LE HAREM DE PATRICK 26ème EPISODE
La sur de Claire joue les voyeuses. Je me nomme Stéphanie, je suis la demi-sur de Claire et la fille de Claude dont vous avez fait la connaissance dans les histoires « le Harem de Patrick, les aventures sexuelles de Patrick et, suite de… » Je vais vous conter l’histoire que j’ai vécue avec Patrick.
Je suis une belle femme de 30 ans, 1m70 avec une très belle poitrine bien ferme et une cambrure de reins à damner un saint et pourtant mon mari me trompe.
Après une vive discussion, je l’ai mis en demeure de rompre avec sa maîtresse et lui ai dit que je ne reviendrais à la maison qu’à cette condition.
Après un coup de fil à ma mère, je vais passer un mois chez elle où je verrai avec plaisir ma demi-sur Claire ainsi que mes deux nièces de six ans et mon neveu de quatre ans.
Je retrouve la maison maternelle avec grand plaisir et sonne à la porte, Claire m’ouvre et me saute dans les bras pour m’embrasser.
Bonjour, ma sur adorée ! s’exclame-t-elle, j’espère que tu as gardé un bon moral après ta déconvenue; entre et mets-toi à l’aise.
Toute la famille vient me faire la fête et j’embrasse mon neveu et mes nièces, moi qui n’ai pas d’enfants, car mon mari n’en veut pas.
La journée passe très vite et nous parlons de tout et de rien.
Le soir venu, je me trouve dans mon ancienne chambre quand Claire vient me rejoindre.
Alors ? me demande-t-elle, explique-moi ce qui t’arrive avec ton mari.
Eh bien, je lui réponds, c’est un salaud, je me doutais bien de quelque chose et je l’ai surpris avec sa maîtresse, il n’a même pas nié. Je lui ai mis le marché en main, si quand je reviens il n’a pas quitté sa grognasse, je divorcerai. Les hommes sont tous les mêmes; d’ailleurs tu es bien placée pour le savoir, ainsi que maman; vous qui élevez seules les enfants de Patrick, il en a épousé une autre.
Eh ! Je t’arrête tout de suite ! me rétorque Claire; c’est pleinement conscient du fait que nous élevons nos enfants seules et Patrick est toujours présent pour eux avec l’accord de sa femme Emilie qui est notre meilleure amie. Je t’ai déjà expliqué qu’avec Patrick c’était très spécial. D’ailleurs, je lui demanderai de s’occuper de toi, il va être là pour ce grand week-end, il doit arriver demain matin; passe une bonne nuit grande sur et à demain.
Elle quitte ma chambre et je me couche; mais je trouve difficilement le sommeil, je n’arrive pas à comprendre le comportement de ses trois femmes, Emilie qui ne s’offusque pas que son mari se tape d’autres femmes et que maman et Claire acceptent de se le partager, d’ailleurs, je viens de me rendre compte que je ne l’ai que très rarement rencontré, et qu’a-t-elle voulu dire quand elle a annoncé qu’il s’occuperait de moi ?
Je rejoins toute la famille le lendemain matin au petit-déjeuner, je suis contente que l’on se retrouve comme dans ma jeunesse à parler de tout et de rien.
La sonnette d’entrée vient de sonner, Claire va ouvrir, se jette au cou de Patrick et l’embrasse à pleine bouche; elle l’a à peine lâché que c’est ma mère, cette fois, qui l’étreint et lui roule un patin, ce n’est pas vrai !
Claire le prend par la main et vient vers moi.
Patrick, viens embrasser ma sur !
Bonjour, Stéphanie, murmure Patrick, heureux de te revoir !
Il me prend par les épaules, m’attire à lui et m’embrasse sur la bouche; surprise par son culot, je veux le faire cesser, mais je ne sais pas ce qu’il m’arrive, je suis toute chose et lui rends son baiser.
Tu es de plus en plus ravissante. J’espère que tout va bien pour toi depuis notre dernière rencontre, continue-t-il.
Je ne sais que lui répondre à part des banalités. Ce n’est pas possible l’effet qu’il produit sur moi; il n’est pas tel que je le croyais, c’est quelqu’un de sympa qui ne cherche pas à se mettre en avant, mais plutôt essaie de te mettre à l’aise et te rendre service.
Nous avons longuement parlé pendant la journée et je ne sais pas pourquoi, je lui ai pratiquement tout raconté sur ma vie.
