Clochard
Connaissance
Je pense que pour comprendre cette histoire, il faut remonter loin dans le temps car aujourd’hui je suis un vieux monsieur. Quand jétais enfant, il ny avait pas danimaux à la maison. Je ne sais pas pourquoi. Ni chiens, ni chats. Mes parents naimaient sans doute pas particulièrement les bêtes. Quoiquil en soit, peut-être est-ce pour cette raison que tout au long de ma vie jai eu des rapports contradictoires avec les chiens.
Dun coté, jai toujours été étonné de constater que les chiens, eux, semblaient mapprécier. Chaque fois que je me trouvais dans un lieu, dans la rue ou chez des amis par exemple, les chiens venaient vers moi pour se faire caresser, venaient se coucher à mes pieds. Je pensais que leur instinct aurait du leur faire sentir que de mon coté, je ne ressentais pas daversion, mais pas non plus dattirance.
De lautre coté javais une certaine appréhension des chiens, jen avais un peu peur. Par méconnaissance sans doute. Jai fait vraiment connaissance avec les chiens beaucoup plus tard, lorsque jai vécu avec une femme qui, elle, avait toujours eu des chiens. Même si cela est une autre histoire, je crois que cest seulement à partir de ce moment que je nai plus eu peur des chiens.
Nous avions à cette époque une très belle chienne qui sappelait Eva. Cétait un lévrier de pure race dont javais fait cadeau à mon amie et qui vivait donc avec nous. Cétait moins facile que maintenant davoir un chien, car je venais daménager dans la maison et le jardin nétait pas encore clôturé.
Un matin nous avons trouvé une espèce de bête hirsute, au bord de la piscine. Cétait manifestement un chien errant. Sans collier, jeune. Un chien, bâtard, plein de puces et de tiques surtout, très maigre, sale, puant. Bref dans un état lamentable et pitoyable. Evidemment mon amie lui a donné à manger en mexpliquant quon ne pouvait vraiment pas le laisser dans cet état. Mais quelques minutes après avoir mangé, le chien a disparu et nous avons oublié lincident. Cependant le lendemain le chien est revenu. On a donc convenu de le garder quelques jours pour quil se refasse une santé. Et il était convenu quaprès le chien serait amené à la SPA (société protectrice des animaux) pour quil trouve un nouveau maître. Et cette fois il est resté et Eva, notre chienne, a commencé à jouer avec lui. Bien entendu jai vite été convaincu que le chien ferait un compagnon pour elle, et nous lavons gardé.
Cest ainsi que nous nous sommes retrouvés avec deux chiens. Les choses se sont bien passées et Eva ayant été opérée, cela évitait des problèmes. Quant au chien, je lai baptisé clochard en souvenir du fait que cétait un vrai clochard quand il est arrivé. Mais il est toujours resté indépendant et quelques fois il disparaissait une journée entière. Au début cela ma paru naturel puisque cétait somme toute un chien sauvage. Mais dune part il revenait souvent dans un piteux état après sêtre battu, et dautre part les voisins se plaignaient quil pénétrait chez eux. Jai donc fait clore une partie du jardin.
Quelques temps après nous nous sommes séparés. Mon amie est partie avec la chienne et moi je suis resté avec le chien. En quelque sorte, le chien et moi sommes restés sans compagne. Peu à peu, je me suis pris daffection pour ce chien. Il était intelligent, comme la plupart des bâtards, et affectueux. Je pense aussi que la présence dun chien peu aider à supporter la solitude que lon éprouve après une séparation. Bientôt, il ma suivit au commerce que jexploite. Puis il a accompagné les clients à la plage. Il était finalement connu dans tout le quartier. Le seul problème était son agressivité avec les autres chiens. Il se battait avec tous, quelle que soit la taille de lautre. Je me souviens avoir été obligé de le séparer avec le jet deau que jutilise pour arroser le jardin, un jour où il se battait avec un autre chien !
Première fois
Cest ainsi que peu à peu mon affection pour clochard a pris de limportance. Il adorait jouer et nous le faisions souvent. Cest ainsi quun soir en batifolant avec lui dans lherbe, je me suis fait la réflexion que lui aussi se trouvait sans compagne. Et que cétait un peu par ma faute puisque sa compagne était partie avec mon amie et que je le tenais enfermé pour éviter les problèmes de voisinage. Pour la première fois lidée de le toucher ma traversé lesprit. Pour la première fois jai eu envie daller plus loin. Mais que faire, comment faire ?
