Suite :
Le lendemain, veille des vacances, Laurent passa me voir dans mon bureau.
— Bonjour, vous allez bien ?
— Très bien fis-je avec un sourire complice. Vous allez me manquer pendant quinze jours !
— Justement, cest pour ça que je venais vous voir. Il est hors de question que je vous laisse seul pendant deux semaines Vous seriez capable de coucher avec moitié du département sous leffet du manque !
— Nimporte quoi ! Je ne suis pas accro à ce p
— Peu importe ! Vous viendrez chez moi tous les soirs pour votre dose. Et je me réserve le droit de passer chez vous si jen ai envie. Notre accord « où je veux, quand je veux » sapplique également durant les vacances scolaires.
— Et si javais prévu de partir un peu ?
— Jai prévu quon parte un peu la deuxième semaine. Là où personne ne vous connais, on pourrait samuser un peu, non ?
— Donc, je nai pas le choix. Tout est déjà réglé ?
— Exact ! Une petite pipe ?
— Vas te faire foutre !
— Ok Vous ne direz pas ça dans 2 jours !
Pour être honnête, je lai appelé dans laprès-midi pour un petit coup rapide Il a peut-être raison, je suis totalement accro !
Donc, durant cette première semaine de vacances, je suis allé tous les jours me faire sauter chez Laurent. Rien de bien original à raconter (pipes, pénétrations, sodomies, éjacs en divers endroits) à part le fait que pour la première fois depuis des années, y compris depuis que je baisais presque tous les soirs, jai passé une nuit entière avec un homme. Je suis repartie dès le lendemain matin mais je dois avouer que passer la nuit dans les bras dun homme est agréable. Même si celui-ci vous doigte le cul en guise de réveil !
La deuxième semaine fut plus originale car nous sommes allés en « vacances » à Paris, là où personne ne risquait de me reconnaître. Là, nous avons testé beaucoup de choses nouvelles. Il serait très long et également « hors sujet » de vous raconter en détail cette folle semaine.
Je peux simplement vous dire que jai testé pour la première fois un club échangiste dans lequel je me suis fait baisé par un inconnu denviron 60 ans pendant que sa plus jeune et magnifique femme se faisait défoncer par Laurent, ravi. Jai aussi connu les joies de lexhibitionnisme dans un sex-shop où jai testé un gros gode devant les autres clients, gode qui ma ensuite été généreusement offert ! Jai également été offerte par Laurent à des inconnus qui mont enculé à la chaine, contre la façade dun immeuble, dans une rue glauque dun quartier lui-même glauque. Pendant une heure, des gens se sont succédé, mont sodomisé, ont jouis dans leur préservatif (fourni généreusement par Laurent) et sont repartis. En fin de semaine, nayant pu trouver dautres occasions de mhumilier, Laurent sest contenté de minscrire à un concours de strip-tease dans une boite de nuit où jai montré mes seins, ma chatte et mon cul à une flopée de pervers qui me glissaient des billets et des doigts à divers endroits de mon anatomie. Jai finalement échoué à la troisième place à lapplaudimètre. Ah oui, pour finir, sur le chemin du retour, Laurent ma demandé daller sucer un routier qui pissait au bord de la nationale. Jai alors découvert que le gout de lurine, même à létat de gouttes résiduelles au bout dun gland, pouvait être bien pire que ce que javais déjà gouté jusque-là !
Me voilà donc de retour chez moi après une semaine de soumission, prête à attaquer un nouveau trimestre de débauche sexuelle.
Comme prévu, cest Kévin qui eut lhonneur de me rendre une visite lors de ma première nuit de permanence. Et comme pour la première fois, cest Laurent qui alla le chercher durant létude et qui lemmena dans ma chambre.
— Tu as une demi-heure lui dit-il en le laissant sur le pas de ma porte.
— Ok Bonjour Madame.
— Bonjour Kevin.
Nous avons dabord échangé des banalités à propos de nos vacances respectives et jai menti en lui disant que les miennes avaient été reposantes. Puis il y a eu un moment de silence où personne ne savait trop comment passer à laction. Je décide de me lancer.
— Tu souhaites que je me déshabille ?
— Non En tout cas pas encore. Je vous trouve très sexy dans cette tenue (une chemise décolletée et un jean très moulant).
