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La caissière et son patron – Chapitre 4

La caissière et son patron - Chapitre 4



Ce chapitre fait suite au chapitre 2. Le 3 ayant disparu le dénouement de l’histoire a été remanié pour faire suite au n°2

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Chapitre 3 : délivrance

Cette situation commençait à être intenable. Jétais considéré comme une prostituée par mon patron tous les soirs où jétais de fermeture. Il nétait pas rare que je parte menfermer dans les toilettes pour pleurer sur mon sort durant mon service. Cest lors dun de ces moments de grande déprime que mon salut arriva. Je venais de me vider les glandes lacrymales et en sortant des toilettes je vis Roseline, ma chef mobserver avec mon rimmel coulant sur mes joues.

— Sarah ? quest ce qui ne va pas ? Tu as un problème ?

— Rien qui ne te concerne.

— Oui mais vu ton état je vois que quelque chose te tracasse. Si tu veux tu peux men parler. Ok je suis ta supérieure mais aussi ton amie.

— Ecoute je ne veux pas tattirer des ennuis en te mêlant aux miens.

— Mattirer des ennuis ? ça a un lien avec le boulot ? Tu veux que je vois ça avec le boss ?

— Non surtout pas. Ne le mêle pas à ça.

— Ça a un rapport avec lui alors.

— Ecoute sil te plait ninsiste pas.

Devant linsistance de Roseline je me remis à sangloter recroquevillée et assise sur le carrelage. Elle sasseye à coté de moi et sa main sur mon épaule elle me dit :

— Je crois que jai deviné. Dune manière ou dune autre il te fait du chantage et profite de toi.

— Comment tu le sais ? lui répondais-je, étonnée de sa perspicacité.

— Jai commencé à men douté quand il a insisté pour que tu sois de fermeture. Il ne lavait quasiment jamais fait et puis une fois où javais oublié mon sac, javais entendu du bruit derrière la porte du bureau du patron mais sans savoir vraiment ce quil sy passait.

— Ok mais jai comme limpression que ça te touche plus que ça. Tu as deviné beaucoup trop rapidement.

— Effectivement.

Là, Roseline se leva, me tourna le dos et inspira un bon coup.

— Il .. Il mest arrivé la même chose. Il y a 20 ans. Je venais darrivé en France clandestinement et il le savait. Il sest servi de ça pour ma faire du chantage et il .. il ..

— Il ta violé ? Comme il la fait avec moi ?

— Oui . mais je ne vois pas comment il te tient toi.

Après toutes ces confidences, jentrepris de lui raconter mon histoire. Le vol dans la caisse la caméra de surveillance et linfâme chantage quil exerçait sur moi.

— Ok, là cest plus clair. Ecoute je te propose de venir à la maison ce soir. Moi il a fini par me laissé mais avec toi, il peut continuer encore longtemps. Tu viens à la maison ce soir et on voit ce quon peut faire. A lépoque je navais pas eu le courage de faire quelque chose. Mais cette fois on est 2, on devrait pouvoir faire en sorte de lenvoyé à lombre.

Après sêtre mis daccord le soir même, on se donna rendez vous chez elle pour dîner. En arrivant chez elle je fus accueilli par son fils. Un jeune homme de 19 ans, un peu rondouillard mais souriant et plutôt sympas. Toutefois, à le regarder, javais limpression de le connaitre ou du moins de lavoir déjà vu quelque part. Roseline arriva et son fils nous laissa parler seule.

— Avant de commencer je suppose que tu te demande pourquoi je reste à bosser avec lui.

— Oui ça mintrigue.

— Disons quon a conclus un accord. Il arrêtait dabuser de moi et je ne divulguais pas son petit secret en échange dune paie bien juteuse.

— Et ça ta suffit ? Moi je naurais jamais supporté de le voir constamment, tous les jours.

— Il me fallait cet argent. A lépoque jétais jeune naïve et sans ressource. Et puis javais mon fils. En plus lui était marié. Ça plus un scandale, il ne le voulait pas.

— Et cest quoi ce secret ?

— Il .

A ce moment là le fils de Roseline arriva en annonçant à sa mère son intention de sortir avec ses copains de lycée. Cest là que je compris. De près je ne men étais pas aperçu mais de loin je remarquai de suite la ressemblance frappante entre le fils de mon amie et celui que javais deviné être son père : Le patron.

— Inutile de continuer je viens de comprendre.

— . Quand je me suis rendu compte que jétais enceinte le délai légal pour avorter était déjà passé. A sa naissance, je nai pas eu le courage de labandonner. Même si la ressemblance physique est flagrante, cest le seul point commun quil a avec son père. Il est tout ce quil nest pas.

— Et il sait qui est son père ?

— Non et il sen fout.

— Tant mieux. Il ne nous en voudra pas si on arrive à lenvoyé en prison.

— Jy ais réfléchi et je pense avoir une idée. Mais pour ça il va falloir le subir encore un peu.

— Si cest pour se débarrasser de lui je suis prête à tout.

— Je te propose de le faire chopper en flag. Moi je pars voir les flics. Si ça viens de moi il ne verra pas le coup venir. Toi tu ne changes rien. Son attention est focalisée sur toi en ce moment. Il ne doit se douter de rien.

— OK, Seule je naurais probablement jamais eu le courage de me rebeller. Merci

— A 2, on sera beaucoup plus fortes.