Le temps passa car jai mis longtemps à me décider, à surmonter sans doute mes appréhensions. A peser le pour et le contre. Quelques semaines après, un soir, jétais au lit et Clochard dormait au pied du lit. Je narrivais pas à dormir, et jai repensé à tout ça. Je pensais en moi-même que faire des attouchements à mon chien était une perversion. Oui, sûrement, mais je me disais aussi quil ny avait pas de mal à cela. Je pensais que cétait lui donner du plaisir. Oui, mais où est le plaisir que peut ressentir un chien ? Justement, cest une occasion dessayer, dapprendre. Et qui le saura ? Et puis cest aussi une manière de lui témoigner de laffection. De lui montrer que je comprends son manque, de me faire pardonner sa solitude. Mais enfin, cest un chien ! Tu ne vas quand même pas caresser un chien ! Et pourquoi pas ?
Finalement je crois que cest mon envie et surtout ma curiosité qui a été plus forte que tous les autres arguments, que tous les discours de moralité. Javais déjà dépassé le blocage. La barrière, le tabou sétait effondré. Je me sentais libre.
Je me suis levé et je suis venu masseoir à coté de mon chien. Clochard ma regardé, sans comprendre sans doute ce que jallais faire. Jai commencé de passer ma main, doucement, sur son poitrail, puis sur son ventre. Comme pour mencourager, clochard sest mis sur le dos, ouvrant largement ses pattes. Jai continué à le caresser doucement tout en lui parlant. Petit à petit ma main sest rapprochée de son sexe que je ne pouvais pas voir car il était abrité à lintérieur de son fourreau. Enfin le dos de ma main est parvenu à toucher son fourreau. Alors ma main a pris de lassurance et a commencé de se frotter tout le long de son fourreau. Clochard na pas bougé. Nous sommes restés comme ça un moment. Tout en continuant de le caresser, ma main est descendue jusquà ses bourses. Je les ai touchées, massées ; elles étaient rondes, bien fermes. Je dois dire que cétait pour moi une impression nouvelle. Un toucher agréable. Je me suis demandé ce quune femme pouvait ressentir quand elle caressait les bourses dun homme, quand elle jouait avec, comme je le faisais en ce moment. Mon chien na pas eu de réaction de rejet et jai pensé que je pouvais aller plus loin.
Mes doigts sont venus enserrer son fourreau, comme je laurais fait avec ma propre verge. Ma main a commencé un lent va et vient sur ce fourreau et bientôt, jai été rassuré. Jai su que Clochard éprouvait quelque chose, je le sentais vibrer et je voyais maintenant la pointe de sa verge qui sortait du fourreau. Jétais content davoir osé, jétais content davoir transgressé les tabous. Je me sens bien.
Ma main montait et descendait le long de son fourreau et peu à peu clochard sest mis à bander, maintenant je voyais sa verge apparaître, je la voyais grossir. Elle était presque entièrement dégagée de son étui. Cétait la première fois que je voyais daussi près le pénis de Clochard. Mais j’en voulais plus, je voulais quil se découvre entièrement, ce sexe. Jai continué de tirer en arrière la peau de son fourreau chaque fois que ma main descendait et bientôt jai vu apparaître son nud. Enfin je suis arrivé à découvrir complètement cette boule. Et je pouvais maintenant regarder, comme jamais je ne lavais fait, le sexe de clochard lorsquil bande. Il était pratiquement de la même taille que le mien. Il était dune couleur rosé. Il était très raide. Finalement je lai trouvé assez beau et fier, ce membre. Il était presque de la même forme que le mien, excepté la pointe plus effilée et cette boule, ce nud en arrière de son pénis.
Mais ce que je voulais, cétait le masturber. Avec ma main, jai serré son pénis, en arrière de son nud, dans lespoir de le faire éjaculer. Jai repris ma masturbation, sans trop bien savoir comment faire. Un peu de liquide presque transparent sest écoulé de la pointe de sa verge. Bientôt clochard a récompensé mes efforts en accompagnant les gestes de ma main avec son corps. Jai pensé quil voulait maider en se frottant lui-même contre ma main. Il a accéléré ses mouvements, et cela ma incité à faire de même avec ma main. Cétait un spectacle assez fascinant. A ce moment je ne pensais plus à rien, et tout ce qui avait pu me retenir était oublié, envolé ! Je ne pensais quà mappliquer pour obtenir son plaisir. Je voulais voir son sperme jaillir de son pénis.
