Chapitre 2 : La soirée D’Éléonore
Je descend de mon bus pour me retrouver sur un trottoir bien éclairé dans un quartier plutôt aisé. Après l’effort, le réconfort. Le bac c’est fait, désormais place aux festivités post-bac. A commencer par la soirée qui m’attend.
Une fois en vue de la maison d’Éléonore je recoiffe mes cheveux noirs dans le reflet de mon téléphone et vérifie mon haleine histoire d’être présentable. Il est 22h20 la soirée a commencée il y’a un moment, j’entre à l’intérieur et me dirige vers le salon. Face à moi, une grande pièce luxueuse et moderne remplie d’une vingtaine de lycéens, mais vu le bruit venant du reste de la maison on est plus nombreux que ça.
Je cherche mes amis et repère Claudia et Natasha assises dans un fauteuil entourés d’une bande de fêtards qui ne sont sans doute pas là pour profiter de leur subtile conversation. Claudia porte une robe rouge moulante pas trop décolleté mais qui laisse deviner ses seins généreux et sa taille fine, quant à Natasha elle est vêtue d’un haut blanc qui dénude ses épaules graciles et d’un short bleu nuit. Ses longues cuisses à la peau pâle sont posés négligemment sur la table basse. Je m’approche d’elles pour les saluer quand quelqu’un me tapote le dos.
— Ça fait un bail mon p’tit pote ! Déclare une voix féminine.
— Oh Lola ! Je savais pas que tu serais là, m’étonné-je.
— C’est sûr que si j’avais attendu que tu m’invite…c’est Natasha qui m’a proposé de venir.
— Désolé je pensais que les soirées c’était pas ton truc, ris-je.
Lola est à peu près pour moi ce qu’est Claudia pour Arthur, ma plus ancienne amie, pas ma meilleure amie je n’apprécie pas trop ce terme, après tout une amie on peut toujours coucher avec en s’y prenant bien, une meilleure amie c’est plus compliqué. Elle a un an de plus que nous mais paraît avoir passée la vingtaine. Grande, Lola a de longs cheveux roux flamboyant avec des reflets rouges et cuivrés, des yeux gris tirant sur le bleu aux longs cils et un regard pénétrant. Niveau corps à première vue difficile de savoir, en effet Lola est un garçon manqué et elle porte souvent des vêtements de mecs un peu larges qui empêchent d’admirer ses formes tel une armure de chasteté, pareil pour le maquillage, à part un trait d’eyeliner de temps en temps elle ne fait pas d’effort pour se mettre en valeur.
Mais bon avec sa gueule d’ange et sa chevelure de feu magnifique (mais décoiffée) elle n’en a pas vraiment besoin. Je disais donc qu’elle s’habille en général comme un mec mais ça ne suffit pas à cacher ses formes assez pulpeuses. Elle a des obus imposants, pas comme Alicia non plus, mais de la même taille que ceux de Claudia. Mais alors que ceux de Claudia sont ronds et droits ceux de Lola sont plutôt en forme de gouttes ou de poires (de grosses poires) ce qui les fait paraître lourds mais fermes. Ses hanches et ses fesses sont les plus larges du groupe (même si moins rebondies que les culs de mes autres amies) et leurs balancement quand elle marche est un indice flagrant de sa féminité.
Ce soir elle porte une salopette short en jean avec un tee shirt en dessous. Des baskets avec des guêtres qui cachent ses chevilles et ses mollets et son habituel bonnet oversize fétiche qu’elle quitte rarement ce qui nous pousse à lui faire des blagues sur sa supposée calvitie. Lola n’est pas dans le lycée c’est pour ça qu’on la voit moins dans le groupe mais elle y est entrée en même temps que moi, s’entendant particulièrement bien avec Natasha qui partage son côté garçon manquée et avec Claudia et Alicia qui…aiment tout le monde de toute façon.
Il n’y a pas que son bonnet (Et je parle de celui sur sa tête pas de son bonnet D petit coquin) que Lola promène toujours avec elle. Passionnée de photographie, de cinématographie et de tout ce qui touche à l’image en général elle a toujours son gros appareil photo suspendu au cou et calé à l’ombre de sa lourde poitrine.
— Mehdi c’est pas trop tôt allez viens danser ! S’exclame Natasha en arrivant d’un coup derrière moi, passant son bras par dessus mes épaules.
— Laisse moi deux secondes j’ai même pas pu prendre un verre, protesté-je mollement.
— S’il te plaaîîît, insiste l’ukrainienne qui, elle, a déjà bu plusieurs verres visiblement. Elle me lance un regard implorant de ses beaux yeux verts.
— Allez ne la fais pas attendre gros lourd, tu boiras plus tard, déclare Lola en me poussant vers le milieu du salon où sont réunis les danseurs.