Le temps que Roseline aille voire les gendarmes et planifie le flagrant délit, javais dû le subir 2 soirs de suite. A chaque fois il maccueillait avec un sourire en total opposition avec la moue que jaffichais pour donner le change. En réalité jétais partagé entre lenvie de létrangler moi-même de mes propres mains et la joie de savoir notre piège se refermer petit à petit sur lui. Le fait de savoir que je nétais plus seule semblait me donner le courage qui me manquait.

Cest le vendredi soir que lintervention des gendarmes était planifiée. Comme tous les soirs il mattendait derrière son bureau. Il avait encore prévue un délire tordu : Jétais sensé être une jeune et jolie stagiaire qui devait accepter les avances de son patron pour être embauchée. Bref ce nétait pas si loin de la réalité. Ce quil ne savait pas cest que je portais un micro qui avait enregistré ses ordres et qui allait enregistrer la scène. Scène dont le thème allait parfaitement coller avec le piège. Sans le savoir il tendait le bâton pour se faire battre. Sur le parking, la camionnette des flics attendait le signal. Roselyne, en liaison radio avec eux, prêtes à leur ouvrir la porte et à les guider. Avant de monter le voir je voyais Roseline qui me disait « courage, cest bientôt fini ».

— Bonjour monsieur le directeur,

— Bonjour mon petit. Alors tu as réfléchi à ce que je tai dit ? Une place de caissière titulaire en échange de moments privilégiés avec moi.

— Non, je ne suis pas une pûtes. Lui dis-je sachant pertinemment quil aimait casser ma résistance.

— Très bien alors si tu veux pas coucher, tes viré.

— Vous ne pouvez pas faire ça. Jai besoin de travailler.

— Si tu veux bosser va falloir le prouver. Si a 3 tu nes pas sous mon bureau. Je te vire. .1 ..2

— Cest bon, Jaccepte.

Là je me dirige sous son bureau à 4 pates et commence à le déculotter. Je savais que les gendarmes avaient besoin de plus de preuve. En labsence dimage il fallait que je le fasse parler. Après lavoir sucé, il me releva, allongé sur son bureau, marracha la panoplie quil mavait fourni, me pénétra dun coup sec et commença à me besogner en poussant des soupirs de satisfaction.

— Ah cest toujours aussi bon. Je me souviens encore du jour ou je tai dépuceler sur mon bureau. Ta souffrance, à lépoque, était un met de choix.

Je voyais là lenchaînement pour aborder mon viol systématique. Jallais fournir aux gendarmes qui nous écoutaient, tout ce qui leur fallait.

— Malheureusement je men souviens aussi. Cest depuis ce jour que vous me violez à chaque fois que je suis de fermeture de magasin.

— Oui Javoue que jaime que tu sois mon jouet. Cest un vrai plaisir de pouvoir disposé de ton joli corps quelques soirs par semaine.

Après un discours pareil on entendit derrière la porte un bouquant pas possible dans lescalier qui menait aux bureaux de la direction. Juste après quelquun frappa à la porte.

— Police nationale, ouvrez la porte.

Le patron, surpris de cette intrusion se mis à bégayer.

— Vous avez un manda ? quest ce qui se passe ?

— On nest pas en Amérique. Si vous nouvrez pas la porte dans les 3 secondes, on va la forcer.

Cest alors quil aperçu un sourire sur mon visage. Du coup cétait loccasion rêvée de voir la terreur sur le sien.

— Au secours, a laide, il est en train de me violer.

A ce moment là un des gendarme, une armoire à glace, genre catcheur donna un grand coup de pied dans la porte et fit sauter la serrure. Lescouade de 5 gendarmes, accompagné de Roseline pouvait admirer la scène : Moi, nue, les vêtements déchirée au sol, allongée sur le dos sur son bureau, lui me recouvrant de toute sa masse, chemise ouverte et le pantalon sur les chevilles. Nous fumes très vite séparés. Roseline me recouvrit dune couverture en me glissant un petit « cest fini » à loreille. Lui nous regardait, il était plaqué au sol par les flics qui lui passaient les menottes.

Il fut très vite condamné et envoyé en prison. Durant toute la procédure de condamnation, je métais rapproché du gendarme qui avait défoncé la porte. Je le voyais comme un Zorro et on se voyait fréquemment. Il minformait quil se faisait très souvent rudoyer par ses compagnons de cellule. Il faut dire quavec son poids, il donnait limpression davoir des seins. Par pure vengeance sadique je limaginais devenir la chose dautres détenus dans les douches. Je sais cest méchant mais après avoir vécu ce quil mavait fait subir, je pouvais me le permettre. Durant la procédure, avec Roseline, on avait du étalé au grand jour notre histoire. Le meilleur moment fut quand même la présentation du fils de Roseline. Voyant son père pour la 1ère fois, il trouva une occasion de lui envoyer son point dans la figure sous un tonnerre dapplaudissement.

Aujourdhui on a changé de boulot, Moi comme Roseline. On a une vie bien rangée et on se voit très souvent. Je vis avec mon gendarme qui ma soutenu et a su avec de la persévérance me réconcilier avec la gente masculine. Il a galérer avant quon ait pu avoir notre 1ère nuit. Il faut dire que ma 1ère fois était un viol assez brutal. Mais avec lui cest douceur tendresse et respect mutuel.

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