Après un bon souper, nous sommes allés nous coucher, mais je m’étais à peine endormie, que je suis réveillée par des bruits dans la chambre contiguë à la mienne.
Je comprends vite aux gémissements que j’entends ce qui se passe à côté, Claire doit se faire sauter par Patrick et j’entends maintenant ma sur qui commence à s’envoyer en l’air… et j’entends tout.
J’ai beau me forcer pour ne pas y faire attention, je les envie même… Petit à petit, ma main disparaît sous les draps pour rejoindre ma toison… Il faut dire que j’ai toujours aimé me doigter … Je continue alors que j’écoute ma sur qui parvient à l’orgasme. Enfin, dans un quart d’heure au plus tard, ils auront fini et je pourrai dormir.
Cela fait maintenant une heure que j’entends des râles de jouissance et cela n’a pas l’air de vouloir s’arrêter. Comme les deux chambres sont communicantes, j’entrouvre tout doucement la porte et regarde de qui se passe à côté.
Bonté divine ! Il n’y a pas que Claire à s’envoyer en l’air, ma mère est là aussi !
Il n’y a qu’une lampe de chevet pour éclairer la scène ; Patrick est couché sur le dos avec deux femmes à cheval sur lui : Claire est assise sur sa poitrine et se fait dévorer la foufoune ; et maman fait du rodéo sur la bite de Patrick.
Elle bouge seulement le bassin et a beau faire de grands mouvements de va-et-vient, je ne vois jamais le bout de la queue de Patrick, et quand elle s’empale de nouveau sur lui, elle ne peut absorber en entier son engin, un sacré morceau reste encore en dehors, il a l’air bien équipé.
Maman le pistonne à sa cadence, elle doit bien le sentir au plus profond de son sexe. Un orgasme soudain la foudroie. Elle tremble sous la jouissance puis se retire de sa queue, elle prend la verge avec ses deux mains et la tient à la verticale, mon Dieu !
Je découvre enfin ce sexe imposant de taille très supérieure à la moyenne, ses mains ne recouvrent que les trois quarts de la longueur de cet énorme pénis !
Je suis pétrifiée et je ne peux détacher mes yeux de ce sexe qui me paraît énorme (au moins le double en taille et en grosseur de celui de mon mari).
Je suis sur le point de jouir à nouveau. Je vois sur le mur, en ombre chinoise, cette fabuleuse hampe, branlée par les mains de ma mère qui montent et descendent en cadence le long de ce chibre majestueux.
Elle se penche sur sa queue et commence à la caresser délicatement. Sa deuxième main s’emploie maintenant sur ses bourses, et masse ses couilles. Le mouvement de sa main s’accélère le long du phallus, elle le branle consciencieusement. Elle soupèse ses boules d’une main, et de l’autre, décalotte le gland, le prend dans sa bouche et le suce lentement, d’abord l’extrémité, puis elle se la met de plus en plus loin dans sa bouche déformée par la grosseur du gland.
Je me surprends à passer ma main sous ma nuisette pour découvrir ma chatte trempée. Mon doigt atteint mon clitoris et je jouis presque tellement c’est fort. La situation est irréelle, je suis là en train de me branler comme une collégienne en le regardant sucer la fente de ma sur et se faire sucer par ma propre mère. Moi, suivant son rythme, je m’enfonce deux doigts dans la chatte, regardant sans pouvoir participer, je me touche comme une véritable nymphomane. Je jouis, mais cela ne suffit pas à me calmer.
La bouche gourmande avale petit à petit les ¾ du chibre monstrueux; Patrick donne des coups de reins et baise littéralement la bouche distendue. Pendant plusieurs minutes, on n’entend plus que les bruits de succion.
Enfin, Patrick donne des signes de faiblesses, maman sent la bite monstrueuse grossir encore plus, si c’est possible dans sa bouche, alors elle accélère ses mouvements et aspire le nud turgescent.
Oooohhhh oui ! Je viens ! Tiens, avale tout, Claude !
Un torrent de sperme envahit sa bouche; coule dans sa gorge; elle s’étouffe et est obligée de retirer la queue de sa bouche avec sa main. La deuxième giclée de sperme fait croire à un jet et le dos de Claire reçoit sa gelée épaisse.