Je ne me souviens plus combien de temps je lai masturbé. A un moment je me souviens avoir posé mon autre main sur ses bourses, les avoir caressé. Enfin, brusquement, des jets de sperme se sont échappés de son sexe. Cest impressionnant la quantité de liquide qui a jailli de sa verge, javais limpression que ça nallait pas sarrêter. Il y en avait partout, y compris sur ma main et sur mon bras. Je ne savais pas quoi faire, je craignais de lui faire mal si je continuais, mais sa semence continuait de séchapper de sa verge. Finalement, après plus de 10 minutes, la source sest tarie et cest Clochard qui, de lui-même, sest retiré de ma main. Il sest éloigné de quelques mètres, et il a commencé de nettoyer son sexe avec sa langue. Je le voyais sappliquer. Et peu à peu son sexe est rentré dans son fourreau. Quand il a eu fini, il est venu vers moi et ma léché la main et le bras avec sa langue, pour faire disparaître toute trace de sperme.
Autre chose
Les semaines sont passées. Nous avons recommencé lexpérience, je crois avec le même plaisir. Puis, jai eu envie daller plus loin. Cest alors que je me suis mis à rechercher des sites Internet ou des forums sur la zoologie et la bestialité. Jen ai trouvé. Peu, mais il y en a quand même quelques uns, surtout en anglais. Et jai appris beaucoup de choses, et surtout que je nétais pas le seul. Jai découvert quil y avait beaucoup de gens, hommes et femmes que cela intéressaient également. Des gens qui avaient la même curiosité que moi. Jai appris aussi que la zoologie et les rapports sexuels entre les humains et les animaux étaient une chose qui remontait à la nuit des temps. Jai lu beaucoup darticles expliquant comment faire, comment avoir des rapports sexuels avec un chien. Et un jour, jai décidé de faire le pas, daller plus loin encore avec Clochard.
Je me souviens que cétait un jour de semaine et que javais décidé de lemmener à la plage. Il y avait effectivement peu de monde. Comme dhabitude, en rentrant jai douché Clochard avec le jet pour lui enlever leau salée et le sable. Il naimait pas ça, mais finalement il acceptait. Après la douche il aimait sébrouer et généralement il éclaboussait partout. Jai fini de lessuyer avec une grande serviette. Et jai commencé à le caresser. Maintenant je savais mieux comment my prendre et je crois que lui aussi. Ce nétait plus la découverte de la première fois, mais je crois que son plaisir était le même, quil savait ce qui allait se passer et quil lattendait.
Clochard était sur ses quatre pattes, et javais étendu la serviette sur le sol. Torse nu, je me suis glissé sous son ventre, et couché sur la serviette. Son sexe était vraiment très près de mon visage. Comme les autres fois, jai commencé par le caresser en lui parlant doucement. Puis je lai branlé à travers son étui. Rapidement son sexe est sorti et il sest mis à grossir. Bientôt jai eu sous les yeux sa verge entière qui bandait, luisante et rouge. Déjà un liquide, dont javais appris que cétait son liquide séminal, sécoulait doucement de son sexe. Jai reçu quelques gouttes chaudes sur le visage. Malgré la décision que javais prise, je dois reconnaître que jai quand même hésité. Mais jétais allé trop loin pour reculer maintenant. Et au fond de moi, je voulais faire cette expérience.
Jai avancé ma tête et jai sorti ma langue. Avec le bout, jai à peine touché lextrémité de sa verge pour goûter un peu de ce liquide. Il était chaud, mais presque sans goût. Rien de désagréable. Alors je me suis enhardi et cette fois jai fait courir ma langue tout le long de son membre. Je savais maintenant que tout ce membre est en fait comme notre gland, aussi sensible. Cétait chaud et luisant de ma propre salive. Pendant un long moment jai continué de le caresser ainsi, avec ma langue, faisant le tour de son membre. Je sentais cette verge qui tressautait. Je me suis habitué à son goût, fort, un peu acre. Ma langue maintenant nhésitait plus. Toute entière, sans aucune retenue, elle léchait cette verge. Je nai ressenti aucun dégoût. Et même si je ne peux pas faire de comparaison, je pense que ça ne doit pas être très différent dun sexe dhomme. Mais je voulais faire plus. Je lavais déjà décidé. Et à la vérité, à ce moment là je crois que, en plus, jen avais vraiment envie.