Je me retrouve donc rapidement en train de danser avec Natasha au milieu d’autres lycéens, pas beaucoup de couples, et comme habituellement dans ce genre de soirée plus de filles qui dansent et de mecs sur les côtés qui se rincent l’il. Mon arrivée les poussent toutefois à nous rejoindre et je dois repousser les gars qui collent trop Natasha avec de discrets coups de hanches ou d’épaules. C’est clairement la fille la plus sexy sur la piste, les pirouettes et les ondulations de son corps musclé sont un plaisir pour les yeux et voir son joli bonnet B remuer dans tous les sens comme deux sphères palpitantes d’énergie m’excite rapidement. La musique change pour du zouk et je m’approche d’elle vu que cette mélodie se prête à davantage de contacts. Elle se met dos à moi avec un clin d’il et commence à danser contre moi en collé serré.
On danse de plus en plus vite et les autres commencent à nous regarder. Enfin à LA regarder surtout. Natasha n’a pas l’air de vouloir s’arrêter et le seul indice de sa fatigue est la goutte de sueur que je vois glisser sur son cou blanc.
Il fait de plus en plus chaud et j’ai l’impression de mener un double combat, contre la fatigue d’une part et contre mon début d’érection de l’autre. Il faut dire qu’avec la sportive brune qui frotte son petit cul bombé contre moi j’ai du mal à me retenir, surtout que je ne me gêne pas pour faire glisser mes mains sur son corps agile, caressant ses hanches et son ventre plat et frôlant ses nichons que j’englobe dans mes mains. La musique s’arrête enfin et Natasha se retourne vers moi en sautillant, en voyant mon air fatigué elle glousse, elle sait qu’elle m’a épuisé. Elle me conseille d’aller me reposer et part danser avec les trois partenaires qui se présentent immédiatement à elle en me lançant un regard moqueur, visiblement ils sont content d’avoir enfin leurs tours. Quel allumeuse elle fait dès qu’elle a bu !
Bon, tout ça m’a donné soif, direction la cuisine. Personne à l’intérieur. Je me sers un verre quand j’entend derrière moi la porte s’ouvrir, se refermer puis être verrouillée. Des mains fraîches se posent sur mes yeux.
Devine qui c’est ! lance Sa voix que je reconnais aussitôt. Je me retourne et Lui souris. Puis je La prend par la taille et Elle dépose un baiser furtif sur mes lèvres.
— J’ai envie…Me dit-Elle.
— On s’était entendus pour rien faire dans un endroit ou il y’a du monde qu’on connaît, ici on est juste des connaissances.
— Fais pas ton rabat joie, tu crois que j’ai pas remarqué que tu bandais comme un âne ? Glousse-t-Elle en attrapant mon pénis à travers mon jean.
Elle ? c’est mon plan cul. Ou disons plutôt ma sex friend. Une fille qui de l’extérieur semble n’être qu’une amie, mais qui, en coulisses…disons qu’on s’amuse bien.
Elle m’embrasse à nouveau, non plus furtivement mais avec fougue cette fois. Je La plaque contre moi en Lui caressant les côtes puis :
— Bon allez ça suffit quelqu’un va nous surprendre et on sera dans de beaux draps, dis-je en la repoussant un peu.
— Ta bouche dis quelque chose…ton sexe en dit une autre…glisse-t-Elle à mon oreille…tout en glissant Sa main dans mon caleçon.
Ah vous vous demandez peut être qui est ce fameux Elle ? Je ne vous le dirais pas.
Pas maintenant en tout cas. Après tout on ne peut pas tout avoir dans la vie pas vrai ? Vous devinerez bien qui Elle est tôt ou tard dans cette histoire.
Elle délaisse ma bite pour aller directement saisir mes couilles, m’arrachant un petit glapissement. Puis elle commence à les caresser et à jouer avec pendant que je lui masse les fesses en soupirant d’aise. Son souffle s’accélère dans mon cou lorsque je me rapproche de son entrecuisse en passant mes mains derrière ses fesses, la poussant à se mettre sur la pointe des pieds et à se cambrer pour me rendre son intimité plus accessible. Sa petite main serré dans mon caleçon se fait fébrile, tâtant mes testicules sous tous les angles.
C’est ce moment que choisit Arthur pour me téléphoner. Ma charmante compagne me fait signe de répondre avec un sourire amusé et j’écarquille les yeux pour signifier que c’est une mauvaise idée. Elle serre un peu la main autour de mes couilles et je m’empresse de décrocher.
— Euh oui ? Demandé-je, la voix un peu plus aigu qu’à l’accoutumée.
— Oui mec ça se passe comment la soirée ? Je suis coincé chez moi perso et je m’ennuie.
— Ah…oh, oui je vois ba écoute je peux paaas.trop te parler maintenant, on parlera tout à l’heure ! M’empressé-je de répondre alors qu’elle s’est mise à genoux en frottant sa poitrine contre moi. J’abrège la conversation et je raccroche.
Je range mon téléphone alors que la jeune fille soulève ma chemise pour faire passer sa langue agile autour et sous mon nombril tout en prenant une de mes mains pour la faire rentrer dans son haut. J’attrape fermement un de ses seins en me penchant et…
Soudain quelqu’un essaye d’ouvrir la porte en jurant.
— Et merdedis-je en me libérant.
