Samedi 10h15
Sophie termine le petit déjeuner qu’elle a fait servir dans sa suite. Elle se lève de table et s’étire après une bonne nuit de repos, peuplée de songes érotiques remplis de tout ce qu’elle rêve de faire avec Arthur.
Rien qu’en y pensant, elle sent ses tétons se dresser sous sa fine nuisette et son ventre s’enflammer. Il est pourtant beaucoup trop tôt pour envisager quoi que ce soit car il doit sûrement travailler à cette heure-ci.
Il est donc plus raisonnable de prendre sa douche et de savourer le bel environnement de l’hôtel.
Elle se dirige vers la salle de bain, se débarrasse de sa nuisette et entre dans la douche. Comme elle a découvert la veille les dons cachés des jets latéraux, elle en profite pour se faire plaisir un long moment sans cependant se laisser aller jusqu’à l’orgasme.
Après dix minutes à se frotter aux jets et à se retirer juste à temps, elle décide de passer à autre chose.
Elle quitte la douche, se sèche et va dans sa chambre. Elle se dirige, toujours nue, vers le dressing d’où elle sort son sac de voyage dans lequel elle se met à fouiller.
Elle en retire les quelques sextoys qu’elle a emportés au cas où…
Elle les dispose sur la tablette de la salle de bain, en choisit un et retourne dans sa chambre où elle se couche sur le lit, bras et jambes écartés.
Elle se remet à rêvasser et, immédiatement, l’image d’Arthur la veille, entièrement nu et bandant comme un jeune taureau sur son lit lui revient à l’esprit.
Elle se rend compte qu’elle a été un peu cruelle avec lui mais c’était pour mieux garder le contrôle des événements. En effet, elle ne supporte pas qu’un homme essaie de la dominer et Dieu seul sait comment cela aurait tourné avec ce jeune étalon fou de désir si elle l’avait laissé faire dès le premier soir.
Elle se dit qu’il lui reste largement assez de temps pour satisfaire leurs envies à tous les deux car, elle aussi, elle crève d’envie de baiser avec lui.
Perdue dans ses pensées, elle a laissé ses mains courir le long de son corps qui s’est enflammé comme de l’étoupe. Elle se caresse doucement les seins d’une main pendant que, de l’autre main, elle se frotte le clitoris qui ne tarde pas à gonfler et à se mouiller.
Après quelques aller et retour sur son petit bouton rose, histoire de faire venir un flot de cyprine entre ses petites lèvres, elle introduit deux doigts dans son vagin trempé et commence à se masturber.
Ces gestes, elle y est habituée depuis longtemps car, souvent, par manque de temps à Paris, c’est ainsi qu’elle satisfait son corps quand il est trop affamé. C’est aussi pour ça qu’elle s’est constitué toute une collection de sextoys dont l’un repose à côté d’elle.
Il s’agit d’un rabbit de couleur rose, disposant de plusieurs vitesses et types de vibration et, cerise sur le gâteau, dont la hampe est chauffante. Exactement ce dont elle a besoin à cet instant.
Elle le prend donc en main, règle la vitesse, la vibration et la température qu’elle désire. Elle le repose ensuite à côté d’elle en attendant que l’engin chauffe, ce qui dure quelques minutes. Elle en profite pour continuer à se masturber en pensant à Arthur.
Lorsque son rabbit est bien chaud, elle le met en marche. L’engin ronronne et vibre doucement. Elle le passe d’abord sur son visage, le met en bouche, le suce comme si c’était la magnifique queue de son fougueux partenaire d’hier soir, puis elle le promène sur ses seins, le fait tourner autour de ses tétons qui se dressent sous l’effet de la vibration, et enfin, au comble de l’excitation, elle l’enfonce jusqu’à la garde dans sa chatte inondée de cyprine.
La hampe chaude frotte vigoureusement sur les parois internes de son vagin pendant que la langue du rabbit vibre sur son clitoris. Et de sa main gauche, elle se masse les seins, alternant de l’un à l’autre, titillant ses tétons au passage.
A ce rythme infernal, elle ne peut évidemment pas tenir longtemps, surtout qu’elle s’est déjà sérieusement échauffée dans la douche.