Il sapproche alors de moi et membrasse tendrement. Sans perdre de temps, il me caresse la poitrine et le fessier.
— Tu Tu as de quoi te protéger ?
— Oui, jy ai pensé !
— Parfait
Il sort alors une capote de sa poche. Je men saisi, je maccroupis devant lui, lui baisse et pantalon et commence évidemment à le sucer. Puis, je glisse létui en latex le long de son sexe et me redresse.
— Déjà ? me demande-t-il, surpris de tant de précipitation
— Oui Nous navons guère de temps et jai envie de pénétration, rien dautre.
— Parfait.
Il me retourne alors et me plaque contre le mur de ma chambre. Il déboutonne mon jean et le baisse en même temps que mon string à mi-cuisse. Il crache dans sa main, humidifie son sexe et me lenfile directement. Il me baise ainsi puissamment, à la hussarde, en me tenant par les hanches. Il tape à chaque fois contre mon cul et menfonce son pouce dans lanus.
Au bout de plusieurs minutes de ce traitement fort agréable, et alors quil avait deux doigts bien enfoncés dans mon cul tout en me baisant, je lui dis :
— Tu peux menculer, si ça te tente
— Ça me tente !
Il se retire aussitôt, me lubrifie un peu lillet et senfonce dans mon colon en plusieurs aller-retours de plus en plus profonds. Il prend son temps, fait des mouvements amples dans mon cul et profite à fond de moi. Puis il se retire à nouveau, me maintien les fesses écartées pour mater mon trou du cul bien ouvert et minvite à me mettre à quatre pattes par terre. Il baisse mon jean en bas de mes cuisses et, en levrette, se remet à menculer, plus violemment cette fois. Cinq minutes plus tard, il jouissait dans sa capote, bien enfoncé dans mon colon.
— Ouaa, cétait excellent ! sexclame-t-il encore enfoncé en moi.
— Jai beaucoup aimé aussi
— Vous navez pas jouis, du coup ?
— Non, mais ce nest pas grave Jadore aussi les petits coups vite fait ! Et je suis sûr que tu auras à nouveau loccasion de me faire jouir. Je te remercie.
Il retire sa capote et la jette dans ma poubelle, se rhabille et sen va. Au bout dà peine 20 minutes.
Plus tard dans la soirée, Laurent passa me voir.
— Ca a été rapide avec Kevin ?
— Oui, mais efficace ! Tu veux tirer un coup, je suppose ?
— Non, même pas Je vois Lia, ce soir.
— Quoi ??? Tu me fais cocue ?? dis-je avec un air faussement scandalisé.
— Oui, mais pas autant que vous envers moi ! En fait, ça fait un moment quon sort ensemble.
— Et elle sait pour moi ?
— Pas encore, mais elle est très libre et ne se gêne pas pour coucher avec dautre mecs. Dailleurs, je comptais la mettre dans la combine
— La combine ?
— Oui heu notre petit arrangement, quoi répondit-il dun air gêné.
Ce terme de « combine » mintriguait mais il détourna la conversation.
— Vous avez déjà fait ça avec une fille ?
— Non, jamais et ça ne me tente guère.
— Lia est magnifique et bisexuelle, qui plus est. On pourrait faire des plans à trois divins !
— Il faut que jy réfléchisse Toutes les femmes ne sont bisexuelles comme les hommes le pensent souvent. Tu venais pour me dire ça ?
— Non, je venais vous prévenir que demain, cest plan à quatre avec Antoine et Florian et que jeudi, je vous envoie un nouvel élève.
— Encore ? Mais je nai rien demandé !
— Je vous constitue juste votre « vivier de bites » selon votre propre expression. Vous verrez, il est canon également.
— Bon, très bien.
— A demain, alors.
— A demain.
Jétais interpellée par cette conversation. Laurent qui ne me baise pas, qui parle de combine, qui menvoie encore un autre élève alors que je viens à peine de rencontrer Kevin. Bizarre Mais la perspective dune bonne orgie demain me fit frissonner et je ne finis pas ne plus penser à cela.