Puis aussitôt, une troisième giclée tout aussi abondante, tout aussi violente; Claire a le dos et les cheveux couverts de foutre. La masturbation de Claude n’a pas cessé, mais elle veille à l’orientation du jet, et ne branle plus le sexe qu’à deux doigts, au niveau du frein.
Encore une quatrième giclée; le torrent de sperme déversé recouvre de plus en plus le dos de Claire.
Et de cinq; le volume de sperme ne tarit pas, les expulsions sont toujours aussi fertiles. C’est à se demander comment ses testicules peuvent en contenir autant. L’épaisseur de foutre, en dépit de sa remarquable viscosité, est telle qu’il commence maintenant à couler entre ses fesses et recouvre son anus et sa raie. Deux autres plus espacées; du sperme dégouline maintenant de Claire et tombe sur les abdominaux de Patrick puis enfin deux derniers soubresauts qui n’émettent plus qu’un filet de foutre.
Claude lâche enfin le sexe devenu inutile, bien que toujours érigé. Comment peut-il cracher une telle quantité de liquide alors qu’il a sûrement déjà joui plusieurs fois depuis une heure ? Claire m’avait prévenue des capacités de Patrick, mais je n’y croyais pas. Maintenant, je vois ce que ça signifie.
Maman se rapproche de Claire et lèche avec application son dos, avalant avec plaisir ce torrent de semence. Dès qu’elle a fini, elle descend du lit et je n’en reviens pas de la suite.
Claire s’aidant de ses mains et de ses genoux descend sur le corps de Patrick; et dès qu’elle est bien positionnée à l’aplomb de la formidable queue de Patrick toujours aussi raide; elle s’empale d’une seule poussée, s’enfilant jusqu’à la garde, ce phénoménal chibre, toujours raide dans sa moule toute trempée.
Elle ne bouge plus… puis elle remonte ne gardant que le gland dans sa chatte, elle ferme les yeux, sa respiration devient haletante. Patrick avance son bassin avec douceur. Je vois sa queue la pénétrer, ses lèvres s’entrouvrent davantage, la longueur visible de sa verge diminue. Son visage est tendu, elle gémit en criant un long et profond :
Oouuuiii !
Et poursuit la pénétration dans son doux et étroit fourreau humide et chaud. C’est merveilleux. Leurs pubis se touchent presque et ils restent un moment ainsi sans bouger. Elle commence un doux va-et-vient et accélère le rythme. Elle n’arrête plus de gémir et de prononcer des paroles sans lien entre elles. Je remarque soudain que Patrick regarde dans ma direction, il m’a vue et me sourit, je ne sais plus où me mettre. Claude, maintenant, a pris la place de Claire, me cachant à sa vue, et donnant à la langue de Patrick une nouvelle grotte à explorer. Soudain ! Claire s’écrit:
J’ai envie de me faire enculer !
Elle se soulève pour expulser le sexe de Patrick de sa chatte et guide elle-même la bite à l’entrée de son cul. Je suis horrifiée (mais en même temps envieuse) lorsque je vois le gros membre de Patrick forcer l’anus de ma sur, comment peut-elle recevoir entre les fesses un sexe aussi gros ? D’autant plus que moi, je n’ai jamais pratiqué ce genre de pénétration, étant vierge de ce côté-là.
A l’évidence, Claire, elle, n’en est pas à la première fois, et maintenant monte et descend comme une folle sur ce pieu qui lui laboure le colon. Patrick donne des coups de reins violents qui font rentrer sa bite au plus profond du cul de Claire.
J’ai joui comme une folle en même temps que ma sur. Après un temps infini, Patrick sentant sa jouissance proche, arrive à dire à Claire de se retirer, malgré la chatte qui lui recouvre la bouche.
Claire présente le membre toujours complètement bandé et gluant de crème devant son visage et l’avale goulûment; pompant avec ardeur la bite qui sort de son cul, jusqu’à ce qu’il éjacule dans sa bouche et sur son visage une purée abondante, épaisse, crémeuse, qui sort en longues et puissantes giclées. A la fin, elle reprend en bouche son sexe, avale avec un plaisir évident, le sperme qui en sort encore de façon sporadique, et suce pour finir le gland comme un gros bonbon…
Je reprends alors mes esprits et regagne mon lit, en repensant à ce que je viens de vivre. Je me traite de folle, de m’être exhibée ainsi, et je me demande comment va se passer maintenant ma prochaine rencontre avec Patrick.
Je vous raconte cela bientôt.