Et, de fait, elle sent rapidement venir du fond de son ventre une fulgurante onde de plaisir, impossible à contenir, et elle explose dans une fracassante éruption de jouissance. Tout son corps est secoué de spasmes pendant de longues minutes et, lorsqu’enfin son orgasme se calme, elle se rend compte que sa main et son sextoy sont dégoulinants de cyprine tant elle a joui.
Elle se rend compte aussi que son plaisir a été beaucoup plus intense que lorsqu’elle se masturbe dans son appartement à Paris. L’effet de la détente peut-être mais surtout la pensée de tout ce qu’elle attend de sa nouvelle rencontre avec Arthur ce soir.
Car, c’est évident, il se passera de nouveau quelque chose ce soir.
Samedi 11h15
Après avoir repris une douche (sagement !) pour effacer les traces de son extase solitaire, Sophie a enfilé un (très) petit bikini et s’apprête ainsi à aller exciter tous les quinqua et sexagénaires qui se bronzent sur la plage au milieu de leurs mémères !
Elle est d’humeur coquine et se dit que, pour une fois, elle peut bien s’amuser à jouer les allumeuses.
Elle attrape une serviette de bain, un bouquin et son flacon d’huile solaire et descend à la plage. Elle choisit un fauteuil de plage sous un parasol en rotin et voit débouler immédiatement un collègue d’Arthur qui lui demande son numéro de chambre. Décidément, rien n’est gratuit ici !
Le garçon lui demande gentiment si elle veut une boisson et attend patiemment qu’elle fasse son choix sur la carte qu’il lui a tendue. Elle en profite pour l’observer à la dérobée. Il n’est pas mal mais Sophie est contente de ne pas être descendue à la plage hier. En manque de sexe comme elle était, elle aurait pu jeter son dévolu sur celui-ci alors qu’Arthur est quand même un bon cran au-dessus.
Elle passe commande pour un Vichy-menthe et s’installe dans son fauteuil.
En regardant autour d’elle, elle constate qu’elle est la cible des regards concupiscents de la plupart des hommes présents. Il y en a sûrement quelques-uns qui vont se branler ce soir en pensant à elle.
Quant à elle, pendant ce temps-là, elle sera occupée à baiser avec Arthur car elle n’en peut plus d’attendre. Après avoir goûté son sperme dans sa bouche hier soir, elle veut le sentir envahir son vagin ce soir. Elle veut goûter son jus par toutes les muqueuses de son corps.
Pour achever le ravage qu’elle a déjà provoqué sur la plage, et aussi un peu pour éteindre le feu qui a de nouveau envahi son ventre, Sophie se lève et descend vers la mer en ondulant volontairement des hanches.
Là, il y en a déjà quelques-uns qui ont dû éjaculer dans leur slip !
Elle se trempe quelques minutes dans la mer puis en ressort et remonte vers son parasol, les tétons durcis par l’eau fraîche ressortant d’une manière très visible à travers le mince tissu de son soutien-gorge.
Ça y est, les derniers résistants doivent avoir joui !
Elle se réinstalle dans son fauteuil et, prenant son bouquin, se met enfin à la lecture permettant à toutes ses victimes sur la plage de reprendre un tant soit peu leurs esprits. Le plagiste revient avec son Vichy-menthe et Sophie doit faire un effort sur elle-même pour résister à la tentation de demander au garçon de lui enduire le dos d’huile solaire. Ça, ce serait peut-être un peu too much. Elle ne veut quand même pas être responsable de l’un ou l’autre infarctus.
Mais par contre, toujours guidée par son esprit coquin, il lui vient une idée particulièrement tordue.
Elle se lève à nouveau et, le flacon d’huile solaire à la main, remonte vers les jardins et se dirige vers la piscine. Là, comme elle l’espérait, Arthur est occupé à donner un cours d’aquagym à une bande de mémères qui le regardent avec du désir plein les yeux.
Et, ce qu’elle a fait à leurs maris sur la plage, elle va le leur faire ici aussi. Elle se dirige avec un sourire éclatant vers Arthur qui, ne l’oublions pas, ne l’a encore vue que complètement habillée.
A la vue de cette splendide créature presque nue qui s’avance vers lui, il en perd la parole. Elle est désirable à faire fondre un iceberg et c’est à peine s’il l’entend dire:
— Bonjour Arthur, tu veux bien me mettre de l’huile solaire dans le dos ?
