J’étais donc en train de le câliner pendant que je le regardais dormir, son corps n’avait rien de spécial, vu que c’était celui d’un jeune ado, il avait un slip blanc des plus banal et des chaussettes de marque. Par contre il avait conservé ses cheveux blonds d’enfants.
Je lui câlinais son thorax quand je fus surprise quand je remarquais qu’il entrait en érection, là je fus paniquée à l’idée d’avoir provoqué une érection chez lui et je mécartai de lui violemment ce qui le réveilla :
— Bonjour Corine…
— Salut ! Bien dormi ?
— Ouais tranquille.
Un bon moment passa pendant que nous déjeunions, au moment de commencer un week-end, Tim’ me demanda s’il pouvait prendre une douche, ce que je lui accordai bien entendu. Il prit donc le chemin de la salle de bain, j’entendais l’eau couler par terre et une étrange sensation m’envahit l’esprit : je l’imaginais sous la douche. Je n’arrêtai pas de me dire que ce n’était qu’un ado, que ce n’était pas ma "rue", j’ai toujours préféré les hommes bien virils mais rien à faire cette idée ne me quitta pas la tête.
Je me préparais à sortir, donc à m’habiller, j’étais alors en bikini prête à choisir mes vêtements dans un petit placard, quand j’entendis des pas derrière moi, je me retournais violemment :
— Oh pardon je voulais pas te faire peur j’ai oublié mes vêtements là…
Timothé était nu devant moi, et moi en bikini, genre situation plus que gênante ça se posait là, mon regard parcourut tous son corps quand je repris mes esprits :
— Ca te dérangerai de mettre une serviette autour de toi ?
— Moi ça me dérange pas, pourquoi ça te plait pas ce que tu vois ?
— …
— Puis toi t’es bien en bikini !
Je ne répondis plus rien, je préférai allumer la télé pour me changer les esprits, je mis même la chaîne de musiques pendant que j’allais dans la salle de bain me faire une retouche de maquillage. Au moment de revenir dans le salon j’étais verte de rage, je voyais Tim’ allongé sur le lit toujours tout nu :
— Bordel ça te… !
Son érection face à un clip plutôt chaud de musique d’une certaine chanteuse me cloua le bec, il me regarda car il avait entendu le début de ma phrase il en profita d’ailleurs pour me faire porter le chapeau de son comportement :
— C’est toi là qui te contredis avec ton bikini !
— Et bander devant des gens qui te connaissent presque pas c’est à cause de moi ?
La phrase interdite était sortie de ma bouche, je ne voulais pas avoir une conversation sur ça avec le fils de ma meilleure amie, mais apparemment c’était le destin qui en avait décidé autrement.
— Tu parles de ça ? Me dit-il en me montrant son pénis.
— Oui "ça" ! C’est pas bien !
— C’est quand je suis content ! Pourquoi c’est pas bien ?!
Encore une fois je ne répondis pas je m’assis à côté de lui pour enfiler mes collants, quand il se jeta sur moi, ce qui me fit basculer sur le dos, il était sur moi son érection sur mon ventre :
— Je t’ai énervée ?
— Euh non…
— Cool j’ai eu peur ! Me dit-il en m’enlaçant.
Je sentais son érection près de ma zone pubienne ce qui m’excita sur le coup, je mis mes bras autour de lui et lui caressai son thorax, j’avais l’impression d’avoir mon ex petit ami sur moi. Je descendis mes mains sur son bas du dos avant de les mettre sur ses fesses, je lui caressais ses jolies fesses rondes et douces j’avais la tête complètement ailleurs et ma libido brouillant totalement mes pensées l’espace d’un instant, puis je repris mes esprits et le poussai :
— Excuse-moi !
— Euh de quoi ? Me dit-il
— Tu le fais exprès ou quoi ? T’es "content" et tu fais mine de rien !
— Mais tu m’as fait un câlin ! Où est le mal ?
— Bon ça suffit viens là !
Je le pris par la main, je mallongeai sur le lit, et le mis sur moi, je repris exactement la même scène que tout à l’heure :
— Tu t’es déjà fait du bien ?
— C’est à dire ?
— Ca…
Je mis ma main sur son sexe en érection, et fis de léger va-et-vient, avant de stopper net, il me fit un sourire gêné avant de m’avouer que oui, je décidai de lui poser un ultimatum :
— Si tu continues de te balader nu devant moi je vais être obligée de te faire ça, je pense que tu seras le plus gêné de nous deux…