— Dommage j’étais bouillante…, sourit-elle en retirant sa main de mon pantalon tout en se relevant.
— A quel point ?
— J’aurais pas dis non à ce que tu me démolisse la chatte sur le plan de travail, répond-elle avec un clin d’il.
La salope…elle sait très bien que ça m’excite quand elle est vulgaire. Elle se dirige vers la porte, se retourne à moitié me laissant admirer son profil puis suçote son majeur de manière provocante avant de se mettre une petite claque sur le fessier. Elle sort ensuite de la cuisine pour laisser entrer un mec torché. Bordel, je suis encore plus excité maintenant.
La soirée passe et aux alentours d’une heure il y’a moins de monde. Je crois comprendre qu’il y’a un action ou vérité en haut mais aussi un jacuzzi, je préfère le jacuzzi. J’étais prévenu donc j’ai un maillot plié dans ma poche. Je vais me changer dans les toilettes, cache mes fringues dans un meuble, et monte ensuite l’escalier. Dans le couloir je passe devant ce qui semble être la chambre des parents de notre hôte, je la vois justement sortir en maillot de bain.
Waw, Eléonore c’est le cliché de la meuf du lycée parfaite que tout le monde veut se taper. Aussi mignonne que Alicia, aussi bonne que Claudia, aussi sulfureuse que Natasha. C’est une femme fatale avec une imposante chevelure rousse orangé (beaucoup de rousses ce soir en effet) des yeux gris-verts, un visage parfait, des lèvres pleines, des seins ensorcelants qui débordent de son maillot une pièce blanc et une croupe rebondie plus que charmante. Elle est suivie par son copain, Hugo je crois, une armoire à glace avec une gueule de mannequin, les deux me tournent le dos et ne me remarque pas. Je surprend une mini dispute.
— Tu va où habillée comme ça toi ! l’apostrophe-t-il.
— Je suis chez moi et on est en couple pas mariés à ce que je sache, rétorque-t-elle.
— C’est pas la question je veux pas que t’aille avec d’autres mecs dans le jacuzzi comme ça, répond-il sur un ton autoritaire.
— Ce que tu peux être lourd…pour être jaloux t’es toujours fidèle au poste toi.
— Ouais ba moi je suis fidèle tout court au moins, répond-il agacé.
— Ça veut dire quoi ça ? Je t’ai jamais…s’exclame-t-elle l’air choquée.
— Si tu le dis, mais vas-y vas-y, fais juste attention c’est tout, conclut-il l’air snob en lui refermant la porte au nez.
Elle reste immobile une seconde, dos à moi qui admire ses cuisses parfaites et sa chute de reins cambrée. Puis elle se retourne en m’entendant.
— Merde, Mehdi c’est ça ?…tu nous a entendus ? Me demande-t-elle l’air plus neutre que peinée.
— C’est ça et Non. Enfin si. Un peu, il n’avait pas l’air très content pour le jacuzzi, répond-je.
— Fais pas attention à lui, c’est un jaloux possessif qui me considère comme son trophée de chasse. Il est de plus en plus lourd à toujours me parler de fidélité alors qu’il mate tes potes Claudia et Cassandre. (Elle pointe du doigt la porte pour me montrer qu’elles font parties des participantes à l’action ou vérité) Mais enfin bref je sais pas pourquoi je te parle de ça.
— Je connais t’inquiète je vais pas juger ton couple haha. Bon du coup s’il ne veut pas de mecs dans le jacuzzi je ferais peut être mieux d’aller me rhabiller. ris-je en me grattant la tête.
— Mais non…il y’a déjà ses lourdeaux de potes. Tu peux venir (Puis elle baisse les yeux sur mon corps et ajoute en souriant pour la première fois) Et puis on va pas se priver du seul spécimen agréable à regarder ce soir pas vrai ?
Elle me tourne ensuite le dos et se dirige vers le fond du couloir avant même que je puisse répondre. Je la suis donc, ensorcelé par le balancement de son diabolique fessier.
On entre dans une grande salle d’eau avec un grand jacuzzi en fausses briques grises, placé contre une baie vitrée ouvrant sur un balcon donnant sur la nuit noire. Cinq personnes sont présentes dans la pièce qui n’est éclairée que par des bougies diffusant des effluves fruitées. Natasha est déjà dans le jacuzzi enfoncée dans l’eau jusqu’au menton. Avec elle sont présents deux mecs, des jumeaux, de vue je reconnais des potes à Hugo mais je ne me rappelle pas leur nom et pour tout dire j’en ai pas grand chose à foutre, ils sont à peu près identiques, une corpulence un peu forte avec un certain embonpoint, du gel dans les cheveux et un air un peu trop sur d’eux. L’un est brun alors que l’autre s’est teint les cheveux en blond platine. Je les appellerais donc le blond et le brun (Pourquoi faire compliqué quand on peut faire simple ?).