Sans dire un mot, ce dont il serait totalement incapable pour l’instant, il prend le flacon qu’il ouvre prestement et commence à lui frotter doucement le dos. Il a un mal fou à se contenir tant il a envie de continuer sur ses seins, son ventre, sous son slip…
Mais quand même pas devant tout le monde et, de plus il est en service. Il doit donc, tant bien que mal, se contrôler. C’est d’autant plus difficile que Sophie, telle une diablesse, frotte ses fesses contre sa queue pendant qu’il l’enduit. Immédiatement, il se met à bander aussi dur que la veille.
C’est à ce moment-là que Sophie se retourne, lui reprend le flacon des mains, et lui dit:
— Merci Arthur, à ce soir.
Puis, elle s’éloigne laissant le garçon et son érection en béton face aux mémères qui doivent sûrement mouiller à la vue de cette queue tendue sous son short !
Et voilà, mission accomplie. Elle a bien fait bander tout le monde et ce soir, tout l’hôtel risque de se transformer en un gigantesque baisodrome.
Samedi 21h00
Le moment tant attendu par Sophie approche. Comme la veille, après un repas léger, elle se dirige directement vers la salle de jeux où, comme elle le supposait, Arthur l’attend. Il a déjà préparé l’échiquier et son visage s’éclaire d’un grand sourire quand il la voit apparaître.
" – Mon Dieu qu’il est jeune et beau." se dit-elle en le voyant si radieux. " – Il me fait penser au David de Michel-Ange."
Et de penser qu’elle va bientôt baiser avec ce splendide étalon la rend toute chose. Mais, adepte de faire durer le plaisir, elle se penche vers lui et lui dépose un chaste baiser sur les lèvres.
" – Bonsoir Arthur, tu as eu une bonne journée ?" dit-elle innocemment.
— Bonsoir Sophie. En fait, j’ai eu une dure journée à cause de toi. Et qui m’a paru bien longue ! Je pense que tu me dois une revanche.
— Mais c’est pour ça que je suis ici. Commençons tout de suite
Et elle s’assied en face de lui.
Bien sûr, en parlant de revanche, Arthur pensait à autre chose qu’une partie d’échecs mais si ça doit passer par là…
Et les voilà lancés dans une nouvelle joute. Comme hier, Sophie l’observe pendant qu’il réfléchit.
Futé, le garçon a mis d’autres vêtements que la veille pour ne plus se faire surprendre aussi facilement. Ce soir, il a opté pour un jeans fermé par une ceinture et un zip par-dessus lequel il a enfilé une chemise boutonnée. Avec ça, Sophie aura de quoi s’occuper un moment ce qui devrait lui permettre de tenter de la déshabiller à son tour.
Et ce sera d’autant plus facile que Sophie, ayant quant à elle décidé de ne plus s’opposer aux mains baladeuses d’Arthur, a mis une tenue beaucoup plus "accessible" qu’hier. Elle porte une mini jupe portefeuille rouge tenue par une bande velcro sur le côté et un T-shirt blanc moulant. Par dessous, elle a de nouveau mis un string et un soutien en dentelle blanche.
Sophie, un peu perdue dans ses pensées érotiques, se fait surprendre par son adversaire qui n’a pas renoncé à s’adjuger une première victoire. Elle n’a pas vu le coup venir et, quand il lui annonce " – Echec et mat" elle est un peu perturbée car elle n’a pas l’habitude de se faire dominer.
Pas grave, elle va reprendre le contrôle pour la suite. C’est du moins ce qu’elle pense.
— Bravo. C’est bien joué. Et c’est à mon tour de te demander une revanche. Mais pas ici, plutôt dans ma chambre.
Arthur en déduit immédiatement que la partie la plus intéressante va enfin commencer. Ils se lèvent tous les deux et filent tout droit vers la suite de Sophie.
A peine entrés, Sophie se précipite sur lui et lui roule un patin en laissant courir ses mains partout sur son corps. De son côté, il a déjà passé les mains sous son T-shirt et remonte tout tremblant d’émotion vers la sublime poitrine qu’il a entrevue ce matin.