Le lendemain sannonçait une belle journée faite de plaisir et de jouissance. Elle a été un peu plus. A une heure du matin, les trois garçons étaient dans ma chambre et me défonçaient de tous côtés. Cela ne faisait pas 15 minutes que nous avions commencés quils me prenaient déjà en double. Mais comme jadore ça, je ne vais pas men plaindre. Antoine a, comme il lavait proposé il y a quelques temps déjà, tenté une double pénétration anale en enfonçant son gland dans un anus déjà bien remplis. Mais la tension sur mes sphincters était trop forte. Son gland na pas pu me pénétrer et une vive douleur mobligea à lui demandé darrêter. Il semblait déçu, tout comme moi qui aurait bien voulu réaliser cet exploit, mais mon anus nétait alors pas prêt. Par contre, mon vagin semblait élastique à volonté et ils sétaient gavé de double pénétration vaginale et de fist fucking au point (jeux de mot…) que ma pauvre chatte ressemblait à celle dune femme venant daccoucher ! Ils mavaient littéralement défoncé et, malgré tout, ils mavaient donné de magnifiques orgasmes.
Les garçons commençaient à rassembler leurs affaires pendant que jétais encore avachie par terre, la chatte et le cul suintant de sperme (Antoine et Florian étaient venus en même temps en moi), le visage maculé du foutre de Laurent. Prise dune pulsion, je me lève en déclarant :
— Bon, jai envie dune bonne douche !
— Ok me répondent-ils sans faire attention.
Je vais à la salle de bain, attends quelques secondes et sors ma tête par la porte en les regardant :
— Eh Oh ?? Jai dit : jai envie dune bonne douche
— Et Bin ? Allez-y, vous navez pas besoin de nous pour faire couler de leau !
— Qui a parlé deau ?
Ils se regardent alors sans trop comprendre ou plutôt comme sils ne voulaient pas comprendre.
— Je veux une douche dorée Cest plus clair comme ça ?
Je disparais ensuite dans la salle de bain et entre dans le bac douche. Les garçons entrent à leur tour, plus ou moins habillés et me regardent me mettre à genoux devant eux.
— Pas de commentaires, leur dis-je, consciente du caractère gênant voire choquant de ce qui allait suivre. Faites-le sans rien dire et sortez.
— Hum tenta Laurent Où est-ce quon.
— Où vous voulez !
— Mais même
— Bon, écoutez, dis-je en interrompant Antoine, ce « truc » ne concerne que moi. Considérez-moi comme un simple urinoir et non plus votre directrice. Et plus un mot !
Je ne pouvais moi-même pas croire en ce que je venais de dire. Pour la première fois, jassumais totalement ce fantasme et me rabaissais à létat dobjet. Je ne voulais pas être jugée, juste quon me pisse dessus et quon me laisse en profiter !
Je vois alors les garçons se regarder, échanger un « on y va » de la tête et sortir leurs sexes tous mous. Mécaniquement, et alors quun jet sortait du gland de Laurent, je ferme les yeux et ouvre la bouche. Son jet matteint au visage, me trempe les cheveux et me remplit la bouche. Alors que je recrache le plus gros, un autre jet vient me recouvrir puis un troisième. Cest littéralement une douche : mon visage, mes cheveux, ma poitrine et mon ventre son trempés. La pisse ruisselle le long de mon corps et saccumulent sous mes fesses avant de couler vers lévacuation du bac de douche. Javale une première gorgée et rouvrir ma bouche qui se fait aussitôt remplir. Je recrache à nouveau une trop grosse quantité de pisse à mon gout pour nen avaler quune petite gorgée. Je me passe les mains sur le visage, comme si jétais sous la douche. Les jets faiblissent enfin, je recrache de lurine dans le creux de mes mains pour me la répandre à nouveau sur le visage. Je rouvre les yeux tandis que les dernières gouttes viennent remplir une dernière fois ma bouche grande ouverte et cest cette fois-ci une grosse gorgée que javale. Je sens alors la nausée monter en moi.
Les garçons quittent la salle de bain sans dire un mot, comme convenu, récupèrent leurs affaires et sortent de ma chambre. Seule dans ma douche, je parviens à ne pas vomir mais faire couler leau immédiatement pour faire disparaitre lodeur ambiante.
Je pense quà une époque, jaurais voulu mourir de honte. Mais ce jour-là, je suis sortir de ma douche satisfaite, contente davoir été un objet pour un moment. Demain, je serai à nouveau leur directrice et ils devront mobéir. Jusquau soir suivant où ils me soumettront à nouveau. Un bien bel équilibre des forces !
A suivre…