Le blond est dans le jacuzzi et discute avec Natasha, le brun est debout et parle aux deux autres filles présentes dans la pièce. C’est à dire Lola et Alicia. La petite blonde porte un jean moulant et un chemisier blanc ouvert qui laisse apercevoir la naissance de ses seins imposants, tiens ! c’est la première fois que je la vois avec un décolleté. Claudia ou Natasha l’ont peut être enfin poussée à mettre ses atouts en valeurs. Je l’ai vu plus tôt dans la soirée mais elle me fait un coucou en souriant avant de perdre son sourire en voyant en quel compagnie je me trouve.
— Vous nagez pas les filles ? Demande Éléonore.
— Nope, pas moi, répond Lola sur un ton sans appel (je ne l’ai jamais vu en maillot de bain je sais qu’elle est du genre pudique).
— Moi je veux bien mais…j’ai pas de maillot du coup…Dit timidement Alicia.
— Fais comme moi nage en sous vêtements, s’exclame Natasha en posant les bras sur le rebord pour sortir de l’eau nous dévoilant son corps athlétique ruisselant seulement vêtu d’un soutien gorge noir et d’une culotte de la même couleur.
Alicia lui fait les gros yeux pour lui faire comprendre que c’est hors de question.
— Inutile d’en arriver là je peux te prêter un maillot tu fais du combien ? Déclare Éléonore (puis devant l’air gênée d’Alicia) Fais pas ta timide !
— Du 90E, répond-t-elle à voix basse.
Les jumeaux poussent un rire un peu gras en échangeant un regard.
— Ah oui c’est un bonnet de trop pour que je te prête un des miens mais je peux te passer un de ceux de ma mère, sourit Éléonore en emmenant Alicia pour lui refiler un maillot.
Je me glisse dans l’eau chaude aux côtés des jumeaux et de Natasha, on commence à discuter en attendant les autres. Lola est assise sur le lavabo et la lumière de son téléphone est la seule source de lumière à part les bougies parce que le ciel est couvert. Les deux filles reviennent alors. Alicia a enfilé un maillot qui donne envie de l’enfiler elle. Un deux pièces rouge qui moule bien ses énormes seins. C’est fou le contraste entre son visage de gamine innocente et son corps qui donne envie de la partouzer dans le jacuzzi…oula qu’est ce que je raconte, visiblement l’alcool commence à me faire effet moi. En parlant d’alcool Eleonore tiens une bouteille à la main qu’elle boit au goulot, sans doute pour oublier son petit ami casse pieds. Elles entrent avec nous et les jumeaux (et moi même en réalité) avons du mal à détourner nos yeux des trois filles.
Elles forment un joli dégradé de gauche à droite. La brune à moyenne poitrine, la rousse à grosse poitrine et la blonde aux seins qui déchirent limite son maillot.
C’est ce moment que choisit Natasha, ivre elle aussi, pour se glisser derrière Alicia, passer ses mains autour d’elle et saisir à pleine mains ses seins en les soulevant hors de l’eau. Alicia pousse un petit cri aigu.
— Nat ! Arrêtes t’es chiante !
— Tranquille Alicia des nichons pareil ça serait du gâchis que personne n’en profite, répond Natasha avant d’éclater de rire puis de la lâcher.
Alicia couvre sa poitrine en rougissant mais ne dit rien. Les jumeaux rigolent et Natasha déclare en attrapant ses propres seins en mains et en les regardant l’il dans le vague.
— Si j’avais des pare chocs comme toi je les montrerais plus souvent
— C’est sûr qu’elle risque pas de couler avec des bouées pareil, s’exclame le jumeau blond déclenchant un rire du brun. Les deux garçons se placent autour d’Alicia.
— Allez tranquille Alicia montres nous en plus, déclare le brun en lorgnant sur sa poitrine.
— Laissez la tranquille vous êtes lourd les gars, interviens-je.
Alicia me lance un regard reconnaissant puis se rapproche de moi en gardant son corps caché sous les bulles.
La discussion reprend et avec les nouvelles arrivantes on est plus serrés du coup à un moment sentant Alicia toute proche de moi, je l’attrape par la taille et lui fait comprendre qu’elle peut s’asseoir sur mes jambes (je suis assis les jambes croisés) elle me renvoie un sourire rayonnant et cale son petit cul dans le creux de mes jambes. Ce n’est pas mon genre de faire ça et elle ne m’attire pas plus que ça (bon physiquement si) mais je reste un mec donc si je peux avoir un joli corps entre les mains je ne m’en prive pas.
Je pose une main sur sa cuisse et l’autre sur son ventre mon pouce touchant la courbe inférieur de son sein gauche. Je lui caresse un peu le ventre et elle se laisse faire. Je suis presque tenté de la peloter plus intimement mais le fait qu’elle se laisse faire me bloque. C’est trop facile, je suis plutôt attiré par les filles joueuses qui se dérobent et me fuient.
Éléonore se lève, légèrement titubante avec sa bouteille presque vide à la main, pour ouvrir la baie vitré ce qui laisse entrer un courant d’air rafraîchissant dans la pièce. Evidemment, on profite de la vue qu’elle nous offre de dos. Lola sort de son mutisme et vint s’asseoir au bord du jacuzzi.