Avant qu’il n’ait eu le temps d’atteindre ses seins, Sophie, surexcitée, a déjà défait la ceinture de son jeans et baissé le zip. Elle pousse vers le bas et le tout, jeans et slip, tombe sur les chevilles du garçon. Elle l’empoigne par les couilles et le pousse à reculons vers le lit. Se prenant les pieds dans son pantalon, Arthur perd l’équilibre et s’affale sur le lit, suivi de Sophie.
Dans sa chute, il a vainement tenté de se rattraper aux hanches de Sophie et a, du coup, arraché la bande velcro qui retenait la mini jupe. Celle-ci a volé par dessus leurs têtes et Sophie se retrouve donc à califourchon sur lui avec seulement son string. Et Arthur comprend tout de suite que, cette fois-ci, elle ne va plus lui échapper.
En effet, le pubis de Sophie n’est qu’à quelques centimètres de son visage et il peut clairement voir la tache humide qui couvre son string.
Spontanément, Sophie retire son T-shirt, passe les mains dans son dos, dégrafe son soutien-gorge et le jette dans un coin. Ses magnifiques seins sont enfin offerts à Arthur qui les empoigne à pleines mains.
Pendant qu’il lui pétrit la poitrine, Sophie défait les boutons de sa chemise puis en écarte les pans. A son tour, elle caresse le torse du garçon, se penche vers lui et lui suce les tétons qui s’érigent.
Sophie bout d’impatience de s’accoupler enfin à cet Adonis mais repousse encore ce délicieux moment. Elle descend sa main vers le sexe d’Arthur, dur comme de l’acier, et le masturbe lentement.
Lui, aussi excité qu’elle, tente d’enlever son string mais sa position rend la chose impossible. Il passe donc la main sous le fin voile et rencontre un sexe béant, dégoulinant de cyprine et un clitoris gonflé comme un fruit mûr. Il passe un doigt sur le petit organe sensible et commence à le caresser ce qui arrache un gémissement de plaisir à Sophie. Il glisse ensuite deux doigts dans son vagin et elle se met à onduler des hanches pour guider sa caresse au rythme qu’elle choisit.
Sophie s’avance un peu et, pendant qu’il pénètre son sexe avec ses doigts, elle lui fourre un de ses seins dans la bouche pour qu’il se mette à le sucer. Ce qu’il fait instantanément avec un plaisir décuplé. Son téton érigé palpite entre les lèvres d’Arthur qui suce comme si sa vie en dépendait. Elle alterne ses seins dans cette bouche brûlante et sent tout doucement un orgasme arriver.
Mais ce n’est pas comme ça qu’elle veut jouir pour la première fois avec lui. Elle a déjà goûté sa liqueur dans sa bouche et, maintenant, c’est avec sa queue dans son vagin que ça doit se passer.
Elle se dégage donc prestement avant de ne plus pouvoir résister et se redresse. Elle se penche à ses pieds et retire le jeans et le slip qui entravent toujours ses chevilles. Lui en profite pour enlever sa chemise.
Ainsi dégagé, elle peut lui écarter les jambes et avance la tête entre ses jambes. Sa verge est dressée, droite comme un I, sans une seule courbure, de bonnes dimensions et tendue à l’extrême, dure comme du marbre et pourtant chaude et palpitante. Sophie n’a jamais vu un sexe aussi parfait et brûle d’impatience de le sentir au fond de son ventre.
Elle le prend cependant dans sa bouche et, comme la veille, entame une délicieuse fellation. Elle suce, elle lèche, elle pompe jusqu’à ce qu’elle sente qu’il risque de venir.
Elle abandonne alors sa proie et se remet debout au pied du lit. Elle retire doucement son string, exposant sa splendide nudité aux yeux d’Arthur qui en bave d’excitation. Elle aussi a un corps parfait et il n’en peut plus de désir.
Il la prend donc par les hanches et la bascule sur le lit. Il lui écarte les jambes et approche son visage du trésor qu’il convoite. Il hume ses senteurs intimes, pose sa bouche sur le haut de son pubis, quelques centimètres au-dessus de son clitoris et couvre son bas-ventre de doux baisers. Il lèche les plis de ses aines, l’intérieur de ses cuisses et tout le tour de son sexe. Sa peau est douce comme du velours, sans un poil, sans la moindre rugosité ni la moindre rougeur. Et pour cause, Sophie s’est offert une épilation au laser. Cher mais définitif !