Mes lèvres sont venues senrouler sur lextrémité de son gland. Je suis resté dans cette positon, sans bouger. Cétait encore une sensation nouvelle. Cela ma rappelé la texture dun letchi, mais plus ferme. Javais entre mes lèvres quelque chose de vivant. Je sentais comme des palpitations. Cétait chaud et finalement dun goût qui nétait pas désagréable. Pourtant jhésitais encore à aller plus loin, à le prendre vraiment dans ma bouche, ce sexe que javais sur le bord des lèvres. Mais finalement je nai pas eu à hésiter bien longtemps. Clochard a pris la décision pour moi, et dun puissant mouvement en avant, cest lui qui a pénétré ma bouche.
Voilà, cette fois, cétait arrivé. Je crois que je nai pas réalisé sur le moment toute lampleur de ce que je vivais. Toute limportance de ce qui marrivait. Et pourtant, oui, cétait bien moi. Cétait bien ma bouche qui était remplie par ce sexe qui devenait de plus en plus gros. Clochard était en train de prendre du plaisir dans ma bouche ! Cétait bien moi qui était en train de sucer mon chien. Jétais en pleine bestialité. Comment avouer, comment avouer à moi-même quen plus je ne trouvais pas cela désagréable ? Comment reconnaître que jétais aussi en train de prendre un certain plaisir ? Ca paraît impensable et pourtant à ce moment je ne pensais quà sucer cette verge qui allait et venait de plus en plus vite, et qui cherchait à me pénétrer de plus en plus profondément. Je mappliquais à la serrer avec mes lèvres pour mieux la cerner. Je sentais les jets réguliers de son sperme chaud envahissant ma bouche.
Jaurais voulu rester ainsi, permettre à Clochard de se déverser complètement en moi. Mais je nai pas pu. Ma bouche sest remplie rapidement avec le flot de son sperme. Jen ai avalé involontairement une petite partie, mais bientôt je me suis étouffé et jai du me reculer pour pouvoir respirer. Pendant ce temps, la semence de mon chien continuait de se déverser. Maintenant cétait mon visage et mon torse qui étaient aspergés. Cette fois encore jai été surpris par la quantité et la chaleur de sa semence. Finalement Clochard a fait quelques pas et il sest assis. Comme les autres fois, il a entrepris de se nettoyer jusquà ce que sa verge rentre dans son fourreau.
Pendant ce temps, jétais resté allongé sur la serviette, abasourdi par ce qui venait de marriver. Je commençais seulement de vraiment réaliser ce que javais fait. Enfin Clochard est revenu vers moi, pour me nettoyer avec sa langue râpeuse et faire disparaître toute trace de son sperme. Puis il est parti un peu plus loin, comme si rien ne cétait passé. Quant à moi, jai commencé par prendre une longue douche. Je sais que ça peut paraître incroyable, mais sous cette douche, je me suis masturbé. Je néprouvais aucun remord. En fait, je venais de réaliser que non seulement je navais éprouvé aucun dégoût, mais quen plus javais trouvé cela agréable, pour ne pas dire plus. Plus grave encore, jai découvert que si javais éprouvé le besoin de me masturber juste après ce que je venais de faire, cest parce que je me sentais frustré.
Cest ainsi que jai pris la décision de recommencer un autre jour à sucer mon chien. Jai eu envie de recevoir encore son gros sexe tendu dans ma bouche. Mais plus encore, cest alors que jai décidé daller encore plus loin. Cest alors que je me suis rendu compte que javais finalement envie quil me prenne. Et que jai décidé de le faire. Oui, je voulais sentir son sexe en moi. Je voulais quil me pénètre de toute sa verge. Javais envie quil me déflore lanus.
Epilogue
A quelques temps de là, Clochard se trouvait avec moi à mon commerce. Jétais en train de discuter avec des clients quand il est parti comme une flèche. Il venait de voir un chien de lautre coté de la rue et allait chercher encore une fois la bagarre. Il na jamais traversé cette rue. A ce moment arrivait une grosse moto qui la heurté de plein fouet. Il est mort, presque dans mes bras et je ne pourrais jamais oublier son regard. Je suis resté des années avant dadmettre un autre chien à la maison.
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