— Bon pimentons un peu les choses, et si on jouait à un jeu ? Un concours d’apnée et celui qui perd a un gage, dit-elle avec un sourire vicieux.
— Et qui fixe les gages ? Demande le brun.
— Moi, puisque je ne joue pas je suis le maître du jeu, répond Lola comme si c’était une évidence.
On accepte et on se place tous à un coin de l’eau, je plonge la tête sous l’eau au même temps que les autres. Je n’ai pas à tenir longtemps avant qu’une main me tapote l’épaule. Je ressors et voit les autres qui rient en regardant Natasha tousser.
— Non mais attendez j’ai bu la tasse c’est tout sinon j’aurais gagné ! S’explique-t-elle.
Perso, je la soupçonne d’avoir fait exprès parce que je la voit très mal perdre à un défi comme ça.
— Bon alors tu vas…rouler une pelle à un des jumeaux pendant une minute, annonce Lola avec un sourire fourbe.
— Salope ! S’exclame Natasha en rigolant l’air faussement choquée.
Lola lui tire la langue avec un clin d’il. Le blond et le brun se poussent pour passer en premier mais Natasha choisit le brun. Le blond tire une tête d’enterrement. Natasha pose ses poignets sur les épaules du garçon puis grimace, visiblement il l’a attrapé sous l’eau par je sais pas où et elle n’a pas apprécié le contact.
— Allez c’est qu’un mauvais moment à passer, penses à quelqu’un de plus sexy et imagines que c’est lui que t’embrasses, se moque Eléonore qui s’attire un regard noir du brun.
— Pas con comme conseil sourit Natasha.
C’est alors que je sens un pied me frotter la cuisse. Je pense au début que c’est accidentel mais le pied me caresse du bout des orteils en glissant vers mon entrejambe. Surpris je comprend que c’est Natasha ! Pourtant elle ne laisse rien paraître et ne me regarde même pas. Elle commence à embrasser le jumeau alors que celui ci était en train de parler à son frère. Au même temps qu’elle l’embrasse elle pose le pied sur mon pénis et commence à le frotter de bas en haut. Je durcit instantanément et quand elle sent mon érection elle embrasse le jumeau encore plus fougueusement en l’attirant vers elle. Elle attrape ma hampe à travers mon maillot entre deux de ses orteils et me branle franchement. Mon souffle s’accélère et je laisse échapper un petit grognement. Les têtes se tournent vers moi mais Natasha fait diversion en attrapant le jumeau par les cheveux et en se redressant un peu au dessus de lui prenant l’ascendant. Son buste sort de l’eau et on constate tous la main du jumeau en train de malaxer depuis un petit moment visiblement le sein de Natasha.
— Vous pouvez arrêter, dit Lola en souriant.
— Et ben on peut dire que je te fais de l’effet, c’était torride ! Rit le brun, goguenard.
— J’ai fait comme Éléonore m’a dit j’ai penser à autre chose…mais c’était chaud en effet, rétorque Natasha en jouant avec une mèche de ses cheveux brun. Elle ajuste son soutien gorge puis me lance un regard brûlant de ses yeux verts tout en battant des cils. Son pied n’est plus là mais j’en sens encore presque le contact.
— Vous savez quoi ? C’est pas juste que ça soit Lola qui donne les gages sans rien prendre. Si on réussit tout ce que tu nous donnes tu finiras la nuit avec lui, déclare Natasha en pointant du doigt le blond dont le visage dépité se fend d’un grand sourire.
— Hum…Ok comme tu voudras, répond Lola.
Éléonore décide alors d’aller se coucher, elle sort de la salle de bain d’un pas plutôt incertain et manque de tomber du coup Lola l’accompagne dans sa chambre. Tout ce que j’ai bu commence à peser sur ma vessie et je décide d’aller aux toilettes au moment ou Lola revient seule. Je sors de l’eau et me sèche avec une serviette avant de sortir dans le couloir. Les toilettes sont au fond, à côté de la chambre d’Éléonore dont la porte est entrouverte. Je fais ce que j’ai à faire puis en sortant des toilettes ma curiosité me pousse à entrer dans la chambre de la belle rouquine. Cette dernière dort sur un grand lit, toujours en maillot de bain. La chambre est plongée dans la pénombre mais la lumière du dehors et du couloir illumine sa peau pâle et ses courbes parfaites. Je m’approche d’elle et touche son épaule pour voir si elle dort, elle marmonne dans son sommeil sans se réveiller, je caresse son cou, son épaule, puis la naissance de ses seins.
J’entend alors du bruit derrière moi dans le couloir. Quelqu’un vient par là ! Je reconnais la voix d’Hugo. Mince, s’il me trouve là je risque de me faire arracher la tête. Pas le temps de me cacher sous le lit, je me jette dans un coin d’ombre de la pièce et me met à genoux. Je vois alors entrer Hugo et Claudia…qui est en train de tenir contre sa poitrine le haut de sa robe qui tombe vu que la fermeture éclair de son dos est ouverte.