Puis, enfin, il met sa bouche sur ses petites lèvres, sort sa langue et la pose sur son clitoris. A cet instant, Sophie ressent comme une décharge électrique lui secouer le corps. Des deux mains, elle appuie sur la tête d’Arthur afin qu’il n’arrête pas ses caresses buccales, ce qu’il n’a aucune intention de faire !
Au contraire, maintenant que c’est lui qui a l’initiative, il pousse son avantage, écarte les petites lèvres et introduis sa langue le plus loin possible dans son vagin et lape les flots de cyprine qui coulent sans fin. Il remonte un petit peu, enserre le clitoris entre ses lèvres et le suce avidement. Il insiste du bout de la langue sur le petit bouton rose tellement sensible et la sent vibrer comme une corde de violon.
Elle est maintenant chauffée à blanc et il est grand temps de satisfaire leurs corps affamés.
Il se positionne au-dessus d’elle, prêt à l’embrocher. Elle prend sa queue de la main droite et la guide jusqu’à l’entrée de son puits d’amour. Elle frotte le gland quelques secondes sur ses petites lèvres pour le lubrifier puis, des deux mains posées sur les fesses de son amant, elle le pousse vers l’intérieur.
Arthur, qui n’attend que ça, l’investit tout doucement jusqu’à ce que son pubis cogne celui de Sophie. Toute sa bite est entièrement avalée, pas un millimètre de plus ne pourrait entrer. Il sent palpiter le vagin de Sophie qui serre ses muscles intimes autour de sa hampe.
Il reste ainsi quelques instants, savourant ce moment unique. Puis, il entame un lent mouvement de va-et-vient, ressortant à chaque fois presque la totalité de sa verge pour mieux la replanter au fond de son ventre. Il accélère progressivement le rythme et la pénètre maintenant à toute allure.
Répondant à ses mouvements, Sophie, à chaque coup de bite, projette son bassin à la rencontre de celui d’Arthur. Elle gémit en permanence et sent bientôt les prémices de sa jouissance. Elle plante ses ongles dans le dos d’Arthur et hurle d’excitation lorsqu’un formidable orgasme déboule à toute vitesse dans tout son corps.
Arthur ayant senti que sa partenaire avait atteint son point de non-retour s’est également laissé envahir par sa jouissance et éjacule à grands jets abondants tout au fond du vagin de Sophie pendant qu’elle est agitée de hoquets qui achèvent sa montée au ciel.
Des étoiles plein la tête, les deux amants reposent maintenant l’un sur l’autre à la recherche de leur souffle. Sophie sent tout doucement la queue d’Arthur se ramollir puis sortir de son ventre. Elle sent aussi le sperme couler hors de son vagin et se répandre dans l’intérieur de ses cuisses. Elle caresse tendrement le dos et la tête de celui qui vient de lui permettre d’atteindre le nirvana. Bref, elle est enfin comblée et heureuse.
Au bout d’un long moment, c’est Sophie qui retrouve la parole la première.
— Arthur chéri c’était merveilleux. Je n’ai jamais joui comme ça. Et pour toi, ai-je été à la hauteur ?
— Pour moi aussi, chérie, ça a été sublime. Je n’aurais jamais cru qu’on pouvait jouir aussi fort. Bien sûr, je n’ai pas encore beaucoup d’expérience avec les filles, mais tu n’es quand même pas la première ! Et surtout, merci de ne pas m’avoir abandonné au bord de la route comme hier. Je crois que je serais devenu fou.
Elle sourit et se love contre lui.
— Chéri, je voudrais que tu restes avec moi toute la nuit. J’ai besoin de sentir ton corps contre le mien.
Pour seule réponse, Arthur se colle contre son dos, passe son bras sous celui de Sophie et lui caresse les seins. Il l’embrasse dans la nuque puis lui dit:
— Je ne demande que ça. Mais il faut que tu saches que demain matin je devrai t’abandonner vers 6h30 car je dois nettoyer la piscine à 7h00.
Ça y est, même ici les contraintes professionnelles la rattrapent ! Mais pas les siennes pour une fois.
— Ne t’inquiète pas pour ça. Ça nous laisse quand même encore plusieurs heures pour nous aimer.
Mais, en fait, emboités comme des cuillers et épuisés, ils s’endorment tous les deux.