intriguée. Je suis restée plantée là jusqu’au moment où je vis son corps s’arc-bouter pendant qu’elle poussait de petits cris, puis elle retomba inerte.
A ce moment du récit je me revis, leur donnant le même spectacle.
– Qu’as-tu fait alors, questionnais-je ?
– J’ai pensé que ma mère avait eu un malaise et je suis rentrée dans la chambre. Elle parut surprise mais ne fit rien pour se couvrir.
Estelle continua son récit.
– Que t’arrive-t-il, maman lui demandais-je ?
– Approches, me dit-elle, tu es grande maintenant. Tu te souviens quand je t’ai expliqué comment se faisaient les enfants ?
– Oui.
– Alors je dois aussi te dire que lorsque le papa vient déposer sa petite graine cela donne beaucoup de plaisir à la maman et à lui aussi et ce plaisir est si fort que l’on a envie de le faire souvent et pas seulement pour avoir des enfants. Et quand le papa est souvent absent, comme le tien, on peut avoir le même plaisir en remplaçant le zizi par ses doigts. As-tu compris Estelle ?
– Oui maman, je peux te poser une question ?
– Bien sur, ma fille, je t’écoute.
– Si l’on n’a pas l’âge pour avoir un mari, peut-on quand même avoir du plaisir ?
– Pourquoi cette question ?
– Parce que, depuis quelques temps, j’ai des picotements dans mon minou et lorsque je le caresse ça me fait du bien.
– As-tu déjà éprouvé un grand plaisir ?
– Non ! Je ne crois pas, c’est seulement des sensations agréables. Maman pourrais-tu me montrer comment on peut avoir ce grand plaisir ?
– Non ma chérie, c’est une chose personnelle, tu le découvriras par toi-même.
Je n’ai pas insisté. Voilà, Juliette, mon histoire.
– Mais ensuite, demandais-je à Estelle , curieuse, qu’as-tu fait ?
– Ce soir là, dans mon lit, j’ai prolongé mes caresses et j’ai enfin ressenti ce grand frisson dont ma mère me parlait.
– Et, continua Claire, le lendemain, Estelle me fit part de sa découverte. Bien sur, j’ai voulu, immédiatement, essayer moi aussi, alors, nous nous sommes caressées face à face et j’ai eu un si grand plaisir que, ce jour là, j’ai recommencé trois fois.
– Vous ne faites ça que le mercredi, questionnais-je ?
– Ensemble oui, répondit ma fille, mais nous le faisons chaque soir dans notre lit et le lendemain on en parle, attendant avec impatience le mercredi suivant.
– N’avez-vous jamais eu envie de vous caresser mutuellement ?
A cette question, ma fille et Estelle se regardèrent et se sourirent. Elles semblaient attendre l’approbation de l’une ou de l’autre pour en parler. C’est Estelle qui répondit.
— Oui, nous avons échangé nos mains et pas seulement les mains.
Bien que sachant de quoi elles voulaient parler, je fis l’innocente.
– C’est à dire ?
– Nous nous caressons aussi avec la langue.
– Et qui en a pris l’initiative ?
– Toutes les deux, répondit Claire, cela s’est fait naturellement en regardant des revues osées qu’Estelle avait chipées dans la chambre de ses parents.
– Je suppose, continuais-je, que dans ces revues il y a aussi des photos d’hommes et que les garçons doivent vous intéresser ?
– Bien sur, nous en parlons beaucoup et cela nous excite mais, nous sommes encore trop jeunes pour les inclure dans nos jeux.
J’étais rassurée. Les filles n’étaient pas lesbiennes, elles voulaient simplement découvrir leur sexualité. L’atmosphère s’était détendue et je sentais une grande complicité s’installer entre nous trois.
Les filles prirent leur goûter et avant que Estelle ne quitte la maison, je la rassurais en lui faisant comprendre qu’elle serait toujours la bienvenue.
Je préférais, en effet, qu’elles continuent leur apprentissage ici plutôt que de risquer de se faire surprendre en d’autres lieux.
Toute la semaine, chaque soir, je me suis masturbée en pensant à ma fille qui devait faire la même chose, dans sa chambre, à deux pas de moi et il n’en fallait pas plus pour me faire jouir
A suivre