— Pourquoi tu remet ta robe alors que je vais te l’enlever ? Chuchote Hugo.
— Alors déjà tu va pas me l’enlever et ensuite…Commence Claudia avant de se taire en voyant Éléonore sur le lit.
— T’inquiète quand elle boit elle finit toujours en semi coma et elle ne capte pas ce qui se passe autour d’elle, la rassure Hugo en posant la main sur son épaule nue.
— Bon faisons ce qu’on a à faire qu’on en finisse, répond la demi italienne en retirant la main d’Hugo de son épaule.
Puis les deux se dirigent vers la penderie, ils entrent dedans et Hugo allume une petite lampe tout en refermant la porte coulissante sur eux.
Je rêve ! Elle fait quoi là ? Surtout que ses paroles me laissent présager le pire. Enfin le meilleur pour Hugo plutôt. Si Arthur voyait ça…Je me lève pour m’enfuir mais je ralentis près du lit. Pourquoi ne pas me cacher en dessous (c’est la seule cachette dans la pièce) pour jouer les voyeurs ? Mais j’ai à peine le temps d’y réfléchir qu’une main se pose sur ma cuisse. Je sursaute et manque de crier puis je constate que Éléonore a rouler sur le côté et me tient la cuisse. Elle a les yeux toujours fermés mais de toute façon elle ne peut pas me reconnaître puisque je suis dos à la lumière, je ne lui offre que la vision d’une silhouette noire.
— Hum Hugo j’ai entendu ta voix…j’ai envie de te sentir entre mes lèvres
Merde ma parole je rêve ou quoi ! Elle me prend pour son gars. Il serait totalement immoral d’en profiter pas vrai ? Après tout, ça serait même un peu illégal et…
Non je plaisante, évidemment que je vais en profiter.
Je pose ma main sur son sein rond et le malaxe alors qu’elle commence à frotter mon chibre à travers mon maillot, toujours allongée, déchirée et à moitié endormie.
— T’es en forme là…Dit-elle en glissant la main dans mon maillot qui est juste au niveau de son visage comme le lit est haut.
J’entend alors les voix d’Hugo et Claudia en provenance de la penderie. Ils parlent doucement et je dois tendre l’oreille pour les écouter, par contre Éléonore ne semble pas les entendre, trop occupée à tirer sur mon maillot pour le baisser.
— Bon retournes toi, dit la voix d’Hugo.
Une image fugace de Claudia en levrette me traverse l’esprit et mon érection se renforce.
— Non toi tournes toi j’aimerais bien me changer tranquille, d’ailleurs sors de la penderie, répond sèchement Claudia.
— Allez je sais très bien que t’as pas envie que je sorte, et puis il faut quelqu’un pour ouvrir le derrière de ta robe, c’est pas poli de refuser une aide désintéressée, ricane Hugo. Un petit silence puis :
— Ok vas-y.
J’entends un bruit de fermeture éclair puis un sifflement admiratif, surement de la part d’Hugo. Sa petite amie, quant à elle, libère d’un coup mon pénis en érection qui vient heurter son front avec un petit bruit mat. Elle referme plusieurs fois la bouche dans le vide en secouant ma queue puis finit par gober mon gland. Sa bouche est chaude et agréable et elle commencent à me téter le gland avec ses lèvres pulpeuses tout en me branlant doucement.
En provenance de la penderie je n’entend plus que des froissements de tissus. Putain je suis en train de me faire sucer par une des filles les plus bonnes du lycée et son mec super jaloux est dans un placard à cinq mètres de moi avec une autre fille qui plus est ! Et lui qui parlait de fidélité. Mais je reste étonné, je ne sais pas ce qui se passe dans la penderie mais je ne pensais pas Claudia capable de faire cocu quelqu’un…certes elle a une réputation d’allumeuse mais dans les faits elle ne fait jamais rien avec personne.
— C’est bon j’ai fini tu peux te retourner, dit Claudia avec une petite voix.
— Putain t’es sexy ! Quand tu m’as dis de me retourner je pensais que ça serait après avoir tout mis pas juste les dessous, répond Hugo.
— Tu les as déjà vu sur ta copine et puis je m’attendais à ce que tu forces pour me voir avec alors à quoi bon.
— Dis plutôt que tu voulais mon avis…On peut dire que ça couvre pas grand chose, t’es encore plus excitante qu’elle dedans…J’ai bien fait de t’accompagner j’aurais eu un bonus auquel n’auront pas le droit Arthur et Xavier, répond Hugo d’une voix exaltée.
— Tu fais quoi là ? Demande Claudia juste avant qu’un flash illumine la penderie.
— Je garde un petit souvenir qu’on se rappelle tous les deux de ce qu’on vient de faire…allez enfile la robe du costume maintenant, sauf si tu veux retourner là bas comme ça bien sûr, rétorque Hugo.
— Abuse pas on a rien fait, putain attend…mon cou ça va se voir, t’es con ! s’exclame-t-elle.
— Ouais rien fait si tu le dis. Si y’avait rien eu t’aurais rien à cacher et tiens t’as qu’à mettre cette cape si tu veux pas que ton meilleur ami remarque ce détail là.
J’imagine que vous êtes autant perdus que moi là non ? Ou alors vous êtes plus malins que moi et vous comprenez quelque chose à ce dialogue parce que moi personnellement…Encore des bruits de tissus, je comprends qu’ils vont sortir. Merde, j’essaye de faire accélérer la cadence à Éléonore mais elle dodeline de la tête comme si elle allait s’endormir, à un moment elle ne bouge plus et je crois qu’elle s’est assoupie ma bite en bouche. Mais non elle se remet à me téter. Quel supplice ! Moi qui suit plutôt amateur de gorge profonde, je peux enfin profiter d’une fille pareil et elle se contente de me téter le gland. J’attrape sa tête pour lui baiser la bouche quand la lumière de la penderie s’éteint. Trop tard, je dois me barrer, je me libère de la rousse et sort de sa chambre alors que sa tête retombe mollement sur le matelas. Je m’engouffre dans les toilettes puis j’attend d’entendre les deux autres passer dans le couloir. J’attend qu’ils s’éloignent un peu pour retourner dans la chambre ensuite finir ce que j’ai commencé.
Mais surprise ! Alors que j’entrouvre la porte pour sortir je m’aperçois qu’ils sont encore dans le couloir. Dos à moi, je ne reconnais pas directement Claudia, qui est vêtue d’une petite robe blanche et rouge qui moule ses fesses parfaites et d’un porte jarretelles. Au moment ou je les aperçois, Hugo met une petite main au fesses de Claudia et celle-ci ne réagit presque pas, se contentant de rouler des yeux agacés avec un petit sourire fatigué.
Ils m’aperçoivent alors et s’écartent l’un de l’autre. Claudia s’approche de moi, ses tétons pointent à travers sa robe qui, maintenant qu’elle est face à moi je m’en aperçois, est un déguisement d’infirmière sexy ! Sa robe retenue par deux fines bretelles aux épaules semble sur le point de se détacher sous le poids de sa lourde poitrine. Elle a aussi une petite cape rouge dont l’attache cache son cou et en s’approchant de moi elle s’empresse de l’ajuster l’air gênée. Quant à Hugo qui pour une raison mystérieuse est torse nu, il reste en retrait en me jaugeant du regard.
— Euh…qu’est ce que tu fais comme ça ? demandé-je éberlué.
J’ai mis ce déguisement pour qu’Hugo et ses potes me déglinguent dans le salon
C’est limite si je ne m’attend pas à une réponse comme ça.
— Longue histoire, répond-elle en rougissant, on fait un action ou vérité avec Cassandre, Xavier et Arthur et du coup c’était un gage de mettre un déguisement sexy, Hugo m’a passé un de ceux d’Eléonore et du coup…voilà.
Ah je comprend mieux ! leur dialogue dans la penderie me semble plus clair maintenant. Claudia me regarde bizarrement, j’en déduis qu’elle se demande si j’ai vu la main qu’il lui a foutue au cul. Hugo s’approche par derrière et attrape Claudia par la hanche. Putain minute donc il l’a vu se changer ? Chanceux…ce costume m’excite pas mal, perso j’aimerais beaucoup me la faire, là maintenant.
— Bon allez le jeu continue poupée, commence-t-il (puis il me lance un regard méfiant), mec, n’allez pas dans la chambre du fond ma copine dort.
Il se dirige ensuite vers la porte du fond et la ferme. En revenant vers nous je m’aperçois qu’il bande aussi, quand il passe à côté de moi (nous sommes donc tous les deux faces à Claudia) cette dernière baisse les yeux et remarque nos érections, elle rougit et détourne le regard en remontant sa robe pour cacher ses seins, consciente d’être la cause de notre trouble. Puis ils retournent dans la chambre où a lieu l’action ou vérité, comme elle a remonté sa robe pour couvrir mieux son décolleté, il y’a moins de surface en bas et je peux voir ses cuisses galbées et la naissance de son incroyable cul. Bon du coup, merde c’est foutu pour Éléonore.
Mais c’est quoi cette soirée ! On me fait bander toutes les deux minutes pour me laisser la bite en feu. Entre la danse avec Natasha, le moment où j’ai failli me faire Vous savez qui dans la cuisine, les seins d’Alicia, la fellation d’Éléonore et maintenant le costume de Claudia…ma queue est douloureusement gonflée.
Je retourne donc dans la salle d’eau. En entrant j’arrive devant un spectacle inattendu. Alicia est à quatre pattes par terre et le jumeau brun se tient derrière elle.
Oui vous avez bien lu.
Mais calmez vous ils sont encore habillés et d’ailleurs ils ne se touchent pas. Le brun se tient au dessus de la petite blonde et a une bougie à la main. Il lui verse une goutte de cire sur son dos fin et celle ci gémit en se cambrant. En voyant Natasha et Lola se marrer avec le blond je comprend que c’est encore un des gages débiles de Lola. Je regarde cette dernière (qui tient son appareil photo à la main avec un air vicieux) en levant un sourcil et elle me répond en haussant les épaules en souriant.
— Alicia on a avait dit en position levrette pas en position dos rond fait un effort, se plaint Natasha.
— Mais je sais pas comment faire, balbutie la pulpeuse blonde.
— T’inquiète je vais te montrer, déclare le brun.
Il pose une main entre les omoplates d’Alicia et appuie dessus jusqu’à ce que sa joue et ses seins soient écrasés contre le sol de pierre. Il glisse son autre main entre les cuisses d’Alicia et la tire vers le haut pour lui faire lever les fesses. C’est à ce moment qu’Alicia m’aperçoit. Elle devient rouge pivoine et se cache le visage avec les mains.
— En effet c’est plus position levrette là même s’il reste un effort à faire sur le dos, ris-je en refermant la porte derrière moi.
En entendant ça, Alicia se cambre d’un coup, pliant sa taille fine et levant son petit cul rond plus haut. Ah oui quand même.
Le brun sourit et commence à lui renverser les gouttes de cires sur le dos. La blonde gémit à nouveau en serrant ses petits poings. Moi je me dirige vers le jacuzzi pour cacher la bosse qui orne mon maillot sous les bulles salvatrices. C’est vrai que la vision d’une Alicia soumise, le dos qui se casse, les seins écrasés qui débordent largement autour d’elle, ses longs cheveux blonds répandus sur le sol, cette vision, est plutôt bandante.
Ils arrêtent leur petit jeu et Alicia retourne dans le jacuzzi. On discute un moment avec les filles puis Lola attire notre attention sur le ciel qui s’est dégagé et on regarde les étoiles et la lune qui sont à peine cachés par de longs mais fins nuages fantomatiques. Lola saisit son appareil pour prendre quelques photos. Natasha vient s’asseoir sur mes cuisses sans me demander mon avis et je me retrouve les jambes étendues légèrement écartés et le corps penché un peu en arrière. Elle a les jambes pliés passées de chaque côté de mes cuisses un peu en amazone inversée. Alors que le silence dure, sa main sous l’eau a rejoint quelque chose de dur. Natasha sort mon pénis de mon caleçon et commence à le branler, là comme ça. Visiblement elle veut finir ce qu’elle a commencer. Natasha m’a toujours pas mal excité en plus, c’est la plus coquine et la plus assumée du groupe et elle m’a toujours bien plu. Elle a la main entre les jambes et ma bite contre sa culotte un peu comme si elle avait une queue et qu’elle se masturbait.
Elle doit se pencher en avant un peu mais personne n’a l’air de se douter de rien. Ses mouvements sont rapides et discrets, cachés par les remous. J’avance ma main vers le devant de son maillot mais elle m’arrête avec sa main libre.
— Arrêtes je risque de faire du bruit…Me murmure-t-elle.
— T’as dit quoi Nat ? Demande Alicia.
— Hum ? Non rien, juste qu’on a fait tous les gages de Lola il est temps pour elle de partir finir la nuit en bonne compagnie. (Le jumeau blond se frotte les mains).
— Pourquoi faire des jaloux ? Allez venez tous les deux, annonce Lola.
— On avait pas dit juste mon frère ? Demande le brun.
— Ok tant pis pour toi. Dit Lola en sortant.
— Attend ! attend ! on arrive, s’exclame le garçon en sortant suivi de son frère.
Natasha et Alicia rigole et moi je ne fais aucun bruit parce que Natasha continue de me branler énergiquement. Elle sait y faire et s’y prend habilement. Au moment où j’approche de la jouissance, Alicia vient se coller dans mon dos, pour regarder le ciel apparemment. Je suis pris en sandwich entre les deux filles et en me retournant vers Alicia j’aperçois sa peau claire éclairée par la lumière de la lune. La lumière blanchâtre de notre satellite brille sur ses deux lunes à elle, deux imposants globes écrasés contre mon épaule. Cette vision m’excite encore plus et je jouis dans le jacuzzi en poussant un petit grognement que j’étouffe en plaquant ma bouche contre la clavicule de Natasha. La brune vient de me faire jouir juste à côté de son amie qui n’a naïvement rien remarquée. Je regarde l’eau mais je ne vois rien, les bulles cachent tout. J’imagine pourtant bien que juste en dessous, de longs filaments blancs pareils aux nuages au dessus de nous s’étirent paresseusement dans l’eau comme les seconds s’étirent dans le ciel.
Gazeux dans le ciel, Liquide dans l’eau, Solide dans mon maillot.
Quel soirée !
***
En espérant que vous avez appréciés, encore désolé pour le temps que je met ^^.
Qui est ma sex friend ? Qui est Cassandre ? Qu’est ce qu’a fait Claudia avec Hugo ? Comment l’action ou vérité s’est-il déroulé ? Vous le découvrirez dans le prochain chapitre…ou peut être en découvrant ce qu’a fait Arthur de son côté dans "Claudia, ma meilleure amie devenue salope" (ou peut être pas ;) )
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